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lundi 31 octobre 2011

Etre Français, c’est ne pas être Américain



Christian Bouchet 
Tribune libre
Etre Français, c’est ne pas être Américain Ce texte est issu de Qu’est-ce qu’être Français ? thème du dossier central du dernier numéro de Flash (29 janvier)

Quand le rédacteur en chef de Flash m’a demandé : « Pour toi Christian, qu’est-ce qu’être Français ? », je lui ai immédiatement répondu : « C’est ne pas être Américain. »

J’ai ensuite réfléchi à cette réponse presque instinctive et j’en ai conclu que, comme souvent, la raison et l’instinct se complétaient.

Etre Français, c’est aimer Andréa de Nerciat et non pas les gonzo ; c’est parler de sexe et non pas de genre, c’est être prêt à se damner pour des talons aiguilles et des bas couture, c’est apprécier le vin de châteaux et de crus et non pas celui de cépage, c’est aimer les « fromages qui puent » et non pas ceux pasteurisés vendus sous cellophane.

Etre Français, c’est aussi penser que l’allure vaut mieux que le compte en banque… C’est , tout en appréciant De Funès et Bourvil, croire qu’il existe une littérature et un cinéma dont la réussite ne se mesure pas au volume de son audience mais à sa qualité.

Etre Français, c’est avoir une conception de l’histoire qui engage sur la longue durée et c’est croire que partager une même langue crée des liens plus forts que l’appartenance à une même race ou a une même ethnie.

Etre Français, c’est tout cela et bien d’autre chose encore… Mais ce n’est pas uniquement posséder les papiers d’identité de notre république ni être né sur son sol. Il existe des Français qui n’ont jamais vu la France et qui ne sont pas légalement nos concitoyens. Alors qu’il est de ceux-ci, qu’ils soient de souche ou de branche, qui ne sont Français que de papier et qui dans la réalité sont des … Américains.

dimanche 30 octobre 2011

Yann Fouéré : présent !




Yann Fouéré : présent !
Yann Fouéré a été un combattant exemplaire de la cause identitaire bretonne, de la cause identitaire celtique (pourchassé par les Jacobins français, il a vécu au Pays de Galles et en Irlande), de la cause de l’identité et de la liberté des peuples. Il aura tout donné, jusqu’au bout, à sa patrie bretonne, cette terre de fierté indomptable, cette terre enchantée où coulent les sources sacrées de notre plus longue mémoire.
J’ai, parmi mes plus précieux souvenirs, cette visite que nous fîmes à Yann Fouéré, avec Jean Mabire, Xavier et Olivier. Nous avions devant nous un vieux monsieur dont les yeux pétillaient d’une inaltérable et malicieuse jeunesse.
Que nos jeunes camarades se plongent dans la lecture des ouvrages de Yann Fouéré. Ils y trouveront une belle leçon d’intelligence, de courage, de ténacité, d’indéracinable volonté de fidélité à un idéal.

 Pierre Vial








Il a été enterré mardi 25 octobre 2011 à 14h30 en la basilique Notre-Dame de Bon Secours à Guingamp.

Un grand patriote vient de nous quitter et je ne pense pas qu’il soit judicieux de répéter sur cet espace militant ce que tout le monde est censé connaître de la biographie de Yann Fouéré et de son engagement pour sa patrie ; la Bretagne. Le site de la Fondation Yann Fouéré est une excellente source de renseignements. Pour ce qui me concerne, je suppose que les éloges des militants qui l’ont côtoyé et milité à ses côtés, ses amis, ses fidèles lecteurs seront nombreux et sincères. J’ose espérer, par contre, que tous ceux qui l’ont combattu dans le mouvement breton, ont utilisé les calomnies, les médisances, les ragots, les insultes, auront la décence de se taire. Yann a toujours préféré le combat construit, solide, cherchant à faire vibrer l’intelligence.

J’ai connu Yann au début des années 70 en adhérant à Strollad Ar Vro. Puis lors de la création du POBL, en 1982, après ma libération des geôles françaises… et ainsi pendant près de 40 années. Yann Fouéré a toujours été fidèle à ses idées : nationaliste breton et fédéraliste européen. Ce combat pour une Bretagne Libre dans l’Europe des peuples était en quelque sorte son chemin de croix. Fin politique il a toujours su m’impressionner dans les circonstances les plus tendues. Excellent écrivain, il a su, par ses nombreux ouvrages, éveiller la conscience politique de beaucoup de Bretons. Yann Fouéré a voué sa vie à la Bretagne… tout le monde ne peut en dire autant.
Un article lui avait été consacré il y a quelques temps dans la revue War Raok. Il va de soi qu’un autre article, plus détaillé sur vie de militant exemplaire, sera en bonne place dans le prochain numéro.
Pour conclure, je dirai que la Bretagne, le peuple breton, tous les peuples sous le joug du colonialisme français, mais également tous les peuples européens privés de leurs droits les plus élémentaires, viennent de perdre un grand défenseur de la LIBERTÉ


four

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Il va faire nuit à 17h...



Via le blog des Rivaroliens

 
http://fr.dreamstime.com/homme-en-sommeil-avec-l-horloge-thumb12150917.jpg
 
 
Le changement d'heure est une aberration! C'est ce que dit ce psychiatre interrogé par 20 minutes:
 
 
Ce qui est une aberration, c’est que ce changement est cyclique, il a lieu chaque année, deux fois par an. On devrait garder la même heure toute l’année. Cela affecte beaucoup l’être humain, surtout les enfants et les bébés. Cela a un impact sur le système immunitaire, et peut provoquer des petites infections virales.
 
 
Les troubles sont assez longs chez l’enfant et le petit enfant, ils peuvent durer une semaine. Cela passe par l’irritabilité, le trouble du sommeil ou de l’appétit, les petites infections virales… Avec le changement d’heure, le cortisol (hormone qui agit dans la régulation du rythme biologique, NDLR) sécrété normalement à 5 heures du matin le sera à une heure décalée, pendant une bonne semaine. L’adulte a l’avantage d’avoir des synchroniseurs sociaux, les repas, les horaires de travail, et ne mettra que deux ou trois jours à se remettre du changement d’heure. De plus, à cette époque de l’année, on voit apparaître chez les patients le syndrome de dépression automnale, qui est causé par une baisse de la luminosité. A partir de lundi, ça s’aggravera. C’est une maladie réelle, traitée par la luminothérapie.

vendredi 28 octobre 2011

La XVI ème table ronde de Terre et Peuple aura bien lieu !


"Nos Fidélités sont des citadelles"


Terre et Peuple

Résistance Identitaire Européenne 

Le 28 octobre 2011

A noter sur vos agendas, à diffuser.  Regroupez-vous, venez nombreux !


