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lundi 26 juin 2017

Citation - Alexis Carrel

« Le plus grand malheur que la civilisation scientifique a apporté aux hommes est l’oisiveté. »

 Alexis Carrel

samedi 24 juin 2017

The Ultimate Holocaust Gas Chamber Challenge



Two Holocaust deniers propose to produce a reconstruction of a homicidal gassing in similar conditions as during the war and to stay in the room for 10 minutes. They are ready to expose their own lives because they are sure it won't work. They explain why.

To watch the video :

- On my old channel (censored in France) : https://youtu.be/ie6SEM53Ec4

- On my new channel Youtube : https://youtu.be/Vi1AtKtPrXM

- On our internet site : www.sansconcessiontv.org

Best Wishes,

Valentin, for the Team of Sans Concession

Pour Emmanuel Macron, il n’y a pas de successeur légitime à Bachar el-Assad

Revirement total par rapport à la ligne suivie par la France depuis sept ans. Le nouveau président français a expliqué que la destitution d’Assad n’était pas «un préalable à tout», et assuré que la Russie était essentielle pour éradiquer la menace terroriste.

«Le vrai aggiornamento que j’ai fait sur ce sujet, c’est que je n’ai pas énoncé que la destitution de Bachar el-Assad était un préalable à tout», a déclaré Emmanuel Macron cité par Reuters, dans un entretien à huit quotidiens européens (Le Figaro, Le Temps, Le Soir, Süddeutsche Zeitung, The Guardian, Corriere della Sera, El Pais et Gazeta Wyborcza), le 21 juin. Et d’affirmer le revirement de la politique française sur le dossier syrien : «Personne ne m’a présenté son successeur légitime

Le chef d’État français a précisé que le président syrien était un ennemi du peuple syrien, mais pas de la France, expliquant que la priorité de Paris était un engagement total à combattre les groupes terroristes. «Mes lignes sont claires. Un : la lutte absolue contre tous les groupes terroristes. Ce sont eux, nos ennemis», a-t-il fait valoir, ajoutant qu’il ne voulait pas que la Syrie devienne un «État failli [en théorie des relations internationales, un État qui n’exerce plus d’autorité sur son territoire]».

Et dans cette optique, il compte bien s’appuyer sur l’aide de Moscou : «Nous avons besoin de la coopération de tous pour éradiquer [les terroristes], en particulier de la Russie.» Mais Emmanuel Macron a également repris l’idée de la ligne rouge exposée par Barack Obama : «L’utilisation d’armes chimiques donnera lieu à des répliques, y compris de la France seule
Ces commentaires contrastent fortement avec la ligne suivie par les précédents gouvernements français et offrent un large écho à la position défendue par Moscou, qui estime qu’il n’existe pas d’alternative à Bachar el-Assad.

Un revirement entrevu lors de la visite de Poutine à Versailles

Les bases de ce revirement avaient été posées lors de la visite de Vladimir Poutine à Versailles en mai dernier. Déjà, Emmanuel Macron avait expliqué vouloir à tout prix éviter que la Syrie ne devienne un état failli, estimant que cela représenterait une «menace pour nos démocratie». Il avait également martelé que la priorité absolue de Paris était la lutte contre le terrorisme. Il avait néanmoins déclaré souhaiter une «transition démocratique, tout en préservant un Etat syrien». Des propos qui laissaient penser qu’il penchait à l’époque pour une solution impliquant le départ de Bachar el-Assad.
Cette position représentait déjà en soit une évolution majeure par rapport aux positions défendue par le candidat Macron. Début avril, peu après l’attaque chimique présumée à Khan Cheikhoun, il était en effet catégorique : «Oui, il faut une intervention internationale en Syrie. Une intervention militaire.» Le sort du président syrien semblait d’ailleurs être scellé : «Bachar el-Assad n’en est pas à son premier crime. Si les faits se confirment, il faut une intervention militaire internationale […]. On ne peut pas laisser ce qui s’est passé sans sanction». A suivre la logique du président français et son revirement soudain, il faut donc croire que les faits n’ont pas été confirmés.

La France longtemps favorable au départ de Bachar el-Assad

L’actuel chef d’État suivait alors une ligne tracée par François Hollande et le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius. Dès 2012, le ministre aux propos controversés sur le front Al Nosra, faisait étalage de toutes ses qualités diplomatiques, estimant ni plus ni moins que Bachar el-Assad «ne méritait pas d’être sur terre». Un déclaration qui jetait les bases de la future position de la France et qu’il livrait en des termes on ne peut plus clairs en septembre 2015 : «Bachar el-Assad ne peut pas rester au pouvoir.» François Hollande déclarait lui-même fin novembre 2015, quelques jours après les terribles attentats de Paris, que le président syrien «n’avait plus sa place dans l’avenir de la Syrie».

Si ce mantra aura été une constante de l’administration Hollande, la fin de son mandat a été marquée par l’élection de Donald Trump et un revirement stratégique annoncé par ce dernier sur la question. «Le sort du président Assad, à long terme, sera décidé par le peuple syrien», osait fin mars le secrétaire d’Etat Rex Tillerson.

Fidèle allié des États-Unis, l’équation se compliquait alors sérieusement pour Paris, qui préféra finalement ne pas froisser Washington et mis donc de l’eau dans son vin. «Si certains veulent à tout prix qu’on place le débat sur : “Est-ce que l’on garde Assad ou est ce que l’on ne garde pas Assad“, ce n’est pas comme cela que la question se pose», estimait le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault, au lendemain de l’intervention de Rex Tillerson.

Source 

Emmanuel Macron, supernova ?

Gustin Saintaud

Macron Emmanuel, génial initiateur d’ « En Marche » peut passer pour un phénomène, du genre esprit visionnaire, qui sait générer un étonnant nouvel univers politique.

Il apparaît, tout d’un coup, tout auréolé d’une insolente jeunesse ; et, malgré des origines opaques, immédiatement, une foule improbable se lève à ces côtés, le suit et le révère. A son avènement, on le prend pour une étoile filante ordinaire permettant des vœux impossibles en temps obscurs ; c’est en fait une éclatante comète qui s’installe au firmament d’une vie publique bouleversée quand il est brillamment élu Président.
Il semble enclin à vite chasser les grotesques vieux marchands du temple sacré des démocrates ; il en ménage néanmoins certains utiles parmi eux : à son contact merveilleux, ces lions-là doivent se muer en doux agneaux pour côtoyer celui qui prétend multiplier les pains de la suffisance ; tous ces vieux squales aux dents dures et longues se pressent pour tenir les plis de la toge du promu qui marche désormais sur leurs ondes troubles. Quel est donc l’étrange pouvoir de cet esprit qui les réduit en acolytes compassés ?
Ce nouveau messie auto-signifié dissimule une christique humilité en restant peu visible, mais omni-présent, se prétendant omni-potent : il se veut insolemment divin pour le “vulgum pecus”, et de la plus haute autorité jupitérienne , quand il prétend ouvrir les temps nouveaux de la consécration d’un règne céleste sans partage ; mais il maintient que cette allure hautement païenne, c’est, avec lui, la parousie chrétienne dont rien ni personne ne doit douter.
Réjouissez-vous crédules éperdus, vous croyez béatement ses projections édéniques, vous attendez, dans la liesse, son monde meilleur et ses temps bienheureux pour l’immédiat ! Rêvez-vous donc extraits à jamais de vos noirs cauchemars, le prince de vos fantasmes vous guide maintenant vers une radieuse aurore ! Vous le voyez déjà pourfendre et défaire tous les monstres affreux de la Ténèbre ; il est à lui tout seul, Jésus et Apollon, l’archange Michel et Héraclès, Saint-Georges et tous les héros et saints destructeurs de dragons, drakes, vouires, tarasques, …. ; et vous chantez sans plus attendre ses prouesses à venir de libérateur, et les louanges de sa rayonnante apothéose !

