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dimanche 21 janvier 2018

Le gouvernement, avec l’appui du PS, fait illégalement délivrer un « diplôme » pour blanchir l’imam salafiste de Brest qui légitimait le viol des femmes non-voilées .



BREIZATAO
Comme nous l’annoncions le 31 octobre 2016, l’imam salafiste de Brest affilié aux Frères Musulmans (source) avait entamé un pseudo cursus universitaire en coordination avec le ministère de l’Intérieur et l’aide du PS en Bretagne afin de le blanchir aux yeux de l’opinion et ainsi poursuivre sa politique d’alliance avec les islamistes.

Tentative gouvernementale grossière de réhabilition du prédicateur salafiste
Objectif : fournir un « Diplôme Universitaire » (DU) à Rachid Abou Houdeyfa et l’institutionnaliser. En Bretagne, le Parti Socialiste Français joue un rôle moteur dans l’alliance avec les Frères Musulmans et c’est sans surprise l’ancien ministre socialiste et ex-maire de Roazhon (Rennes), Edmond Hervé, qui a présidé à la remise du diplôme précité au prêcheur salafiste...
Le prédicateur salafiste Rachid Abou Houdeyfa aux côtés de ses parrains socialistes et gouvernementaux lors de sa remise de « diplôme » frauduleuse

Le journal socialiste « Le Télégramme », allié à la mairie socialiste de Brest, s’est livré à la promotion de ce tour de passe-passe politico-administratif (source) :
Rachid El Jay, plus connu sous le nom de Rachid Abou Houdeyfa, s’était en effet inscrit à cette nouvelle formation déployée par l’université rennaise. Une promotion de neuf femmes et six hommes qui ont choisi pour parrain l’ancien maire de Rennes et ministre socialiste Edmond Hervé. La remise du diplôme s’est faite en présence de ce dernier, tout comme du préfet de Bretagne Christophe Mirmand et du président de l’Université de Rennes 1 David Alis.
Nous l’avions déjà expliqué à cette époque, une telle délivrance est parfaitement illégale, le prédicateur islamiste ne disposant pas du niveau d’études nécessaire (lire ici). Rachid El Jay s’expose donc à une procédure d’annulation devant le tribunal administratif si des citoyens vigilants décident de faire tourner court cette grossière manipulation socialiste au profit du prédicateur islamiste.
La presse d’état, Le Télégramme et Ouest-France en tête, se livre sur ordre à une campagne de réhabilitation de cet agitateur religieux, conformément à la politique d’indigénat progressivement mise en oeuvre sur le territoire français et breton par le gouvernement central.
Son objectif : créer un système d’administration parallèle des populations afro-musulmanes en s’appuyant sur les islamistes, Frères Musulmans en tête.
Cette politique du ministère de l’Intérieur et du Parti Socialiste repose sur l’approche du fait accompli et n’a à ce stade aucun caractère officiel. La population bretonne se voit imposer cette politique par le gouvernement central et ses relais politiques et médiatiques « régionaux ».
Ainsi donc, celui dont l’ancien Président de la République François Hollande disait qu’il prêchait dans un « lieu de haine » ne s’est jamais aussi bien porté qu’en 2017 et ce grâce au soutien inconditionnel du Parti Socialiste en Bretagne.