Des groupes de pression avaient entrepris, en utilisant menaces et chantage, d’empêcher la tenue de notre Table Ronde à Villepreux le 13 novembre. Leur manœuvre a réussi. Mais ces gens nous connaissent mal : nous sommes du genre tenace. C’est pourquoi nous avons le plaisir de vous convier à la


XVIe TABLE RONDE
de TERRE ET PEUPLE
DIMANCHE 4 DECEMBRE 2011
A partir de 10 heures
Entrée : 8 euros
LOBBIES

ET

GROUPES DE PRESSION

EN FRANCE

Avec Anne KLING

Emmanuel RATIER

Eric DELCROIX

Robert SPIELER

Eugène KRAMPON

Pierre VIAL


Espace Jean Monnet à RUNGIS rue du Sagittaire Porte rouge Nombreux stands (livres, revues, disques, insignes, artisanat identitaire)   Restauration sur place à petits prix







Le Renouveau Français nous communique


Civitas nous communique


Printemps arabe ou printemps islamiste?



http://www.parti-de-la-france.fr/files/1687155727_2(5).jpg
 
 
 
COMMUNIQUE DE CARL LANG
 
 
Exécutions sommaires et Charia : Premiers succès de
 
Bernard Henry Lévy et de l'OTAN en Libye !
 


L'OTAN et BHL, grand gourou de la politique étrangère française et autorité morale, médiatiquement proclamée, de la République universelle, citoyenne et laïque, viennent d'obtenir une double victoire historique en Lybie : d'une part, le lynchage et l'exécution sommaire de Khadafi et d'autre part, la proclamation par le nouveau pouvoir de la Charia comme socle du modèle social lybien.


C'est dire si les droits de l'homme et les valeurs démocratiques vont pouvoir s'exprimer dans toute leur plénitude !


Par ailleurs, un "bonheur" ne venant jamais seul et grâce au "Printemps arabe", le parti islamiste vient de remporter les élections en Tunisie.


Enfin, en Egypte et dans l'indifférence générale de la Communauté internationale, les persécutions et les assassinats des Chrétiens coptes s'organisent maintenant avec la participation active de la télévision d'Etat et du régime en place.


En vérité, le soi-disant "Printemps arabe" a été un véritable Printemps islamiste.
L'effondrement du mythe des régimes laïcs dans ces sociétés musulmanes devrait faire réfléchir les idiots utiles, collaborateurs et compagnons de route de l'idéologie coranique qui expliquent en France que l'islam est compatible avec les valeurs de la République ou encore que l'islam serait acceptable mais pas la Charia. Comme si l'on pouvait séparer l'une de l'autre!


Ces événements dans le monde arabe devraient servir d'avertissement à tous ceux qui, depuis quarante ans, militent pour une immigration active au nom d'un prétendu anti-racisme, véritable faux nez de l'anti France, et à tous ceux qui pensent que l'idéologie coranique va se dissoudre dans le plastique de notre carte nationale d'identité.


Ils ont aimé l'immigration et aiment la colonisation ?
 
Ils vont adorer l'islamisation et la Charia !

jeudi 27 octobre 2011

Editorial de Pierre Vial


Editorial - TP Mag n°49

TERRE ET PEUPLE MAGAZINE - Terre et Peuple Magazine n°49- Automne 2011

Fraternité

Quand les Maghrébins ou les Blacks parlent de gens de même origine qu’eux, ils disent « nos frères » (ou « nos sœurs »). Cette affirmation d’appartenance et de solidarité liée à celle-ci est tout à fait normale puisqu’elle est l’affirmation d’une identité ethnique dont nous proclamons la nécessité pour tous les peuples. Car la fraternité ethnique est tout simplement l’application des lois de la nature, donc de la vie. Faire montre de réalisme biologique, c’est faire preuve de sagesse, une sagesse que les sociétés traditionnelles ont toujours respectée et pratiquée mais qui a été oubliée, méprisée, pourchassée par la modernité triomphante, tueuse de mythes et de dieux.
Reconnaître, donc, à tous les peuples un « droit à la fraternité » est dans la logique de notre conception du monde. Il reste que nous avons bien besoin, nous, les Européens, les Blancs, de rattraper le retard que nous avons pris en matière de conscience ethnique, car la plupart des nôtres sont paralysés par l’entreprise de conditionnement mental conduite par ceux qui veulent nous transformer en zombies dociles, soumis à l’idéologie officielle omniprésente dans les media, à l’école, dans les églises (ce qu’il en reste…), dans le discours des politiciens de tous bords (y compris ceux qui, se disant « nationaux », sont censés être nos défenseurs et qui, par intérêt carriériste bien compris, se rallient aux dogmes du politiquement correct – car il faut, n’est-ce pas, être « dédiabolisés » si on veut être acceptés à la table des maîtres du pouvoir…). Nous, être diabolisés nous indiffère. Car nous sommes frères des loups.
Fraternité. Le mot est beau. Il a inspiré de nobles esprits, même s’il a été détourné, dévoyé et même sali au nom d’utopies mortifères débouchant sur la sanctification de la Terreur et le règne de la guillotine, comme en 1793, ou le bain de sang de l’ « Epuration » de 1944-1945. Pourquoi raviver de tels souvenirs, vont me dire de bons apôtres. Parce que nous n’oublions rien. Nous ne pardonnons rien. Jamais. Et la liste est longue, depuis Hypatie, notre sœur Hypatie. Et les Saxons, nos frères Saxons. Et tant d’autres, au fil des siècles, dont la présence vibre en notre âme et dont nous donne l’énergie vitale nécessaire pour suivre notre longue route.
Ils sont aveugles et sourds, ceux qui n’ont pas compris que notre combat relève d’une spiritualité à laquelle ils ne peuvent rien comprendre. Tout simplement parce qu’ils n’appartiennent pas à la Fraternité immémoriale qui est la nôtre. Et à laquelle nous relie une Fidélité qui est notre seule loi.


Pierre VIAL

Robert Spieler

 


mercredi 12 octobre 2011

Insigne du 4e régiment étranger (4e RE) de Castelnaudary



Ahurissant confusionnisme du Bloc Identitaire


 

 
Des “schnapsidées”… Vous ignorez sans doute la signification de ce mot. Tous les Alsaciens de langue germanique connaissent cependant cette expression. Elle réfère à l’état de divagation qu’entraîne une consommation abusive de schnaps, cet alcool de fruits, très fort, dont je vous recommande la consommation (modérée). Le schnaps à base de mirabelle, de cerise ou de baie de houx est un délice. Mais, passons, nous ne sommes pas dans une rubrique gastronomique…
 
Dimanche 9 octobre, ont eu lieu les primaires socialistes. Soit. C’était le problème des socialistes, ce n’était pas le nôtre. Mais le Bloc Identitaire, qui a la prétention de faire la politique autrement, avait appelé ses militants… à se déplacer et à voter Montebourg. Les anciens d’Unité Radicale au secours d’un des candidats socialistes! On aura tout vu…
 
L’argument du Bloc Identitaire, repris sur le blog de Jeune Alsace est puissant: «Dimanche 9 octobre, vous aurez la possibilité dans la plupart des mairies de voter à l’occasion des primaires du Parti Socialiste. Face à la monotonie des candidats qui sortent de la même école que les élus de l’UMP, et donc (sic) les convictions sont aussi nombrilistes que leurs camarades de classe (re-sic), se dresse un personnage intéressant que nous aimerions suivre (re-re-sic): Il s’agit d’Arnaud Montebourg.» Et le bloc Identitaire de poursuivre: «Nous appelons toutes les personnes majeures qui ont la possibilité d’aller voter de donner une voix (à Arnaud Montebourg) pour une alternative à ce monde dégénéré.» Et puis, après, ces puissantes paroles… «Voter Montebourg, c’est dépasser les clivages politiques afin de mieux servir notre cause. Voter Montebourg, c’est voter pour vous!» Atchoum! Rompez les rangs! Les «personnes majeures» en question avaient pour seule obligation de signer, avant de voter, un engagement quant à leur adhésion aux valeurs du socialisme cosmopolite, mais ceci n’est qu’un petit détail… Le site “identitaire” précise par ailleurs: «Le vote coûte un euro, mais ça ne va pas vous tuer.»
 
