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jeudi 25 janvier 2018

Selon la Cour de cassation, les Femen peuvent outrager des manifestants catholiques en toute tranquillité – mieux, l’AGRIF va devoir les y aider en versant 3 000 euros pour couvrir leurs frais d’avocat !

Jeanne Smits, vice-présidente de l’AGRIF, communique :

La Cour de cassation a rejeté, le mardi 23 janvier, le pourvoi formé par l’AGRIF contre la décision de relaxe des Femen par la Cour d’appel de Paris dans l’affaire de la manifestation contre le « mariage pour tous » à Paris le 18 novembre 2012. L’AGRIF les poursuivait pour obtenir réparation des injures qu’un groupe de ces féministes au poitrail dénudé avaient proféré de diverses manières à l’égard des catholiques en faisant violemment irruption dans le cortège.

La Cour de cassation a rendu un arrêt qui doit inciter à se demander si les lois « antiracistes » ne sont pas bonnes à mettre au rebut.
Eloïse Bouton, Fanny Fraslin, Sarah Heulin, Valérie Rousell et Inna Schevchenko ont obtenu une décision qui les reconnaît comme auteurs d’injures, s’étant affublées de coiffes de religieuses pour mieux tourner ces dernières en ridicule, mais aussi de slogans et de gestes « pour partie obscènes ». Mais la Cour justifie cela au motif de « deux libertés d’expression » en « conflit » le jour de la manifestation, « dans des formes qui demeurent tolérables dans une société démocratique ».

Oui, elles arboraient les mots « Fuck Church » sur leurs torses, mais le « plus violent » de leurs slogans « s’adressait à une institution et non à une ou plusieurs personnes déterminées », et si les propos des Femen ont pu « choquer les personnes présentes dans leurs convictions religieuses, ils ne revêtaient toutefois pas un caractère injurieux à l’égard de celles-ci en raison de leur appartenance à cette religion », assurent les magistrats.

Relisez cette phrase : elle signifie qu’on peut injurier un catholique en s’attaquant à sa mère, l’Eglise, sans lui faire de tort et en toute impunité.

L’AGRIF est condamnée à payer 1.500 euros à Sarah Heulin, et autant aux quatre autres Femen ensemble, pour les dédommager de leurs frais.

Les arrêts se suivent et ne se ressemblent pas. Après ses deux récentes victoires judiciaires, cette décision aux attendus étonnants oblige l’AGRIF à constater que la protection des droits des chrétiens en France est plus qu’aléatoire. Les « institutions » ont bon dos !

Source 

Ernst Nolte : une réflexion marquante sur la pensée totalitaire


Ce n’est qu’au milieu des années 1980 que le grand public a connu le nom d’Ernst Nolte, l’un des plus grands spécialistes des totalitarismes du XXe siècle. Dans un article de la Frankfurter Allgemeine Zeitung du 6 juin 1986, « Un passé qui ne veut pas passer », il s’était interrogé, une fois de plus, sur les origines de l’idéologie génocidaire qui avait conduit aux horreurs de l’holocauste. Et il pointait, outre le génocide arménien, le « meurtre de classe » perpétré par les Soviets auquel répondait le « meurtre de race » des nazis. C’était, sans vouloir nier aucunement l’unicité de la Shoah, établir un parallèle entre communisme et fascisme. Un crime contre la bien-pensance, aux yeux d’un certaine gauche, qui, emmenée par Jürgen Habermas, accusait aussitôt Nolte, mais aussi d’autres historiens de renom comme Andreas Hillgruber ou Michael Stürmer, de vouloir blanchir le passé allemand. 