Certainement, une nouvelle religion monothéiste est née en Gaule, en ce vingt-et unième siècle

Il y eut annonciation, il y eut révélation avant fulgurante ascension, puis installation en majesté, et adoration ; il suffit uniquement d’y croire, peut-être cela nécessitera d’imposer cette nouvelle foi et ainsi contraindre tous les rétifs agnostiques en metuentes bien encadrés !!! N’est-il point que ce genre de croyance partagée déplace les montagnes, joue facilement des miracles, jusqu’à faire prendre vessies pour lanternes ? !!!
L’éphèbe Emmanuel à la gueule d’ange toute lisse, si nette, n’a pourtant rien de surhumain ; voilà tout simplement un surdoué aux allures de mutant. Et cet être pas tout à fait accompli, atrocement miné d’ambition, joue de son verbe clair, légèrement chuintant, comme si ses paroles sublimes s’étaient faites chair. Il se pense irrésistible depuis que, tout gamin, il hypnotisa une gironde mamie pour combler une présence maternelle déficitaire. Cette fée mûre pleine de gratitude amoureuse ne cesse dès lors, de le bader et de le couver en mère poule possessive. Depuis, tout semble permis et même promis au prodige ; il use et abuse d’une espèce de charme primesautier avec un regard quelque peu distant, comme vide et désintéressé, au-dessus d’un facile et très avenant sourire plein de petites dents acérées, légèrement écartées, révélatrices d’un appétit de jeune loup à peine cruel.
Si le bougre est assez gâté par dame Nature intellectuellement et physiquement, tous ses dons ne peuvent taire une culture personnelle sophistiquée d’avide prédateur aux appétits bien insondables. L’ensemble contenant-contenu séduit facilement les séductibles, surtout dans un contexte précisément dépressif qui les projette, en hâte, dans les bras accueillants d’un communiquant si charmeur. Cela rappelle le frêle passereau fasciné par le regard du cobra royal, tout prêt à se laisser docilement happer.

Nouveau Jésus ou Satan « relooké »?

Voilà toute la question qui commence de s’imposer depuis le trône Elyséen où a été déposé le prince charmant de ce conte moderne, merveilleux mais éventuellement périlleux. Un porteur concours de circonstances a favorisé ce couronnement républicano-démocratique : la communauté des croyants démocrates suffoquait ; elle devait définitivement dégueler la pelote épaisse de tous les profiteurs qui l’étouffait depuis longtemps ; et , dans le courant d’une eau bien turpide, elle se rua pour gober la nymphe d’un insecte aquatique qui tourbillonnait à contre-courant.

Les pêcheurs à la mouche espéreront que Macron Emmanuel n’est que larve d’éphémère.

Source 

Les journalistes : aujourd’hui des copieurs, demain des robots…

Michel Lhomme, philosophe, politologue 

L’INA (Institut National de l’Audiovisuel) a publié une étude intéressante sur l’utilisation des médias .

Trois chercheurs spécialisés ont examiné l’offre de contenu en ligne publiée en 2013. Au total, cela correspond à 2,5 millions d’articles publiés sur 25 000 événements qui ont été émis par 86 médias différents.
Les conclusions sont stupéfiantes et ne sont certainement pas seulement valables pour les médias français.

Quelques chiffres

64% de tous les articles ont été copiés dans leur intégralité, soit les deux tiers de ces contenus…
Lorsqu’un article a été copié, 92 % des rewriters « oublient » de mentionner la source d’origine. Souvent, ils indiquent que cette source est l’AFP, même si ce n’est pas le cas (pratique commune dans les rédactions).
En moyenne, il faut 175 minutes pour qu’un article original publié sur un média soit copié par un autre. La moitié des articles sont dupliqués en moins de 25 minutes, et un quart le sont même en 4 minutes. Lorsque l’éditeur original est un pure player, ce délai est ramené à 405 minutes, probablement parce que les médias traditionnels veulent prendre le temps d’effectuer des vérifications pour éviter de reprendre des informations totalement erronées. En Belgique, comme les médias sont entièrement détenus par des grands groupes, on observe moins ce phénomène. Ce sera bientôt le cas en France.
1 article publié sur 5 (21 %) est tout à fait original. 1 autre sur 5 (19 %) ne contient aucun élément original. 56 % des articles ont moins de 20 % de contenu original.
Le nombre d’événements rapportés par les médias est remarquablement stable, quel que soit le jour de la semaine, et chaque jour, les journaux français rapportent 68 événements différents en moyenne, à l’ exception des week-ends.
En réalité, sur le plan professionnel, ce « copiage » devrait cesser car il n’y aura  bientôt plus de journalistes. A terme, ils seront remplacés par des algorithmes. Nous n’en sommes en effet plus très loin avec l’émergence des outils informatiques de Fact checking comme le Decodex du Monde ou le CrossCheck  adopté par des dizaines de rédactions dans le but de traquer les fake news.
De fait, c’est en Californie que s’élabore désormais l’avenir du journalisme officiel, notamment français. Le News Lab est ce «ministère de la vérité» de Google qui «collabore avec journalistes et entrepreneurs pour construire l’avenir des médias». Le manifeste de sa mission primordiale «Fiabilité et Vérification» a été repris tel quel par les médias français pour justifier leur nouvelle besogne : trier, uniformiser, contrôler les contenus.

En effet, la dématérialisation de la presse ne marque pas une simple évolution technique, mais un véritable changement de métier. En passant dorénavant par des services et des applications sans grand lien avec ce qui était autrefois le cœur de la profession, l’esprit critique et la réflexion, le concept du journaliste chercheur de vérité vole aujourd’hui en éclat et les écoles de journalisme de demain ne seront plus que des écoles de formation aux logiciels de contrôle.

Sous les formulations doucereuses du News Lab, on décèle en sourdine le projet d’une supervision universelle de l’information par contrôle, filtrage et élimination, étroitement parente en particulier des pratiques logicielles de la NSA dénoncées par Snowden. Les médias d’information sont donc déjà du passé. L’information ne sera que de la communication. Seuls quelques pathétiques opposants sans moyens croiront encore à l’existence des infos.

D’ailleurs, aujourd’hui déjà, les jeunes ne s’«informent» plus en lisant Le Monde mais en puisant dans une sorte de quartz nébulisée par les réseaux sociaux. Tous ces réseaux sont régis par des algorithmes qui sélectionnent les informations qu’ils reçoivent et les orientent vers ceux qui pensent comme eux. Modifier cette orientation, y introduire une part graduelle d’inversion, discréditer les identités où l’on se reconnaît sur le net, n’est plus en effet qu’une affaire de programmation et il s’agira d’y former les futurs  journalistes 2.0. Ils n’auront donc même plus besoin de copier, les machines travailleront pour eux. D’où l’investissement massif des pouvoirs financiers et politiques américains dans la fabrication de tous ces algorithmes de contrôle, seul avenir du net et de la profession.
Une telle mécanicisation de la pensée ne s’est encore jamais vue dans l’histoire.  Les esprits, en particulier français, y sont depuis longtemps préparés. Quant aux rebelles du net, récemment, un haut dirigeant de l’Otan a assimilé les « fake news », les « complotistes » à une agression militaire contre l’Alliance au sens du fameux article 5 de la charte de l’Organisation Atlantique.

information a tout prix

L’arrestation de blogueurs en territoire européen est pour bientôt mais nous sommes persuadés qu’elle ne sera même pas nécessaire. L’information en continu fonctionnant comme un bulldozer, on voit bien que petit à petit, il y a de moins en moins de blogs. Comme les radio libre d’autrefois, ces derniers s’éteindront d’eux-mêmes sous la pression marchande et l’anonymat démotivant des « réseaux »? Qui aimera encore travailler pour rien ?
Lire : « L’information à tout prix », de Julia Cagé, Nicolas Hervé et Marie-Luce Viaud (Ina Editions, 2017)
 Source

La rémunération des ministres du culte de Guyane par la collectivité territoriale est conforme à la laïcité


Le Salon Beige a relaté récemment une décision numéro 58 relative à l’état d’urgence, que le Conseil Constitutionnel a rendue le 9 juin au sujet d’un des aspects de l’état d’urgence.

Une autre décision numéro 56 est passée inaperçue.

Elle est relative à la rémunération des ministres du culte de la Guyane par la collectivité territoriale

Sa portée est certes moindre que la première mais non sans intérêt pour les catholiques.

