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dimanche 31 mars 2019

Dionysos Andronis - Thies CHRISTOPHERSEN "The Auschwitz Lie" editions "European Struggle", Paris, 1976


Thies CHRISTOPHERSEN "The Auschwitz Lie" editions "European Struggle", Paris, 1976
        The translator of this important brochure is none other than Michel Caignet (born in 1954), an important activist of the 70s and 80s, especially for his numerous editions. This self-published work by himself gave us the goosebumps of the bitter finding that we had been victims of Zionist propaganda all our lives before this renaissance reading! Thies Christophersen was only 55 years old at the time of the first German edition of this booklet. "Although I am only 55 years old, I have no chance of being reintegrated into working life" (op.cit.page 17). Thies Christophersen tells us with an invigorating audacity (at the antipodes of the American Zionist TV and its very old television by-products like the "Holocaust" series of the 70s) that the Auschwitz camp never served as a camp of extermination and that was Birkenau's. His words at the beginning serve as a warning: "This story is written for men who yearn for truth and justice" (op.cit.p.13). "In writings repeated since the 1990s, Robert Faurisson claims that the documentary would say that Auschwitz alone would have made nine million victims" (see the wiki page of the film cited). The Italian writer Carlo Mattogno goes even further, telling us in his book "The first gassing" that it was practiced in Auschwitz after the end of the war. Dirty Liars like Claude Lanzmann (the Jewish director of the television documentary "Shoah"), you are all damned! "I swear to have told the truth if this story could help the young people to gain a bit of respect for their fathers who fought for Germany and were not criminals, that would be enough satisfaction for me" (op.cit. page 28). 
                                    Written by Dionysos Andronis

mardi 26 mars 2019

NOUVEAUTÉ : LE PETIT LIVRE NOIR – JULIUS EVOLA

Nouveauté : Le Petit Livre Noir – Julius Evola

NOUVEAUTÉ : LE PETIT LIVRE NOIR – JULIUS EVOLA

2019, Éditions Lohengrin, 175 pages, 18 €

Avec une nouvelle préface exclusive de Gianfranco de Turris, le Président de la Fondation Julius Evola.
Cette édition augmentée du Petit Livre Noir de Julius Evola, ayant mis à contribution plusieurs traducteurs et quelques acteurs intellectuels des mouvements de pensée nationaux romands, rassemble, sous le signe d’une relecture minutieuse des textes précédemment édités en français, les écrits du philosophe, inspirateur des grands courants conservateurs du XXe siècle.

Disponible sur la Boutique nationaliste

Vincent Reynouard - Trois ouvrages à ne pas manquer !

Les principes du national-socialisme

de René Martel, agrégé de l'Université
Ce petit ouvrage d'une centaine de pages, présente de façon synthétique les idées qui servirent aux nationaux-socialistes à redresser l'Allemagne, ainsi que leur mise en œuvre. L'auteur s'attache à montrer à la fois les réalisations sociales du troisième Reich — telles que le Front du travail ou l'œuvre "la mère et l'enfant" — et les théories qui les sous-tendent, ce qui fait de cet opuscule un ouvrage très complet.

La famille dans l'Allemagne rénovée

de Lydia Reimer
La famille est le berceau des générations futures et de l'avenir de la nation. Voilà pourquoi le national-socialisme lui accorda une place toute particulière dans sa politique sociale. Prêt matrimonial, aide aux enfants, protection de la mère, aide aux familles, l'auteure présente tous les différents accomplissements du régime pour favoriser l'éclosion de jeunes familles dans le troisième Reich.

Le vrai visage de l'Allemagne

de Rudy Cantel
Dès les années 1930, une intense propagande tenta de faire passer le régime national-socialiste pour une dictature qui opprimait le peuple allemand. Le journaliste français Rudy Cantel entreprit donc de parcourir le nouveau Reich afin de se faire sa propre idée. Le présent ouvrage reprend le reportage qu'il publia à son retour en France, un reportage bien loin des idées reçues…

Martin Peltier - La Fin de l'homme blanc

Nouveauté : « La fin de l’homme blanc » (Martin Peltier) – Un très bon roman historique
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NOUVEAUTÉ : « LA FIN DE L’HOMME BLANC » (MARTIN PELTIER) – UN TRÈS BON ROMAN HISTORIQUE

