En Espagne, 26 ans après sa chute, le communisme tue encore !
Ce n’est pas sans une certaine émotion que nous avons appris le décès de l’un de nos camarades nationaliste Espagnol, lâchement assassiné par la racaille rouge le samedi 9 décembre au matin à Cartagena (région de Murcia), alors qu’il sortait d’un bar visiblement sous influence marxiste. Deux militants de l’extrême gauche la plus violente l’ont alors frappé à coups de barre de fer dans la tête, avant de le rouer de coups lâchement une fois au sol. Les deux agresseurs ont ensuite pris la fuite en courant, confirmant cette lâcheté qui les caractérise.
L’un des suspects n’est autre qu’un de ces parasites punk ou antifa, Chilien bénéficiant de papiers espagnols, Rodrigo Lanza, qui a déjà accompli 5 ans de prison pour avoir violemment agressé et rendu tétraplégique un policier à Barcelone en 2006 !
Ces infects parasites sociaux ne reculent devant rien lorsqu’il s’agit d’intimider les nôtres. En bons chiens de garde du mondialisme, ils mènent dans tous le pays des redoutables campagnes d’agressions contre ceux qui refusent de voir leur Patrie mourir sous les coups de boutoir des séparatistes et des instances anti-nationales.
Son crime atroce ? Arborer fièrement des bretelles aux couleurs de l’Espagne. Il est vrai qu’il ne fait pas bon revendiquer son attachement à l’unité de son peuple, notamment en cette période de recrudescence de fièvre indépendantiste.
Cet acte est d’autant plus odieux et symbolique que la victime, Victor Lainez, est un ancien légionnaire de l’armée Espagnole, un modèle de patriotisme et de bravoure. Le mouvement nationaliste déplore la disparition de l’un des siens, une première dans ce pays qui constitue pourtant un véritable quartier général de la vermine néo-communiste en Europe.
Nous nous devons en tant que nationalistes de rendre hommage à ce martyr de la cause pour laquelle nous nous battons, « à très peu, contre presque tous, pour tous ».
Une fois n’est pas coutume, il semble que les autorités régionales aient pris conscience de l’ampleur du problème. En effet, jamais l’extrême gauche n’a été aussi violente au cours de ces 10 dernières années, amenant le délégué du gouvernement de la région de Murcia à qualifier ces actes criminels de « terroristes ». Il était temps ! Est-il nécessaire de rappeler les agressions dont ont été victimes trois militants nationalistes lors de la dernière « marche des fiertés » (sic) dans l’indifférence générale ?
Quand les autorités se décideront-elles à agir contre cette vermine avec la fermeté dont ils font preuve quand il faut s’attaquer aux nationalistes ?
Nous affirmons notre soutien indéfectible à nos camarades Espagnols confrontés à la répression toujours plus féroce d’un pouvoir moribond qui cautionne les violences d’ultra gauche mais n’hésite pas à emprisonner les authentiques défenseurs de l’Espagne éternelle, avec la complicité tacite des médiats nationaux, bruyamment silencieux lorsqu’il s’agit de protéger les derniers remparts d’un Système à l’agonie.
Honneur à Victor Lainez, honneur à nos camarades de la Blanquerna, honneur aux martyrs de l’Espagne Nouvelle !
¿ Victor Lainez ? ¡ Present !
Ce n’est pas sans une certaine émotion que nous avons appris le décès de l’un de nos camarades nationaliste Espagnol, lâchement assassiné par la racaille rouge le samedi 9 décembre au matin à Cartagena (région de Murcia), alors qu’il sortait d’un bar visiblement sous influence marxiste. Deux militants de l’extrême gauche la plus violente l’ont alors frappé à coups de barre de fer dans la tête, avant de le rouer de coups lâchement une fois au sol. Les deux agresseurs ont ensuite pris la fuite en courant, confirmant cette lâcheté qui les caractérise.
L’un des suspects n’est autre qu’un de ces parasites punk ou antifa, Chilien bénéficiant de papiers espagnols, Rodrigo Lanza, qui a déjà accompli 5 ans de prison pour avoir violemment agressé et rendu tétraplégique un policier à Barcelone en 2006 !
Ces infects parasites sociaux ne reculent devant rien lorsqu’il s’agit d’intimider les nôtres. En bons chiens de garde du mondialisme, ils mènent dans tous le pays des redoutables campagnes d’agressions contre ceux qui refusent de voir leur Patrie mourir sous les coups de boutoir des séparatistes et des instances anti-nationales.
Son crime atroce ? Arborer fièrement des bretelles aux couleurs de l’Espagne. Il est vrai qu’il ne fait pas bon revendiquer son attachement à l’unité de son peuple, notamment en cette période de recrudescence de fièvre indépendantiste.
Cet acte est d’autant plus odieux et symbolique que la victime, Victor Lainez, est un ancien légionnaire de l’armée Espagnole, un modèle de patriotisme et de bravoure. Le mouvement nationaliste déplore la disparition de l’un des siens, une première dans ce pays qui constitue pourtant un véritable quartier général de la vermine néo-communiste en Europe.
Nous nous devons en tant que nationalistes de rendre hommage à ce martyr de la cause pour laquelle nous nous battons, « à très peu, contre presque tous, pour tous ».
Une fois n’est pas coutume, il semble que les autorités régionales aient pris conscience de l’ampleur du problème. En effet, jamais l’extrême gauche n’a été aussi violente au cours de ces 10 dernières années, amenant le délégué du gouvernement de la région de Murcia à qualifier ces actes criminels de « terroristes ». Il était temps ! Est-il nécessaire de rappeler les agressions dont ont été victimes trois militants nationalistes lors de la dernière « marche des fiertés » (sic) dans l’indifférence générale ?
Quand les autorités se décideront-elles à agir contre cette vermine avec la fermeté dont ils font preuve quand il faut s’attaquer aux nationalistes ?
Nous affirmons notre soutien indéfectible à nos camarades Espagnols confrontés à la répression toujours plus féroce d’un pouvoir moribond qui cautionne les violences d’ultra gauche mais n’hésite pas à emprisonner les authentiques défenseurs de l’Espagne éternelle, avec la complicité tacite des médiats nationaux, bruyamment silencieux lorsqu’il s’agit de protéger les derniers remparts d’un Système à l’agonie.
Honneur à Victor Lainez, honneur à nos camarades de la Blanquerna, honneur aux martyrs de l’Espagne Nouvelle !
¿ Victor Lainez ? ¡ Present !
Si une camarada falangista
« Con mi camisa azul, gentil y postinera
el yugo y las flechas por blasón,
al cinto una repleta cartuchera
y al hombro el pesado mosquetón.
Allá va por la ancha carretera
un apuesto y gallardo mocetón
a defender, a defender a la bandera
de Falange Española de las J.O.N.S.
Si un camarada falangista
quiere ganar gloria y honor,
ha de luchar como un valiente
en las milicias de las J.O.N.S.
A vencer, a luchar, a morir
contra el falso y cobarde Lenin.
Que está en las J.O.N.S., sin discusión,
la juventud de más valor de la nación,
que al pelear, sin vacilar,
sabe luchar, sabe vencer, sabe morir,
pero también sabe matar. »