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samedi 3 juin 2017

Angela Merkel et la destitution de Trump




Je me suis penché ce dimanche sur le NYT, ce que je ne fais plus depuis des années. Ce journal a perdu toute lucidité et toute retenue après le départ de Bush en 2008. Il était normalement démocrate mais encore capable au moins d’apporter des informations (c’est ce qu’on demandait à la presse, qui ne veut plus le faire). La tyrannie mondialiste des années Obama lui aura ôté, ainsi qu’à ses copies européennes, toute validité et dignité. Voyez ce que sont devenus Le Monde ou la presse allemande entre-temps.

J’ai compris en une seconde que je n’avais pas perdu mon temps en cessant de lire ce perroquet devenu roquet du mondialisme ultra et de la tyrannie des élites. Ce n’était en ce 28 mai qu’insultes contre Trump et accusations contre la Russie (qui a envahi l’Ukraine !). Le torchon brûlait et écumait, essoré de haine.

Et c’est dans ce sens malheureux  je crois qu’il faut analyser la sortie provo de la Merkel. La geôlière de l’Europe, qui affame les Grecs et menace les autres, qui tord le cou à l’adversaire et achève de nous tenir écumants sous son talon de fer (Hugo), n’a pas parlé par hasard. Merkel a fait de son pays un dominion israélo-américain et elle parle pour le Deep State US pour lequel travaille aussi son époux. Devenue folle et sûre d’être réélue malgré ses deux millions de « réfugiés » imposés sur ordre à son pays et aux Européens que sa monnaie inique ruine, Merkel dresse le couvert pour le futur ordre mondial.
Et en prétendant nous séparer des USA, des USA étrangers à leur rêve de domination impériale (car Trump est en fait un brave souverainiste, un social-chauvin et rien de plus), et d’imaginer une Europe enfin libre et sereine, Merkel ne fait qu’accélérer la procédure d’Impeachment du pauvre Donald Trump. Il y avait « celui qui croyait au ciel, et celui qui n’y croyait pas » ; The Donald ne croyait pas au réchauffement climatique. Il ne croit pas non plus à la nécessaire guerre nucléaire contre Moscou. Mais les élites y croient.
Et The Donald s’opposera sans doute à l’affolante abolition du cash qui se profile, qui leur permettra de mettre les taux d’intérêt à -5% et de tout rafler, tout simplement, pour rembourser leurs copains des banques avec qui ils ont créé nos dettes immondes. Ne vous attendez pas à être croqués autrement.

Pion eschatologique et monstrueux du nouvel ordre mondial, Merkel bat le rappel des troupes des Bilderbergs et elle montre à ses patrons du Deep State et d’ailleurs qu’elle est prête pour un autre putsch présidentiel en Amérique. Gageons qu’elle ne sera pas la seule à agir ainsi, et que les gais larbins triés sur le volet depuis des années pour effectuer les basses œuvres du mondialisme, de Vilnius à Lisbonne, la seconderont.

On se rassurera en se disant que Soros, « l’Europe accidentelle » et les pions du Deep state là-bas n’ont peut-être pas les moyens après tout de mettre à plat Trump, la Chine et la Russie – et de détruire le monde pour le couler dans leur rêverie !

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