La fin de l’homme blanc de Martin PELTIER(320 pages, éditions DIE, 2018), au prix de 27 € port compris (au lieu de 5,40 €) pour les abonnés de Jeune Nation, en envoyant un chèque de 27 € à l’ordre de DIE  à l’adresse suivante : Diffusion International Edition – 24, Le FAY – 36170 PARNAC
Martin Peltier est une des personnalités majeures, depuis des décennies, de la droite nationale. Il a notamment dirigé National-Hebdo, et signe actuellement, toutes les semaines, dans Rivarol, sous le pseudonyme d’Hannibal, une truculente chronique de réflexions sur l’actualité. Martin Peltier a écrit de nombreux essais et romans. Au-delà du fond, intéressant, de la forme, plaisante, il faut bien reconnaître que Martin Peltier appartient à cette génération, qui a été à l’école dans les années 1950-60, lorsque l’on y apprenait des choses, qui sait écrire, c’est-à-dire bien écrire. Sa maîtrise exquise de la langue française est étonnante, et, il faut le déplorer, pratiquement disparue. Martin Peltier a donc écrit un roman historique La fin de l’homme blanc.
LA FIN DE L’HOMME BLANC, UN ROMAN HISTORIQUE SUR LE DEBUT DE SA FIN (DES LE DEBUT DU XXe SIECLE)
Le titre La fin de l’homme blanc pourrait certes faire penser à un essai racialiste contemporain ; il y aurait matière à dire à ce sujet, du reste significativement dangereux dans le régime de liberté très surveillée pour les idées vraiment dangereuses pour le Système. Or, ce n’est pas de cela qu’il s’agit, ou alors de manière très indirecte. L’auteur a écrit une forme de roman russe, avec une grande galerie de personnages, dont l’essentiel de l’action se déroule entre l’Exposition universelle de 1900 à Paris et la guerre russo-japonaise de 1904-1905. Il faut saluer sur ces deux épisodes majeurs, la rigueur de l’effort de documentation, et le talent de la plume du conteur : les épisodes militaires terrestres et navals de la guerre russo-japonaise constituent des morceaux de bravoure qui placent Martin Peltier parmi nos plus grands écrivains contemporains. L’auteur protesterait certes, avec sa modestie coutumière, en alléguant de la nullité de la concurrence…Mais le fait demeure, le lecteur sent avec plaisir un véritable maître de notre langue à l’œuvre.
Cette période, du début du vingtième siècle, bien oubliée, il faut bien le reconnaître, a été marquée, du fait de la défaite inattendue de la Russie par le Japon, par le début des débats sur la « fin de l’homme blanc », qui pourtant paraît encore à cette époque dominer le monde. L’homme jaune, comme l’on disait franchement à l’époque, est donc très capable de vaincre l’homme blanc. Il en résulté des débats intenses en leur temps : ne s’agit-il que d’un phénomène ponctuel marginal, avec une armée russe trop loin de ses bases, aux confins de la Chine et la Corée, et mal commandée, face à des Japonais eux bien ravitaillés –par la mer- et correctement commandés ? Le Japon n’est-il pas lui-même un pays très particulier unique, et certainement pas un modèle reproductible ? On sait depuis que l’homme blanc peut être vaincu, souvent par manque de volonté après 1945.
Force est de constater, avec le recul, que l’homme blanc s’est livré à un suicide collectif, en particulier à l’occasion des deux guerres mondiales (1914-1918 et 1939-1945), puis n’a cessé depuis de capituler, en combattant de moins en moins, face aux agressions des autres races…Ainsi s’égrènent des holocaustes volontaires peu compréhensibles, comme ceux des Blancs d’Afrique du Sud (démantèlement de l’Apartheid de 1989 à 1994), ou la passivité totale de notre race face aux invasions massives en cours en Europe comme en Amérique du Nord blanche. Le narrateur s’arrête au seuil de ces drames les plus contemporains. Les épisodes les plus récents du roman évoquent la mort de l’héroïne, jeune sportive en 1900, seule et très âgée, dans les années 1970. Elle est alors une forme de fantôme d’un temps déjà très ancien et disparu, et qui n’en finit pas de vivre, d’une humeur variable. L’auteur joue dans son roman sur les différentes époques, avec jusqu’à un enquêteur des années 2000 –hommage aux romans policiers qu’il affectionne-, mais ce n’est que le prétexte à des traits d’humour, du reste réussis, notamment sur les adresses internet ridicules –voulues drôles- typiques de ces années-là.
