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samedi 30 juin 2018

Un policier en civil violemment agressé à Béziers

Un policier de Béziers a été agressé mardi soir alors qu'il était hors service. Trois hommes sont en garde à vue.

Un policier violemment agressé ce mardi soir à Béziers. Il était en civil, hors service, en terrasse avec une amie place de la Madelaine lorsqu'il a été alpagué par trois personnes, alpagué puis jeté au sol et frappé jusqu'à en perdre connaissance.
 
Deux des trois agresseurs ont été interpellés sur le champ grâce à l'intervention rapide de la police (alertée par la vidéosurveillance), le troisième a été arrêté dans la nuit.

Ils sont tous en garde à vue pour violence aggravée. Il semble qu'ils ont compris que l'homme attablé était policier en raison de l'arme de service qu'il portait sous son tee-shirt.

Source: francebleu.fr

La Cour des comptes presse l'exécutif d'"agir" sur la dépense publique


La Cour des comptes a pressé mercredi le gouvernement d'"agir" pour réduire le déficit, jugeant les objectifs de Bercy "atteignables" en 2018 mais "fragiles" au-delà.


"Restaurer durablement la soutenabilité des finances publiques implique de ne pas se contenter de l'amélioration récemment constatée de la situation économique", a souligné la Cour dans son traditionnel rapport sur les perspectives des finances publiques.

La France est certes "sortie de la procédure de déficit excessif" en ramenant l'an dernier son déficit public sous la barre fatidique des 3% du produit intérieur brut (à 2,6%), pour la première fois depuis 2007.


Mais sa situation "s'est détériorée par rapport à celle de ses partenaires européens" et par rapport à 2007, la dette publique ayant grimpé de 32,3 points pour atteindre 96,8% du PIB, a insisté la Cour, qui appelle l'exécutif à une "action résolue" pour tenir ses engagements.

Le respect des objectifs budgétaires, "nécessaire et possible", implique un "effort de pédagogie collective" et des "choix politiques clairs", insiste de son côté la Cour, qui appelle à une "responsabilisation de tous les acteurs".

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En savoir plus sur orange.fr

La ministre des universités visée par une plainte au pénal pour fraude à des concours publics et harcèlement !


Les hommes et femmes politiques de ce pays c’est toujours : faites ce que je dis, pas ce que je fais.

Les hommes et femmes politiques de ce pays c’est toujours faites ce que je dis, pas ce que je fais, ça donne constamment des leçons à la terre entière, ça veut montrer que ça lave plus blanc que blanc.


Alors certes je ne suis pas d’accord avec cette volonté de toujours plus de transparence, comme si on avait à l’époque demandé à Mazarin toutes ses factures pour voir s’il n’avait pas pris par hasard un petit billet de côté, on serait d’ailleurs bien surpris.

Mais passons aujourd’hui nous apprenons par

«  Le Canard nous révèle que Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement Supérieur, est visée par une plainte au pénal pour fraude à des concours publics et harcèlement! Mais la procédure roupille toujours tranquillement au tribunal de Nice verrouillée par le gouvernement… »

Tant que ces gens feront la morale aux uns et aux autres ils auront le bâton en retour et par conséquent le manque de solidarité de leur caste politique. Vous voyez je ne suis pas un procureur, je comprends certaines faiblesses financières, j’ai pris en début de texte le cas Mazarin mais je peux citer à la pelleté des souverains confondant budget national et propre poche, mais au moins ils avaient le mérite d’apporter une plus-value à la nation, dont des siècles plus tard on en parle encore. Les historiens affirment que Louis XIV a ruiné l’Etat, ok peut-être mais il a laissé derrière lui Versailles, des frontières lointaines, un art, et tant d’autres choses qui rapportent encore à nos contemporains.

Mais que laissent les politiciens à l’heure actuelle ? Quelle sera l’héritage de Fillon ou Ferrand et maintenant cette Mme Monique Iborra pour ne parler que de ceux qu’on incrimine ? Evidemment rien, par conséquent on ne veut pas qu’ils piquent dans la caisse, qu’ils emploient leurs mômes, ou s’adjugent des avantages délirants. Visiblement personne ne le comprend parmi nos élites cosmopolites.

Mike Borowski pour lagauchematuer.fr

Valérie Boyer : « Emmanuel Macron a réalisé un hold-up démocratique »


La députée LR des Bouches-du-Rhône Valérie Boyer a des mots très durs (et très vrais) à l’endroit du président français Macron.

La secrétaire générale adjointe Les Républicains en charge des relations avec la société civile répondait aux questions de notre confrère Valeurs actuelles au sujet du deux poids deux mesures dont Dreuz s’est fait écho pendant la campagne présidentielle française, et la collusion de la justice et des médias pour détruire François Fillon et faire élire Emmanuel Jupiter.

Le contexte


Le parquet de Lyon a ouvert une enquête préliminaire visant le président Macron, pour :

  • détournement de fonds publics,

  • financement irrégulier de campagne électorale,

  • abus de biens sociaux et recel.

Valérie Boyer explique être « choquée de voir avec quelle vitesse et quelle précipitation François Fillon a fait l’objet de l’attention de la justice, alors qu’il a fallu attendre, pour Emmanuel Macron, le cri d’alarme d’élus LR Lyonnais, et l’avertissement d’associations anticorruption ». Le 13 juin 2018, Anticor a en effet déposé plainte pour tentatives de détournement de fonds publics, abus de confiance et de biens sociaux, violation du code électoral et délit de marchandage contre Macron, Mélenchon et Le Pen.

Ce qui est surtout remarquable à mes yeux, car je m’intéresse essentiellement aux affaires politiques américaines, c’est outre la rapidité avec laquelle la justice s’est jetée sur Fillon, le timing de son intervention : pendant la campagne pour Fillon, après son élection pour Macron, et le peu de bruit que le scandale a déclenché, comparé au retentissant coup de tonnerre qu’a provoqué l’enquête du FBI contre Clinton en pleine campagne électorale.