La rémunération des ministres du culte en Guyane sur argent public se fonde sur une ordonnance royale de Charles X de 1828. La collectivité territoriale de Guyane à majorité de gauche laïciste (tendance Taubira) accepte difficilement de payer les prêtres, d’où une guerre, qui dure depuis de nombreuses années sur les plans politique et judiciaire.

C’est ainsi que le Conseil Constitutionnel a été récemment saisi par le Conseil d’Etat d’une question préalable de constitutionnalité de cette ordonnance de 1828. Les « 9 sages de la rue Montpensier » déclarent que cette disposition est conforme à la Constitution en ne méconnaissant pas la règle de la laïcité. Toutefois ils laissent entrevoir incidemment que ce régime pourrait être abrogé par un décret étendant à la Guyane l’application de la loi du 9 décembre 1905 dite de séparation des églises et de l’Etat.

Internet correspond au principe de subsidiarité : faciliter tout ce qui peut être fait par la base, par l’individu, par les familles


Image_acquire_the_dvd_940x627_new_homeDaniel Rabourdin, jeune réalisateur français installé aux Etats-Unis, est l'auteur d’un « docufilm » sur les Guerres de Vendée, actuellement présenté en France. Il répond à Présent :
"Comment votre film a-t-il été lancé en Amérique ?
Les milieux traditionnels français se sont moqués de médias du type Facebook, mais c’est grâce à ce genre de choses que j’ai pu produire mon film. En France, on a ainsi perdu des années sans comprendre qu’il s’agissait d’un instrument, capable de faire du bien ou du mal selon celui qui l’utilise. Pour moi, je n’hésite pas à dire que ce genre d’outils correspond à la doctrine sociale de l’Eglise et à son principe de subsidiarité : faciliter tout ce qui peut être fait par la base, par l’individu, par les familles. On a trop tendance, en tout cas en France, à compter sur la commune ou sur l’Etat. Evitons ce que j’appelle la fonctionnarisation de la société, à laquelle cèdent parfois même les membres du clergé. Ne vaut-il pas mieux juger l’arbre à ses fruits, faire confiance à des producteurs catholiques par le biais de financement participatif, plutôt qu’à Antenne 2 ou à d’autres organes médiatiques qui se livrent au lavage de cerveaux ? [...]"

Source 

Des hommes souffrent de traumatisme suite à l’avortement de leur partenaire


Lu sur Gènéthique :
"L’avortement peut laisser des séquelles chez la femme mais aussi chez l’homme. L’impact de l’IVG sur les hommes est bien souvent laissé de côté, car légalement, l’homme n’a pas le droit d’interférer dans la décision de sa partenaire et son avis est rarement demandé.
Charlie Conner, membre d’une organisation qui aide les personnes, hommes ou femmes, à se remettre du traumatisme post-IVG, explique que « pour chaque enfant avorté, il y a un père – et on n’a pas besoin d’être mathématicien pour comprendre qu’il y a un immense problème caché ici ». Margaret Cuthill, également membre d’une organisation qui aide les personnes après un avortement, affirme que 10% des appels viennent d’hommes. Environ 5% des hommes souffrent de traumatisme suite à l’avortement de leur partenaire, et 40% regrettent de ne pas parler à un thérapeute. D’après Charlie Conner, « c’est naturel qu’il y ait culpabilité et honte – un processus de deuil se met en place. Mais parce qu’il n’y a pas d’enterrement, la blessure ne va pas être exprimée avant plusieurs années ».

C’est ce qui est arrivé à Carl Miller, 50 ans. Plusieurs années après l’avortement de sa petite amie, le quinquagénaire explique « c’est avec le temps que j’ai réalisé  l’importance de ce qui s’était passé et de ce que j’avais perdu ». A son tour, Tony Perry, 39 ans, exprime son ressenti, une quinzaine d’années après l’IVG de sa petite amie de l’époque. « Cela m’a laissé des blessures profondes. Il y a toujours une ombre latente ». « C’est comme avoir un sac à dos, certains jours on est simplement conscient qu’il est là, mais d’autres jours, c’est comme un poids supplémentaire qui vous tire vers le bas ».

Le professeur Arthur Shostak, professeur émérite de sociologie à l’université Drexel à Philadelphie aux États-Unis, a beaucoup interrogé les hommes dont les partenaires avaient subi un avortement. Il estime qu’environ 90% d’entre eux ont trouvé que c’était l’expérience la plus angoissante de leur vie, et environ 9% ne s’en sont jamais remis."

Source 

Les Survivants s'affichent dans Paris

Les Survivants s'affichent dans Paris


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25 juin : projection de La Rébellion cachée à Chéméré-le-Roi


Chémeré

25 juin : messe pour la France à Toulouse


Le Groupe de Prière Toulousain “ Saint Louis de France” vous invite à une MESSE pour la France, le Dimanche 25 Juin 2017 à 10h30, en l'église de Notre-Dame de La Dalbade de Toulouse (Rue de La Dalbade - 31000 Toulouse).

« France ! Qu’as-tu fait des promesses de ton baptême ? » Saint Jean-Paul II, au Bourget-Paris en 1980.

Conservation d’ovocytes : le but de la science est désormais de satisfaire nos désirs égoïstes


De Anne Isabeth dans Présent :
"[...] L’Académie de médecine a rendu public, lundi 19 juin, un rapport dans lequel elle s’est dite favorable à l’auto-conservation d’ovocytes sans raison médicale. Se faisant, elle tend à reconnaître comme un droit, le fait de pouvoir concevoir un enfant quel que soit son âge (même si la limite est aujourd’hui fixée à 45 ans), envers et contre tout à commencer par la nature.

Pour l’instant, la pratique est interdite en France, la congélation ou la vitrification d’ovocytes n’étant permise qu’aux femmes souffrant d’infertilité, ou atteinte d’une maladie qui pourrait les rendre stériles. Pourquoi en modifier les conditions ? La réponse demeure la même, quel que soit le sujet : suivre l’air du temps qui veut que les femmes aient des enfants plus tard, pour raisons professionnelles ou personnelles, et sont donc de plus en plus touchées par des problèmes de stérilité. Ne pouvant le faire en France, de plus en plus de femmes se rendent en Belgique, Italie ou encore en Espagne. Les membres de l’Académie de médecine mettent aussi en balance le fait que les hommes ne rencontrent pas les mêmes contraintes puisqu’une simple ordonnance leur permet de conserver leur sperme. Pourquoi eux et pas elles ?

Cette décision montre aussi que le but de la science n’est plus de soigner des maladies – ou d’éliminer les malades c’est selon – mais de forcer la nature afin d’accéder aux désirs de femmes qui voyant leur horloge biologique tourner désirent la stopper par tous les moyens. Pour l’instant l’Académie de médecine préconise de ne pas tenter de PMA au-delà de 45 ans, mais jusqu’à quand ? On verra un jour les plus de 45 ans se lever, sous peine de discrimination, pour demander d’avoir le droit aussi de procréer quand elles veulent.

Où poser la limite ?

Parlons enfin du coût. L’autoconservation d’ovocytes coûterait entre 3 000 et 6 000 euros. Qui assumerait le coût ? Une Sécurité Sociale croulant déjà sous les remboursements ? Financer des vitrifications quand des soins élémentaires ne sont déjà plus financés ? [...]"

Source 

Le Sida est raciste et homophobe


C'est Libération qui constate :
"A Paris, la situation est préoccupante, pour ne pas dire mauvaise: l’épidémie y est cinq fois plus élevée que la moyenne française et deux fois plus que dans le reste de l’Ile-de-France. Les cas parisiens représentent un cinquième du chiffre pour toute la France, alors que les Parisiens représentent un peu plus de 3% de la population. Ce sont plus d’un millier de nouvelles contaminations par an. Et à Paris encore, l’épidémie y est très particulière, fortement concentrée – à près de 90% – dans deux groupes : les hommes ayant des rapports sexuels entre hommes (52%) et les migrants, principalement de pays à forte prévalence (38%). Enfin, géographiquement, l’épidémie est surtout forte dans les quartiers centraux (Ier à IVarrondissements) et dans le nord-est (Xe, XIe, XVIIIe, XIXe et XXe arrondissements) mais aussi dans le XIIIe."
Une conséquence de la Gay Pride et de toutes les incitations à la débauche ?