Philippe Vardon, responsable de la section niçoise du Bloc Identitaire, s’était déjà rendu, il y a deux semaines, à la réunion de soutien à Montebourg, organisée par David Nakache et ses amis socialistes niçois. Après avoir aussi été présent à celle du Front national, avec Marine Le Pen. Les Identitaires de Bourgogne, quant à eux, se sont aussi rendus à la permanence parlementaire d’Arnaud Montebourg à Louhans (Saône-et-Loire) pour l’inviter à faire un effort vers plus d’engagement vers la démondialisation, qui est un de ses thèmes de prédilection. Très bien, sauf qu’Arnaud Montebourg partage avec ses camarades socialistes et communistes l’idée de la «régularisation des personnes actuellement présentes sans droit de séjour» (ça s’appelle des clandestins) sur le territoire national, certes au cas par cas, en contrepartie de conditions individualisées d’intégration. «Cela permettrait de régulariser le travail au noir, de faciliter la mixité sociale…» explique-t-il dans un entretien à L’Express, insistant sur la nécessité d’avoir des «critères généreux». Montebourg souhaite également donner la possibilité aux employeurs de demander la régularisation de leurs travailleurs sans papiers. Il compte donner le droit de vote aux élections locales aux étrangers installés depuis longtemps et reconnaître ainsi «leur pleine participation à la vie locale.» Il milite aussi, comme ses camarades du PS pour un «contrat d’accueil et d’intégration» des immigrés.
 
Montebourg, «une alternative à ce monde dégénéré», déclare le Bloc Identitaire On aura tout vu, tout entendu…
Bon, d’accord, si j’étais socialiste, j’aurais peut-être voté Montebourg, le plus opposé à la mondialisation. Mais je ne suis pas partisan du socialisme cosmopolite et immigrationniste, et refuse la colonisation de notre terre. Si je faisais partie de la sensibilité de la gauche plus radicale, je n’hésiterais pas: ce serait Mélenchon. Il me plait bien, Mélenchon. Il a une grande qualité, comme Georges Marchais: il est méchant. Méchant avec les journalistes, méchant avec ses adversaires, et même avec ses amis. Mais Mélenchon est, comme ils le sont tous, de gauche et de droite, prêt à accepter la colonisation de notre terre. Non possumus.
 
Ici est notre sol, ici est notre terre, ici est notre sang. Quand tous trahiront, nous, nous resterons fidèles.
 
Robert SPIELER.

lundi 10 octobre 2011

Syrie : la martingale


Bachar est hyper critiquable. Mais il devrait user d’un truc infaillible pour avoir la paix, une martingale : abolir la république, proclamer la monarchie, interdire les femmes au volant, le vote aux femmes et Burqa pour tout le Monde. Il sera alors tranquille. C’est désormais à la mode.Voyez comme les pétromonarchies sont stables et prospères. Tout le monde les couvre d’éloges et de courbettes.

http://www.oummatv.tv/Syrie-la-martingale 

Insigne du 3e régiment étranger d'infanterie (3e REI) de Kourou (Guyane)


La "stupéfaction écoeurée" de Richard Prasquier

Ou comment le lobby juif n'existe pas...
 

samedi 8 octobre 2011

Annonce


Jeudi 10 novembre, à Paris : Jean-Claude Rolinat, membre de la direction de la NDP, parlera d'Eva Peron au Cercle Franco-hispanique...

 

 

Insigne du 1er régiment étranger de génie (1er REG) de Laudun



Entretien de Serge Ayoub



Révolution des institutions et révolution du nationalisme »

 

Meilleure lisibilité ici:



http://www.3emevoie.net/#!idb=10804385&idpnl=ad&idart=49676&pg2=0&anc=BlogDetail10804385








Serge Ayoub, leader de Troisième voie, appelle à une manifestation nationaliste le 8 octobre à Lille. Il s’en explique et détaille les fondements de son engagement politique actuel.

Son image de chef des skins parisiens lui colle à la peau, même 20 ans plus tard. « Batskin » est aussi connu que Serge Ayoub, surnom souvent accolé à son état civil, comme s’il en était devenu une composante à part entière. S’il a mué son engagement physique en combat politique, et estime réducteur de se voir renvoyer à son passé de chef de bande des années 1980, il en cultive savamment l’image et le mythe, en défilant à la tête de ses Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR). Serge Ayoub cherche pourtant à promouvoir autre chose. Avec Troisième voie, qu’il a ressuscité en 2010, il élabore un programme politique à tonalité gauchisante, à l’intérieur de la mouvance nationaliste. Il affirme la nécessité de formation de ses militants, organise de nombreuses conférences dans son bar, Le Local, et revendique pour son Front solidariste la seconde place parmi les formations politiques de sa tendance, en terme de militants, (loin) derrière le Front national (FN).

Vous appelez à manifester à Lille, le 8 octobre. Pourquoi ce rassemblement ?

Nous manifestons pour la préservation de nos emplois. Nous pensons que ce n’est pas aux travailleurs français de supporter le poids de cette crise. On cherche aujourd’hui à les faire payer alors que c’est l’oligarchie financière et les politiques qui nous gouvernent qui devraient être mis à contribution. Cette manifestation a également pour but de défendre le poids de la nation qui garantit nos droits sociaux, que certains cherchent à réduire.

Le second objectif, c’est la constitution d’un front solidariste. Une notion que nous avions déjà mis en avant lors du défilé du 8 mai 2011, à Paris. Plusieurs mouvements européens (Nation, Sinistra nazionale, le MSR) s’interrogeant sur cette évolution du nationalisme qu’est le solidarisme, s’étaient alors joints à nous.

Vous semblez mettre en avant lors de ce rassemblement nationaliste des notions et une figure (Roger Salengro) ancrées à gauche. N’y a-t-il pas un décalage entre votre famille politique et vos revendications ?

Oui, le terme “Front populaire” ne nous déplaît pas, car le souvenir qu’il a laissé chez les travailleurs français est positif. On ne se définit ni à droite, ni à gauche. Nous revendiquons une filiation avec les révolutionnaires de 1793, avec Robespierre. Avec les sans-culottes, les communards, avec le Front populaire. Mais en quoi est-ce de gauche d’être sans-culotte ? Pensez-vous qu’Aubry, Hollande, Daniel Cohn-Bendit soient des héritiers des sans-culottes ou des communards ? La gauche et le PS ont trahi la révolution, les travailleurs et les français en général. Il n’y a plus une grande différence entre l’UMP et le PS à l’heure actuelle. Ils sont tous au service du mondialisme.

Quelle est votre conception du solidarisme ? Vous placez-vous dans la lignée des mouvements solidaristes qui ont couru à l’extrême droite à partir des années 1960-1970 ?