Valérie Boyer, caustique, fait remarquer qu’Emmanuel Macron sait remercier ceux qui l’ont aidé :

« Collomb, Pénicaud, le président de la commission des comptes de campagne qui a vu sa rémunération augmenter… Cela fait beaucoup d’éléments très inquiétants ». Elle ajoute : « la Commission nationale de contrôle des comptes de campagne a vu qu’il y avait des irrégularités dans les comptes de campagne du candidat Macron. De plus, j’ajoute que nous n’avons également pas d’informations sur le patrimoine personnel du chef de l’Etat ».

Valeurs actuelles: Y a-t-il un deux poids/deux mesures entre l’affaire Fillon et les affaires Macron ?


« Oui, d’ailleurs je trouve cela choquant et inquiétant pour le fonctionnement de notre démocratie…
Trois juges, lors de la campagne présidentielle, ont décidé du destin de la France.
Dans l’affaire Fillon, le Parquet National Financier (PNF) a bafoué de nombreux principes démocratiques :
  • la séparation des pouvoirs,

  • la présomption d’innocence,

  • le secret de l’instruction…

Tout cela donne le vertige sur l’application de la justice dans notre pays. »

JPG : Je ne peux m’empêcher d’ajouter, à ces trois principes bafoués, sans doute le pire de tous : l’impunité totale, qui a montré qu’il peut recommencer sans risque, dont a bénéficié le PNF, qui ne sera ni inquiété ni sanctionné, et dont aucun responsable ne perdra son poste, et bien entendu ne sera mis en cause par la justice.

Valérie Boyer : « Emmanuel Macron a réalisé un hold-up démocratique. C’est très grave car au bout d’un an de présidence Macron, il y a un problème de légitimité » [JPG : de nos jours, la légitimité est garantie par les médias. Ils décident de créer le scandale ou de l’étouffer, de le fabriquer ou de l’oublier, et de menacer les politiques de ne plus les inviter s’ils s’éloignent du script qui leur est « suggéré »].


Valérie Boyer : « Notre pays traverse une crise profonde, et l’union démocratique sera bien difficile à faire. Au même moment, on transforme la Constitution en supprimant les corps intermédiaires et on donne les pleins pouvoirs au président, qui considère par ailleurs que le parlement ne sert plus à rien. Ce n’est pas normal. »

JPG : je ne suis pas certain que ce dont les Français souffrent le plus soit la crise démocratique. L’insécurité, l’immigration non souhaitée et subie, l’appauvrissement, le chômage – pendant que les pays les plus dynamiques ont des taux de chômage à rendre jaloux – et l’insolence de la presse et du président sont les vrais problèmes des Français.

Valérie Boyer : « Emmanuel Macron a réalisé une captation démocratique. C’est une sorte de coup d’Etat constitutionnel que nous sommes en train de vivre. Nous ne sommes déjà plus dans un régime parlementaire. On gouverne sur la communication, on ne va pas au fond des réformes. Nous sommes dans un brouillard, une technostructure qui capte le débat. Prenons l’exemple du Congrès de Versailles : c’est une forme de suppression du Parlement. Jupiter n’aime pas la contradiction ni le débat. Il abîme de façon durable le système démocratique. »

JPG : rien de tout cela devrait vous surprendre, chère Valérie. Tout ceci était déjà très visible durant la campagne. Macron a été littéralement lancé comme un produit marketing, et les Français, certes en solde et au rabais, ont acheté le produit. Ils ont voté, et tout ce que fait Macron est conforme à ses programmes de campagne : il n’en avait pas !

© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Macron promulgue la réforme de la SNCF


Emmanuel Macron a promulgué mercredi la loi réformant la SNCF, malgré de multiples journées de grève et des "inquiétudes légitimes" auxquelles il faut continuer de répondre, selon le chef de l'Etat.

"Cette nouvelle page qui s'ouvre aujourd'hui pour notre système ferroviaire est importante, c'est une transformation profonde", a déclaré le chef de l'Etat en signant le texte de loi à l'Elysée.


Emmanuel Macron était entouré de la ministre chargée des Transports Elisabeth Borne et du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.

"La SNCF a maintenant tous les atouts pour réussir dans ce nouveau monde, comme elle a toujours su gagner, relever les défis depuis 80 ans", s'est félicité Emmanuel Macron.

La réforme, définitivement adoptée au Parlement à la mi-juin, prévoit notamment l'ouverture à la concurrence du transport des voyageurs (entre décembre 2019 et au plus tard 2039 selon les lignes), et de supprimer à partir du 1er janvier 2020 les embauches au très protecteur statut de cheminot.

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En savoir plus sur lepoint.fr

Source: AFP

Mafieux, alcooliques, illettrés... le tour de France des insultes de Macron aux Français


Emmanuel Macron
Souvent occupée à éreinter Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux, Nadine Morano a posté une carte de France des citoyens humiliés par le président de la République, initialement réalisée par un membre de La France insoumise. Florilège.
 

«La carte de France du vocabulaire désobligeant» d’Emmanuel Macron a été partagée par une opposante de toujours, la députée européenne Nadine Morano, ainsi que par Christine Boutin le 27 juin, après une nouvelle sortie présidentielle, en présence du pape, sur les Bretons, «cette mafia».


Les Bretons ? «La mafia française» 


le 26 juin 2018, au terme de son long entretien avec le pape François, Emmanuel Macron a présenté son ministre des Affaires européennes Jean-Yves Le Drian en soulignant ses origines bretonnes. Le chef du protocole du Vatican, monseigneur Murfy, d'origine irlandaise (et donc celte), a glissé : «Ils sont partout.» Emmanuel Macron s’est alors fendu d’un trait d’humour : «Les Bretons, c’est la mafia française.»

