Le président fantoche socialiste ayant été opportunément remplacé par un homme issu de son gouvernement et compte tenu de ses accointances idéologiques avec le nouveau pouvoir, tout laissait penser que l’infâme Valls allait être intronisé candidat de la nouvelle majorité rebaptisée pour l’occasion « La République En Marche » (sic). Ne lui en déplaise, sa tentative de se recaser politiquement s’est heurtée sur le mur des réalités. C’est dire à quel point l’ex-premier sinistre est politiquement usé jusqu’à la corde ! Le mouvement créé par la nouvelle marionnette du parti de l’étranger a refusé la candidature de Valls au motif qu’il ne remplit pas les critères de renouvellement de la vie politique exigés par les statuts du parti. Un camouflet pour celui qui six mois auparavant se voyait déjà président de leur ripoublique. Comme si cela ne suffisait pas, le premier secrétaire du Parti Socialiste, déjà en état de mort clinique, a annoncé le lancement d’une procédure visant à exclure celui que la totalité de l’oligarchie médiatique présentait il y a de cela deux ans comme l’étoile montante d’une gauche intégralement soumise au lobby bancaire international. Déjà quasi-unanimement rejeté par le peuple français, les apparatchiks de son propre parti le balayent à leur tour d’un revers de main.
Si l’intégralité de l’appareil socialiste réussit à sauver les meubles en recasant ses cadres, le cas Valls est symptomatique de la déliquescence de cette classe politicienne vermoulue. N’ayez crainte ! Ce n’est que le début, d’autres suivront ! Le grand nettoyage ne fait que commencer et nous serons aux premières loges le jour où le Système s’effondrera sous le poids de sa pourriture intrinsèque ! Pour que vive la Révolution Nationale, qui vive ? France !
Yohan C
Source