Cette année, comme déjà en 2016, une délégation du journal « Jeune-Nation » et du « Parti Nationaliste Français », composée d’Yvan Benedetti, directeur du premier et porte-parole du second, ainsi que de Pierre-Marie Bonneau, s’est rendue en Roumanie les 24, 25 et 26 novembre pour participer aux cérémonies organisées en l’honneur du Capitaine Corneliu Zelea Codreanu, pour le 79e anniversaire de son assassinat.
Le vendredi, dans l’après-midi, nous avons eu le plaisir d’être invités par notre camarade Sorin Olariu, rédacteur d’un formidable travail d’anthologie du chant nationaliste roumain, organisé en trois parties, portant sur l’époque légionnaire, les chants des prisons et ceux de l’exil, dont la présentation était accueillie par une grande librairie de Bucarest.
A cette occasion, l’ami Bonneau est intervenu pour rappeler l’ancienneté et la profondeur des liens qui unissent les patries roumaine et française.
Le lendemain, samedi 25, nous nous sommes rendus à Tancabesti, sur les lieux mêmes où le fondateur de la Légion de l’Archange Saint-Michel, mais aussi les trois Nicadori et les 10 Decemvirii ont été assassinés par la gendarmerie aux ordres de ce même pouvoir corrompu qui nous opprime encore.
Nous avons eu la joie de voir qu’encore une fois, de nombreux Roumains portent dans leur cœur la mémoire des héros tombés. Ainsi en est-il de ceux qui se sont réunis le samedi 25 novembre 2017 dans la forêt, situé sur DN1, à Tancabesti.
Depuis 1999, une croix se dresse sur ce lieu où, dans la nuit du 29 au 30 novembre 1938, le régime du Roi indigne Carol II et de son ministre félon Armand Calinescu a fait abattre Codreanu, ainsi que 13 autres légionnaires.
Ils ont été étranglés avec des cordes par les gendarmes de leur escorte, qui leur ont ensuite tiré dans le dos pour faire croire à une tentative d’évasion. Puis leurs dépouilles ont été enterrées dans un charnier à la prison de Jilava, sous une couche de chaux vive destinée à effacer les traces du crime.
Cette année, était organisée une cérémonie religieuse à la mémoire de Corneliu Codreanu, celui que les légionnaires appellent toujours « Le Capitaine ».
Les survivants des légionnaires torturés dans les prisons communistes, ou tombés dans la résistance de l’armée anti-communiste, regroupés sous l’égide d’ONG telles que la Fondation « Buna Vestire » (de l’Annonciation), la Fondation « Ion Gavrila Ogoranu », ou l’Association « Grunenwald Puiu et Haiducii Dobrogei », sont parmi les initiateurs de ces cérémonies religieuses.
Présent au service commémoratif, Coriolan Baciu, le Président de la Fondation Ion Gavrila Ogoranu a tenu un bref discours, témoignant de la barbarie des assassins.
Monsieur Sorin Olariu a lu un message de Monsieur Dan Gogie, citoyen suisse, commandant légionnaire et dernier représentant du Conseil politique du mouvement des légations de l’Ouest.
Florin Dobrescu, Secrétaire de la Fondation Ion Gavriela Ogoranu et vice-président de l’Association Grunenwald Puiu et Haiducii Dobrogei, a exprimé l’espoir que ce genre de crimes d’État ne sera plus possible et que la société roumaine ne subira plus de violence et d’abus.
Notre ami Yvan Benedetti, Porte-parole du Parti Nationaliste Français, a fait l’apologie de l’immense personnalité et du modèle que représente pour tous les nationalistes Corneliu Codreanu, soulignant le lien profond entre le nationalisme français et roumain.
Nous nous sommes ensuite rendus dans Bucarest, à une fête célébrant les 79 ans de l’union entre la Roumanie et sa province de Bucovine, animée par un orchestre et des danses traditionnelles.
Nous avons eu la joie de constater à quel point un pays d’Europe a su et pu garder vivantes ses traditions, comment toute une jeunesse peut s’amuser sainement, sans arrière pensée et dans l’amour du pays réel roumain.
Après une soirée fort instructive chez un couple de camarades roumains, nous avons, le lendemain, visité le magnifique musée bucarestois du paysan roumain, où, depuis 1936, patiemment, ont été rapportés de toutes les provinces du pays des joyaux d’architecture paysanne, remontant pour certains au XVIIe siècle, tels que moulins, fermes, maisons, et églises qui restent ouvertes au culte…
C’est un peu les cœurs serrés mais revigorés par l’amitié que nous avons trouvé dans ce peuple ami des Français, venu à notre secours au péril de sa jeunesse aux heures sanglantes de 1916 et de la lutte de Verdun, que nous sommes retournés en France.