Les contestataires des Vosges : «Des gens qui décident d’être contre tout» 


Le 18 avril 2018, en déplacement à Saint-Dié-des-Vosges, Emmanuel Macron a été accueilli par les sifflets d'un petit groupe d'opposants à la réforme de la SNCF. Le président a décidé d'aller à leur rencontre. Au cours de ce bref échange, le chef de l'Etat a de nouveau cédé à la tentation de la phrase choc : «Ce sont des gens qui décident d'être contre tout, qui sont contre la République, [...], ils veulent rien, ils veulent bloquer, ils veulent contester.»

Les ouvriers corréziens : ceux «qui foutent le bordel»


Le 4 octobre 2017, Emmanuel Macron effectuait un déplacement en Corrèze. Des salariés de GM&S, accompagnés par une délégation d'élus creusois, sont venus à sa rencontre pour le sensibiliser au sort de 150 d'entre eux, sur la touche, alors que leur entreprise était  en cours de liquidation. Le président, face à ces hommes désespérés de perdre leur emploi, avait réagi de manière virulente : «Il y en a certains, au lieu de foutre le bordel, ils feraient mieux d'aller voir s'il y a du travail à Ussel.»


Les Français qui s’opposent à ses réformes ? Des «fainéants», des «cyniques», des «extrêmes»


Emmanuel Macron n’apprécie pas ceux qui s’opposent à ses réformes, qu’il compte mener à bien coûte que coûte. Il l'a fait savoir lors d’un discours à Athènes le 8 septembre 2017, ne manquant pas de clouer au pilori ses opposants, qu'il avait alors qualifiés de «fainéants», «cyniques», ou «extrêmes». Le chef de l'Etat français avait alors déclenché un tollé qu'il avait tenté de désamorcer en expliquant que le mot «fainéants» ne concernait pas tous ses concitoyens mais seulement «tous celles et ceux qui pensent qu'on ne doit pas bouger en Europe et en France».

Les Français en transit dans les gares : «Ceux qui ne sont rien» 


Le 29 juin 2017, le président de la République inaugurait à Paris la Station F, décrite comme «le plus grand incubateur de start-up du monde». Dans cette ancienne gare réaménagée, en présence du maire de la capitale Anne Hidalgo et de l'entrepreneur et fondateur de Free Xavier Niel, le chef de l'Etat avait livré un discours qui n'avait pas manqué de scandaliser de nombreuses personnes. Dans les gares, avait-t-il en effet déclaré, on croiserait «des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien».
Les hommes du Pas-de-Calais ? «Dans ce bassin minier, [...] il y a beaucoup de tabagisme et d'alcoolisme»

Alors candidat à la présidentielle, Emmanuel Macron ne polissait déjà pas ses interventions en région. Le 13 janvier 2017, en visite à Nœux-les-Mines (Pas-de-Calais), il a établi un terrible constat sur la population : «Dans ce bassin minier, [...] il y a beaucoup de tabagisme et d'alcoolisme.» A l'époque, ancien ministre de François Hollande, il s'était attiré les foudres de plusieurs élus après ses commentaires jugés méprisants lors de sa visite dans la région.

Les femmes d'un abattoir de Bretagne ? «Elles sont pour beaucoup illettrées»


Le 17 septembre 2014, alors qu'il occupait le poste de ministre de l'Economie et de l'Industrie, Emmanuel Macron justifiait au micro d'Europe 1 les réformes qu'il entendait déjà mener. Il a pris pour exemple les employées de Gad, une entreprise d'abattoirs bretons en grande difficulté financière. «Il y a dans cette société une majorité de femmes et il y en a qui sont pour beaucoup illettrées. On leur explique "vous n'avez plus d'avenir à Gad ou aux alentours, allez travailler à 50 ou 60 kilomètres". Ces gens-là n'ont pas le permis de conduire ! On va leur dire quoi ?», avait-il lancé. Un peu plus tard, il s’était excusé d’avoir tenu de tels propos.

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En savoir plus sur francais.rt.com

Amiens : Un policier gravement blessé lors d’une intervention a été placé en coma artificiel

Le policier de 47 ans a été transporté à l’hôpital dans un état d’urgence absolue.

C’est lors d’une course-poursuite que le fonctionnaire a été blessé ce mardi soir vers 22 heures.

Rue Léo Lagrange, les policiers intervenaient dans le cadre d’un trafic de stupéfiants. Un suspect en scooter a pris la fuite. Les fonctionnaires l’ont pris en chasse avec leur voiture. Mais le suspect a lâché son deux roues et a poursuivi sa fuite à pied.


Alors qu’il courait derrière le fuyard, le policier a fait une chute violente et a heurté un piquet au sol, se blessant gravement au foie explique France Bleu.

Ses collègues lui ont prodigué les premiers soins avant l’arrivée des sapeurs pompiers. Le policier qui faisait une hémorragie interne a été rapidement transportée à l’hôpital d’Amiens-Picardie, où il a été placé dans un coma artificiel.

Source: actu17.fr

Un travailleur social : « On nous demande de ne pas communiquer sur les conflits entre migrants »


L’afflux de migrants en France entraine la multiplication à la fois des « Jungles », sortes de zones de non-droit où les clandestins s’entassent dans des conditions de vie lamentables, mais également des centres ouverts par l’État et gérés par des associations qui en ont fait leur économie principale depuis quelques années.

Si les rixes et les tensions grandissants sont fréquemment rapportées comme à Calais, ou encore Porte de la Chapelle à Paris, celles dans les centres d’accueil de migrants le sont beaucoup moins, et pourtant elles existent.
La raison ? Une volonté d’omerta et de silence pour notamment ne pas affoler les populations autochtones et rajouter à la tension qui peut régner ici ou là.