Querelle des historiens
 
La polémique, connue comme « querelle des historiens » (Historikerstreit) a rapidement dépassé le milieu des spécialistes, un peu comme celles qui, en France, ont entouré Le passé d’une illusion de François Furet, en 1995, ou Le Livre noir du communisme, en 1997, de Nicolas Werth et de Stéphane Courtois. Les pièces du dossier ont été réunies pour le lecteur français dans un volume des éditions du Cerf, Devant l’histoire. Les documents de la controverse sur la singularité de l’extermination des Juifs par le régime nazi (1988), auquel il faut ajouter l’échange entre François Furet et Ernst Nolte, Fascisme et communisme (1989), ainsi que la lumineuse mise au point d’Alain Besançon, Le malheur du siècle : sur le communisme, le nazisme et l’unicité de la Shoah (1998).
Ernst Nolte est né en 1923. S’il n’avait pas souffert d’un handicap physique qui le rendait inapte au service militaire, il eut évidemment été mobilisé. Au lieu de faire la guerre comme ses futurs collègues Andreas Hillgruber ou Reinhart Koselleck, il étudia notamment à l’université de Freiburg, chez Martin Heidegger. Mais l’histoire du XXe siècle l’attirait plus que la philosophie et c’est à elle qu’il a consacré sa vie, dans l’espoir d’éclaircir tant que soit peu les origines des catastrophes qui se sont abattues sur lui.
La nécessité d’une conscience historique <>Son premier grand ouvrage, Le Fascisme dans son époque, parut en allemand en 1963 et en français en 1970. Trois volumes, consacrés respectivement à L’Action française, au Fascisme italien et au National-socialisme, étudiés pour la première fois comparativement. Ils ont été republiés par Stéphane Courtois dans la collection « Bouquins » (2008), complétés d’articles prolongeant une enquête qui a finalement abouti à la grand synthèse, La guerre civile européenne (1917-1945) parue en 1987 et traduite en 2000.
Après la querelle des historiens, la gauche bien-pensante, toujours fortement implantée dans certaines facultés allemandes, a essayé de reléguer Ernst Nolte, qui a terminé sa carrière à la Freie Universität de Berlin, sur le banc des réprouvés. Mais ses livres, dont beaucoup ont été traduits dans de nombreuses langues, reparaissent peu à peu en édition de poche et finiront par atteindre le grand public. Peu avant sa mort, le 18 août 2016, il a publié une sorte de testament intellectuel, Historische Existenz, zwischen Anfang und Ende der Geschichte ? (2015), dans lequel il insiste une nouvelle fois sur l’absolue nécessité d’une conscience historique dans la constitution d’une identité humaine. Car c’est en grandissant hors sol que les hommes deviennent les proies désignées des idéologies totalitaires. 

Robert Kopp

 Source

Nasrallah sur le trafic de drogue du Hezbollah et le soutien de Spielberg à Israël / Poutine sur Kim-Jong Un

mercredi 24 janvier 2018

Livre - Franck Buleux - Savitri Devi


Savitri Devi (1905-1982):«L'histoire humaine, loin d'être une ascension continue vers le mieux, est un processus de plus en plus désespéré d'abâtardissement, d'émascula­tion et de démoralisation de l'humanité, une chute inexorable.» (The Lightning and the Sun.) Française d'origine gréco-anglaise, Maximiani Portas fut une femme sans frontières. Son existence fut consacrée à la quête permanente du moteur mystique du monde, à travers des traditions a priori diverses: hellénisme, hindouisme, aryanisme, monothéisme de l'Égypte antique, paganisme ancestral... Elle fit d'Adolf Hitler un avatar de Vishnou qui aurait dû permettre le rétablissement d'une société de castes et restaurer l'âge d or. Convertie à l'hindouisme, installée en Inde dès 1932, elle y épousa un brahmane en septembre 1939 et, en l'honneur de la divinité solaire féminine, adopta le nom de Savitri Devi. Pour cette femme aux origines mêlées, l'hindouisme était la survivance du paganisme indo-européen et représentait une véritable résistance au christianisme, religion considérée comme décadente car empreinte d'universalisme. Acquise au végétarisme, Savitri Devi fera de la protection animale le combat de sa vie. Les animaux et leurs droits deviendront, dès 1945, sa principale préoccupation, directement reliée au rejet des anthropomorphismes monothéistes. Son panthéisme spirituel mêlé au rejet du spécisme influença les milieux écologistes radicaux, partisans de l'« écologie profonde » (deep ecology). Cette adoratrice de la Nature a aussi inspiré de nombreux milieux nostalgiques du IIIe Reich (Souvenirs et réflexions d'une Aryenne) ou hostiles à l'anthropocentrisme, au monde moderne. Morte en Angleterre, son corps fut incinéré en Virginie.