HORTENSE, UNE HEROINE TRAGIQUE
Le roman suit une architecture complexe. Mais il reste facile à suivre. Le lecteur se passionne pour les aventures d’Hortense, le personnage principal. Introduite, ou s’introduisant elle-même, via le patronage de son parrain, le général Mollet-Laprune, chef de la maison militaire du président de la république Loubet (1899-1906), qui l’a élevée, elle a connu la bonne société internationale en 1900. Ces rencontres du gotha de l’Europe permettent des développements intéressants sur les élites et dirigeants de nombreux pays, comme la France, la Russie, le Royaume-Uni, l’Allemagne. Le portrait de Guillaume II, l’empereur d’Allemagne, inspiré de descriptions d’époque, s’avère particulièrement réussi. Ce personnage, par bien des aspects pittoresques, et au fond sympathique, a tout de même fait preuve d’une légèreté bien coupable à l’été 1914 en assurant l’Autriche-Hongrie de son plein et entier soutien, jusqu’à la guerre européenne. On sait ce qu’il est advenu.
De même, les hautes sphères politiques françaises de la Troisième République ne sont nullement épargnées : la France est dirigée, et conduite à l’abyme, par une franc-maçonnerie particulièrement sectaire. Le bon général Mollet-Laprune, qui se veut apolitique, loyal, démontre toute l’étendue de sa sottise politique ; cette cécité volontaire, commune chez les militaires, n’a pas cessé. Les radicaux au pouvoir sont des affairistes médiocres. L’époque est aussi celle de l’Affaire Dreyfus. Déjà, la gauche gouvernementale se définit comme le « camp de la Justice, du Bien », etc., excommuniant laïquement ses adversaires conservateurs. La fausse-droite tente déjà de s’excuser de ne pas être complètement de gauche, entamant un processus sans fin. Quant à la vraie opposition nationale, elle est déjà animée par quelques curieux sujets, comme cet Arthur Meyer, patron de presse, un « Juif patriote », espèce singulière, mais en 1900 (1901 précisément), bien sûr, converti au Catholicisme et antidreyfusard, autant de chose impensables de nos jours…
Hortense, comme il se doit dans un roman, a eu des amours tumultueuses. Le parrain militaire a été, malgré une affection et un dévouement sincères, un très mauvais modèle en ce domaine ; confier l’orpheline sous sa responsabilité, à sa vieille maîtresse, n’était vraiment pas une bonne idée. En creux, l’auteur prône évidemment la famille stable, traditionnelle. Et l’exemple est en effet décisif dans la bonne éducation des enfants. Hortense, jeune et belle, intelligente, déterminée, grande sportive, paraît en mesure de séduire n’importe qui. Mais réussira-t-elle à conquérir pour autant le choix de son cœur ? Et ce choix est-il du reste pertinent ? Les caprices du cœur peuvent égarer, et les hommes peuvent s’avérer à l’usage bien plus décevants que les apparences qu’ils composent.
Martin Peltier joue avec tous les codes du romanesque, du feuilleton à la mode 1900, ou des livrets des grands opéras de cette époque –on ne peut que songer à ceux de Puccini par exemple-. Outre les voyages, de la France à la Mandchourie, province chinoise provisoirement sous occupation russe, en passant par Madagascar et l’Indochine –colonies françaises-, Hortense et ses soupirants se rencontrent par des hasards prodigieux, et le récit connait des développements annexes étonnants, avec des histoires de substitutions et d’hommes masqués. Gaston Leroux, auteur de cette époque, n’est pas très loin. En montrant subtilement son érudition, renvoyant à une culture populaire disparue et oubliée, Martin Peltier s’amuse manifestement, et amuse ses lecteurs, ce qui est essentiel.
UN ROMAN A LIRE
La fin de l’homme blanc est un roman d’aventure très réussi. Sa composition complexe, avec différentes époques, différents styles de narration, et même des lettres –un roman épistolaire, moins ennuyeux que chez Rousseau, est inclus dans l’ensemble-, propose un puzzle agréable à reconstruire, et, ce qui est remarquable, sans effort. Nous nous permettrons seulement de conseiller une lecture continue, dans toute la mesure du possible, ce qui permet de ne pas perdre le fil directeur du récit. Quant au cœur politique du propos, force est de constater que l’auteur a raison.
Scipion de SALM