Non, cela n’a rien à voir. Nous avons repris ce terme car nous avons une vision solidaire de notre pays. Notre conception se résume en trois mots: liberté, égalité, fraternité. C’est à dire liberté de pensée, liberté d’entreprendre, mais pour être libre il faut pouvoir décider. Nous voulons donc la démocratie la plus directe possible, référendaire, de souveraineté populaire et aux mandats révocables. Être libre c’est être maître chez soi. Les Français et les travailleurs doivent donc se réapproprier la France et ses entreprises par la participation et la nationalisation des banques (qui nous ruinent) et que notre travail ne suffit plus à renflouer. Nationalisation aussi des secteurs stratégiques pour notre indépendance nationale. Égalité des droits et des devoirs mais aussi égalité entre le capital et le travail. C’est à dire réduire, rééquilibrer les rapports de forces entre grands patrons et travailleurs. C’est la codétermination en partie inspiré du modèle allemand. La fraternité c’est la solidarité entre individus d’une même nation, et entre les nations du monde, donc certainement pas la négation de la Nation. Nous sommes démocrates, de demos cratos (le pouvoir du peuple) mais nous considérons que ceux qui possèdent actuellement le pouvoir et se disent démocrates ne veulent pas le rendre, ça sera donc un combat. Nous comptons donc nos forces. Nous en avons deux: le nombre et le travail. Pour le nombre c’est la démocratie directe, pour le travail, nous demandons aux Français de réinvestir le combat syndical, et de combattre au quotidien pour arriver à cette phase révolutionnaire qu’est la grève générale. Pour y arriver, il faudra plus d’une décennie de lutte.

Si vous rejetez à la fois le capitalisme et le communisme, comment vous situez-vous sur le plan économique ?

Nous avons une démarche héritée du colbertisme. Nous sommes pour un État stratège intervenant, si nécessaire, par une politique de planification et de régulation et par une politique de grands travaux. Nous considérons également que la l’économie de la France doit appartenir aux travailleurs français (la participation) et nous souhaitons donc la nationalisation de secteurs stratégiques tels que l’énergie ou les banques. Nous combattons pour l’indépendance nationale et le droit de battre monnaie en demandant l’abrogation de la loi Pompidou-Giscard de 1973.

Pourquoi vous n’assumez pas votre radicalité politique et l’étiquette d’extrême droite ?

Parce que nous ne sommes pas radicaux, au sens où vous l’entendez, et que nous ne sommes pas de droite. En quoi un État stratège est-il de droite ? En quoi la planification est-elle de droite ? En quoi la régulation est-elle de droite ?

Vous avez un parcours politique marqué à l’extrême droite…

Je n’ai jamais été de droite. J’ai été à Troisième voie, j’ai été aux Jeunesses nationalistes révolutionnaire, je ne vois pas pourquoi j’aurais été d’extrême droite. J’ai été un skin il y a vingt ans ! En vingt ans j’ai évolué, comme tout le monde… Quoiqu’il en soit, qu’est-ce qu’un skin, sinon un jeune énervé, working class, qui aime un style musical, qui est prêt à toutes les provocations parce que la droite et la gauche le font gerber.

Vous vous dîtes républicain et rejetez le personnel politique en place, de gauche comme de droite. Pourriez-vous alors envisager de vous représenter à une élection comme vous l’aviez fait lors des élections législatives de 1993 ?

Nous n’en sommes pas encore là. Pour le moment, nous essayons de définir des réponses plausibles et réalisables. Nous rédigeons actuellement un programme (le livre est en relecture). Nous réfléchissons aux moyens de parvenir au pouvoir légalement. On ne veut pas que le travailleur se fasse tuer parce qu’il veut faire la révolution. La seule chose qui puisse être légale et « vivable », c’est la grève générale.

On a l’impression que vous êtes prisonnier de votre image et de votre propre mythologie. Serge Ayoub réussira t-il un jour à faire oublier “Batskin” ?

Je pense que c’est surtout vous, les journalistes qui êtes prisonniers de cette image et du passé… Cette question me semble bien futile rapportée aux problèmes que rencontrent les gens en France et dans le monde.

En France tout le monde s’en fout de ce que j’ai été (à part vous). Les Français ne sont pas des cons. Ce qui compte c’est ce qu’ils ont dans l’assiette et en l’occurence de ce qu’ils ont de moins en moins dedans. Ce qui importe c’est le présent et l’avenir inquiétant que nous prépare le mondialisme. Le fait est que nous posons de vraies questions et apportons de vraies réponses aux Français et que, du coup, notre Front populaire solidariste et nos idées rencontrent un écho certain. Ça c’est le présent, c’est ça qui est intéressant. En plus, quelle est notre image ? Celle que nous crachent à la figure nos détracteurs y compris dans notre camp. Cette image, ils la disent mauvaise, mais qu’ils se rassurent, nous en avons autant à leur sujet. Ces gauchistes nous critiquent pour le fait que l’on serait sans idée et sans tête. Parce que nous serions prêts à nous battre pour nos idées et que nous les affirmons avec fierté dans la rue. Mais qu’ils balaient devant leurs portes, eux qui s’habillent comme nous en plus sales, eux qui marient des thèses politiques diamétralement opposées comme le communisme et l’anarchisme. Ils ne rêvent que de révolutions et critiquent ceux qui se battent. Ceux qui ressemblent le plus aux sans culottes et aux communards, ce ne sont pas eux. Ils nient et combattent leurs propre histoire, ils se haïssent en fait. cela ne peut se comprendre qu’après une longue psychanalyse. Non ces analphabètes amnésiques hirsutes et bobos agités n’ont rien à nous dire. Et dans notre camp c’est la même réponse que je ferais. Je ne crois pas que se plier à la bienséance du système comme le font les Identitaires peut nous faire avancer. Le révolutionnaire est différent et il doit l’affirmer : de cette manière sa seule existence devient un acte politique. Il ne concède rien, car il sait que ces petites compromissions finissent en défaite. Il doit avoir le courage de prendre le risque de se « griller ». De plus, regardons les faits : en 9 mois nous avons abattu un travail comparable au leur en 9 ans. En 9 mois nous rassemblons plus, avec plus d’ordre, plus de cohésion et derrière un programme ambitieux et novateur, qui ne recycle pas les vieilleries du GRECE. Voilà, des travailleurs dont tout le monde se moque depuis toujours militent plus et mieux que tous. Au lieu d’anticiper ce que pense leur ennemi ils feraient mieux d’écouter les Français. Ils veulent être polis, mais les Français s’en foutent, ils n’ont plus envie d’être polis aujourd’hui.

Cela vous ennuie-t-il que l’on vous présente toujours comme l’ancien leader des skins parisiens ?

Cela ne me dérange pas parce que je l’ai été. Il n’y a pas de honte à combattre pour ce que l’on croit être bon. Mais j’ai grandi et j’ai évolué. J’ai le sentiment que lorsque l’on parle de moi comme cela ce n’est que pour réduire mon combat. La preuve: on a seize sections dans toute la France. Nous comptabilisons nos militants non plus en centaines mais en milliers (avec Opstaan, les Nationalistes autonomes, Nation, le Front comtois et Troisième voie) sur la ligne solidariste. Ce qui fait de nous le deuxième mouvement nationaliste après le Front national, bien loin derrière, certes.

