Allez
expliquer ensuite au pauvre quidam qui mange des patates à longueur
d’année pour payer les amendes dues à des condamnations qu’il y a une
justice.
Schiappa la glandeuse payée pour écrire
des livres, tweeter et parader dans les médias était donc poursuivie je
ne sais sous quel chef, peut-être abus de pouvoir, prévarication,
collusion d’intérêts… le service de presse de son secrétariat d’Etat
ayant fait la pub de son livre en envoyant une invitation à une dédicace
de la donzelle à tous les journalistes.