La fin de l’homme blanc de Martin PELTIER(320 pages, éditions DIE, 2018), au prix de 27 € port compris (au lieu de 5,40 €) pour les abonnés de Jeune Nation, en envoyant un chèque de 27 € à l’ordre de DIE  à l’adresse suivante :
Diffusion International Edition – 24, Le FAY – 36170 PARNAC

QUARTIER LIBRE D’HENRY DE LESQUEN AVEC YVAN BENEDETTI (VIDÉO)

Vincent Reynouard - L’antijudaïsme et moi

L’antijudaïsme et moi

Dans cette vidéo, Vincent Reynouard annonce la diffusion prochaine de sa réponse au site antirévisionniste PHDN qui critique sans ménagement ses travaux. Puis il explique pourquoi il n’éprouve nulle haine contre qui que ce soit, y compris les juifs.

Israël – Impunité pour des terroristes juifs anticatholiques ! ...

Israël – Impunité pour des terroristes juifs anticatholiques ! ...

 

Antichristianisme en Israël – Les procureurs israéliens ont annoncé renoncer aux poursuites contre deux militants juifs inculpés de différents crimes, dont l’appartenance à une organisation terroriste et le vandalisme contre une importante église de Jérusalem.
Il y a un peu plus de deux mois, ce même tribunal avait rejeté les aveux du plus jeune des inculpés.
L’agence de sécurité du Shin Bet, qui avait dirigé l’enquête, a réagi par un communiqué, indiquant que les aveux avaient été rejetés « alors qu’il ne faisait aucun doute qu’une partie importante des aveux avaient été obtenus au cours des enquêtes sans recours à des moyens inappropriés. »
« Le Shin Bet respecte la décision [de lundi] du tribunal et continuera à agir conformément à la loi pour garantir la securité du pays et contrecarrer le terrorisme, quelle que soit l’identité de ses auteurs, » ajoute le communiqué.
L’agence y voit notamment une manœuvre pour délégitimer l’unité chargée d’enquêter sur le terrorisme commis par des Juifs.
Yinon Reuveni et Yehuda Asraf étaient soupçonnés d’avoir vandalisé l’église de la Multiplication des pains et des poissons à Tabgha, sur le rivage de la mer de Galilée, à la cour de district de Nazareth le 29 juillet, 2015. Ils avaient été arrêtés en janvier 2016, dans le cadre d’une opération d’envergure du Shin Bet visant au démantèlement d’une « infrastructure terroriste » responsable de l’incendie mortel d’une maison du village palestinien de Duma en juillet 2015.
Lors de son interrogatoire, le plus jeune avait avoué être membre d’une organisation terroriste, avoir vandalisé l’abbaye de la Dormition de Jérusalem et avoir mis le feu à plusieurs véhicules dans la ville d’Aqraba dans le nord de la Cisjordanie.
Des responsables de l’abbaye de la Dormition avaient retrouvé des partis du séminaire brûlés ainsi que des graffitis haineux en hébreu sur les murs, dont « mort aux chrétiens, » « mort aux Arabes, » et « Jésus est un singe. »
L’abbaye, située près du Cénacle, a été la cible de nombreux actes de vandalisme ces dix dernières années. En 2014, quelques heures après une messe célébrée par le Pape François, des pyromanes avaient mis le feu à l’abbaye  ...

Tout ceci est conforme au talmud ! ...

DIMANCHE 28 AVRIL 2019 : 7e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À NIEPPE PRÈS DE LILLE

DIMANCHE 28 AVRIL 2019 : 7e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À NIEPPE PRÈS DE LILLE

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Toujours les mêmes menaces, les mêmes rumeurs, les mêmes discours orduriers

Toujours les mêmes menaces, les mêmes rumeurs, les mêmes discours orduriers

L’équipe de « Balance ton antisémite » me menace : elle se démène pour me voir extradé et jeté en prison. Commentant leur dernière vidéo à mon propos, un de leurs adeptes écrit : « il va être content à l’ombre, dans le rôle du garage à bites, son troufignon va prendre cher, il va jouir le Reynouard, vous êtes trop bons avec cette crapule, les gars… »

Algérie, après le chaos , bientôt la déferlante migratoire !



LA MOMIE s’obstine contre toute raison et tout bon sens. Alors que son actuel mandat présidentiel, le quatrième consécutif, expire légalement le 28 avril, le chef d’Etat algérien, Abdelaziz Bouteflika, âgé de 82 ans et souffrant depuis 2013 des conséquences d’une AVC qui l’empêchent manifestement de diriger le pays avec toutes ses facultés, entend prolonger pour une durée indéterminée l’exercice de ses fonctions. Dans un message adressé le 18 mars aux médias d’Etat algériens, à l’occasion de la « fête de la Victoire » (19 mars 1962) sur la France (en fait le largage de l’Algérie française au FLN par le traître De Gaulle), Abdelaziz Bouteflika a confirmé son intention de se maintenir au pouvoir, jusqu’à un nouveau scrutin organisé à l’issue d’un processus de révision constitutionnelle. « Que l’Algérie vive, dans un avenir proche, une transition harmonieuse et assiste à la remise de ses rênes à une nouvelle génération […] tel est l’objectif suprême que je me suis engagé à concrétiser avant la fin de mon mandat présidentiel, à vos côtés et à votre service », déclare le chef de l’Etat qui ment puisque son mandat s’achève dans quarante jours. La « Conférence nationale » chargée de changer le « régime de gouvernance » de l’Algérie et de « renouveler ses systèmes politique, économique et social » débouchera, selon Bouteflika, sur une révision constitutionnelle « globale et profonde » qui sera soumise à référendum. A l’issue de cette consultation référendaire s’enclenchera, toujours selon le chef de l’Etat, « un nouveau processus électoral qui verra l’élection d’un nouveau président ». 
Autrement dit, si Dieu lui prête vie et s’il n’est pas contraint à la démission par la pression de la rue ou par la rébellion de son entourage, Bouteflika n’est pas près de renoncer à présider le pays. La situation est évidemment ubuesque quand on sait que le chef de l’Etat ne s’est pas montré en public depuis des années, que l’on ne compte plus ses hospitalisations prolongées dans des pays dont les systèmes de soin sont bien plus performants que dans l’Algérie indépendante, comme par exemple la France, pourtant régulièrement agonie d’injures, ou la Suisse, et qu’il est maintenu en état d’assistance respiratoire par un entourage qui peut ainsi agir comme il l’entend, multiplier les manigances et se réserver moult privilèges. Les Algériens semblent avoir enfin compris, pour beaucoup d’entre eux, notamment les plus jeunes, que le pouvoir FLN se moquait d’eux et les avait conduits à la misère et à la ruine. Car malgré les revenus que lui procure le pétrole, le pays est dans une situation économique et sociale extrêmement dégradée et il devient impossible de masquer la réalité. Longtemps les dirigeants successifs du pays, accusant la France de tous les maux, ont joué à fond la carte toujours efficace du bouc émissaire mais cela fonctionne moins désormais, l’Algérie étant indépendante depuis plus d’un demi-siècle.

