Affaire Médine : l’acte de décès du « en même temps » d’Emmanuel Macron ?
Par Jérôme Barbet (Les Identitaires)
Une nouvelle fois, les identitaires ont joué leur rôle de lanceurs d’alerte.
Impossible de biaiser, de réconcilier les parties adverses, de ménager les uns et les autres.
Mais le dilemme est sérieux.
Faut-il interdire à Médine de se produire au Bataclan et donner raison à la « fachosphère », ou laisser faire et donner le sentiment de céder face à l’islamisme ?
Différents signaux nous indiquent d’ores et déjà l’option privilégiée par l’exécutif.
Sur Cnews, le porte-parole du gouvernement a adopté une position de principe : « La liberté de l’artiste est totale. »
Avec ce relativisme irresponsable, le gouvernement accepterait donc que le « Djihad » soit revendiqué sur les lieux de l’attentat islamiste le plus meurtrier de l’Histoire de France.
Ce serait profaner la mémoire des victimes et humilier notre pays au nom de « droits » extensibles à l’infini.
Le Premier ministre Edouard Philippe, quant à lui, « assume pleinement » la subvention de la ville du Havre (attribuée lorsqu’il en était maire) au club de boxe de Médine.
On comprend dès lors de quel côté penchent le Président et ses ministres.
Cette fois il n’y aura pas de « en même temps ». Ou plutôt si. Avec Macron, nous aurons l’islamisation et en même temps, la soumission.
https://fr.novopress.info/211245/affaire-medine-lacte-de-deces-du-en-meme-temps-demmanuel-macron-jerome-barbet-les-identitaires/
Au début du mois de juin, des militants
ont révélé sur les réseaux sociaux que le rappeur islamiste « Médine »
doit se produire les 19 et 20 octobre prochains au Bataclan, cette
fameuse salle de concert du XIème arrondissement parisien où 90
personnes ont été froidement abattues par un commando djihadiste le 13
novembre 2015.
Rapidement, de nombreux acteurs
politiques de droite – du Front National à Laurent Wauquiez – ont
protesté contre la tenue de ce concert. Ils ont été suivis par certaines
associations de victimes qui ont réclamé à leur tour l’annulation du
spectacle, et même par certains députés LREM.
L’objet de la polémique est évident. Le
rappeur Médine Zaouiche, qui porte le prénom d’une des villes saintes de
l’islam où fut enterré Mahomet, a longtemps affiché une barbe
imposante, à l’instar des compagnons du prophète.
Le titre de son premier album évoque les
attentats du 11 septembre 2001 qui avaient fait plus de 3 000 morts. Le
deuxième album, sorti en 2005 et sobrement intitulé « Jihad », joue
avec tous les codes de l’islam guerrier.
La pochette est notamment barrée d’un imposant sabre vertical constituant le « J » de « Jihad ».
On
frissonne à l’idée de l’imaginer prononcer les paroles de sa chanson «
Grand Médine » où il se compare à un combattant de l’Etat Islamique : «
J’arrive sur tous les sites comme un djihadiste de Daesh ».
Dans
ce contexte, la programmation d’un spectacle de Médine sur une scène
ensanglantée par des terroristes islamistes constitue une provocation
inacceptable.
Face à la controverse qui a pris une ampleur nationale, le gouvernement d’Emmanuel Macron se retrouve dans une posture délicate.
Comme souvent dès que l’on aborde les thématiques identitaires, le pouvoir macroniste est très ennuyé.
Il y a une limite à la conciliation des contraires.
S’agissant du rappeur islamiste Médine et de son concert au Bataclan, il ne peut y avoir de « en même temps ».
Ou bien ce spectacle est autorisé, ou bien il est interdit. Il faut prendre parti et trancher radicalement.Impossible de biaiser, de réconcilier les parties adverses, de ménager les uns et les autres.
Mais le dilemme est sérieux.
Faut-il interdire à Médine de se produire au Bataclan et donner raison à la « fachosphère », ou laisser faire et donner le sentiment de céder face à l’islamisme ?
Différents signaux nous indiquent d’ores et déjà l’option privilégiée par l’exécutif.
Sur Cnews, le porte-parole du gouvernement a adopté une position de principe : « La liberté de l’artiste est totale. »
Avec ce relativisme irresponsable, le gouvernement accepterait donc que le « Djihad » soit revendiqué sur les lieux de l’attentat islamiste le plus meurtrier de l’Histoire de France.
Ce serait profaner la mémoire des victimes et humilier notre pays au nom de « droits » extensibles à l’infini.
Le Premier ministre Edouard Philippe, quant à lui, « assume pleinement » la subvention de la ville du Havre (attribuée lorsqu’il en était maire) au club de boxe de Médine.
On comprend dès lors de quel côté penchent le Président et ses ministres.
Cette fois il n’y aura pas de « en même temps ». Ou plutôt si. Avec Macron, nous aurons l’islamisation et en même temps, la soumission.
Note d’Antiislam
C’est pire en fait : dire que Macron pratique le « en même temps »
sur l’immigration-islamisation est lui prêter une pensée qui ne
l’effleure même pas.En bon banquier, en bon libéral Macron est fanatiquement persuadé que tout problème est soluble dans l’économie.
Un taux de croissance favorable, et … pschitt ! les problèmes liés à l’immigration, à l’islam s’évanouiront.
Il est évident, mais ces évidences ne passent pas la barrière céphalique du grand esprit qui nous gouverne, que c’est totalement faux.
Ben Laden était miliardaire et les pays musulmans, justement les plus fanatiques, permettent à leurs habitants, grâce au pétrole de disposer de revenus conséquents, sans même travailler …
D’ailleurs même dans nos banlieues le trafic de drogue que pratiquent les islamo-mafieux permet à un jeune musulman de vivre très convenablement chez nous.
On parle de 100 euros/ jour pour un simple guetteur …
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