Des watts, sinon rien ! La température de la Terre est de 342 watts
par mètre carré. L’effet de serre en renvoie fort heureusement 324, car
sans cette diminution, il ferait en moyenne moins 15 degrés sur la
Terre, l’activité humaine ne comptant en moyenne que pour 1 et 2 watts
par mètre carré.
Vite, le réchauffement ! Les Groenlandais attendent depuis le Moyen Âge de pouvoir faire re-paître leurs vaches et les Suédois de re-cultiver leurs vignes. Les Russes n’attendent, quant à eux, que la fonte de la banquise pour pouvoir naviguer en hiver vers Pékin par la voie du nord et le détroit de Béring sans passer par Panama. Et la population mondiale a besoin d’une extension des zones cultivables.
Il est, par ailleurs, nécessaire de rappeler que nous ne mourrons pas tous noyés car ce n’est que l’extrême pointe des glaciers qui dépasse de l’eau et que leur énorme masse sous-marine est déjà comptée dans le niveau des océans. La glace est, en effet, d’une densité inférieure à l’eau et sa fonte n’a pas plus d’effet sur l’élévation du niveau des océans que dans votre verre de whisky. Vous pouvez tester… avec modération, s’entend.
L’atmosphère. Onze gaz composent l’air sec. L’azote pour 78 % et l’oxygène pour 20 %. Il ne reste que 2 % pour les neuf autres gaz, dont le gaz carbonique (CO2), qui compte pour 0,035 %. Et c’est ça qui agite nos idéologues verts, GIEC en tête ? Alors que c’est un gaz totalement inoffensif et non polluant à ce degré.
L’Association nationale pour la prévention et l’amélioration de la qualité de l’air fixe ainsi à 10 % de densité en CO2 l’apparition de troubles visuels et de sueur, à 15 % la perte de connaissance et à 25 % l’arrêt respiratoire. Faites le calcul.
Merci CO2 ! Le CO2 est le premier vecteur de toute vie organique – homme compris, donc. Ce qu’illustrent au moins deux faits objectifs : le verdissement de la planète (l’augmentation du CO2 atmosphérique est responsable – avec l’hygrométrie – d’une augmentation de la couverture foliaire de 11 % des zones chaudes et sèches entre 1982 et 2010). Et les agriculteurs n’ont pas attendu de connaître ces données pour améliorer le rendement de leurs cultures sous serre en enrichissant leur atmosphère de 1.000 parties par millions (ppm) en CO2. À titre de comparaison, l’air à la campagne contient 330 à 400 ppm (malgré les pets de vache), l’air en ville 700 ppm et l’air expiré par une personne entre 40.000 et 50.000 ppm. La COP21 n’a fort heureusement pas prévu la limitation alternée de la respiration !
De qui se moque-t-on ? On doit poser la question d’à qui profite le crime. Les 100 milliards de dollars par an que la COP21 a décidé de dégager d’ici 2020 vont tout simplement continuer de pourvoir grassement les rentes de situation politiques et industrielles. Payés, d’ailleurs, majoritairement par les pays riches qui ne se privent pas de polluer un maximum depuis plus d’un siècle pour atteindre leur niveau de vie actuel, mais qui l’interdisent maintenant aux plus pauvres qui n’ont d’autre choix que l’émigration massive.
Le président Trump, en bon businessman, se fonde sur les données de vrais scientifiques et de mathématiciens, et fort peu sur les données politiciennes, idéologiques ou pseudo-scientifiques. Et il n’a pas du tout envie de payer pour des billevesées à la mode. Le « Trump bashing » va donc continuer. Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté ! Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.
François Gex
Source
Vite, le réchauffement ! Les Groenlandais attendent depuis le Moyen Âge de pouvoir faire re-paître leurs vaches et les Suédois de re-cultiver leurs vignes. Les Russes n’attendent, quant à eux, que la fonte de la banquise pour pouvoir naviguer en hiver vers Pékin par la voie du nord et le détroit de Béring sans passer par Panama. Et la population mondiale a besoin d’une extension des zones cultivables.
Il est, par ailleurs, nécessaire de rappeler que nous ne mourrons pas tous noyés car ce n’est que l’extrême pointe des glaciers qui dépasse de l’eau et que leur énorme masse sous-marine est déjà comptée dans le niveau des océans. La glace est, en effet, d’une densité inférieure à l’eau et sa fonte n’a pas plus d’effet sur l’élévation du niveau des océans que dans votre verre de whisky. Vous pouvez tester… avec modération, s’entend.
L’atmosphère. Onze gaz composent l’air sec. L’azote pour 78 % et l’oxygène pour 20 %. Il ne reste que 2 % pour les neuf autres gaz, dont le gaz carbonique (CO2), qui compte pour 0,035 %. Et c’est ça qui agite nos idéologues verts, GIEC en tête ? Alors que c’est un gaz totalement inoffensif et non polluant à ce degré.
L’Association nationale pour la prévention et l’amélioration de la qualité de l’air fixe ainsi à 10 % de densité en CO2 l’apparition de troubles visuels et de sueur, à 15 % la perte de connaissance et à 25 % l’arrêt respiratoire. Faites le calcul.
Merci CO2 ! Le CO2 est le premier vecteur de toute vie organique – homme compris, donc. Ce qu’illustrent au moins deux faits objectifs : le verdissement de la planète (l’augmentation du CO2 atmosphérique est responsable – avec l’hygrométrie – d’une augmentation de la couverture foliaire de 11 % des zones chaudes et sèches entre 1982 et 2010). Et les agriculteurs n’ont pas attendu de connaître ces données pour améliorer le rendement de leurs cultures sous serre en enrichissant leur atmosphère de 1.000 parties par millions (ppm) en CO2. À titre de comparaison, l’air à la campagne contient 330 à 400 ppm (malgré les pets de vache), l’air en ville 700 ppm et l’air expiré par une personne entre 40.000 et 50.000 ppm. La COP21 n’a fort heureusement pas prévu la limitation alternée de la respiration !
De qui se moque-t-on ? On doit poser la question d’à qui profite le crime. Les 100 milliards de dollars par an que la COP21 a décidé de dégager d’ici 2020 vont tout simplement continuer de pourvoir grassement les rentes de situation politiques et industrielles. Payés, d’ailleurs, majoritairement par les pays riches qui ne se privent pas de polluer un maximum depuis plus d’un siècle pour atteindre leur niveau de vie actuel, mais qui l’interdisent maintenant aux plus pauvres qui n’ont d’autre choix que l’émigration massive.
Le président Trump, en bon businessman, se fonde sur les données de vrais scientifiques et de mathématiciens, et fort peu sur les données politiciennes, idéologiques ou pseudo-scientifiques. Et il n’a pas du tout envie de payer pour des billevesées à la mode. Le « Trump bashing » va donc continuer. Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté ! Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.
François Gex
Source