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dimanche 24 juin 2018

Compte-rendu de la journée nationaliste toulousaine chez UCODEL

En ce 9 juin, à l’invitation de l’association toulousaine UCODEL, de nombreux militants et sympathisants de la cause nationaliste devaient se retrouver autour de 4 figures marquantes : Alexandre Gabriac, Gérard Leroy, Dominique Morel et Pierre-Marie Bonneau.
N’ayant pu faire le déplacement, Alexandre Gabriac avait envoyé un message vidéo dans lequel il commençait par rendre un hommage appuyé à Pierre-Marie Bonneau, avocat et membre du présidium du Parti Nationaliste Français, ardent défenseur de longue date de tous les nationalistes traqués par la « police de la pensée ». Il développait ensuite les points essentiels de doctrine hors desquels il ne peut y avoir de compromis nationaliste possible.
Prenait ensuite la parole Gérard Leroy, auteur et philosophe, qui entretenait l’assistance de la conception authentique du paganisme, enraciné dans les mythologies européennes et sans acrimonie anti-chrétienne, comme une base de réconciliation en vue d’un idéal dépassant les croyances individuelles.



Puis Dominique Morel, élu municipal du Parti Nationaliste Français en Auvergne, rappelait que la diversité des engagements politiques partisans au sein de la mouvance nationaliste, ne devait pas dégénérer en querelles picrocholines au risque d’éclipser les opportunités d’action au service du redressement de la France.
Enfin, il revenait à notre ami Pierre-Marie Bonneau, de rendre hommage à Eudes d’Aquitaine qui en ce jour, en 721, sous les remparts de Toulouse, mettait un coup d’arrêt à l’expansion mauresque en terre d’Europe ouvrant la voie à la geste de Charles Martel à Poitiers en 732.

En guise de conclusion, il appelait chacun à s’engager pour la cause nationaliste à la mesure de ses moyens et à garder front haut et tête froide dans les épreuves que traversent notre nation et notre civilisation, rappelant, selon le mot de l’empereur, que « la victoire appartient à celui qui sait coucher sur le champs de bataille ».
Et les participants de se séparer après l’acclamation nationaliste traditionnelle : « Qui vive ? France ! »