On peut craindre le pire dans les mois et les années qui viennent pour l’Algérie, et conséquemment pour la France, l’instabilité politique et les difficultés économiques pouvant favoriser une déferlante migratoire d’éléments jeunes dans notre pays ( et d' autant que le gouvernement actuel ne fera rien pour interdire cet envahissement !).
Les manifestations impressionnantes qui se succèdent depuis un mois dans les grandes villes d’Algérie et qui constituent une véritable marée humaine sont pour l’heure pacifiques, mais il suffirait qu’elles dérapent pour que la situation devienne explosive, insurrectionnelle et que la répression fasse de nombreuses victimes. On le voit chaque jour davantage, avoir livré en 1962, il y a cinquante-sept ans, l’Algérie au FLN, a été non seulement une grave erreur mais un véritable crime. Contre les Pieds-Noirs et les harkis massacrés et chassés de leur terre. Contre un empire colonial que l’on assassinait sans aucune contrepartie, sans rien gagner en échange.
D’aucuns prétendent encore que le gaullisme c’était le règne de la grandeur et du prestige de la France. Rien n’est plus faux. C’était en réalité le règne du vide, du néant, de l’orgueil démesuré d’un homme et de la fausse grandeur d’un régime fondé sur l’imposture. Le gaullisme est consubstantiel au mensonge, et ce mensonge a progressivement irrigué et avili tout le corps social. Ce n’est pas rien en effet d’obliger une armée à être parjure, à renoncer sur ordre à la parole donnée. Ce n’est pas rien de promettre le maintien de l’Algérie française en revenant au pouvoir en 1958 à l’issue de ce que l’on a appelé dans un oxymore un coup d’Etat légal et de faire exactement le contraire une fois aux affaires. Les défenseurs du général de brigade à titre temporaire disent que De Gaulle ne voulait pas d’un Colombey-les-deux-mosquées et que c’est la raison pour laquelle il a bradé l’Algérie, et avec elle le pétrole et le gaz du Sahara qui nous auraient pourtant donné une totale indépendance énergétique.
Or la vérité oblige à dire que la France n’a plus l’Algérie, mais qu’elle a les mosquées et les mahométans en surnombre ! Nous avons perdu un territoire vaste et magnifique, précieux stratégiquement, attachant sentimentalement, utile politiquement et en échange nous avons subi, depuis le largage de cette terre, une immigration de peuplement, continue et massive, venue essentiellement du Maghreb. Nous avons donc perdu sur tous les tableaux. Et nous avons perdu parce que nous avons donné des signes de faiblesse et de lâcheté qui nous ont valu le mépris des peuples que nous avions colonisés. 

On ne le dira jamais assez, la vie est un combat permanent. Qui refuse ce combat est déjà mort, même s’il l’ignore. Et qui n’avance pas recule. Tout dans la vie ici-bas est une lutte, contre les autres, contre soi-même, contre le monde.
L’histoire l’enseigne : si on ne colonise pas, on est soi-même colonisé. Et c’est exactement ce qui se produit depuis un demi-siècle : la France n’avançant plus, reculant, cédant des territoires, développant l’ethnomasochisme, le culte de la repentance, subit logiquement une colonisation à rebours.
Il faut être bien naïf pour croire qu’en s’enfermant sur l’Hexagone, sans dynamisme, sans vitalité, sans esprit de conquête et d’aventure, on nous laissera tranquille. Toute l’histoire des hommes professe le contraire. Ce sont les plus audacieux, les plus conquérants, les plus déterminés qui progressent et qui imposent leur domination, leur vision du monde, leur vocabulaire, leurs mœurs, leurs croyances, leurs certitudes. Sans doute la situation en Algérie nécessitait-elle à la fin des années cinquante de profondes réformes juridiques et politiques (diviser ce pays en trois départements français participait d’une vision jacobine éloignée des réalités, l’Algérie n’est pas la Corrèze !), peut-être même eût-il fallu accepter à terme, faute de mieux, le principe d’une partition, mais son largage total, et qui plus est dans des conditions humainement épouvantables, reste un crime impardonnable. Si la France avait gardé un lien juridique et politique étroit avec l’Algérie, avait continué, d’une manière ou d’une autre, à administrer ce pays et à développer ses ressources, les Algériens n’auraient eu aucune raison de venir en masse en France métropolitaine. C’est en effet le chômage, la misère et l’espoir d’une vie meilleure qui poussent tant d’Algériens à émigrer en France. 