Campagne des Survivants : Marlène Schiappa tombe dans le panneau (de JC Decaux)

Mélenchon soutient sa député "Nique la France"


Bernard Antony, président de l’AGRIF, propose un débat au camarade Mélenchon :
"On pouvait s’y attendre, le camarade Mélenchon est monté au filet pour défendre son élue Danièle Obono interrogée sur ses positions en faveur des racistes antifrançais : le pseudo-penseur Saïd Bouamama et le rappeur Saïdou, militants algériens derrière l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja. Cette dernière, révisionniste et négationniste de l’histoire de la colonisation et de l’esclavage, distille en effet une idéologie de haine coontre la France selon elle raciste et esclavagiste sans jamais considérer les réalités séculaires de l’esclavagisme turco-arabo-musulman. Et voilà que le camarade Mélenchon, avec le plus parfait mépris léniniste de la vérité, distille sa colère dans un surréaliste amalgame de l’AGRIF (qui n’est pas d’extrême-droite alors qu’il est, lui, d’une archaïque extrême-gauche) et de milliardaires propriétaires des médias. Je lance pour ma part au camarade Mélenchon, à madame Obono comme à Houria Bouteldja le défi de débattre loyalement avec moi et deux de mes amis sur les contradictions racistes de l’antiracisme."
Source 

FN : Le score aux législatives de 2017 est le 4e plus mauvais score en 20 ans


Polémia a fait le compte :
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"En 20 ans, le FN perd 22% de ses voix, alors que le corps électoral dans son entier s’accroît lui-même de 21% ! La croissance du score FN ne suit même pas l’accroissement démographique électoral ; il manque plus d’1,6 million d’électeurs FN pour que ce dernier soit l’équivalent, en proportion des inscrits, du score de 1997. Personne ne peut décemment démontrer que la ligne Marine/Philippot fait gagner le FN. Il ne s’agit pas de conjecture politique ; mais de chiffres nets. [...]

La répartition des 91 circonscriptions qui ont vu le FN progresser en voix depuis 2012 montre le quinté gagnant suivant :
  • Normandie avec 57% de ses circonscriptions en progression depuis 2012 ;
  • Hauts-de-France avec 46% ;
  • Nouvelle-Aquitaine avec 35% ;
  • Bretagne avec 22% ;
  • Pays-de-la-Loire avec 20%.
Cette disparité régionale très forte, qui voit en gros 20% des circonscriptions progresser, permet de s’interroger sur les motivations du vote. Si les motivations du nouveau vote FN étaient dues au discours social et souverainiste de la ligne Philippot, l’impact sur l’électorat serait naturellement général et globalement harmonieusement réparti d’un bout à l’autre du territoire. Or, ce n’est pas du tout le cas. Du coup il convient de s’interroger sur ce qui provoque les disparités. Et c’est ainsi que l’on constate que la carte du nouveau vote FN recoupe celle des territoires qui, plus récemment et notamment via la crise des « réfugiés », sont touchés par les affres de l’immigration et de l’insécurité et prennent conscience des nécessités de se battre pour préserver leur identité et de l’injustice à être réduits à ces territoires oubliés qu’ont parfaitement décrits les essayistes.

Il y a clairement des dynamiques électorales dans ces régions : la Normandie de Nicolas Bay, qui place 3 candidats dans le « top 15 » des plus belles progressions, la Bretagne de Gilles Pennelle ou les Pays-de-Loire de Pascal Gannat, par exemple. [...]
La ligne politique suivie par le FN depuis 10-15 ans, bien que fortement revendiquée comme faisant progresser le FN, a plutôt produit l’effet inverse. On ne peut pas dire, aujourd’hui, que le bilan du binôme Marine/Philippot se traduise par du succès électoral. [...]
La comparaison sur 20 ans – l’espace d’une génération – est cruelle pour le Front national. En 20 ans, la France n’a connu aucun reflux, aucun répit en termes d’immigration massive, de pertes de repères et d’identité, de saccage culturel et civilisationnel, d’ensauvagement de toutes ses structures, depuis les centres villes jusqu’aux classes scolaires. Avec en prime une succession de présidents plus médiocres les uns que les autres, de Chirac en Sarkozy et de Sarkozy en Hollande. En 20 ans de pouvoir sans limites et absolu sur le FN, Jean-Marie Le Pen puis sa fille Marine ont imposé leur marque politique, leur marque de dirigeants, leur ligne politique. Pour quel résultat opérationnel, concret pour la vie des Français ? Aucun.

Contrairement aux acquis obtenus par des partis (souvent électoralement moins puissants) au Danemark, en Italie, en Autriche ou encore en Suisse, le FN n’a pu apporter aucune victoire significative et reste un parti à la marge, ne suscitant aucune adhésion de ralliement et, on le voit, une adhésion provisoire de la part de centaines de milliers d’électeurs qui votent, puis se retirent du jeu. Ce qui livre aujourd’hui un FN qui n’a toujours pas retrouvé sa force et sa dynamique de 1997 (législatives) – 1998 (régionales), alors que les circonstances externes n’ont jamais été aussi favorables. [...]

Les chiffres ne mentent pas ; les conclusions sont évidentes pour qui veut bien les lire. Après le temps de la lucidité doit venir celui du courage des remises en cause, de l’audace stratégique et, enfin, du travail. Vaste programme pour un congrès !"

Source 

"Fermeté, humanité" et enfumage


Ne changeons rien.

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Le FN fait voter un amendement de prévention contre la pornographie


De Pascal Gannat, Président du groupe FN-RBM de la Région Pays de la Loire :
"L’exécutif présentait hier un plan de prévention et d’éducation à la santé des jeunes, avec différents axes de lutte contre les addictions (tabac, drogues, troubles du comportement etc.). Nos élus ont reconnu la pertinence de ce plan, et encouragé la Région à le mettre en œuvre. Toutefois la question de l’addiction liée à la pornographie chez les jeunes n’y était pas évoquée. Or d’après une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), le visionnage de contenu pornographique chez les jeunes a pour conséquence d’amplifier la consommation de cannabis, d’alcool et le mal-être de beaucoup de jeunes. En outre, l’omniprésence de contenus indécents dans l’espace public, par exemple avec des publicités quasi pornographique sur les kiosques à journaux, ne fait qu’amplifier cette hypersexualisation de la jeunesse, et la dégradation de l’image de la femme. Le groupe FN-RBM se félicite que l’assemblée régionale ait voté son amendement à l’unanimité. Il continuera à se battre contre toutes les formes d’addictions qui polluent la santé physique et mentale des jeunes ligériens."
 Source

Facile : Macron a transformé en promesse électorale une contrainte imposée par l'OTAN


Le Premier ministre s'est exprimé aujourd'hui :
"Le Premier ministre Edouard Philippe a promis ce vendredi au Salon du Bourget que le gouvernement maintiendrait l'objectif fixé par Emmanuel Macron de consacrer 2% du PIB au budget de la Défense d'ici à 2025, malgré les contraintes budgétaires".
Ce qu'il oublie de dire, c'est que cette norme, la "règle des 2%", est imposée par l'Otan
"En 2006, les pays membres de l'OTAN se sont mis d'accord pour consacrer 2 % au moins de leur produit intérieur brut (PIB) à la défense. Cette valeur allait servir avant tout d'indicateur de la volonté politique des pays de contribuer à l'effort de défense commune de l'Alliance. La capacité de défense de chacun des pays membres influe en outre de manière importante sur la perception globale de la crédibilité de l’Alliance en tant qu'organisation politico‑militaire".
Ca reste quand même une bonne nouvelle pour nos armées saignées à blanc par les gouvernements précédents et dont le budget ne représente plus que 1, 43% du PIB. Mais, il n' y aura pas de miracle : Hollande voulait atteindre ces 2% en 2022, Macron lui s'est fixé 2025.

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L’apparition du « petit nouveau » sur la scène européenne n’est pas « très encourageante »


D'Yves Daoudal :
"Puisque c’est le premier sommet européen auquel participe Emmanuel Macron, il faut que le charismatique sauveur de la France, de l’Europe et du monde y impose un acte « historique ». C’est fait. Du moins c’est lui qui le dit. Ce qui est « historique », selon Macron, c’est cette ligne du paragraphe 8 des « conclusions » du conseil du 22 juin 2017 :

Le Conseil européen convient de la nécessité de lancer une coopération structurée permanente qui soit inclusive et ambitieuse.

