Communiqué de presse de la Ligue tessinoise
Premièrement, Simonetta Sommaruga décide d’ouvrir les portes à l’immigration incontrôlée, en s’alignant sur les souhaits de Bruxelles et de Berlin, et ensuite elle fait payer aux contribuables suisses et tessinois l’explosion constante des coûts liés à l’arrivée de faux réfugiés mais véritables migrants économiques issus de cultures et de pays qui ne partagent pas les valeurs fondatrices de la Confédération. Le peuple suisse a voté pour un durcissement de la loi fédérale sur l’asile, mais en même temps, le département dirigé par la « camarade » Simonetta Sommaruga continue à prêcher l’eau mais à boire du vin: en effet, les dépenses qui résultent de cette politique fédérale néfaste imposée par la gauche à la Suisse dépassent depuis longtemps le milliard de francs, et l’autre jour, le Conseil fédéral a de nouveau décidé d’augmenter de 132 millions de francs ce poste en faveur de l’industrie du social destiné aux faux réfugiés.
Tout ceci alors que les jeunes de moins de 25 ans et les adultes de plus de 50 ans luttent de plus en plus pour trouver du travail dans leur pays, la Suisse généreuse avec les nouveaux arrivants et qui oublie ses citoyens, désormais considérés comme étant «de seconde zone».
Pendant que la Confédération est disposée à mettre sur la table 18 000 francs (montant triplé par rapport à avant!) pour l’intégration d’un faux réfugié, la Confédération elle-même n’investit pas un franc pour les citoyens suisses de plus en plus nombreux dans les catégories les plus exposées (selon les données de l’Organisation internationale du travail) qui sont à la recherche d’un emploi.
Cette politique de ségrégation des citoyens suisses en quête de travail, qui favorise les derniers arrivants provenant de pays lointains ayant pour objectif la migration économique, va créer des tensions dans notre pays, comme on le voit en France et en Italie. Les citoyens suisses défavorisés, les faux réfugiés promus: la Ligue des Tessinois dit NON et BASTA à cette politique fédérale aveugle et destructrice de notre pays. »
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch. Nos remerciements à Victoria Valentini.
EuroLibertés ré-informe
parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des
banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99
« La camarade Simonetta Sommaruga et le Conseil fédéral veulent
intégrer les faux réfugiés – mais véritables migrants économiques – dans
le marché du travail, en oubliant les Suisses – les moins de 25 ans et
les plus de 50 ans – qui ne peuvent pas trouver de travail dans leur
propre pays. La Ligue des Tessinois dit NON et ça SUFFIT à cette
politique d’immigration folle et à cette industrie du social voulues par
la gauche qui condamne les Suisses d’être des citoyens de seconde zone
dans leur patrie.
Premièrement, Simonetta Sommaruga décide d’ouvrir les portes à l’immigration incontrôlée, en s’alignant sur les souhaits de Bruxelles et de Berlin, et ensuite elle fait payer aux contribuables suisses et tessinois l’explosion constante des coûts liés à l’arrivée de faux réfugiés mais véritables migrants économiques issus de cultures et de pays qui ne partagent pas les valeurs fondatrices de la Confédération. Le peuple suisse a voté pour un durcissement de la loi fédérale sur l’asile, mais en même temps, le département dirigé par la « camarade » Simonetta Sommaruga continue à prêcher l’eau mais à boire du vin: en effet, les dépenses qui résultent de cette politique fédérale néfaste imposée par la gauche à la Suisse dépassent depuis longtemps le milliard de francs, et l’autre jour, le Conseil fédéral a de nouveau décidé d’augmenter de 132 millions de francs ce poste en faveur de l’industrie du social destiné aux faux réfugiés.
Tout ceci alors que les jeunes de moins de 25 ans et les adultes de plus de 50 ans luttent de plus en plus pour trouver du travail dans leur pays, la Suisse généreuse avec les nouveaux arrivants et qui oublie ses citoyens, désormais considérés comme étant «de seconde zone».
Pendant que la Confédération est disposée à mettre sur la table 18 000 francs (montant triplé par rapport à avant!) pour l’intégration d’un faux réfugié, la Confédération elle-même n’investit pas un franc pour les citoyens suisses de plus en plus nombreux dans les catégories les plus exposées (selon les données de l’Organisation internationale du travail) qui sont à la recherche d’un emploi.
Cette politique de ségrégation des citoyens suisses en quête de travail, qui favorise les derniers arrivants provenant de pays lointains ayant pour objectif la migration économique, va créer des tensions dans notre pays, comme on le voit en France et en Italie. Les citoyens suisses défavorisés, les faux réfugiés promus: la Ligue des Tessinois dit NON et BASTA à cette politique fédérale aveugle et destructrice de notre pays. »
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch. Nos remerciements à Victoria Valentini.
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer …
GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaireTitulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99