Contrairement à ce qui se dit aujourd’hui, la colonisation fut une œuvre essentiellement positive.
Elle eut bien sûr ses défauts mais sans commune mesure avec une décolonisation qui a gravement nui tant aux anciens colonisés qu’aux ex-colonisateurs.
La faute gravissime de la IIIe République fut en revanche, par haine anti-catholique, de ne pas avoir aidé à l’évangélisation des Algériens et au contraire d’avoir favorisé par tous les moyens l’Islam.
Le père de Foucault, dans une lettre du 16 juillet 1916 à René Bazin, avait prévenu : « Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l’Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie [...]. Si nous n’avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu’ils deviennent Français est qu’ils deviennent chrétiens. Il ne s’agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, œuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.
Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. » Quelle folie de n’avoir pas écouté les conseils avisés de ce saint prêtre et de ce grand Français !

TOULOUSE : L’AUTEUR DES TAGS ANTISÉMITES EST UN GRAND AMI DES JUIFS PAR SA FEMME…

Toulouse : l’auteur des tags antisémites est un grand ami des juifs par sa femme…
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TOULOUSE : L’AUTEUR DES TAGS ANTISÉMITES EST UN GRAND AMI DES JUIFS PAR SA FEMME…

Encore une fois, et on ne les compte plus, l’auteur de tags antisémites et racistes découverts à Toulouse au mois de février et mars sur des bâtiments publics, n’a pas vraiment le portrait du « raciste » tel que le gouvernement, les médiats et le lobby voudrait le faire croire. On peut même dire, en l’espèce, qu’il est plutôt un grand ami des juifs – s’il ne l’est pas lui-même ? – et des autres « zissus de la diversité ».
C’est un vrai cas d’école de l’imposture médiatico-politique par laquelle on ne cesse d’accréditer l’idée d’une recrudescence des actes antisémites et/ou racistes attribués à des hordes de Français fanatisés, excités par une prétendu « fachosphère ». Mais les faits sont têtus. Qu’on en juge !
C’est l’ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Villejuif. Les médiats toulousains le désigne pudiquement comme « Christian N. », pas de nom… Une pudeur qui tranche avec les habitudes médiatiques lorsque les auteurs d’actes racistes ou antisémites peuvent être rattachés à « l’extrême-droite ».  Quand la meute de lumière parvient à attraper dans ses rets quelqu’un qu’elle peut faire passer pour un dangereux antisémite, elle n’y va pas avec le dos de la cuillère. Elle accumule généralement trop de frustrations pour faire preuve de tempérance dans les moments où elle se donne le droit de se défouler. Alors, quand la police républicaine, la LICRA, le CRIF, les associations de Mémoire, les clubs shoatiques, les Frères la tolérance, ont sous la main l’un de leurs boucs émissaires, ils le saignent à blanc.
À 64 ans, ce retraité de la Fonction publique dénote dans le box des prévenus du tribunal correctionnel de Toulouse.
En couple avec une femme qui appartient à la communauté juive de Toulouse, il « ne s’explique pas » comment il a pu inscrire des phrases à connotation racistes et antisémites sur des bâtiments publics.
Des banques, mais aussi les écoles municipales du quartier des Sept Deniers qui ont été prises pour cible le 11 mars dernier, au petit matin, à grand renfort d’aérosols de peinture et de « propos odieux », note le procureur ce lundi. « Associer les termes juifs et francs-maçons au dessin d’une croix gammée sont des faits très graves ». Il requiert notamment 2 ans de prison avec sursis et mise à l’épreuve ainsi qu’une obligation de soins. En effet, le prévenu reconnaît avoir un problème d’addiction pour lequel il est suivi et soigné. « Mais ce matin-là, j’ai rechuté et bu du whisky. Associé avec le puissant psychotrope, ça m’a rendu fou », explique-t-il.
Ben voyons, puisqu’il n’a pas vraiment le profil du beauf raciste, alors faisons-en un « déséquilibré », la chansonnette bien connue…
Brun, tassé dans un pull-over beige, le sexagénaire reste calme pour tenter de comprendre comment il a pu inscrire ce genre de propos sur les juifs, les francs-maçons, mais aussi les Arabes qu’il voulait voir « dehors », à en croire l’un des six graffitis relevés ce 11 mars.
« Je fête Kippour chaque année, j’amène ma femme à la synagogue. J’ai des amis musulmans et j’ai eu l’occasion de rencontrer des francs-maçons au cours de ma carrière : je n’ai rien contre ces gens ».
Seul moment où il manque de s’agacer : l’évocation des 41 armes saisies chez lui en perquisition. « Toutes déclarées car je suis chasseur », rappelle-t-il au président Didier Suc qui évoque un « arsenal inquiétant ». Pour l’avocate de la Caisse d’épargne, dont l’agence route de Blagnac a été ciblée par une croix gammée, le prévenu voulait « crier sa haine avec des dessins ignobles ». Du côté des écoles municipales, c’est la mention « Corruption » avec des lettres « d’au moins 1 mètre de haut » qui a été inscrite à la bombe de peinture. Le retraité avait justement été condamné à Paris à 3 ans de prison avec sursis pour ces faits précis. « Il en veut aux institutions », estime l’avocate de la partie civile.
Du côté de la défense, Me Ludovic Sérée de Roch décrypte plutôt un homme en « désœuvrement », « il a un cursus brillant et exemplaire. C’est un ancien major de Fermat et il a fait toutes les grandes écoles ».
« Il est très bien intégré au sein de la communauté juive de Toulouse. Il n’est pas un skinhead, un néonazi ou un antisémite de cité. Il n’entre pas dans les schémas traditionnels et n’a aucun antécédent de ce type. Il y a un côté maladif ou tout du moins, irrationnel dans ses actes ».
Seulement poursuivi pour les faits de dégradations, l’ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Villejuif devra s’expliquer des faits d’incitation à la haine le 25 avril prochain. « Je déteste le Front national ! », lance-t-il au président, Didier Suc.