« Coopération structurée permanente » : c’est ce qui devait être mis en œuvre lors de l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne. En… 2009. Ce qui allait de soi en 2009 et avait été ratifié par tous les Etats membres devient subitement une décision historique en 2017…
Toutefois l’Irlande a rappelé que sa tradition de neutralité l’empêchait de participer à ce plan, et le Danemark, qui s’est exclu de toutes les politiques européennes depuis Maastricht, a rappelé qu’il ne participerait donc pas à celle-là non plus…

On a remarqué que tout le monde n’est pas en adoration devant Macron. Sa grande interview d’hier, où il accusait les pays d’Europe centrale, sans les nommer, de prendre l’UE pour un « supermarché » alors que c’est un « destin commun », et certains dirigeants « qui tournent le dos à l’Europe », a été reçue 5 sur 5 par Beata Szydlo et Viktor Orban. La première a déclaré lors d’un point de presse à Bruxelles :
«La Pologne est ouverte à la coopération avec la France. Mais cela dépendra du président Macron, s'il entend étaler dans les médias son antipathie à l'égard des pays d'Europe centrale ou s'il veut parler des faits. Il est bon de parler des faits et non pas de se servir de remarques basées sur des stéréotypes. »

Quant au second, il a trouvé que l’apparition du « petit nouveau » sur la scène européenne n’était pas « très encourageante », s’il considère que la meilleure forme d’amitié entre les pays membres de l’UE est « de donner des coups aux pays d’Europe centrale ».

Aujourd’hui Macron a rencontré les dirigeants du groupe de Visegrad. On imagine l’ambiance. L’Elysée a diffusé un communiqué indiquant que la rencontre a montré « la volonté de se comprendre, de s’entendre et de travailler à trouver des positions communes, sans nier les vraies divergences qui s’expriment », assurant que « l’idée n’est pas de scénariser ou de créer une crise ou un conflit » avec ces pays…"

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Macron suit Merkel et veut plus de migrants

Canicule : pendant qu'on gaspille des milliers de m3 d'eau, des chrétiens sont privés d’eau à cause de leur foi


Deux scandales dont un seul est relayé par la presse. voici le second qui a lieu en Inde :
"Une chaleur intense se fait ressentir, allant jusqu’à 40°C à Uttar Pradesh. Dans la ville de Jalalabad en Ghazipur, les hindous refusent de vendre l’eau de leur puits à quatre familles chrétiennes qui en ont besoin pour arroser leurs cultures.

Ces chrétiens ont été forcés à renier le Christ et à participer à des rituels hindous, ceux qui ont essayé de résister ont été battus et se retrouvent à présent sans eau pour l’agriculture.
Ces faits ont a été rapportés à la police et au chef du village, mais rien n’a été fait jusqu’à présent pour mettre fin à cette injustice".

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Premières tensions entre les militaires et le ministre des armées


Le général Pierre de Villiers met des conditions à sa reconduction à la tête des armées : 
"Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, atteint par la limite d’âge le 26 juillet prochain, a déjà fait savoir à la nouvelle ministre, Florence Parly, qu’il n’était pas question qu’il puisse être prorogé dans ses fonctions par le gouvernement si le budget 2018 de la défense n’était pas conforme à ses vœux".
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C’est arrivé un 24 juin…