 Biographie de l'auteur

Chargé d'enseignement, Franck Buleux est passionné d'histoire et, plus particulièrement, par celle de la région normande d'où il est originaire. Diplômé en histoire, en droit, en sciences politiques et en criminologie, l'histoire des idées est un de ses centres d'intérêt. Ses recherches personnelles l'ayant amené à relever la présence de Savitri Devi sur le territoire normand au début des années 1970, il n a pu donc que s'intéresser à l'ensemble de ses écrits, mais aussi à sa vie controversée. Il a obtenu, en 2016, le prix André-Maurois décerné par la Société des écrivains normands pour son essai sur la Normandie. Il a signé la préface de la réédition de Mesure de la France, un des premiers essais de Pierre Drieu La Rochelle, aux éditions Pardès.
Une recension de l'ouvrage vient d'être effectuée par la revue "Faits et Documents" 

13e Marche pour la vie en direct ! (fin du direct)


Communiqué final de la Marche pour la vie :
Dimanche, 40 000 personnes ont marché pour la vie dans les rues de Paris malgré la pluie.
"Cette année sera marquée par la révision de la loi de bioéthique, qui prépare des transgressions majeures. Nous sommes heureux de cet engouement populaire pour la vie, qui montre que la bataille est loin d'être perdue", déclare Nicolas Sevillia, délégué général de la Marche pour la Vie.
17h30 : aux journalistes qui demandent un chiffre il est répondu 220 000... Oui 220 000 avortements en France chaque année! 
Nous étions environ 40 000 à affronter les éléments climatiques et surtout de nombreux jeunes, qui, 43 ans après l'abominable Loi Veil, marchent pour demander le respect de toute vue humaine et l'abolition de l'avortement. 

