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vendredi 13 juillet 2018

Placer l’enfant au centre de nos discours est une nécessité pour combattre la gauche morale


- Placer l’enfant au centre de nos discours est une nécessité pour combattre la gauche morale -


On se souvient des terribles photographies du corps d'Aylan étendu sur une plage. On se rappelle des réactions scandalisées aux positions de Marine Le Pen sur l'école gratuite pour les enfants de clandestin. On a vu, il y a quelques jours, la campagne médiatique dirigée contre Donald Trump accusé de séparer les enfants de clandestins de leurs parents à la frontière avec le Mexique. Campagne durant laquelle les médias mainstream américains ont procédé à des manipulations grossières notamment en couverture du prestigieux Times.

Tous ces faits ont été savamment relayés par une gauche pro-migrants dont la mort idéologique ne fait plus de doute. Une gauche zombie à qui il ne reste plus que le pathos comme arme politique. Et quoi de mieux que le sujet des enfants pour sensibiliser l'opinion et tenter de la faire basculer ? Une posture efficace puisqu'elle fait appel aux sentiments : le recours au pathos a la force de transformer une idée bancale et mortifère en argument quasi-infaillible dans une époque où l'image et l'émotion guident bien souvent les opinions.


Éditorial du 25 juin 2018

- Pourquoi nous ne pouvons pas laisser Médine jouer au Bataclan -


Depuis deux semaines, il tient bon. Malgré les pleurs des parents de victimes, malgré les pressions de très nombreuses personnalités et anonymes, il ne lâchera pas. Médine ne renoncera pas à son concert qui doit se tenir au Bataclan en octobre prochain. Alors que tout être normalement constitué aurait renoncé à la première supplique d’une famille de victimes des attaques islamistes du 13 novembre 2015, Médine, lui, ne lâche rien. Il crie, il hurle, il dénonce la « fachosphère » qui ment, qui propage des « fake news ». On l’aurait mal compris, il n’est pas du tout un islamiste qui s’apprête à profaner le lieu de mémoire qu’est devenu le Bataclan. On aurait sorti ses textes du fameux « contexte ».




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