Bernard Plouvier
La plaie de la IIIe
République s’appelait la « radicale-maçonnerie », soit l’invasion de
l’État, où dominaient les radicaux, par le Grand-Orient. La débâcle
militaire du printemps 40 en assura la fin. Certes, en 1945, les vieux
débris de la IIIe voulurent reprendre leurs places, mais une
génération se réclamant – parfois avec raison – de la Résistance à
l’Occupant décida d’occuper le terrain jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse,
atteinte par la mort ou le gâtisme.
Puis
le marxisme tenta de tuer l’Occident par une autre forme de cancer
social : le terrorisme. Officiellement pratiqué par des « gauchistes »,
il était en réalité financé par le KGB, via divers trafics de
stupéfiants.
Rendons
grâce aux jeunes loups du Kremlin des années 1980-90. Ils voulaient
rénover le marxisme. Ils ne réussirent qu’à enrichir une maffia
ethniquement très typée (aborder le sujet en Occident est très
périlleux) et appauvrir la Nation russe, jusqu’à ce que Wladimir Poutine
rétablisse ordre, confiance et relative prospérité, en chassant les
canailles. Il y gagna - allez savoir pourquoi - une sulfureuse
réputation d’anti-judaïque. Au moins, la mort de l’URSS et du
bolchevisme financé de Moscou apporta-t-elle à l’Occident la fin du
terrorisme selon saint Karl Marx.
Hélas,
d’autres génies pervers ont trouvé un substitut au vieux Juif barbu qui
n’aimait pas les Juifs. Et désormais, c’est au nom d’un certain allah
que des abrutis, désocialisés ou asociaux, en tout cas inutiles à la
société laborieuse, tuent au hasard, par joie de nuire à autrui, par
désir de révéler au monde leur fabuleuse capacité de nuisance, tout en
s’assurant une place au paradis des houris.
Un
cancer n’est curable que s’il est traité suffisamment tôt et de façon
radicale. Ce n’est certainement pas en favorisant l’immigration de masse
des mahométans et en autorisant des roitelets du pétrole et du trafic
de haschisch à financer la propagation de l’islam en Occident que l’on
traitera ce nouveau cancer social. Quoi qu’écrivent certains esthètes,
islam et djihâd sont indissociables et le djihâd c’est, par définition,
tuer qui ne veut pas se convertir aux lubies d’un illettré dénommé
Mahomet, ce qui nous ramène au Moyen-Âge.
On
se moque absolument des pleurs et des gémissements d’un public de veaux
et de vaches, après chaque nouvel attentat. On n’a que faire des
discours plats et mous d’une May ou d’un Macron (de tout cœur avec la
précédente… ce qu’apprécient sûrement les victimes meurtries à vie et
les familles des assassinés).
Des
mesures rudes s’imposent… qu’aucun gouvernement d’Europe occidentale ne
semble disposé à prendre, à la différence de ce qui se passe en Russie.
Le plus cocasse, c’est qu’en nos jours de profonde débilité
médiatico-politique, l’on ennuie le grand Poutine avec le sort de
quelques homosexuels tchétchènes ! Notre Occident est à vomir !
Quand
les Français, les Allemands et les British en auront assez de servir de
cibles aux crapules adeptes du viol en tournante des « petits culs
blancs » et aux sociopathes, tueurs du sieur allah, il leur suffira de
se reporter à leur histoire. Ils sauront comment se comporter. Après
s’être entretués stupidement durant des millénaires, ils comprendront,
peut-être, qu’un envahisseur violent, ça se repousse avec pertes et
fracas.