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Au Trocadéro :
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17h10 :
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Le système a été bloqué quelques heures... :
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Délégation du SIEL :
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Avec Cécile Edel et Karim Ouchikh :
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Carl Lang et Myriam Baeckeroot :
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Les Polonais sont avec nous : 
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16h20 : la fin de colonne part seulement de la place Dauphine !
La jeunesse est au rendez-vous :
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Le personnel soignant refuse de tuer :
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Les Irlandais sont venus défendre la vie : 
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Les Femens sont venues ... habillées! 
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16h00 :
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La pluie n'a pas arrêté la foule :
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15h15 :
Cécile Edel :
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Voici le discours de Cécile :
Chers amis,
Merci, merci à vous, marcheurs d’hier, d’aujourd’hui et de demain d’avoir encore répondu présents à l’appel de la Marche pour la Vie.
Cette marche, comme le soulignait vendredi, Donald Trump, à Washington « est un mouvement né de l’amour parce que nous aimons nos familles, nous aimons nos voisins, nous aimons notre nation. Et surtout parce que nous aimons tous les enfants, nés ou à naître ». Cette marche est née de l’amour parce que « nous savons que la vie est le plus grand miracle de tous, nous le voyons dans les yeux de chaque nouvelle mère. »
Alors OUI, merci d’être toujours là pour faire de cette marche le témoignage vivant que la loi du 17 janvier 75 qui a légalisé l’avortement en France ne fait, 43 ans plus tard, en aucune manière l’unanimité.
Quelle loi française, en effet, suscite, deux générations plus tard encore autant d’opposition ? Quelle loi, presqu’un demi-siècle après sa promulgation, fait encore descendre dans la rue des dizaines de milliers de personnes, toutes générations confondues ? AUCUNE !
Pourquoi l’avortement, alors que tant de personnes souhaiteraient définitivement enterrer le débat, fait encore débat aujourd’hui ?
La réponse est aussi élémentaire et lumineuse que la vérité qu’elle déclare.
Il est des vérités, des principes simples au-dessus des lois civiles, qui transcendent et s’imposent à elles.
-La vie humaine est sacrée, toute vie humaine est sacrée, chaque vie humaine est sacrée, quel que soit le degré de sa fragilité, quel que soit son état.
L’existence et la dignité d’un être humain aussi fragile soit-il ne dépend ni du désir de ses parents, ni de leur projet parental et encore moins de l’exercice d’une quelconque liberté.
-L’embryon est un être humain à part entière digne de respect. Sa vie n’appartient ni au corps médical, ni à l’état, ni à la science, ni même à ses parents.
Nous refusons ce retour au temps de l’esclavage où la vie d’un homme pouvait appartenir à un autre. Nous refusons ce retour à ces époques obscures de notre histoire où il avait été décidé que certaines catégories d‘hommes n’appartenaient plus à l’espèce humaine ? Considérés alors comme des choses, ces hommes n’avaient plus aucun droit.
Chers amis, nous marchons aujourd’hui parce que :
-nous refusons catégoriquement ce discours idéologique ambiant , cette pensée unique imposée depuis des décennies par nos politiques, nos gouvernants, par les médias..ce dictat de la pensée qui nous ordonne de croire que l’avortement ce n’est rien, que la loi de 75 est devenue une loi sacrée devant laquelle nous devons nous prosterner !
-nous refusons que le ventre maternel devienne l’endroit le plus dangereux au monde pour un enfant alors qu’il devrait être au contraire le lieu le plus sûr.
A l’heure ou s’ouvrent les états généraux de la bioéthique nous proclamons que :
  • Le droit à la vie ne saurait tolérer aucun compromis.
  • La liberté de tuer n’est en aucun cas une liberté car elle réduit l’homme à l’esclavage.
  • L’avortement n’est pas une libération mais un drame collectif et personnel. Trop de femmes sont laissées seules face à ce choix, trop de femmes souffrent.
  • L’avortement est en fait permis de tuer, mis dans la loi sous couvert de la liberté des femmes.
Mais de quelle liberté parle-t-on lorsque la vérité de ce qu’est l’avortement est volontairement cachée aux femmes, lorsque les pressions sont telles que certaines d’entre elles ont le sentiment de ne pas avoir le choix et vont avorter comme certains animaux vont à l’abattoir, résignées, affaiblies, anéanties... ?
De quelle liberté parle-t-on quand certains médecins refusent de montrer l’échographie aux mamans pour ne pas les culpabiliser au cas où elles décideraient d’avorter ?
Une femme, lorsqu’elle est enceinte, a besoin d’être entourée, d’être aimée, d’être rassurée, en aucun cas elle n’a besoin d’un permis de tuer ! Sacrifier l’autre à n’importe quel stade de sa vie, n’a jamais été un acte d’amour. On se sacrifie soi-même par amour pour l’autre ou pour une cause mais on ne sacrifie pas l’autre par amour !