C’est en tout cas ce que nous a rapporté un travailleur social qui a eu l’occasion de travailleur aux côtés des migrants dans plusieurs de ces centres en Bretagne et ailleurs en France. Nous avons bien entendu préservé son anonymat : « On nous demande de ne pas communiquer sur les conflits entre migrants, au nom d’une sorte de devoir de réserve que nous devrions avoir eu égard du public avec lequel nous travaillons » nous dit-il.

Pourtant, des conflits, il en a vu beaucoup : 

« Il ne faut pas croire que tous les migrants s’entendent entre eux. Ils ont des histoires et des origines différentes. En les mettant dans les mêmes locaux, les tensions ethniques, culturelles, religieuses sont exacerbées, c’est un fait. Si vous rajoutez à cela la promiscuité et l’incertitude qui pèse sur leur avenir proche, cela explique les bagarres, les tensions qui peuvent être occasionnées ».

Et de s’avouer un peu dépassé : 

« Nous on les accueille comme si ils n’avaient pas un passé derrière eux, comme si tout était effacé, comme si on pouvait en faire des simples numéros, des simples « migrants ». Mais eux ils sont de quelque part, ils ont leur histoire. Forcément, ça clashe, et on ne peut pas y faire grand chose, c’est difficile de les comprendre dans le fond. On se retrouve confronté – sans formation aucune – à des histoires qui n’ont rien à voir avec les nôtres ». 


Mais pourquoi donc les accueillir alors , si cela génère de la tension ? « Parce qu’il y a un aspect humanitaire derrière, d’aider celui qui est dans la souffrance et la difficulté ». Mais notre contact n’est pas dupe : 

« Les associations ne sont pas capables de gérer les conflits politiques, culturels, ethniques, elles ne sont pas formées pour cela . Forcément, il y aura des conséquences à moyen terme, mais tant que cela ne s’ébruite pas trop, pour le moment, tout le monde fait comme si tout allait bien, et surtout, il ne faut rien dire au grand public ».

Alors quelles solutions voit-il à ces arrivées qui n’en finissent pas en Europe ? 

« Il y a forcément un moment où ce ne sera plus possible à gérer. D’autres pays comme l’Allemagne qui pourtant sont plus ouverts que l’Italie ou l’Autriche l’ont bien compris. Il faudra sans doute envisager de faire marche arrière, c’est inéluctable pour éviter que la situation ne s’envenime de trop. Ici, pour le moment, hormis les tensions internes, c’est plutôt calme car ils ont réparti les centres y compris en campagne. Mais va venir un moment où d’autres répartitions s’ajouteront à ces répartitions…on n’a même pas le personnel suffisant pour tout bien gérer, ou alors au détriment d’autres missions »

A Nantes, plusieurs migrants ont été blessés fin mai dans une rixe intercommunautaire. Idem à Saint-Nazaire. A Paris, un migrant somalien est décédé fin mai lors d’une rixe entre migrants. Pendant ce temps, d’autres continuent de rentrer en Europe, comme si « tout ce beau monde » allait trouver paisiblement sa place dans une société qui se tend de plus en plus…

Source: breizh-info.com

Allemagne : une femme battue et violée par le migrant africain qu’elle venait de prendre en stop

Ottrau, Allemagne : une femme automobiliste de 39 ans, qui avait pris en stop un demandeur d’asile africain de 25 ans, a été violemment battue et violée par ce dernier.

Le criminel a pu être par la suite localisé et arrêté par la police non loin de l’acte du crime, aidée par la population locale. Il est incarcéré et devra répondre des chefs d’accusation de viol aggravé avec violence et de coups et blessures.

Un témoin oculaire a dit à la HNA que la victime gémissait quand il l’a trouvé.

« Elle pleurait amèrement et parlait de viol ». Agée de 39 ans, la femme violée répétait : « L’homme noir m’a violée ». Tandis qu’un autre habitant a pris soin de la victime, « elle était totalement tabassée, l’œil avait enflé, on voyait sur ses bras des signes clairs de violence massive « .


Sources: 

Des réfugiés syriens expulsés 3 fois de la plaine du Var


Le tribunal administratif de Nice
Une cinquantaine de réfugiés venus de Syrie ont installé il y a deux semaines leur campement du côté des Arboras, au bord du boulevard du Mercantour. Depuis, ils en ont été expulsés trois fois.

Christian Estrosi indique "avoir saisi la justice afin d’obtenir l’évacuation de ces personnes. Il s’agirait de réfugiés, qui se sont regroupés sur un terrain proche du stade des Arboras et du Boulevard du Mercantour."


LE PREMIER ORDRE D'EXPULSION DU TRIBUNAL, LE 22 JUIN

Le tribunal administratif de Nice ordonne ce vendredi 22 juin l’évacuation du stade municipal des Arboras. La décision étant exécutoire, la Ville se réserve alors le droit de recourir à la force publique dans le cas où les occupants tenteraient de maintenir leur campement.
 LES MÊMES RÉFUGIÉS SONT UNE NOUVELLE FOIS EXPULSÉS DE LA PLAINE DU VAR

Trente personnes, des Syriens et des Tunisiens, sont évacués le soir du 25 juin sur ordre de la préfecture, par la police nationale et municipale de Nice.
Selon les services préfectoraux, il s'agit d'une certaine partie du campement des Arboras, qui s'était installé sur le parking du stade des Arboras. Ils ont donc refait leur apparition dans le même secteur, avec quatre ou cinq voitures et des tentes.