Que répondez-vous à ceux qui qualifient votre mouvance de néo-fasciste?

Que l’on peut qualifier tout le monde de tout. De mon côté, j’ai toujours dit tout ce que je pensais mais j’ai évolué. A dix-sept ans, j’étais militant au Parti socialiste, j’ai vu ce qu’il en était. J’ai fait partie des cocus de 1981. Pour moi, ce parti est une insulte au socialisme. Mais même dans mes pires provocations, je n’ai jamais été d’extrême droite. L’extrême droite c’est libéral, c’est réactionnaire. Aucun de mes propos, même les pires, n’ont été de cette teneur. J’ai toujours cru en la notion d’Etat, de Nation et de peuple. J’ai toujours cru en la science et le progrès. Je suis Français et j’aime mon peuple. Mais je n’ai aucune envie de mettre quelqu’un dans un camp de concentration. Ce qui m’énerve c’est la situation économique, politique et sociale actuelle, et je pense qu’il y a de quoi s’ennerver non ? Mais le fait de s’énerver n’est pas un signe de radicalité tel que vous le percevez. Maintenant le système met sur nous un présupposé, celui d’être d’extrême droite. Je vous invite à réfléchir pourquoi il ne le fait pas sur l’extrême gauche. Pourquoi sa radicalité n’est pas montrée du doigt… Parce qu’elle est, souvent, l’excuse du système, l’autre face d’une même pièce. Bien sûr il y a quelques exceptions. C’est à elle que l’on voit que nous sommes dans un système totalitaire que ce soit au niveau de ce que subit la vraie extrême gauche ou nous les solidaristes. Regardez le Comité invisible, L’insurrection qui vient. On commence à arrêter préventivement des gens parce qu’on sent qu’ils ont dit des mots qui amènent à penser que… Mais on est où là ? Qui est le totalitariste ? Nous vivons dans un système orwellien qui inverse les valeurs et change jusqu’au sens des mots pour asseoir sa tyrannie !

Avez-vous lu L’insurrection qui vient ?

Oui, c’est un peu situationniste. Ce n’est ni exceptionnel, ni subversif au point de devoir arrêter quelqu’un. C’est plutôt marrant à lire.

Des idées vous intéressent-elles dedans ?

Oui bien sûr. Tout ceux qui combattent le système sont proches de nous.

Vous vous sentez proche des anarchistes alors ?

En tout cas pas des solutions que propose l’anarchisme. Mais dans le constat oui. Le mondialisme est une horreur pour l’homme et pour la planète. L’extrême gauche véritable, les nationalistes et toutes les personnes honnêtes et sensées le pensent, et pourquoi pas des anarchistes aussi. Les anarchistes sont anti-impérialistes, nous aussi. Anti-capitalistes, nous aussi. Anti-Américains, nous aussi. Après, les anarchistes sont internationalistes et n’incluent pas l’Etat dans leurs solutions, ce qui n’est pas notre conception des choses. Alors mettons le système à bas, organisons des élections, et on verra bien qui gagnera.

Quels sont vos rapports avec « l’UDF nationaliste » qui est en train de se constituer autour de Carl Lang ?

Ce ne sont pas des ennemis mais nous ne faisons pas partie de cette union. Ils sont libéraux, nous ne le sommes pas. Ils se revendiqueront d’ailleurs plus d’extrême droite que nous, de toute évidence. Je leur avais dit lors d’une journée de Synthèse nationale qu’il y avait une rupture à faire avec l’extrême droite, pour nous solidaristes. Mais la Nouvelle Droite Populaire reste un pont entre nous et eux et propose des solutions souvent proches des nôtres.

Quel regard portez-vous sur le Front national ?

On vit très bien sans lui. Le Front national était un mouvement populaire, pas au niveau idéologique, mais militant. Sa force, c’était celle de ses militants. Maintenant c’est un parti d’électeurs. Il faut faire attention à ne pas se couper de sa base. Il faut former ses militants, ce que le FN ne fait pas à l’heure actuelle. Nous, nous essayons de le faire.

Vous avez dîné avec Marine Le Pen en septembre 2010. Quel était le but de cette rencontre ?

C’était informel. J’ai rencontré Carl Lang et tout un tas de gens également. On est dans un monde qui va de la droite nationale à l’extrême droite radicale en passant par des gens issus de la gauche ou du ni droite ni gauche. On a un point en commun: c’est la Nation. Les gens finissent donc toujours par se croiser. Marine Le Pen m’a rencontré à titre purement informatif. Ce n’est pas inintelligent de sa part de se demander: “c’est quoi cette fin de cortège, c’est qui ces gens là ?” Des rencontres comme celles-ci me semblent normales et plutôt logiques.

Êtes-vous toujours nationaliste révolutionnaire ?

Non je suis solidariste. Le nationalisme révolutionnaire, c’est d’abord une conception géopolitique du nationalisme. Cela peut-être aussi considéré comme une gauche nationale, mais c’est trop réducteur pour notre conception du solidarisme, car nous ne sommes pas que cela. D’ailleurs si l’on regarde bien, le nationalisme révolutionnaire a également abouti à des interprétations très GRECE et Nouvelle droite tel que peut l’être le Bloc Identitaire. Nous avons pris des options très différentes. Nous aimons la Nation et nous voulons une révolution pour changer ses institutions mais nous souhaitons également une révolution dans le nationalisme. Nous sommes un courant novateur et nous souhaitons donc être perçu différemment par rapport au NR.

Propos recueillis par David Doucet et Julien Licourt

jeudi 6 octobre 2011

Insigne du 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC) d'Orange



Question de stratégie



Si d’aventure j’avais accordé ma confiance au Front, d’une part j’en eus été membre (ce que je n’ai jamais fait) et d’autre part je n’eus pas fait référence à l’extrême gauche à laquelle je reconnais une opposition sincère, alors que j'en suis bien évidemment très éloigné. L’important à mes yeux, puisque nous sommes plus que minoritaires, consiste, outre le fait de se structurer, de bien considérer tout ce qui constitue une opposition à ce que l’on appelait dans les années quatre vingt dix et qui perdure encore de nos jours, la pensée unique.

C’est ainsi que les déclarations d’un Montebourg, même si je n’ai aucune confiance en lui, me semblent un plus, dans la mesure où les Français qui l’entendent se disent qu’après tout, un protectionnisme pratiqué à l’échelle française ou européenne, serait peut être une bonne chose.

Je pense de même au sujet de Melenchon ainsi que de l’extrême gauche qui, tout en ayant des objectifs radicalement opposés aux nôtres, n’en apportent pas moins involontairement de l’eau à notre moulin.

Le dernier discours de Carl Lang que j’ai posté ici sur ce fil est lui aussi emprunt de l’économisme ambiant et la critique qu’il fait de l’Etat est assez bien dans l’air du temps. On se croirait à le lire dans un pays de type soviétique alors que l’on sait pertinemment que les différents gouvernements, de droite comme de gauche, ne cessent de s’en prendre à l’Etat pour le plus grand profit du privé.

Je ne me fais donc pas d’illusions non plus au sujet de Carl Lang : faut-il pour autant, en vertu du fait que son discours est emprunt de l’esprit du temps, cesser toute forme de contact avec lui ? Son discours est, lui aussi, en partie alternatif.

