Mercredi 7 mars 2018 s’est tenu le dîner du Crijf (Conseil
représentatif des institutions juives de France), en présence du
président de leur République Emmanuel Macron, invité d’honneur de la
soirée.
Pour cette 33e édition, le prix du dîner était de près de 900 €, dont 800 qui seront prétendument donner à des œuvres. Mais lesquelles : les orphelins de Tsahal (l’armée juive) ou les handicapés de Magav (les gardes-frontières) ? Quoiqu’il en soit la république est bonne fille : elle permet une déduction fiscale de 66 % sur ces 800 € aux participants qui auront craché au bassinet. Les contribuables sont de cette manière mis à contribution pour financer la soirée…
Ainsi, le Crijf s’est réjoui que « de nombreux Ministres du gouvernement ainsi que de nombreux représentants de la vie politique nationale ; 27 Ambassadeurs ; de nombreux représentants des cultes ; des représentants associatifs, syndicaux, intellectuels, artistiques, économiques » aient fait le déplacement mais également « beaucoup de représentants des communautés juives du monde, parmi lesquels le Président du Congrès juif mondial, M. Ronald Lauder, accompagné d’une importante délégation, une délégation de l’American Jewish Committee, les présidents et représentants de communautés juives d’Allemagne, de Grande Bretagne, de Belgique, de Suisse, d’Ukraine, de Grèce, du Luxembourg, du Brésil et d’Argentine ».
La soirée a été rythmée par les discours du Président du Crijf, Francis Kalifat, et du Président de la République Emmanuel Macron mais également par la remise du Prix du Crijf 2018 à Beate et Serge Klarsfeld « pour le travail de toute une vie », c’est-à-dire en réalité la promotion du mensonge historique et la traque des vaincus jusqu’aux vieillards et grabataires au fin fond de leurs asiles…
C’est pourtant sans vergogne que Francis Kalifat a publiquement sommé Emmanuel Macron « de prendre les mesures et les positions nécessaires pour lutter contre cet antisémitisme du quotidien »… Il a également lourdement insisté pour que soit créé un « délit d’appel au boycott » et pour qu’une nouvelle définition de l’antisémitisme soit juridiquement adoptée, permettant évidemment d’y inclure l’antisionisme afin de sanctuariser autant que possible l’Entité sioniste criminelle qui occupe illégalement la Palestine et martyrise les populations autochtones.
Emmanuel Macron a ensuite affirmé sa volonté de lutter contre la haine antisémite sous toutes ses formes annonçant plus particulièrement une mission, confiée par le gouvernement à Gil Taïeb, vice-président du Crijf, et à l’écrivain algérien à papiers français Karim Amellal sur la lutte contre le racisme et l’antisémitisme sur internet.
Finalement cette année encore la confirmation de la soumission de la République et de son gouvernement au judaïsme politique, abaissant par la même la France au rend de vassale d’un État étranger, de son « petit-peuple-élu » (pas par nous), et bien sûr de ses intérêts et volontés. Le rétablissement de la France et de son indépendance passera donc évidemment par la neutralisation de toutes les coteries et agents d’influence au service de l’anti-France.
Révolution nationale ! Maîtres chez nous !
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Pour cette 33e édition, le prix du dîner était de près de 900 €, dont 800 qui seront prétendument donner à des œuvres. Mais lesquelles : les orphelins de Tsahal (l’armée juive) ou les handicapés de Magav (les gardes-frontières) ? Quoiqu’il en soit la république est bonne fille : elle permet une déduction fiscale de 66 % sur ces 800 € aux participants qui auront craché au bassinet. Les contribuables sont de cette manière mis à contribution pour financer la soirée…
Le ban et l’arrière-ban convoqués au dîner
Le Crijf est l’une des plus importantes tentacules du judaïsme politique agissant en France. Son dîner annuel est l’occasion pour cette officine d’afficher le défilé des élus, haut-fonctionnaires et autres personnalités politiques venant faire la génuflexion (et prendre les consignes ?) auprès de ce cabinet noir de la république.Ainsi, le Crijf s’est réjoui que « de nombreux Ministres du gouvernement ainsi que de nombreux représentants de la vie politique nationale ; 27 Ambassadeurs ; de nombreux représentants des cultes ; des représentants associatifs, syndicaux, intellectuels, artistiques, économiques » aient fait le déplacement mais également « beaucoup de représentants des communautés juives du monde, parmi lesquels le Président du Congrès juif mondial, M. Ronald Lauder, accompagné d’une importante délégation, une délégation de l’American Jewish Committee, les présidents et représentants de communautés juives d’Allemagne, de Grande Bretagne, de Belgique, de Suisse, d’Ukraine, de Grèce, du Luxembourg, du Brésil et d’Argentine ».