LES RÉFUGIÉS SONT EXPULSÉS UN TROISIÈME FOIS ET VONT À LA PRÉFECTURE

Ce mercredi 27 juin, c'est la police nationale et le sous-préfet Franck Vinesse qui sont venus se rendre compte de la situation de ces réfugiés qui avaient été délogés une première fois sur décision de justice du parc des Arboras, puis ensuite du parc départemental des rives du Var.
"Insalubrité, manque d’hygiène, trouble à l’ordre public", le maire de Nice a demandé à ce que les réfugiés soient présentés à un officier de police judiciaire. "Je ne tolérerai pas cette nouvelle occupation illégale", a-t-il déclaré.
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Sept policiers blessés lors de violences urbaines à Rillieux-la-Pape

Deux jeunes gens ont été écroués après des violences urbaines qui se sont produites le 10 juin à Rillieux-la-Pape.

C'est un rodéo qui est à l'origine des affrontements. Le 10 juin dernier, des fonctionnaires de police retrouvent une moto volée et abandonnée dans les rues de Rillieux après cette course folle.
 
Les agents décident alors de mettre en place une surveillance autour du véhicule. Un procédé qui s'avérera fructueux, puisqu'un groupe de jeunes, visages dissimulés, finit par se présenter. Et c'est à cet instant que les choses ont dégénéré.

Les policiers décident alors d'intervenir afin d'interpeller les jeunes. Mais des objets en tout genre commencent alors à voler dans tous les sens et atteignent les fonctionnaires. S'ensuit un affrontement, violent précise Le Progrès, à l'issue duquel sept policiers seront blessés avant de déposer plainte.

Deux semaines après les faits, les enquêteurs sont parvenus à remonter jusqu'aux assaillants. Ce lundi matin, huit suspects ont été interpellés.

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Qu’en est-il de ces 10 dangereux terroristes de l’ultra-droite qui sont mis en examen ? Dont l’un aurait eu sa fille assassinée au Bataclan ?



Coïncidence? Lorsqu’Emmanuel Macron dénonce le 21 juin à Quimper, la « lèpre qui monte » en Europe, et que trois jours plus tard, (Miracle ?) une dizaine de membres d’ « Ultra-droite » à la retraite sont arrêtés alors qu’ils prépareraient  des attentats dont les projets restent « flous » ?

Quand on apprend que le chef de cette équipée fantastique aurait un policier de 69 ans à sa tête on ne peut que trembler à l’idée des fondements de la République en péril. D’accord, ils n’avaient encore rien fait, et on ne connaît toujours pas leurs projets, mais…

Une information judiciaire a été ouverte par le parquet contre ce mouvement baptisé « Ultra-droite ».  Tiens, le qualificatif d’extrême droite ne serait-il plus assez fort ? Le Parquet craignant un passage à « l’acte violent», a rassemblé les dix membres de cette conspiration qui jusque-là étaient éparpillés aux quatre coins de la France, pour les interroger.

«Tout est faux »