Je pense qu’au contraire, sans pour autant faire l’apologie d’un quelconque ralliement, favoriser toute démarche dissonante : et avec le Parti de la France et avec le Front National, tout en sachant bien qu’eux c’est eux et que nous c’est nous.

On n’aborde d’ailleurs pas le Français lambda en lui exposant de but en blanc la vérité, tant au sujet des attentats du 11 septembre, qu’en ce qui concerne le grand mensonge de la seconde guerre mondiale : d’où l’idée de pratiquer progressivement afin de ne pas compromettre nos chances.

Nous avons aussi de surcroît besoin d’une caisse de résonnance qui véhicule son message alternatif puisque nous sommes méconnus à l’échelle nationale : si d’aventure le Système venait à imploser, ce serait alors vers la gauche de la gauche ou la droite de la droite que les Français se tourneraient. Si d’aventure, nous persistions dans la stratégie du splendide isolement, nous serions alors incapables, parce qu’inconnus auprès du grand public, de tirer parti de la situation.

Il nous faut donc à la fois soutenir les initiatives alternatives tout en spécifiant nos particularités.

Pour revenir au Front, je persiste à penser, ainsi que je l'avais indiqué à plusieurs reprises sur un autre support, que le Front cessa de mériter son nom dès lors où se produisit le départ de l'équipe de Mlitant, des nationaux-révolutionnaires ainsi que de l'OEuvre française. Il y eut donc confiscation d'une pensée plurielle au profit d'une voix libérale. Clairement exprimé, on est passé de Duprat, Castrillo et Sidos à Jean Marie le Pen dans un premier temps, avant de voir advenir Marine qui symbolise très bien ce que la France a pu devenir en l'espace d'une génération: double chute donc ! L'une au voisinage de 1980, l'autre près de 2005.

Insigne du 1er régiment étranger (1er RE) d'Aubagne


Rumeurs contre l'Europe



La rumeur est une arme comme les autres; voici comment elle a été utilisée ces derniers temps contre l'Europe, pour cacher quoi ? La misère des USA ?
Chacun se fera son avis...

Petit tableau des principales rumeurs, qui ont circulé et qui continuent de circuler, alimentant la spéculation financière, faisant grimper les taux d’intérêts, mais rumeurs qui entretiennent aussi la peur dans les foyers et dans les entreprises...

A noter que normalement la Chine ne commente jamais, ce qu'elle a pourtant fait une fois vu l'ampleur des dégâts (ligne 2, commentaire ci dessous)

Il faut noter la prépondérance des anglais dans l'émission et la volonté de diffusion de ces fausses informations, destinées à alimenter la spéculation, et à déstabiliser le Vieux continent, Financial Times (FT) en tête.


rumeurs_contre_leurope



Et encore celle-ci : Wall Street : assommé vers 21H57 par une étrange rumeur (BFM), sur une éventuelle démission de Papandréou :

http://www.boursorama.com/actualites/wall-street-assomme-vers-21h57-par-une-etrange-rumeur-bfm-8c82d0bc71d891a296970d0138c9fd48

Des rumeurs qui pourraient, par exemple conduire à une élévation de la pression supranationale Européenne, qui éxige désormais une évolution de l'harmonisation :
Fillon et Sarkozy n'ont que l'harmonisation avec l'Allemagne à la bouche, et y travaillent dans les coulisses.

La fondation Robert Schumann, le précise très clairement :

L’euro face à la crise de la dette : vers une plus grande intégration politique

"La crise des dettes de la zone euro nécessite une forte intégration des politiques budgétaires et l’accélération de la construction communautaire vers un authentique fédéralisme budgétaire..."

"La marche de l’Europe vers un édifice politique plus intégré, plus fédéral, est probablement la meilleure réponse à ceux qui s’émeuvent du dépérissement des souverainetés nationales..."

Rappelons le, l'Europe des Marchands et des Financiers n'est pas la notre ! Celle-ci (le marché commun ! tout un programme) est soumise aux marchés, et au libéralisme économique.  Il nous faut la combattre, pour ensuite reconstruire l'Europe des Peuples, solidaire et identitaire !
http://www.robert-schuman.eu/doc/questions_europe/qe-215-fr.pdf

Insigne de la 13e demi-brigade de légion étrangère (13e DBLE) de Djibouti


mercredi 5 octobre 2011

Le résumé de l'enquête de Gilles Kepel consacrée aux banlieues.




Insigne de la légion étrangère


Logique de politologue


Via le blog des rivaroliens
 
http://26.img.v4.skyrock.net/268/paname419/pics/267064049_small.jpg
 
Une étude réalisée par cinq chercheurs et dirigée par Gilles Kepel, politologue, sur les cités de Clichy-sous-bois (tristement connues pour les émeutes de 2005) et Montfermeil a montré que:
 
A Clichy, le taux de chômage est de 22,7% contre 11% en Ile-de-France. Par ailleurs, 76% des mineurs habitant cette ville ont au moins un parent né à l'étranger, contre 16,9% en Ile-de-France. Et encore: plus de la moitié des élèves de l'agglomération, au sortir du collège, sont orientés en CAP ou en BEP.
 
Pourtant:
 
Le territoire n'est pas pour autant abandonné de la République: il a bénéficié d'un plan de rénovation urbaine de 600 millions d'euros, qui a transformé le bâti sur le plateau de Clichy-Montfermeil.
 
On ne peut donc accuser le "manque de moyens". Malgré les aides reçues, la population de ces quartiers éprouve du ressentiment envers l'école ou la France, comme si le pays qui les accueille et les subventionne était responsable de leurs échecs!
 
L'étude s'intéresse aux décrocheurs scolaires, aux jeunes mal orientés, ainsi qu'à ceux qui ont fait des études supérieures, sans toutefois trouver d'emploi. Parmi ces derniers, "certains en viennent à retourner le stigmate dont ils souffrent en un rejet radical de la France et des valeurs qui lui sont prêtées", écrivent les chercheurs. "L'école est l'objet des ressentiments les plus profonds en cas d'échec scolaire", notent-ils encore.
 
Echec scolaire, chômage, la faute au racisme? En guise de réaction, nos allocataires se découvrent une attirance pour la culture et la religion de leurs aïeux:
 
"Nous avons plusieurs fois rencontré, au substrat de ces logiques de rupture, l'affirmation de valeurs islamiques de clôture communautaire", expliquent également les auteurs de l'étude.
Gilles Kepel dit avoir été frappé par "l'intensification de l'identité musulmane". "Dans ce territoire, il y a eu une compensation à la désaffection de la société française, à la promesse non tenue de l'intégration", dit-il au Monde. Il met en avant "l'extraordinaire développement du halal", qui "marque les interdits dans la vie privée et sociale".
L'étude insiste sur "le poids de l'islam dans le quotidien".
 
Quel dommage que ces pauvres hères n'aient pas une même attirance pour le pays de elurs aïeux. Ne ferait-il pas bon vivre dans un pays majoritairement musulman, vivant au rythme des cinq appels du muezzin, avec la liberté pour les femmes de porter la burqa, l'absence de racisme, et des produits tous certifiés halal? S'ils rejettent la France, qu'ils brûlent, avec le drapeau, leur carte d'identité! Haut les coeurs, les amis, et en route pour le bled!
 