La soirée a été rythmée par les discours du Président du Crijf, Francis Kalifat, et du Président de la République Emmanuel Macron mais également par la remise du Prix du Crijf 2018 à Beate et Serge Klarsfeld « pour le travail de toute une vie », c’est-à-dire en réalité la promotion du mensonge historique et la traque des vaincus jusqu’aux vieillards et grabataires au fin fond de leurs asiles…
Kalifat se rêve en nouveau calife de leur république
Francis Kalifat a donc pris la parole et a dénoncé, au mépris de la plus simple réalité, « les nombreux actes antisémites qui secouent la France depuis plusieurs mois ». Le président du lobby a opportunément oublié les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur publiés le 31 janvier témoignant de la forte baisse générale des actes racistes en France en 2017 et notamment des « faits antisémites » en baisse de 7,2 %. Soit un modique 311 faits déclarés sur l’année écoulée, finalement pourtant une paille lorsqu’on met le chiffre en regard du nombre de crimes et délits subis par la population française dans son ensemble : en effet en 2017 il y a eu en France 825 homicides (chiffre en augmentation hors attentat), une hausse de 12 % des plaintes pour viols et agressions sexuelles, une hausse de 4 % des violences volontaires, plus de 320 000 escroquerie et délits assimilés (en augmentation constante depuis 2012) !C’est pourtant sans vergogne que Francis Kalifat a publiquement sommé Emmanuel Macron « de prendre les mesures et les positions nécessaires pour lutter contre cet antisémitisme du quotidien »… Il a également lourdement insisté pour que soit créé un « délit d’appel au boycott » et pour qu’une nouvelle définition de l’antisémitisme soit juridiquement adoptée, permettant évidemment d’y inclure l’antisionisme afin de sanctuariser autant que possible l’Entité sioniste criminelle qui occupe illégalement la Palestine et martyrise les populations autochtones.
L’entente idyllique de leur république et du judaïsme politique
Le Président de leur République Emmanuel Macron a ensuite pris la parole saluant d’abord « le travail du Crif et sa capacité à lier des liens forts et durables avec les gouvernements français ». « Depuis 75 ans maintenant, le Crif porte la voix des Juifs de France. Le Crif anime depuis lors un discours fructueux et permanent avec les plus hautes institutions de l’Etat, notamment depuis 32 ans à l’occasion de ce Dîner annuel. » Ils ne s’en cachent même plus…Emmanuel Macron a ensuite affirmé sa volonté de lutter contre la haine antisémite sous toutes ses formes annonçant plus particulièrement une mission, confiée par le gouvernement à Gil Taïeb, vice-président du Crijf, et à l’écrivain algérien à papiers français Karim Amellal sur la lutte contre le racisme et l’antisémitisme sur internet.
Finalement cette année encore la confirmation de la soumission de la République et de son gouvernement au judaïsme politique, abaissant par la même la France au rend de vassale d’un État étranger, de son « petit-peuple-élu » (pas par nous), et bien sûr de ses intérêts et volontés. Le rétablissement de la France et de son indépendance passera donc évidemment par la neutralisation de toutes les coteries et agents d’influence au service de l’anti-France.
Révolution nationale ! Maîtres chez nous !
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