Alors maintenant, à chacun je m’adresse aujourd’hui :
  • Tous ici présents, êtes-vous prêts, à temps et à contre temps, à témoigner de la beauté et la dignité de toute vie humaine ?
  • Vous, professionnels de santé êtes-vous prêts à affirmer publiquement que votre vocation n’est pas de supprimer le malade mais de vaincre la maladie, que votre vocation n’est pas de tuer mais de soigner ! Etes-vous prêts à vous lever pour proclamer : « nos mains ne tueront pas ! »
  • Vous, couples, futurs parents, êtes-vous prêts à accueillir la vie de celui qui vient, même si celui-ci est différent, même s’il est porteur de handicap ?
  • Vous, hommes, jeunes hommes, êtes-vous prêts à prendre vos responsabilités de père en acceptant ce bébé qui arrive par « surprise », et en soutenant sa mère, même si ce n’était pas au départ votre projet de vie ?
  • Vous femmes, sentinelles de l’invisible, êtes-vous prêtes à accueillir, quelles que soient les circonstances, cette vie en vous ? Etes-vous prêtes à dire un grand oui à la vie ?
  • Vous parents, êtes-vous prêts à transmettre à vos enfants le respect inconditionnel de tout vie humaine ?
  • Et vous, jeunes de la nouvelle génération, êtes-vous prêts à vous lever pour reprendre le flambeau du combat pour la Vie ?
Enfin, je veux m’adresser à vous tous ici présents : Chers amis, faites-vous suffisamment confiance en la vie, pour construire un nouveau monde dans lequel la meilleure place sera réservée aux plus fragiles , aux plus vulnérables, un monde dans lequel la culture de vie aura triomphé de la culture de mort ?
Alors, forts de cette espérance et de cette confiance en la vie qui nous habite, je vous appelle à marcher maintenant avec cette conviction profonde que :
« Nous ne lâcherons pas, nous ne trahirons pas, nous ne renoncerons pas, et nous gagnerons, nous l’emporterons ! »
Jérôme Triomphe :
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Tugdual Derville :
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Marek Jurek et Bernard Antony :
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15h00: Marek Jurek à la tribune :
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14h45:
Mgr Aillet est présent :
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Tugdual Derville:
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La foule a envahi la place Dauphine :
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Émile répond encore à la presse :
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Les bénévoles sont prêts :
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14h10 : Madeleine, infirmière,  témoigne de l'avortement devant la presse. C'est traumatisant de voir des cadavres de bébés. Elle évoque aussi le manque de liberté du personnel soignant, obligé de pratiquer des avortements. 
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14h05 : Frédéric Espieux, coordinateur général de la Marche annonce que près de 1000 bénévoles,  la plupart très jeunes,  se sont engagés sur cet événement. 
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14h00 : Nicolas Sevillia indiqueà la presse que la haine n'est pas de notre côté. Ce matin le bus de Rennes a été caillassé par des extrémistes de gauche et un passager à été blessé. 
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Lire l'article du Télégramme. Extrait :
"On attendait le car, témoigne un passager rennais. Quand il est arrivé, on est monté à bord et le car a été encerclé par une cinquantaine de manifestants. Visiblement, ils savaient qu’on allait embarquer à cet endroit".
Les manifestants, pour la plupart encagoulés ou portant un foulard, posent immédiatement des barrières à l’avant et à l’arrière du car pour le bloquer. L’un d’eux jette un fumigène à l’intérieur du car. La fusée incandescente rebondit sur une vitre et atterrit sur un siège occupé par un homme. Celui-ci parvient à se dégager mais son manteau est brûlé. Le pull-over d’une jeune femme est également brûlé tout comme le siège, très endommagé. Les passagers parviennent heureusement à rejeter le fumigène à l’extérieur au bout d’une quinzaine de secondes ! Une personne fait alors un malaise et est contrainte de sortir pour respirer un peu d’air frais avant de reprendre sa place à bord."
13h50 : Émile Duport, vice président de La Marche pour la vie présente les nouveaux visuels.
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13h30 : A Porte Dauphine, les bénévoles sont à pied d'oeuvre depuis ce matin pour préparer cette nouvelle marche pour la vie, après avoir entendu la messe tôt à la chapelle du Val de Grâce. 
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L'abbé Hubert Lelièvre, délégué épiscopal à la famille du diocèse d'Avignon, représente Mgr Cattenoz.
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Si le soleil est bien absent, la température est douce et la pluie se fait discrète.  A la sono résonne un air des Cranberries...
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En conférence de presse Me Triomphe exprime ses réserves sur la loi Leonetti.
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Le député polonais Marek Jurek présente le projet de loi polonais en faveur de la vie, soutenu par un consensus polonais :
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