BREIZATAO
Comme nous l’annoncions le 31 octobre 2016, l’imam salafiste de Brest affilié aux Frères Musulmans (source)
avait entamé un pseudo cursus universitaire en coordination avec le
ministère de l’Intérieur et l’aide du PS en Bretagne afin de le blanchir
aux yeux de l’opinion et ainsi poursuivre sa politique d’alliance avec
les islamistes.
Objectif : fournir un « Diplôme Universitaire » (DU) à Rachid Abou Houdeyfa et l’institutionnaliser. En
Bretagne, le Parti Socialiste Français joue un rôle moteur dans
l’alliance avec les Frères Musulmans et c’est sans surprise l’ancien
ministre socialiste et ex-maire de Roazhon (Rennes), Edmond Hervé, qui a
présidé à la remise du diplôme précité au prêcheur salafiste...
Le
prédicateur salafiste Rachid Abou Houdeyfa aux côtés de ses parrains
socialistes et gouvernementaux lors de sa remise de « diplôme »
frauduleuse
Le
journal socialiste « Le Télégramme », allié à la mairie socialiste de
Brest, s’est livré à la promotion de ce tour de passe-passe
politico-administratif (source) :
Rachid El Jay, plus connu sous le nom de Rachid Abou Houdeyfa, s’était en effet inscrit à cette nouvelle formation déployée par l’université rennaise. Une promotion de neuf femmes et six hommes qui ont choisi pour parrain l’ancien maire de Rennes et ministre socialiste Edmond Hervé. La remise du diplôme s’est faite en présence de ce dernier, tout comme du préfet de Bretagne Christophe Mirmand et du président de l’Université de Rennes 1 David Alis.
Nous l’avions déjà expliqué à cette époque, une telle délivrance est parfaitement illégale, le prédicateur islamiste ne disposant pas du niveau d’études nécessaire (lire ici).
Rachid El Jay s’expose donc à une procédure d’annulation devant le
tribunal administratif si des citoyens vigilants décident de faire
tourner court cette grossière manipulation socialiste au profit du
prédicateur islamiste.
La presse d’état, Le Télégramme et Ouest-France en tête,
se livre sur ordre à une campagne de réhabilitation de cet agitateur
religieux, conformément à la politique d’indigénat progressivement mise
en oeuvre sur le territoire français et breton par le gouvernement
central.
Son
objectif : créer un système d’administration parallèle des populations
afro-musulmanes en s’appuyant sur les islamistes, Frères Musulmans en
tête.
Cette politique du ministère de l’Intérieur et du Parti Socialiste repose sur l’approche du fait accompli
et n’a à ce stade aucun caractère officiel. La population bretonne se
voit imposer cette politique par le gouvernement central et ses relais
politiques et médiatiques « régionaux ».
Ainsi
donc, celui dont l’ancien Président de la République François Hollande
disait qu’il prêchait dans un « lieu de haine » ne s’est jamais aussi
bien porté qu’en 2017 et ce grâce au soutien inconditionnel du Parti
Socialiste en Bretagne.