On « saucissonne » les poursuites, technique judiciaire bien connue pour noyer le poisson, minimiser la portée des faits, en diluer l’impact médiatique…

Le tribunal de Toulouse vient de le condamner à 6 mois de prison ferme avec maintien en détention : 3 ans de prison dont 30 mois avec sursis. En outre, il a interdiction de porter une arme soumise à autorisation pendant trois ans.

HENRY DE LESQUEN – MON STAGE AU MÉMORIAL DE LA CHOAH (VIDÉO)

Samedi 6 avril, de 10 h à 18 h 30, à Paris : 6e colloque de l'Institut Iliade

Samedi 30 mars : 3e fête du Pays réel à Rungis

Samedi 30 mars : 3e fête du Pays réel à Rungis

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Expliciter et proclamer la richesse de l’identité française

Expliciter et proclamer la richesse de l’identité française

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Alors qu’elle devrait être un sujet de consensus, l’identité nationale est paradoxalement devenue une cause de polémique. Le Système cherche à occulter tout débat à son sujet et, quand il est contraint d’aborder la question, il réduit notre identité à un simple panel de prétendues valeurs. Aussi Ligne droite estime-t-elle indispensable que les Français reprennent conscience de la richesse de leur identité et que celle-ci soit dès lors clairement explicitée et proclamée. La France, c’est un peuple européen, une culture d’origine gréco-romaine, une religion chrétienne, un territoire au cœur de l’Europe, le tout sublimé par une histoire qui a fait de notre nation sinon la première sur le continent, en tout cas la synthèse la plus accomplie du monde européen.

L’identité, un sujet tabou

Parce que l’identité est un sujet tabou du politiquement correct, les Français ne savent plus qui ils sont. Ils ont bien sûr une conscience intuitive plus ou moins prononcée de leurs origines et de ce qu’est leur patrie. Mais il n’y a plus rien d’explicite ni de formalisé. Et pour cause, tout est fait par le Système pour occulter la réalité de l’identité française. Que ce soit à l’école, dans les médias ou chez les politiques, la France n’est plus qu’une abstraction théorique.

Une identité réduite à de prétendues valeurs

Pour les docteurs de la pensée unique, l’identité de notre pays se réduit en effet à un ensemble de valeurs qui représenteraient non seulement notre patrimoine commun mais aussi l’essence même de ce que nous sommes. Aussi peut-on affirmer sans beaucoup simplifier que, pour eux, la France est un territoire régi par l’état de droit, les valeurs de la République et les droits de l’homme. C’est pourquoi n’importe quel individu habitant dans l’Hexagone a vocation selon eux à être français pour peu qu’il communie dans ces prétendues valeurs.

L’identité de la France, une réalité complexe

Faut-il à ce stade souligner l’absurdité d’une telle conception ? Si l’identité de la France se limitait à un ensemble de valeurs, en quoi se différencierait-elle de tous les autres pays qui se réfèrent eux aussi aux droits de l’homme et à la démocratie ?
La vérité est que l’identité de la France s’avère une réalité beaucoup plus complexe et plus exclusive. Sans doute n’est-elle pas facile à mettre en équation mais on peut tenter de l’approcher par la prise en compte de quatre données fondamentales.