Malheureusement, dans leur pays d'origine, peut-être ne peuvent-ils pas profiter d'une certaine impunité, d'une crétinerie ambiante, qui fait que notre politologue, au vu des informations collectées (chômage, échec scolaire, communautarisme) s'exclame, enthousiaste:
 
"Nos quartiers recèlent d'un grand potentiel pour notre pays tout entier"
 
Eh oui: si l'on mord la main qui nous nourrit, et que cette main nous félicite de la maltraiter, et nous nourrit encore davantage, on aurait bien tort de ne pas en profiter...
 
Source: AFP

lundi 3 octobre 2011

Insigne de l' école militaire de spécialisation de l'outre-mer et de l'étranger (EMSOME) de Rueil-Malmaison



Interview de Carl Lang dans le National des Seniors


Vous avez annoncé votre candidature à l’élection présidentielle de 2012. Pourquoi ?
Dans l’état de délabrement généralisé de la France et devant les incertitudes et l’angoisse montante des Français, il est nécessaire de proposer au pays un projet de Droite nationale et européenne qui permette de relever les défis de ce siècle.
 
Parmi les candidats déclarés, aucun ne se revendique de la Droite nationale et européenne. Nicolas Sarkozy représente la droite mondialiste et ultralibérale, Dupont-Aignan, le courant dit « Gaulliste » et Marine Le Pen se déclare ni de droite ni de gauche mais, dans le domaine social, plus à gauche qu’Obama et « proche » du socialiste Montebourg. C’est dire l’urgence et la nécessité de porter un projet de reconquête globale en affirmant nos convictions de Droite nationale, notre culture française et les valeurs de notre civilisation européenne et Chrétienne.
 
Par ailleurs, dans l’état actuel de l’interdépendance des économies et de la globalisation financière et commerciale, croire que l’on pourrait régler les problèmes à un niveau strictement national est malheureusement aujourd’hui un contresens et une illusion.
 
C’est la raison pour laquelle nous devons offrir des perspectives qui soient de dimension nationale et européenne. La France de 2011 n’est ni celle de 1911, ni celle de 1950 et nous représentons aujourd’hui moins de 1% de la population mondiale et moins de 5% de la richesse mondiale. Par ailleurs les problèmes de colonisation migratoire, d’explosion de l’insécurité, de colonisation culturelle, d’affaiblissement économique et démographique sont communs à tous les peuples d’Europe. L’émergence des grands blocs économiques comme l’Inde ou la Chine dans un monde qui comprend 7 milliards d’habitants exige des réponses à l’échelle européenne. Les menaces qui pèsent sur notre identité française et européenne, sur notre sécurité et sur notre indépendance doivent amener les nationalistes et patriotes d’Europe à travailler de concert pour le redressement de nos économies et la reconquête de nos identités, de notre sécurité et de notre prospérité.
 
Cet enjeu est un enjeu de civilisation et notre combat, un combat pour nos valeurs économiques, politiques, culturelles et spirituelles. Cette candidature présidentielle n’est que la première étape d’une volonté de refondation de la Droite nationale française au service de notre projet de décolonisation et de reconquête.
 
Certains disent que votre candidature va nuire à Marine Le Pen. Qu’en est-il ?
Madame Le Pen a parfaitement le droit de défendre ses idées et nous de défendre les nôtres.
 
Il se trouve qu’elles sont différentes sur un certain nombre de points essentiels. Nous savons bien qu’en France la démocratie est entièrement confisquée au profit des partis médiatiquement compatibles mais il n’a pas encore été instauré la règle du parti unique.
 
Les militants patriotes, nationaux et nationalistes qui soutiennent ma candidature ainsi que les mouvements politiques qui partagent notre engagement ont autant le droit que les autres de défendre leurs convictions et leur idéal. Je ne suis pas un tenant des monopoles, ni en économie, ni en politique et je revendique les mêmes droits pour tous les Français à pouvoir défendre leurs idées, ce que je fais, quant à moi, depuis 30 ans. Je n’ai pas l’intention de me laisser interdire de parole.
 
Quelles sont justement vos différences de fond ?
Je ne suis ni étatiste, ni laïciste et je considère par ailleurs que dans l’état actuel de notre économie et des finances publiques une sortie unilatérale par la France de la zone euro aurait des conséquences immédiatement désastreuses en livrant notre pays, au-delà de la dévaluation incontrôlable et de l’inflation renaissante à la spéculation de tous ceux qui joueraient contre la France. Je sais bien quels sont les intérêts et la volonté de Wall Street et de la City d’affaiblir l’Europe et je ne participerai pas à la défense objective des intérêts des banques d’affaires américaines et de la Réserve fédérale. Je n’ai quant à moi pas l’intention d’aller faire adouber ma candidature lors d’un voyage aux Etats-Unis, ou ailleurs…Il faut savoir, qu’en cas de victoire politique, un gouvernement véritablement national élu en Europe serait immédiatement la cible des puissances d’argent mondialistes et des spéculateurs. Dans ce schéma de victoire et contrairement à ce que les uns ou les autres disent, l’Euro serait dans une première étape, un élément de stabilité et de résistance à la spéculation.
 
Je suis évidemment, par principe, favorable au retour de la souveraineté monétaire mais cela ne peut pas se faire dans n’importe quelles conditions et à n’importe quel moment. Le retour au franc exige que soient remplies un certain nombre de conditions économiques et budgétaires. Dans l’état actuel des choses et dans la précipitation, le remède serait pire que le mal, entrainant une explosion du coût de toutes les importations, un effondrement du niveau de vie des Français, une explosion de la dette publique et une fuite massive de capitaux de tous ceux qui, ménages, entreprises, institutions, voudraient protéger leur épargne.
 
Je ne souhaite pas confier l’avenir de la France à des apprentis sorciers dont la première mesure économique serait la sortie de l’euro. Pour résumer cette question, il faut donc, soit que l’ensemble de la zone euro explose et que l’euro disparaisse, soit créer les conditions préalables et nécessaires à une sortie nationale.
 
Toujours sur les questions économiques, je suis un adversaire farouche de l’étatisme qui conduit au fiscalisme et au socialisme. L’Etat doit assumer ses fonctions essentielles et régaliennes et ce qui est urgent aujourd’hui, c’est de sortir du socialisme et de l’étatisme et non pas de faire croire aux Français que l’Etat serait la solution à tous nos problèmes. Je préfère que ce soit l’Etat qui se serre la ceinture plutôt que les Français et je considère que c’est l’Etat qui est au service des Français et non pas l’inverse. Par ailleurs, déclarer qu’il faut revenir à la retraite à 60 ans et maintenir les 35 heures sont des aberrations économiques dignes de la démagogie socialiste. C’est à partir de l’entreprise, de l’initiative privée et de la responsabilité individuelle que peuvent se recréer les conditions de la prospérité. C’est la raison pour laquelle et malgré les déficits il faut faire le choix de réduire les charges qui pèsent sur les entreprises ainsi que les taux de prélèvements obligatoires. La croissance ne peut pas naître de la répression fiscale mais seulement d’une dynamique économique, incompatible avec le poids financier d’un Etat-boulet. C’est une politique de relance basée sur l’offre et l’activité qu’il faut mettre en œuvre en tournant le dos à toutes les lubies post-marxistes ou néo-keynésiennes.
 