"A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines." Léon XIII, Rerum Novarum
Alors rappelons-nous :
  • le 24 juin: nativité de saint Jean-Baptiste.
La fête de Saint-Jean-Baptiste est aussi la fête nationale des Canadiens-français depuis 1834, lors de la création de la Société Saint-Jean-Baptiste. Jean le Baptiste est décrété patron des Canadiens-français en 1908 par le pape Pie X. En 1977, sa fête devient la fête nationale du Québec.
Saint Jean-Baptiste est né en Judée quelques mois avant Jésus-Christ. Il est fêté en Occident le 24 juin. Saint Jean le Baptiste, personnage de l'Ancien et du Nouveau Testament, est le prédicateur qui annonce la venue de Jésus-Christ. C'est aussi son cousin et le prophète qui le baptise sur les bords du Jourdain, après l'avoir désigné comme «l'agneau de Dieu», et lui avoir donné ses propres disciples. Voir chronique du 24 février, comme beaucoup de saints de l'époque du Christ, c'est en France que repose une partie du corps de son cousin.
  • le 24 juin 451 : Aetius attaque les troupes d'Attila. Les Huns se replient. Orléans est sauvée.
Les Huns font le siège d'Orléans. Le 24 juin 451, alors qu'Orléans va succomber, les troupes romaines déferlent sur les assiégeants. C'est Aetius et son armée qui le 20 juin a déjà arrêté les Huns. Ces derniers sont stupéfaits. Depuis leurs steppes de Mongolie, on ne les a jamais attaqués ! Ils se replient et abandonnent la place. Voir les chroniques des 7 avril et 20 juin.
  • le 24 juin 1204 : capitulation de la ville de Rouen, la Normandie redevient française.
Philippe Auguste, Roi de France, vainc à Rouen Jean sans Terre et peut ainsi prendre possession de la Normandie. Dès 1202, Philippe Auguste confisque les terres du roi d'Angleterre, d'où son surnom de Jean sans Terre. Le Roi de France a frappé un grand coup en prenant le célèbre Château Gaillard construit par Richard Cœur de Lion. Philippe Auguste s'empare ensuite par les armes de l'Anjou et de la Touraine. Le Roi fait construire le château de Rouen, la plus grosse fortification de son époque.
  • le 24 juin 1340 : bataille navale de l'Écluse.
Le 24 juin 1340 eut lieu la bataille de l'Ecluse, la première bataille navale de la guerre de Cent Ans, oppose la flotte anglaise à celle du Roi Philippe VI de France. Cette bataille a lieu en mer du Nord près de la Belgique. Elle est remportée par les Anglais qui anéantissent la flotte française.
  • le 24 juin 1542 : naissance de saint Jean de la Croix, religieux et réformateur espagnol, docteur de l'Église.
  • le 24 juin 1635 : ordonnance du Cardinal de Richelieu, sur le commerce de la soie.
L'ordonnance prise à la demande du Roi Louis XIII, accorde aux Arméniens de France la liberté du commerce pour :
«faire venir et apporter en toute liberté, et sûreté de leurs dicts pays en ports et havres de Provence et autres de ce royaume telle quantité de soyes et austres marchandises que bon leur semblera pour les y vendre et débiter en payant les droits pour ce dû à Sa Majesté».
  • le 24 juin 1615 : la première messe sur l'île de Montréal.
Toile de Georges Delfosse
Samuel de Champlain décide d'amener des missionnaires en Nouvelle-France, les Récollets, une branche de l'Ordre des Franciscains. Une messe, la première sur l'île de Montréal, est alors célébrée le 24 juin 1615, à la rivière des Prairies, par le récollet Denis Jamet assisté du père Joseph Le Caron, récollet aussi.
  • le 24 juin 1717 : création de la maçonnerie en Angleterre, la Grande Loge unie d'Angleterre.
Le 24 juin 1717, la Grande Loge unie d'Angleterre, principale loge maçonnique anglaise, est créée à Londres. Elle regroupe quatre loges maçonniques dont les membres se réunissent dans des tavernes. Elle est aujourd'hui la première obédience maçonnique du monde. L'un des 3 principaux animateurs à l'époque est Désaguliers, ami et collaborateur de Newton. (Dans La politique des Francs-maçons de Jacques Mitterrand, cité par FM ALGOUD dans Histoire de la volonté de perversion de l'intelligence et des mœurs page 61)
En 1721 est fondée à Dunkerque la première loge française : la loge « Amitié et Fraternité ». Et en 1789, Mirabeau dit lors des Etats généraux :
« Avant toute chose il faut commencer par décatholiciser la France. » Cité par l'abbé Alphonse Cordier dans, Martyrs et bourreaux de 1793, (tome I, p.111 Ed. La Source d'or)
  • le 24 juin 1786 : voyage Louis XVI en Normandie.
Louis XVI monte à bord du vaisseau "Le Patriote" où il est acclamé par l'équipage et assiste aux manœuvres de l'escadre face à Cherbourg, il dîne à bord, puis, après un exercice de bataille navale, prend la mer jusqu'à percevoir les côtes anglaises. Au retour, il visite l'anse d'Urville-Hague.
«Le lendemain[le 24 juin], il embarque sur le Patriote et stupéfie le chef d'escadre, Mr d'Albert de Rions, et son état-major par la pertinence de ses questions, par son aptitude à commenter les manœuvres les plus subtiles. Sans ostentation, il fait comprendre qu'il connaît les moindres détails d'un métier savant entre tous. […] Soudain, Mr de Rions fait virer de bord. Encore qu'il connaisse la réponse le Roi demande : - Où nous mènerait ce vent ? - Sire, en Angleterre.- Oh ! J'irais volontiers ! Les Anglais ne me recevraient pas mal et, dans ce pays-là, on ne trompe point les rois. […] A bord, sur les quais, dans les rues, on hurle : «  Vive le Roi, vive notre bon Roi ! » Il répond ivre de bonheur : - Vive mon bon peuple ! […] Je n'ai jamais goûté le bonheur d'être Roi que le jour de mon sacre et depuis que je suis à Cherbourg. »
Jean François Chiappe dans Louis XVI, (édit. Perrin, Tome II, page 365).
  • le 24 juin 1793 : adoption de la première constitution républicaine en France.
Cette constitution de l'an 1 n'est jamais appliquée.
  • le 24 juin 1859 : bataille de Solférino.
Victoire sanglante des troupes franco-piémontaises de Napoléon III sur les forces autrichiennes de François-Joseph à Solférino, en Italie. Le combat voit plus de 300 000 hommes combattre, ce qui constitue le plus gros effectif depuis la bataille de Leipzig, en 1813. Les nouvelles techniques utilisées au combat, telles que le transport des troupes par train ou l'utilisation de canons et de fusils à canon rayé annoncent déjà la première guerre mondiale. Un suisse, Henri Dunant est présent sur les arrières de l'armée française, Il découvre qu'il n'y a rien de prévu pour accueillir les blessés et que personne ne s'occupe d'eux. Il organise des soins avec des volontaires. La guerre terminée, il crée la Croix Rouge en 1864.
  • le 24 juin 1866: naissance de Jean Guiraud, Historien spécialiste de l'histoire de l'Église.
Professeur d'Université, Militant Catholique et Rédacteur en chef du Journal La Croix de 1917 à 1939.
Régulièrement cité dans cette rubrique pour son ouvrage Histoire Partiale, Histoire Vraie, le 150ème anniversaire de sa naissance est l'occasion de relever un peu sa notoriété perdue. En effet, au début du 20e siècle, Jean Guiraud était connu de presque tous les foyers catholiques grâce à ses articles dans La Croix.
Petit fils de paysan-ouvrier de Carcassonne, fils d'instituteur, il est un exemple de l'ascension par l'effort, devenant, par un travail acharné, normalien, membre de l'École française de Rome, agrégé d'histoire, professeur de lycée puis à l'université de Besançon.
Mais son poste dans l'université publique ne lui fait pas abandonner ses convictions religieuses. Il devient un militant catholique actif et infatigable avec des engagements tant politiques qu'associatifs. Sa notoriété est grandissante, tout comme sa famille (il épouse en 1895 Marguerite Petit de Julleville, dix enfants naissent de cette union).
C'est en fin 1916 que le journal La Croix l'approche pour lui proposer le poste de rédacteur en chef. Le journal espère à la fois bénéficier de sa notoriété dans les sphères catholiques, mais aussi de ses compétences littéraires et historiques. Il en fait un vrai quotidien.
Mais fin des années 20, début des années 30, une ligne progressiste se dessine au journal. Après une cohabitation de quelques années, Jean Guiraud démissionne en 1939 et retourne à ses travaux historiques. Dès lors, l'histoire ''officielle'' du journal minimisera, jusqu'à aujourd'hui, son rôle.
Parfois qualifié d'intransigeant, Jean Guiraud « refuse de s'inféoder à quelque parti ou courant politique que ce soit. Éternel franc-tireur, il combat aussi bien le boulangisme que le ralliement inconditionnel, aussi bien le Sillon que l'Action française. Il est indépendant et inclassable, comme le constate l'abbé Thellier de Poncheville: "Guiraud ? Il n'est ni démocrate, ni réactionnaire, il est guiraudiste !". Si cependant on se risquait à tenter de caractériser la personnalité et l'activité de Jean Guiraud, sans doute pourrait-on reprendre ce qu'écrivait sa fille aînée à l'occasion de la célébration des 80 ans de son père (Lyon, 24 juin 1946) : "Mgr Bertin prononça une allocution émouvante, prenant pour thème une citation de saint Paul que nous aimions depuis longtemps évoquer quand nous pensions à papa : Bonus miles Christi » (Didier Ozanam, petit-fils de Jean Guiraud ; allocution lors de l'inauguration du Fonds Guiraud au CHAN en 2006).
Sur Wikipédia, une biographie sommaire mais une bibliographie bien complète :
Sur le site des archives nationales, la présentation du fonds avec une biographie scientifique complète.
  • le 24 juin 1940 : armistice franco italien, fin de la bataille des Alpes, seul succès français de 1940.
Alors que la Wehrmacht est aux portes de Lyon, en face, le Général René Olry a établi trois positions défensives : la première s'établit de Bellegarde à Lyon avec des avant-postes défensifs au nord la ville ; la seconde défend Grenoble en s'appuyant sur versant ouest de la Chartreuse, la chaîne de l'Epine et le Mont du Chat ; la troisième autour de Voreppe, le long de l'Isère et le dos au Massif du Vercors. Le 18 juin, à la demande du maire Edouard Herriot Lyon est déclarée « ville ouverte ». Les allemands ne passent aucune des lignes défensives mais se replient avec de lourdes pertes. Ce succès est obtenu alors que dans le même temps les Italiens attaquent le 21 juin! Le Lieutenant Tom Morel, futur chef du maquis du Plateau des Glières, s'illustre en ordonnant un tir de barrage sur sa propre position, blessé, il obtient toutefois la reddition des soldats ennemis. Cet acte lui vaut la Croix de Guerre.
Le 24 juin, deux jours après Rethondes, la France signe à Rome un armistice bien moins dur. Rome ne met seulement la main que sur une bande terrestre allant du nord des Alpes françaises jusqu'à Menton, cette dernière ville passant sous administration italienne. Le Général René Olry a préservé au total 300 000 hommes de la captivité allemande.
  • le 24 juin 1940 : arrivée au Maroc du navire Massilia.
La déroute de l'armée française devant les troupes allemandes précipite le départ du gouvernement et de vingt-sept parlementaires réfugiés à Bordeaux. Ils accostent à Casablanca, au Maroc, sous les huées de la foule. Placés en garde à vue, certains parlementaires sont ensuite condamnés pour désertion devant l'ennemi, d'autres sont désignés coupables de la déroute française. Comment ne pas penser à l'Evangile de Saint Jean :
« Je suis le bon pasteur, le vrai berger. Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire, lui, n'est pas le pasteur, car les brebis ne lui appartiennent pas : s'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s'enfuit ; le loup s'en empare et les disperse. Ce berger n'est qu'un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. »
  • le 24 juin 1984 : 1,8 million de personnes défilent à Paris pour défendre l'enseignement privé.
Et les lois Savary sont retirées.
  • le 24 juin 1994 : Airbus présente son dernier-né, le Béluga, le plus gros avion porteur du monde. 
     

Il serait possible de s’aimer sans se disputer !


Et si les disputes au sein d'un couple n'étaient pas nécessaires ? Karine Danan, psychopraticienne, nous dit tout sur les façons de désamorcer les colères, d'éviter les cris et d'améliorer le bien-être de chacun.