Un peuple européen

La première donnée, ce sont les Français eux-mêmes, c’est-à-dire le peuple qu’ils forment depuis les origines de notre nation et qui, de par ses racines gallo-romaines, germaniques, celtiques et nordiques, se révèle fondamentalement européen et donc de race blanche. Une réalité ethnique demeurée inchangée jusqu’au milieu du siècle dernier et qui constitue le fonds identitaire que notre nation partage avec ses voisins européens.

Une culture d’origine greco-latine

La seconde composante est bien sûr la culture française, un trésor d’une incroyable richesse qui s’enracine dans son héritage grec et romain et qui s’est déployé pendant des siècles dans tous les domaines de l’art et de la science. Forgée autour de notre langue, le français, elle a rayonné dans le monde, forçant bien souvent l’admiration des étrangers.

Une religion, le christianisme

Quant à la troisième donnée, il s’agit du christianisme qui a été pendant quinze cents ans la religion dominante de notre nation. Aussi, que l’on soit chrétien ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier aujourd’hui le rôle majeur que cette religion a joué dans la formation de notre pays. N’a-t-elle pas pendant des siècles couvert notre sol d’églises et de cathédrales admirables et, au-delà, marqué la conscience, la culture et l’histoire des Français ?

Un territoire forgé par la volonté et le sacrifice

Enfin la dernière composante est bien sûr le territoire de notre pays qui constitue un espace privilégié au cœur de l’Europe. Un territoire d’une étonnante richesse et d’une grande beauté qui a profondément contribué à forger l’identité de ceux qui y ont vécu. Un territoire dont les frontières se sont fixées progressivement au fil des siècles par la volonté de ses rois et de ses chefs et grâce aussi au sang versé par ceux de nos ancêtres qui se sont battus pour l’agrandir ou le défendre.

Une histoire qui a tout sublimé

Mais ces quatre composantes ne seraient rien sans l’histoire qui, au fil des siècles, a brassé tous ces atouts culturels, territoriaux, ethniques et religieux pour façonner ce pays qui est le nôtre et dont nous avons hérité. Une histoire qui ne commence pas en 1789 mais plonge ses racines dans notre lointain passé. Tantôt douloureuse, tantôt grandiose, elle a conduit aux pires épreuves comme aux plus grandes gloires et, à la manière d’une mystérieuse alchimie, a forgé cette nation qui n’est semblable à aucune autre et dont nous devons être fiers.

Une synthèse de la réalité européenne

Une nation qui a de plus cette particularité étonnante d’être la synthèse de tout ce que représente l’Europe. Appartenant à la fois au Nord et au Sud, ouverte sur l’Océan comme sur le cœur du continent, elle a reçu les influences de tous les foyers culturels européens. Des apports qu’elle a su assimiler et sublimer pour édifier cette identité qui permet aujourd’hui d’affirmer que l’Europe n’existerait pas sans la France.

Une âme, un principe spirituel

Cette réalité de notre identité nationale, à la fois culturelle, religieuse, ethnique, territoriale et historique, est apparue pendant des siècles tellement évidente que personne ne songeait à l’expliciter. Et beaucoup considéraient comme Renan qu’à côté des réalités visibles telles « la race, la langue ou les affinités religieuses » il y avait comme « une âme, un principe spirituel » qui s’exprimait par « un fait tangible … le désir clairement exprimé de continuer la vie commune ».

Le refus du Vivre ensemble

Même imparfait ou incomplet, l’énoncé explicite de l’identité de notre nation se révèle capital car il permet de comprendre que c’est dans ses différentes composantes que l’identité de la France est aujourd’hui attaquée. Ainsi, la dimension ethnique du peuple français se trouve clairement mise en cause par l’afflux de populations extra européennes. La composante chrétienne de notre identité est de son côté fragilisée par la concurrence d’un islam en pleine expansion qui cherche à s’imposer. Quant à sa composante culturelle, elle est compromise par la montée migratoire mais aussi par la pression anglo-saxonne et par le processus de déconstruction des valeurs orchestré par la nouvelle gauche.
Même la formule de Renan résonne aujourd’hui comme un sinistre avertissement. Si au bout du compte en effet notre identité nationale devait n’être qu’une volonté de vivre ensemble, elle n’existerait déjà plus puisqu’en dépit du slogan sans cesse martelé par les porte-parole du Système, il est clair qu’entre les Français d’origine et les populations immigrées il n’y a aucune volonté de vivre ensemble. Les premiers cherchent par tous les moyens à ne pas vivre avec les seconds lesquels préfèrent de leur côté vivre entre eux comme chez eux.
Aussi, pour défendre l’identité française, Ligne droite estime-t-elle aujourd’hui indispensable de l’expliciter et de la proclamer telle qu’elle apparaît dans toute la richesse de ses différentes composantes. Les Français doivent reprendre conscience de ce qu’ils sont

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