L’Europe des Nations se construit aussi par l’amitié des peuples et demain appartient à celui qui aura la plus longue mémoire !
Traiasca Legiunea si Capitanul !
Qui vive ? France !
Le vendredi, dans l’après-midi, nous avons eu le plaisir d’être invités par notre camarade Sorin Olariu, rédacteur d’un formidable travail d’anthologie du chant nationaliste roumain, organisé en trois parties, portant sur l’époque légionnaire, les chants des prisons et ceux de l’exil, dont la présentation était accueillie par une grande librairie de Bucarest.
A cette occasion, l’ami Bonneau est intervenu pour rappeler l’ancienneté et la profondeur des liens qui unissent les patries roumaine et française.
Le lendemain, samedi 25, nous nous sommes rendus à Tancabesti, sur les lieux mêmes où le fondateur de la Légion de l’Archange Saint-Michel, mais aussi les trois Nicadori et les 10 Decemvirii ont été assassinés par la gendarmerie aux ordres de ce même pouvoir corrompu qui nous opprime encore.
Nous avons eu la joie de voir qu’encore une fois, de nombreux Roumains portent dans leur cœur la mémoire des héros tombés. Ainsi en est-il de ceux qui se sont réunis le samedi 25 novembre 2017 dans la forêt, situé sur DN1, à Tancabesti.
Depuis 1999, une croix se dresse sur ce lieu où, dans la nuit du 29 au 30 novembre 1938, le régime du Roi indigne Carol II et de son ministre félon Armand Calinescu a fait abattre Codreanu, ainsi que 13 autres légionnaires.
Ils ont été étranglés avec des cordes par les gendarmes de leur escorte, qui leur ont ensuite tiré dans le dos pour faire croire à une tentative d’évasion. Puis leurs dépouilles ont été enterrées dans un charnier à la prison de Jilava, sous une couche de chaux vive destinée à effacer les traces du crime.
Cette année, était organisée une cérémonie religieuse à la mémoire de Corneliu Codreanu, celui que les légionnaires appellent toujours « Le Capitaine ».
Les survivants des légionnaires torturés dans les prisons communistes, ou tombés dans la résistance de l’armée anti-communiste, regroupés sous l’égide d’ONG telles que la Fondation « Buna Vestire » (de l’Annonciation), la Fondation « Ion Gavrila Ogoranu », ou l’Association « Grunenwald Puiu et Haiducii Dobrogei », sont parmi les initiateurs de ces cérémonies religieuses.
Présent au service commémoratif, Coriolan Baciu, le Président de la Fondation Ion Gavrila Ogoranu a tenu un bref discours, témoignant de la barbarie des assassins.
Monsieur Sorin Olariu a lu un message de Monsieur Dan Gogie, citoyen suisse, commandant légionnaire et dernier représentant du Conseil politique du mouvement des légations de l’Ouest.
Florin Dobrescu, Secrétaire de la Fondation Ion Gavriela Ogoranu et vice-président de l’Association Grunenwald Puiu et Haiducii Dobrogei, a exprimé l’espoir que ce genre de crimes d’État ne sera plus possible et que la société roumaine ne subira plus de violence et d’abus.
Notre ami Yvan Benedetti, Porte-parole du Parti Nationaliste Français, a fait l’apologie de l’immense personnalité et du modèle que représente pour tous les nationalistes Corneliu Codreanu, soulignant le lien profond entre le nationalisme français et roumain.
Nous nous sommes ensuite rendus dans Bucarest, à une fête célébrant les 79 ans de l’union entre la Roumanie et sa province de Bucovine, animée par un orchestre et des danses traditionnelles.
Nous avons eu la joie de constater à quel point un pays d’Europe a su et pu garder vivantes ses traditions, comment toute une jeunesse peut s’amuser sainement, sans arrière pensée et dans l’amour du pays réel roumain.
Après une soirée fort instructive chez un couple de camarades roumains, nous avons, le lendemain, visité le magnifique musée bucarestois du paysan roumain, où, depuis 1936, patiemment, ont été rapportés de toutes les provinces du pays des joyaux d’architecture paysanne, remontant pour certains au XVIIe siècle, tels que moulins, fermes, maisons, et églises qui restent ouvertes au culte…
C’est un peu les cœurs serrés mais revigorés par l’amitié que nous avons trouvé dans ce peuple ami des Français, venu à notre secours au péril de sa jeunesse aux heures sanglantes de 1916 et de la lutte de Verdun, que nous sommes retournés en France.
L’Europe des Nations se construit aussi par l’amitié des peuples et demain appartient à celui qui aura la plus longue mémoire !
Traiasca Legiunea si Capitanul !
Qui vive ? France !