Emporté dans une dispute, il est souvent difficile de contenir sa colère et de se raisonner. Si le désaccord est pertinent dans une relation de couple, les disputes ne sont pas nécessaires pour s’aimer. Pour apaiser les tensions, Karine Danan, psychopraticienne, propose d’interpeler l’autre en lui posant une question ou en ramenant la discussion sur le « je » au lieu de s’enliser dans des reproches inutiles. Interview et petites astuces pratiques pour tous…

Comment désamorcer une dispute au sein d’un couple ?

Karine Danan : Ce qui nous emporte dans la dispute sont souvent nos émotions. La première chose à faire pour désamorcer une dispute est alors de calmer le flot émotionnel en respirant, en se recentrant sur notre corps. Abaisser notre rythme cardiaque, baisser le son de notre voix, diminuer nos gestes sont un premier moyen de reprendre le contrôle sur nous-mêmes si nous voulons éviter une dispute.
Après quoi il est possible d’y voir plus clair et de se re/mettre à l’écoute, lâcher notre volonté de faire entendre à tout prix notre point de vue et entendre ce que l’autre cherche vraiment à nous dire de son besoin ou de ses attentes pour voir si nous pouvons y répondre ou non. Nous pouvons également attendre que l’autre soit plus calme pour continuer l’échange ou choisir de l’arrêter ensemble pour remettre la discussion à un moment plus propice.

Quelles attitudes/Quels mots enveniment la situation ?

Karine Danan : L’attitude qui consiste à ne pas écouter l’autre, à couper la parole, à essayer de convaincre, à ironiser, être condescendant, se murer dans le silence, être agressif ou crier envenime bien souvent la situation. Les reproches et le fait de parler de l’autre au lieu de parler de soi, de sa façon de voir les choses sans prendre en compte le point de vue du conjoint envenime aussi la situation. Une dispute ne montre pas nécessairement un désaccord, mais la plupart du temps une difficulté à s’écouter et s’entendre ou encore à dire vraiment ce qui se passe pour nous par peur ou méconnaissance de notre besoin réel.
Nous nous disputons la plupart du temps parce que nous voudrions que l’autre voie les choses comme nous, pourtant l’autre n’est et ne sera jamais nous et peut-être que cet autre ne peut/veut pas se soumettre à ce que nous voulons. C’est une richesse dont on peut tirer parti plutôt que de nous faire du mal. Nous disons parfois des mots qui dépassent notre pensée. Ou encore faire mine de ne pas entendre. Souvent, on voudrait dire quelque chose et les mots qui sortent de notre bouche ne représentent plus du tout ce que nous souhaitions partager. Dans ce cas, il est toujours possible de reformuler et de s’assurer que l’autre à bien compris le message. Ce qui nous semble évident ne l’est pas pour l’autre.

Comment renouer le dialogue après une dispute ?

Karine Danan : La communication verbale (les mots que nous utilisons) n’est qu’une part de la communication. Si notre attitude est paradoxale ou incohérente avec nos mots, l’autre réagira toujours à cette attitude avant de nous écouter. Nous faire pardonner ne consiste pas seulement à dire, mais surtout à agir. Il y a un temps pour résoudre les problèmes et un temps pour les évaluer. La dispute vient souvent du fait que nous cherchons des solutions avant même de comprendre le problème. La patience est une vertu quand on veut vivre sans dispute. Savoir se faire pardonner, c’est reconnaître nos erreurs et reconnaître que nous avons blessé l’autre. On se sent toujours mieux quand les autres reconnaissent qu’ils nous ont fait mal.

Quelles sont les erreurs clefs dans une dispute ?

Karine Danan : Continuer malgré l’émotion qui monte chez l’un ou chez l’autre est l’erreur la plus répandue. Une fois assaillie par nos émotions, nous ne sommes plus capables de penser avec efficacité. Nous risquons de croire que nous nous parlons alors qu’en fait nous monologuons l’un à côté de l’autre. Vouloir à tout prix trouver une solution, convaincre l’autre de notre point de vue, obtenir une réponse ou un résultat immédiat sont des bons ingrédients pour déclencher ou envenimer une dispute. Les reproches ou les accusations mettent l’autre sur la défensive et quand nous sommes sur la défensive, nous ne sommes pas ouverts à un échange.

Une autre erreur consiste à s’attendre à ce que l’autre ne réagisse pas ou réagisse en souriant à tout ce que nous lui disons ou à tout ce que nous faisons. Laisser l’autre sentir ses propres émotions sans s’engluer dedans et le laisser se calmer est une autre façon de sortir ou éviter une dispute. Le désaccord n’est pas la dispute et le désaccord n’est jamais agréable, laissons-nous aussi le droit de sentir et laisser passer ce que nous sentons. Prenons notre temps pour nous entendre et respectez nos différences.

Dans son dernier livre, S’aimer sans se disputer…, Karine Danan livre les clés pour un couple heureux. Interview et conseils d’une pro des relations amoureuses.
En savoir plus : www.karinedanan.fr

Le patriarche Sako sur la reconstruction de la plaine de Ninive

reconstruction plaine de Ninive

Le patriarche rend un hommage particulièrement appuyé aux bénévoles de SOS Chrétiens d’Orient et de Fraternité en Irak
Les villes et villages de la plaine de Ninive, un temps habités par des chrétiens, tentent de renaître après trois ans d’occupation djihadiste, notamment grâce au soutien généreux et concret d’organisations et de bénévoles étrangers, désireux d’aider les chrétiens irakiens dans cette transition historique difficile. Cependant, une réelle renaissance ne sera possible que si les populations locales savent s’affranchir de l’attitude de ceux qui se plaignent constamment et demeurent passifs, « dans l’attente de tout recevoir de la part de l’État et des organisations caritatives ». Tel est le rappel que le patriarche de Babylone des Chaldéens, S.B. Louis Raphaël Ier Sako, a voulu adresser à tous les fidèles de son Église, en s’appuyant sur les situations dont il a pu être personnellement le témoin lors de ses récentes visites à Mossoul et dans différents villages de la plaine de Ninive. Dans un bref rapport, diffusé par les moyens de communication officiels du Patriarcat, le patriarche adresse des expressions pleines de gratitude aux bénévoles d’organisations, surtout françaises, telles que SOS Chrétiens d’Orient et Fraternité en Irak, qui « travaillent actuellement avec acharnement dans la plaine de Ninive, malgré la dureté du climat alors que nos communautés souffrent de frustration et de sens du vide et que nombreux sont ceux qui errent en se plaignant, critiquant et annonçant les sommes dont ils ont besoin, parfois sans même remercier ceux qui les aident en ce moment ». Le patriarche, dans sa contribution, suggère à tous de mettre de côté les habitudes et les attitudes erronées et de se laisser inspirer par le dynamisme laborieux avec lequel se manifeste la charité des bénévoles qui s’occupent également de la reconstruction de maisons et d’églises endommagées ou détruites au cours des années d’occupation djihadiste. La gratuité des bénévoles, remarque le patriarche, peut aider tout un chacun à prendre ses responsabilités et à mettre en œuvre spontanément des initiatives en vue de la restauration de la vie sociale dans les villes et les villages de la plaine de Ninive, en ayant conscience qu’aucune aide extérieure ne sera en soi suffisante pour faire refleurir ces centres habités demeurés déserts pendant trois ans pendant l’occupation des milices du prétendu État islamique.
Source : Agence Fides, 20 juin

Conférence à Marseille : « Les chrétiens oubliés du Pakistan »


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Communiqué
Le père Emmanuel Parvez, curé de la paroisse Sainte-Thérèse-Bénédicte-de-la-Croix de Pansara (diocèse de Faisalabad, Pakistan), fera une tournée de conférences dans le sud de la France du 24 au 30 juin, afin de témoigner de la situation des chrétiens dans son pays.
Victimes de violences physiques, sociétales et juridiques, les chrétiens du Pakistan sont les grands oubliés d’Orient.
L’apostolat du Père Parvez couvre plusieurs villages composés de dizaines de milliers de chrétiens qui, pour beaucoup, vivent dans des conditions de pauvreté alarmantes. Il est notamment à l’initiative de la création ex nihilo de villages communautaires grâce auxquels l’Église sort les familles les plus pauvres de la misère afin de leur offrir un toit et un travail à leur compte.
Sur elles pèsent en effet de lourdes dettes contractées auprès de leurs employeurs, qu’elles remboursent par un travail épuisant pour un salaire infime.