Qu’en disent les concernés ? Quel est ce mystérieux mouvement « AFO » (?), cette prétendue nouvelle OAS, auquel appartiendrait une partie seulement des personnes mises en examen? Le site Guerre de France a nié, hier, tout projet violent, dénonçant les «mensonges» des autorités:
«Tout est faux dans ces accusations portées à l’encontre de nos camarades. Notre mouvement ne prône en aucun cas les attaques ou provocations violentes, qui sont contre-productives», a déclaré à l’AFP un responsable du site Guerre de France. «On se prépare, on fait du survivalisme, on s’entraîne dans la légalité. Mais nous n’avons jamais parlé de violences dans la situation actuelle, celle d’une paix relative, où il ne faut surtout pas faire d’actes stupides ou de provocations envers le camp d’en face», a-t-il ajouté.
Depuis l’affaire scandaleuse des Irlandais de Vincennes sous François Mitterrand, on peut s’attendre à tout: car ces prétendus terroristes de l’Ultra-droite ne seraient vraiment pas très malins de correspondre sans cryptage entre eux alors qu’ils sont supposés être en pleine conjuration armée. Car c’est ainsi paraît-il qu’ils montaient leurs coups fumants, d’un bout de la France à l’autre, en passant directement par la Toile, et parfois sans cryptage reconnaissent les enquêteurs… Par contre ces mêmes enquêteurs ignorent toujours de quels coups fumants il s’agit se perdant et nous perdant dans le flou de leurs communiqués entre possibles projets d’attentats ciblés et éventuels projets d’attentats aveugles.
Sur le site en question,  « Guerre de France », qui tente de faire contre mauvaise fortune bon cœur, on ironise:
« Vous êtes très nombreux à vouloir nous rejoindre, malgré le risque que cela représente. Étant accaparé à répondre aux journalistes qui ne se contentent pas de recopier les ordres du patron de la DGSI, du ministre de l’intérieur et du CFCM, merci de différer votre engagement. »
Le site révèle: l’un des incarcérés a eu sa fille assassinée au Bataclan:
Dominique Compain, a été incarcéré en préventive à la suite de sa garde à vue. Il faut savoir que cet homme qui ne ferait pas de mal à une mouche, a eu sa fille tuée au Bataclan. » http://www.guerredefrance.fr
Sans commentaire.
« le détachement de militaires en poste devant le Bataclan avait reçu l’ordre de ne pas intervenir »
S’en suit, sur la page d’accueil un article sur  les autorités de la Direction Générale du Renseignement Intérieur, qui sont chargées de prévenir tout attentat en France :
Le directeur général de la sécurité intérieure figure évidemment en bonne place dans cette pyramide. Si, depuis un an, ce poste est occupé par Laurent Nunez, ancien préfet de police de Marseille, il a été, de 2012 à 2017 – la période de tous les attentats – celui de Patrick Calvar.
Lors de son départ à la retraite, le journal Le Point dressait un portrait extatique de ce commissaire, « inconnu du grand public » – mais dont tout le monde connaissait le nom – et « sans étiquette politique »… à cela près qu’il avait été nommé à ce poste juste après la présidentielle de 2012 et qu’il avait participé à la réunion du groupe mondialiste Bilderberg en 2015.
Cet « inconnu du grand public » avait néanmoins connu son heure de gloire après son audition devant la commission parlementaire sur les attentats. Vous savez, celle qui a établi que le détachement de militaires en poste devant le Bataclan avait reçu l’ordre de ne pas intervenir, un ordre donné par… on ne sait pas qui, ce qui n’avait pas troublé outre mesure les enquêteurs, lesquels n’avaient pas poussé plus loin leurs investigations.
Devant la commission parlementaire, le patron de la DGSI avait, selon Le Figaro, déclaré que la France était « au bord d’une guerre civile ». Les auditions se faisant à huis-clos, Calvar avait eu tout le loisir de démentir. Il avait alors affirmé que ses services devaient s’ « occuper d’autres groupes extrémistes parce que la confrontation est inéluctable ». Et au cas où l’on n’aurait pas bien compris de quels extrémistes il s’agissait, ce frère jumeau du procureur François Molins enfonçait le clou : « L’ultra droite« .
Ainsi on apprend que le terme d’Ultra-droite est apparu à la faveur de l’attentat islamique du Bataclan… Cela en dit long sur cette pyramide remplie des préjugés idéologiques des frères maçons en faveur de l’Islam.
La garde nationale fondée (?) suite au massacre du Bataclan?
Médiapart aux aguets révélait en avril dernier que « Parmi les objectifs de la DGSI suivis pour leurs liens avec l’extrême droite violente, on recense une cinquantaine de policiers, gendarmes et militaires. » Médiapart avait raison de tirer la sonnette d’alarme, il y avait vraiment de quoi s’inquiéter: une cinquantaine de personnes en France seraient ainsi soupçonnées de vouloir organiser leur défense contre les attentats islamiques, que manifestement les autorités étaient (surtout à l’époque) incapables de prévenir ? Et ceci tandis que les nombreux candidats pour rejoindre l’État islamique étaient maintenus de force sur le territoire nationale. D’ailleurs n’était-ce pas le projet de François Hollande, suite au Bataclan, de Monter une garde nationale de laquelle la candidature spontanée de Marion Maréchal-Le Pen avait été aussitôt écartée ? Cette garde-nationale ne s’adressait-elle pas par prédilection aux anciens policiers, gendarmes et militaires ? Peut-être après tout que cette terrifiante cinquantaine de militaires à la retraite constituait l’embryon de cette garde nationale aussi discrète que l’Arlésienne et qu’on ne retrouve plus nulle part ? Qui nous éclairera ?
Que nous révèle la presse de ces 10 dangereux terroristes d’Ultra-droite ? Que sur la trentaine d’armes en leur possession « Ils avaient une vingtaine de carabines, de revolvers et de fusils détenus légalement. » Pour d’anciens militaires, nos retraités ne sont pas très malins. Commet-on des attentats avec des armes répertoriées, pour mieux se faire prendre ? Certes, il serait resté quelques grenades en plâtre, couteaux de cuisine et accessoirement quelques rares fusils de chasse détenus sans permis…
Que conclure de ces incohérences ?
Soit les anciens militaires qui dirigent ce groupe sont atteints de la maladie d’Alzheimer, soit il faut s’inquiéter sérieusement sur la formation de nos armées et polices pour qu’ils soient aussi nuls, soit… ils sont d’innocentes victimes des combines politiciennes de Jupiter… Car, il faut le reconnaître, l’opération de communication pour brosser dans le sens du poils l’Islam en France et l’Ultra-extrême-gauche, est une franche réussite; sauf peut-être que cela n’aura fait qu’exaspérer plus encore les Français qui ne sont pas dupes de la manœuvre.

Mais soyons rassurés, les services d’enquête anti-terroristes n’évoquent pas l’hypothèse que ces membres de la prétendue « Ultra-droite » puissent être atteints de désordres psychologiques, cela restant une spécialité musulmane. 

Et juste pour clarifier les choses: l’attentat du Bataclan, comme tous les autres, a été commis par des islamistes, pas par l’Ultra-droite! 

Emilie Defresne
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Comment l’Algérie expulse les immigrés…



Tandis que les dirigeants européens se réunissent pendant deux jours pour discuter de politique migratoire, ailleurs on prend des mesures autrement plus radicales. Prenons le cas de l’Algérie. Voilà un pays musulman situé sur le continent africain mais qui n’a aucune envie d’accueillir des immigrés africains, fussent-ils musulmans.

Depuis janvier 2018, l’Algérie a expulsé des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants vers le Niger et le Mali, sans tenir compte de leur statut légal ou non en Algérie.

Selon le rapport de l’ONG gauchiste Human Rights Watch, la police algérienne a effectué des descentes dans des quartiers connus pour abriter des immigrés, en procédant à des arrestations en pleine rue ou sur des chantiers de construction et puis à des expulsions massives à la frontière avec le Niger ou le Mali, « la plupart du temps sans leur donner de vivres ni d’eau ».