S’agissant par ailleurs de la question de la « défense de la laïcité » et des « valeurs Républicaines », discours digne lui aussi de la gauche citoyenne et de tous les partis du système en place, que faut-il en penser ? Je constate que les fameuses « valeurs de la République » nous ont conduit à une France qui compte 8 millions de pauvres, à un chômage massif et durable, à une dette publique de 1650 milliards d’euros, à une immigration massive et permanente depuis 35 ans, à une insécurité galopante, à la subversion révolutionnaire permanente, au délitement de notre système d’éducation national, à la destruction de l’identité nationale française, au choc démographique et à l’absence de démocratie représentative. Je préfère parler, quant à moi, des valeurs de la France plutôt que des valeurs d’une République responsable de l’affaissement national et de la souffrance des Français.
 
Quant à la « laïcité républicaine », idéologie anticatholique véhiculée depuis le début du XXème siècle, elle a certes servie à couper la France de sa dimension catholique et de son héritage spirituel, mais elle s’est mise aujourd’hui, au nom de l’égalité de tous les cultes au sein de la République et au nom de la neutralité de l’Etat, au service objectif de l’islamisation galopante. Je rappelle quant à moi que la France n’est pas terre d’islam et qu’il faut mettre un terme à toute nouvelle construction de mosquée. La laïcité n’est pas un bouclier contre l’islamisation, c’est le cheval de Troie de l’islamisation. C’est par l’affirmation de notre propre identité culturelle et spirituelle que nous nous opposerons à l’idéologie révolutionnaire islamique et à la colonisation étrangère et non pas en nous cachant derrière les principes dérisoires de laïcité ou de citoyenneté républicaine. Je laisse cela à la gauche, à l’extrême gauche, au Parti Radical, à l’UMP et à Marine Le Pen.
 
Quels seront les principaux axes de votre campagne ?
Nous définissons notre projet politique autour de la volonté de reconquête et ce, dans tous les domaines.
 
1. En premier lieu, il s’agira de la reconquête culturelle, identitaire et spirituelle en réaffirmant nos valeurs nationales et européennes de civilisation et en engageant le combat politique et historique de décolonisation de la France et de l’Europe. Il s’agira de réaffirmer les droits du peuple français à rester lui-même, par la réforme du code de la nationalité, l’inversion du courant migratoire, l’application de la préférence nationale et européenne ainsi que l’exclusivité nationale pour toutes les aides sociales et familiales. Si cette volonté de décolonisation n’est pas portée par le peuple français, la France sera dans 20 ans à l’image de la Seine-Saint-Denis.
 
Immigration, islamisation, colonisation, nous rejetons tout en bloc car nous souhaitons rendre la France aux Français et l’Europe aux européens.
 
2. En second lieu, cette reconquête sera aussi sociale par l’affirmation d’un modèle de défense du travail, de la famille et des valeurs traditionnelles qui sont les nôtres en rappelant l’attachement essentiel à la défense de la vie, de la conception à la mort naturelle, à la défense du modèle familial et du mariage traditionnel qui est celui d’un homme et d’une femme, à la promotion des familles françaises et à l’instauration d’un statut de la mère de famille. Il est temps d’en finir avec les dérives post-soixantuitardes et les idéologies de mort et de destruction de nos valeurs sociales et familiales.
 
3. La reconquête économique s’appuiera sur les principes de protection et de promotion de nos entreprises et de nos emplois avec pour objectifs de produire français en France avec des Français, de régulation de nos échanges commerciaux, de surveillance financière, de responsabilité budgétaire en mettant un terme aux dépenses liées à l’immigration et en réduisant les gaspillages de l’Etat. La préférence nationale et européenne pour l’accès à l’emploi, l’exclusivité nationale pour les aides sociales et familiales, la promotion de la formation initiale et continue ainsi que de la recherche et du développement doivent s’imposer. Soit nous subirons la globalisation et la mondialisation économique, soit nous nous adapterons, nous la maîtriserons et nous la dominerons. La France et les Français ont encore des atouts pour reprendre la maîtrise de leur croissance et de leur prospérité.
 
4. La reconquête nationale sera aussi celle de notre sécurité intérieure par le rétablissement de l’ordre public, la tolérance zéro, l’expulsion des délinquants étrangers après application de leur peine, le refus de l’idéologie de l’excuse, l’application stricte de la loi, le rétablissement de l’autorité à commencer par celle des maîtres dans nos écoles…il y a de quoi faire !
 
5. La reconquête de notre souveraineté nationale qui se fera par la défense de notre modèle européen des nations souveraines et des peuples libres dans une Europe européenne et indépendante. Cette grande Europe des Nations que nous voulons promouvoir se devra d’établir des relations économiques, politiques et diplomatiques privilégiées avec la Russie. Le temps de l’établissement et de l’indépendance de la grande Europe des Patries doit arriver.
 
6. La reconquête institutionnelle et démocratique par l’établissement de la règle de la proportionnelle à toutes les élections afin que la République française devienne enfin une démocratie représentative et non plus une démocratie confisquée. Nous pourrions d’ailleurs dans ce domaine prendre exemple sur un certain nombre de monarchies en Europe. Nous inscrirons aussi dans la Constitution le principe du référendum d’initiative populaire. Enfin, pour en finir avec la dictature de la pensée et restaurer la liberté de conscience et d’expression nous supprimerons la loi liberticide et totalitaire Gayssot.
 
7. La reconquête diplomatique de la France en sortant de l’alignement systématique sur les politiques de monsieur Obama et par la définition d’une politique d’engagement de nos forces armées au service exclusif de la sécurité intérieure ou extérieure de la France, de la défense de ses intérêts vitaux ou de la sécurité de nos ressortissants.
 
Ce projet global de reconquête s’inscrit clairement, au-delà des questions électorales, dans un combat pour la défense de notre civilisation européenne et chrétienne. Tous ceux qui souhaiteront engager cette bataille historique de reconquête nationale et européenne à nos côtés sont les bienvenus.
 
Pensez-vous pouvoir obtenir les 500 signatures de maires nécessaires à votre candidature ?
En 2007, il y a eu 3 candidats trotskistes à l’élection présidentielle. Ce serait un comble qu’en 2012, le seul candidat affiché de Droite nationale ne puisse pas avoir les signatures! Les premiers contacts avec les maires sont, il faut le dire, très encourageants. En mobilisant nos énergies, cet objectif me parait tout à fait réalisable.
 
Quelles sont les étapes suivantes ?
Avec l’engagement du Parti de la France (PdF), du Mouvement National Républicain (MNR) et de la Nouvelle Droite Populaire (NDP) et de diverses personnalités de notre famille politique nous mettons en place une structure d’Union de la Droite Nationale qui participera aux élections législatives de Juin 2012. Il s’agit donc clairement, pour nous, d’organiser la refondation de la Droite nationale française et de nous inscrire dans tous les combats, non seulement électoraux, mais aussi culturels, sociaux, économiques et politiques de ce siècle. Tout ne fait que commencer !