L’assassinat et
le viol en Allemagne d’une adolescente nommée Susanna ainsi que d'autres
meurtres de jeunes femmes dans le pays provoquent la rage et
l'indignation des citoyens. Des représentants de la police fédérale ont
exprimé au micro de Sputnik leur mécontentement et ont évoqué les
mesures à prendre pour combattre ce mal.
Rainer
Wendt, chef du principal syndicat de police allemand (DPolG), et Jörg
Radek, représentant d'un autre syndicat de police (GdP) ont évoqué dans
une interview à Sputnik leurs pensées au sujet des meurtres et des viols
de femmes en Allemagne par des migrants.«Susanna est morte. Il reste non seulement de la tristesse et de la stupéfaction mais également une grande colère et l'indignation», a écrit Rainer Wendt sur sa page Facebook ajoutant qu'il était inquiet de l'avenir de son pays:
«Que deviendra notre pays si on tolère que les
gens entrent, commettent de nombreux crimes, voire des crimes terribles,
et se déplacent encore librement, manifestement prêts à frapper à tout
moment? … Que deviendra notre démocratie si ceux qui sont élus
persistent à ignorer la volonté de ceux qui leur ont donné le pouvoir? …
Et je pense aussi aux criminels. Est-ce que je les verrai vraiment dans
un tribunal? Avec sur le visage un ricanement sarcastique pour la
victime et le mépris pour notre pays? … Ils devraient brûler en
enfer. C'est ce que je veux», a affirmé M.Wendt.