Certains immigrés auraient marché des dizaines de kilomètres à travers le désert.
Tous les immigrés interrogés ont affirmé avoir été rassemblés par dizaines, voire par centaines, dans les rues, lors de raids nocturnes dans les quartiers à forte concentration d’immigrés, ou sur leurs lieux de travail. Dans la plupart des cas, ils racontent que les policiers ou les gendarmes ne demandaient pas à vérifier leurs papiers.
A ceux qui possédaient un visa valide, ou un certificat du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) assurant que leur demande de statut de réfugié était à l’examen, la police répondait : ‘‘Vous êtes tous illégaux ici ; vous n’avez pas le droit d’être en Algérie’’. »
Selon l’ONG gauchiste Human Rights Watch, la police algérienne aurait passé à tabac des immigrés, rejeté leurs demandes de récupérer leur argent et leurs effets, et souvent saisi leurs téléphones.
Emanuele, une Ivoirienne âgée de 30 ans, a déclaré à Human Rights Watch qu’elle était enceinte de huit mois et vivait avec son fils de deux ans à Oran, où elle était femme de ménage. Le 24 avril, à 4 heures du matin, la police a fait une descente dans son quartier de Coca, et elle a raconté qu’ils y ont regroupé des habitants au faciès, sans leur permettre de récupérer leur argent ou d’autres possessions. La police, a poursuivi Emanuele, l’a ensuite mise avec son fils dans un bus, aux côtés d’une centaine d’autres personnes – parmi lesquelles une autre femme enceinte et une mère et son nouveau-né –, au départ d’Oran, en route vers un entrepôt à Reggane, dans la province d’Adrar. Ils ont tous passé une journée sur place. Puis, le 26 avril à 5 ​​heures du matin, les autorités les ont contraints à monter à bord de camions, conduits jusqu’à la frontière et leur ont ordonné de se rendre au Mali. Emanuele n’avait que deux petites bouteilles d’eau pour elle et son fils.
« Nous avons marché pendant des heures avant d’atteindre In Khalil. C’est à peine croyable : moi enceinte de huit mois, avec un garçon âgé de 2 ans, marchant dans le désert ? Il faisait si chaud que nous pouvions à peine respirer. »
Un autre migrant de Guinée, arrêté à Tlemcen le 12 avril et reconduit à la frontière du Mali quatre jours plus tard, a témoigné : « Je n’ai plus rien. J’ai tout perdu. Je suis arrivé à Gao sans un sou en poche, sans téléphone et avec seulement un pantalon et une chemise. Nous avons été traités comme du bétail. »
Nos lecteurs se souviendront qu’Ahmed Ouyahia, lorsqu’il était chef de cabinet du président Abdelaziz Bouteflika, avait déclaré le 7 juillet 2017 que les immigrés sont une « source de criminalité et de drogue » et que les autorités doivent protéger la population algérienne de ce « chaos ».
Ces récits sont à conserver et à rappeler
  1. aux Algériens immigrés en France et qui se plaignent de leur traitement;
  2. à tous les immigrés africains et musulmans qui se plaignent de leur traitement en France ou en Europe, alors que les pays africains et musulmans les traiteraient avec une autre rudesse;
  3. aux gauchistes qui crient au fascisme dès qu’un pays européen prend des mesures de base pour protéger ses frontières.
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Migrants : la tromperie révélée au grand jour !

Le gouvernement Michel avait presque réussi à faire croire qu’il avait une position dure par rapport à la crise migratoire. Théo Francken, bien aidé indirectement par une extrême-gauche qui a besoin d’un grand méchant loup pour encore essayer de mobiliser ce qu’elle peut, communiquait à répétition sur quelques expulsés alors que c’est sous son ministère que des records d’accueil et de régularisations ont été battus.

Mais là, les masques sont tombés. Sur un clignement d’œil de l’Union européenne, Francken et Michel se sont mis au garde à vous et ont accepté d’accueillir une partie des migrants embarqués sur le navire baptisé Lifeline et qui est le nouveau « Exodus médiatique » à la mode.

Mais d’autres régularisations se font tous les jours, au mépris de tout bon sens. Ainsi, un citoyen turc dénommé Cahit Zorel vient d’être régularisé après 17 ans ( !) de présence illégale dans ce pays. Cerise sur le gâteau, l’intéressé est un militant d’extrême-gauche qui est soupçonné d’être membre du DHKP-C, groupe terroriste d’extrême-gauche qui a de nombreux morts sur la conscience !

Au fou !

Tout cela est bien la preuve que tous ces partis populistes (de la NVA au PP qui se prétend le plus grand supporter du premier) n’auront jamais le courage de pratiquer une réelle politique de l’immigration zéro et du véritable contrôle des frontières.

Seul un important vote pour les listes identitaires de NATION poussera cette droite molle et lâche à prendre ses responsabilités car elle commencera à avoir peur de perdre ses sièges.

Le 14 octobre, ne vous trompez pas de vote ! Là où vous pouvez, votez NATION !

Victoire du Professeur Joyeux contre l’Ordre des Médecins



C’est une belle victoire qui mérite d’être signalée. La chambre disciplinaire nationale a réhabilité le professeur Henri Joyeux, cancérologue renommé, qui avait été radié en première instance par le Conseil national de l’ordre des médecins pour ses propos sur les vaccins.

En 2014, sur le site Internet de l’Institut pour la protection de la santé naturelle, le professeur Joyeux, soutenu par beaucoup de ses confrères, avait incité le grand public à signer une pétition « demandant un moratoire » pour la mise en œuvre des recommandations du Haut Comité de santé publique tendant à imposer la vaccination des enfants.

Dans un premier temps, la chambre de Languedoc-Roussillon l’avait radié en estimant que « le médecin doit apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes en vue de la protection de la santé et de l’éducation sanitaire ». Mais le conseil départemental de l’Hérault avait fait appel de cette radiation, ce qui en avait suspendu les effets.

Et en appel, la chambre disciplinaire vient de réhabiliter de professeur Joyeux. La Chambre d’appel a estimé, dans son arrêt, que « les expressions imagées et les affirmations fortes » du professeur Joyeux, « n’excédaient pas le principe de la liberté d’expression, y compris dans un contexte de défiance du public à l’égard des vaccinations ».

« Je n’ai pas de blâme. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que j’ai raison », a déclaré le professeur Henri Joyeux suite à cette décision.
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14 juillet 2018 en Anjou, sur les traces de Cathelineau



Le 14 juillet 2018 pour marcher sur les traces du « Saint de l’Anjou » et le prier.

