Le président du PCD maintient les propos que lui reprochent certains membres de LR.
« Notre liberté d’action est totale et je n’ai aucun compte à rendre au porte-parole des Républicains. Il faut constituer une grande force d’opposition pour contrecarrer les projets délétères de M. Macron – multiculturalisme, souveraineté européenne, TAFTA – pour les élections européennes. C’est la première fois que des organisations politiques se rassemblent à droite. »
Il déplore aussi « l’enfumage » et la « brutalité » à l’œuvre à la tête de l’État depuis l’élection d’Emmanuel Macron, qu’il juge plus dangereux que Marine Le Pen.