En juin, ne ratez pas les conférences du Père Parvez : « Il vaut mieux être un martyr qu’un réfugié ».

Lundi 26 juin 2017, 19 h 30, église Saint-Victor, Place Saint-Victor, 13007 Marseille.
Conference-Pere-Parvez

Source

Érythrée : plus de 120 chrétiens arrêtés depuis mai…

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Le 19 mai dernier, je signalais ici même l’arrestation de 89 chrétiens. Au moins 22 autres ont été arrêtés depuis : 17 dans une banlieue de la capitale Asmara le 28 mai et 5 autres ont été arrêtés à leur domicile à Dongolo le 6 juin. Open Doors (Portes Ouvertes) établit le nombre des arrestations de chrétiens à 121 depuis mai, tandis que Christian Solidarity Worldwide (CSW) l’estime à 122. Ce sont tous des chrétiens évangéliques ou pentecôtistes. L’Érythrée, selon le classement de Portes Ouvertes, est à la dixième place des pays les plus dangereux pour les chrétiens, ce qui explique, en partie, le nombre non négligeable d’Érythréens chrétiens parmi les migrants en Europe.
Source : World Watch Monitor, 16 juin

Paris : Son et Lumière pour les chrétiens d’Orient !


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Pour la billetterie, c’est ici !

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Source

Conférence à Draguignan : « Les chrétiens oubliés du Pakistan »


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Communiqué
Le père Emmanuel Parvez, curé de la paroisse Sainte-Thérèse-Bénédicte-de-la-Croix de Pansara (diocèse de Faisalabad, Pakistan), fera une tournée de conférences dans le sud de la France du 24 au 30 juin, afin de témoigner de la situation des chrétiens dans son pays.
Victimes de violences physiques, sociétales et juridiques, les chrétiens du Pakistan sont les grands oubliés d’Orient.

L’apostolat du Père Parvez couvre plusieurs villages composés de dizaines de milliers de chrétiens qui, pour beaucoup, vivent dans des conditions de pauvreté alarmantes. Il est notamment à l’initiative de la création ex nihilo de villages communautaires grâce auxquels l’Église sort les familles les plus pauvres de la misère afin de leur offrir un toit et un travail à leur compte.
Sur elles pèsent en effet de lourdes dettes contractées auprès de leurs employeurs, qu’elles remboursent par un travail épuisant pour un salaire infime.

En juin, ne ratez pas les conférences du Père Parvez : « Il vaut mieux être un martyr qu’un réfugié ».

Mardi 27 juin 2017, 20 h 15, église de la Sainte-Famille, Boulevard Marcel Pagnol, 83300, Draguignan.
Conference-Pere-Parvez

Une tournée pour sauver les chrétiens du Pakistan


Rédigé par Constance Guillot 
 
Une tournée pour sauver les chrétiens du Pakistan
Le Pakistan est un des pays au monde où les chrétiens sont le plus persécutés. Le Père Parvez, curé de la paroisse de Pansara au Pakistan, est actuellement en tournée en France pour sensibiliser et faire réagir le public à la situation dramatique des chrétiens dans les pays ou l’État Islamique règne… Un appel à l’aide ! 
Quelle est la situation des chrétiens au Pakistan ?
Les chrétiens au Pakistan sont une minorité pauvre et faible. Ils représentent seulement 1% de la population entière de ce pays. Majoritairement, ce sont des catholiques romains, mais il y a aussi d'autres communautés chrétiennes. Seulement environ 10 % des chrétiens sont éduqués. Les autres sont soit esclaves des propriétaires musulmans soit, pour beaucoup d’autres, travaillent dans des fours de briques, de jour comme de nuit. Dans les villes, beaucoup sont des balayeurs dans les rues ou ont d'autres emplois modestes. Ils sont très souvent victimes de violence, d'injustice, de préjugés et de discriminations. En raison de leur religion, ils sont privés de bons emplois et de postes élevés, même s'ils le méritent et sont qualifiés pour cela. La loi contre le blasphème dictée par les musulmans est souvent abusive et les chrétiens risquent leur vie chaque jour. Les avocats, les juges et autres personnes qui ont essayé d'aider les chrétiens ont été tués. Les musulmans forcent les jeunes filles chrétiennes à les épouser et elles deviennent ainsi automatiquement des musulmanes…
Et qu’en est-il dans votre paroisse ?
Comme l’ensemble des chrétiens au Pakistan, mes paroissiens sont très pauvres et très faibles. De plus, ils ne peuvent pas payer les frais scolaires de leurs enfants. Chaque jour, ils recherchent du travail pour survivre. À la fin du mois, il est vraiment difficile pour eux de joindre les deux bouts pour payer le quotidien. Ils vivent dans la crainte, l’incertitude et la frustration. Ils sont si pauvres qu’ils ne peuvent penser à migrer. Cependant, ils sont forts dans la foi et espèrent que Dieu viendra à leur aide et les sauver.
Comment pouvons-nous aujourd'hui les aider ?
Le meilleur moyen est de les libérer de la servitude et de les aider à scolariser leurs enfants. Il faut payer leurs dettes pour les libérer. Puisque la plupart d'entre eux sont sans abri, nous essayons d'acheter des terres pour créer un village chrétien avec une école, une église et un terrain de sport pour que les enfants puissent jouer et se détendre. Nous prévoyons de créer un village chrétien avec 300 familles vivant ensemble. Nous avons besoin d'aide financière.
Vous venez faire des conférences en France. Pourquoi la France ?
« SOS chrétien d’Orient » aide les chrétiens et tous les autres qui sont dans le besoin, affrontent la misère et la guerre, c’est pourquoi je suis ici. Les membres de « SOS chrétien d’Orient » m'ont vraiment impressionné par leur travail, leur engagement, leur courage et leur souci pour les personnes qui vivent dans la misère et la violence.
Que diriez-vous aux Français venus écouter vos conférences ?
Je voudrais dire aux Français : toute votre musique, votre art, votre culture et vos valeurs sont l'influence du christianisme. N’abandonnez jamais votre héritage. Regardez la violence que les autres religions enseignent à leurs jeunes. Pourquoi les jeunes en provenance de France et d'autres pays d'Europe vont-ils au Moyen-Orient pour se battre et tuer ? Pensez aux explosions de bombes et à ceux qui les déclenchent. Ne vous coupez pas de vos racines. Soyez fiers de votre foi et de vos valeurs chrétiennes !

Pour aller plus loin : Dates des conférences du Père Parvez :

Lundi 26 juin : Marseille à 19h30 en l’église Saint-Victor, Place saint Victor, 13007 Marseille

Mardi 27 juin : Draguignan à 20h15 en l’église de la Sainte-Famille, Bd Marcel Pagnol, 83300 Draguignan

Jeudi 28 juin : Aix-en-Provence à 20h en l’église Saint François d'Assise, 5 boulevard des Deux Ormes, 13090 Aix-en-Provence

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Affaire AGRIF-Obono : proposition de débat au camarade Mélenchon.




Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :       

On pouvait s’y attendre, le camarade Mélenchon est monté au filet pour défendre son élue Danièle Obono interrogée sur ses positions en faveur des racistes antifrançais : le pseudo-penseur Saïd Bouamama et le rappeur Saïdou, militants algériens derrière l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja. Cette dernière, révisionniste et négationniste de l’histoire de la colonisation et de l’esclavage, distille en effet une idéologie de haine coontre la France selon elle raciste et esclavagiste sans jamais considérer les réalités séculaires de l’esclavagisme turco-arabo-musulman.
 
Et voilà que le camarade Mélenchon, avec le plus parfait mépris léniniste de la vérité, distille sa colère dans un surréaliste amalgame de l’AGRIF (qui n’est pas d’extrême-droite alors qu’il est, lui, d’une archaïque extrême-gauche) et de milliardaires propriétaires des médias. 
 
Je lance pour ma part au camarade Mélenchon, à madame Obono comme à Houria Bouteldja le défi de débattre loyalement avec moi et deux de mes amis sur les contradictions racistes de l’antiracisme. 

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