Départ du Pin en Mauges, lieu de naissance du chef chouan, pour rejoindre St Florent le Vieil ou il fut enterré. Exemple de combativité et de piété, les organisateurs vous invitent à marcher en son honneur afin de prier pour la France et pour l’Anjou, menacées comme toute l’Europe par des périls terribles.

Pour que Dieu convertisse la France et soutienne ceux qui se battent pour elle. Cathelineau, priez pour nous !
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Les impressionnantes chirurgies crâniennes de l’empire Inca

Vincent Bordenave ♦

L’étude de plus de 800 crânes trépanés sur une très large période montre que les chirurgiens de l’Empire Inca étaient plus habiles que leurs “confrères” américains de la guerre de Sécession américaine

Quitte à se faire ouvrir le crâne, mieux valait se trouver dans les mains d’un chirurgien inca du XVe siècle que dans ceux d’un médecin militaire de la guerre de Sécession du XIXe. Telle est la conclusion d’une équipe de chercheurs de trois universités américaines, emmenée par David Kushner du département de médecine de l’Université de Miami, après l’étude plus de 800 crânes trépanés péruviens (ayant subi une opération visant à faire un trou dans le crâne) sur une période couvrant de 400 ans avant J.-C. jusqu’à la fin de l’Empire Inca. Dans un article publié dans la revue World Neurosurgery, ils comparent l’évolution des taux de survie à de telles opérations avec ceux de la guerre civile américaine (1861 à 1865), pendant laquelle un individu n’avait qu’une chance sur deux de survivre après l’ouverture de son crâne. Alors qu’il s’en sortait plus de 4 fois sur 5 chez les Incas!
«Il y a une combinaison de facteurs qui peuvent expliquer ce constat», explique Olivier Dutour, directeur d’études en anthropologie biologique à l’Ecole pratique des hautes études de Paris (Université PSL). «Il ne faut pas occulter la brutalité de la guerre de Sécession. Les blessures crâniennes par balle étaient plus graves et plus complexes à opérer que les traumatismes crâniens où les maux de tête des Incas. Il y avait un contexte d’urgence expliquant que toutes les précautions, notamment d’asepsie, n’étaient pas forcément prises, expliquant le plus faible taux de survie des patients pendant la guerre de Sécession. Ceci dit, cela n’enlève rien à l’habileté incroyable des chirurgiens incas.»

Un crâne trépané datant de l’Empire Inca d’un individu ayant survécu à plusieurs opérations de son vivant.

Les trépanations étaient des opérations extrêmement courantes dans le passé et sur tous les continents. Les plus anciennes traces de cette pratique sur des êtres humains datent du mésolithique, soit plusieurs milliers d’années avant les Incas. «Ce qui est très difficile aujourd’hui,c’est de réussir à reconnaître parmi ces opérations lesquelles avaient une raison médicale et lesquelles relevaient d’un acte magique ou religieux,» raconte Olivier Dutour. «La seule chose dont on peut être sûr, c’est que la plupart du temps (jusqu’à plus de 90% des cas chez les Incas), les patients survivaient.»

Après avoir subi une telle opération, les os du crâne cicatrisent. Le niveau de cicatrisation sur les bordures de l’orifice nous renseigne sur le temps de survie après l’intervention. Les auteurs de l’article ont pu déterminer trois catégories. Ceux qui sont morts sur le coup (pendant ou quelques jours après l’opération), ceux qui ont survécu de quelques jours à moins de deux semaines (on ne peut malheureusement pas être certain que la cause du décès soit la trépanation elle-même), et enfin les individus qui ont vécu plusieurs années après. «Il n’y a qu’un seul bémol à cette méthodologie, c’est qu’elle ne prend pas en compte les trépanations post mortem pour la première catégorie», souligne Olivier Dutour. «Les praticiens incas devaient sûrement s’entraîner sur des individus déjà décédés et c’est impossible de dissocier ces pratiques anatomiques des morts per- ou post- opératoires immédiates. Ce qui, au demeurant, me fait penser que le taux de survie pourrait être encore légèrement sous-évalué pour la période Inca

Plusieurs raisons à une trépanation

«On sait que la science médicale était avancée aux époques anciennes,» raconte le directeur d’études. «Par exemple, le corpus hippocratique (recueil de livres de médecine écrits attribué à Hippocrate, V siècle av J.-C. – NDLR) précise déjà que pour des problèmes neuromoteurs survenant d’un côté du corps après un traumatisme crânien, il faut trépaner en urgence du côté inverse de la localisation de la paralysie.» Non seulement la médecine avait déjà atteint un degré très élevé dans la connaissance du cerveau, mais au vu du taux incroyablement élevé de survie, ils devaient aussi avoir conscience de la nécessité d’appliquer un traitement postopératoire anti-infectieux et cicatrisant, probablement à base de plantes, quand bien même ils ne connaissaient pas encore l’existence des virus et des bactéries.
Plus étonnants encore, la plupart des survivants avaient le cerveau sous la peau. «Habituellement les orifices de trépanation sont recouverts par des plaques, mais pour les périodes anciennes on en a retrouvé aucune à côté des crânes,» rajoute Olivier Dutour. Le plus probable étant que les médecins recousaient directement le scalp par-dessus l’orifice de trépanation. Le scalp est assez rigide, et on peut largement survivre avec une boîte crânienne ouverte, à condition qu’elle soit recouverte par le cuir chevelu. Il faut juste alors éviter de prendre des coups… Plusieurs crânes ont même été retrouvés avec plusieurs orifices de trépanation. Les degrés de cicatrisation montrent bien que dans certains cas les opérations pouvaient être simultanées et, dans d’autres cas, étalées dans le temps. «Un peu comme aujourd’hui quand on prend plusieurs rendez-vous chez le dentiste, certains Incas avaient, eux, un abonnement chez leur trépaneur», s’amuse Olivier Dutour.

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