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samedi 30 juin 2018

L’islam, une stratégie militaire sous couvert de religion


Propos recueillis par Fabrice Dutilleul.
L’islam, une stratégie militaire sous-couvert de religion, Philippe Arnon (Éd.Tatamis).
L’islam, une stratégie militaire sous-couvert de religion, Philippe Arnon (Éd.Tatamis).

 L’islam, une stratégie militaire sous couvert de religion est le titre de votre livre. Ne le trouvez-vous pas tout de même réducteur quand il s’agit de commenter une religion ?

L’islam, pour des millions et des millions d’hommes est effectivement une religion parce qu’elle répond à leur besoin de spiritualité qui est inhérent à l’homme quel qu’il soit. Mais il est une immense façade aux apparences trompeuses d’une religion. Et cette façade est destinée à dissimuler une stratégie perfide de domination mondiale. Cette stratégie a été mise au point par un homme qui a été et sera sans doute pour toujours, le plus grand génie de la manipulation des esprits humains. Cet homme, c’est bien sûr Mahomet qui a eu la fatuité de se déclarer dernier prophète, ce qui est déjà astucieux car cela lui confère aux yeux de la foule, à la fois l’excellence et la vérité. Il a compris – certainement sans effort intellectuel raisonné mais à mon avis, par pure intuition – que les instincts de la bête qui agitent l’homme, sont les principaux mobiles qui déterminent ses actes. Il a retenu les deux plus importants : l’instinct de conservation et l’instinct sexuel.
L’instinct de conservation est celui de la peur, celle de perdre la vie. C’est évidemment un instinct de défense contre tous les dangers susceptibles de l’anéantir. L’instinct sexuel au contraire est un instinct de bondissement bouillonnant en permanence qui n’aspire qu’à se détendre pour au contraire poursuivre… la vie.
L’homme craint pour sa vie ? Parfait ! Il suffira d’entretenir cette peur, de l’amplifier même par toute une série d’injonctions lovées dans de multiples sourates que le prophète rattachera bien sûr à l’ordre suprême en affirmant qu’il les a reçues de Dieu lui-même, Allah qui ne sera en fait qu’Allah-alibi. Ce sera la première manipulation qui s’analysera comme la réduction maximale de l’esprit en vue d’une bestialisation optimale conquérante. Elle prendra la forme de deux binômes : la terrorisation-soumission qui conduira à la militarisation-expansion.
Mais Mahomet va jouer également sur les pulsions sexuelles des hommes. Toute la stratégie cette fois va consister à définir un corpus d’interdits pour brimer la bête en l’homme afin de faire en sorte que de cette frustration surgisse une agressivité démentielle. Je prouve d’ailleurs que Mahomet appartient à cette coterie composée des prophètes de Satan dont les principaux membres sont Gengis Khan, Tamerlan, Lénine, Hitler…
Cette agressivité prendra la forme de ce que j’appelle la « chahidation », c’est-à-dire la transformation de l’homme en chahid, c’est-à-dire encore en un homme qui va n’avoir en tête que l’obsession guerrière de se sacrifier au profit de sa religion… tout simplement parce qu’il a été pleinement habité auparavant, par l’espoir outre-tombe d’une formidable fornication et d’une fornication qui sera de surcroît, éternelle ! Ce sera le binôme de la chahidation-fornication.

Comment expliquez-vous ce qu’on pourrait appeler la cristallisation de l’islam, c’est-à-dire son impossibilité à évoluer ?

Les orthodoxes de l’islam affirment haut et fort et souvent avec la plus grande des brutalités que le Coran est incréé, c’est-à-dire qu’il ne peut être interprété et adapté à l’histoire qui va, puisqu’il est la parole de Dieu et que la parole de Dieu bien sûr ne peut être remise en cause.
Or, le codex date du VIIe siècle. En ce sens, il est en quelque sorte victime de ces deux contingences que sont l’espace et le temps. En d’autres termes, il reflète les mœurs arabiques du temps du prophète. Ce qui fait que les musulmans doivent vivre – et encore de nos jours bien sûr –, selon ces mêmes mœurs et ne pas les discuter ! Cette rigidité extrême est d’une telle intensité qu’elle va en toute logique priver l’islam de toute évolution.
Cela se traduira d’abord par l’échec de tous les grands sages de l’islam – il y en a (comme Averroès) et l’on imagine les problèmes qu’ils ont dû rencontrer – qui chercheront à conforter leur religion en l’enrichissant de la philosophie grecque et ensuite, et plus près de nous, ce sera l’échec de la « nahda » à la fin du XIXe siècle et qui a été traduit par le mot renaissance.
Mais paradoxalement, cette même rigidité extrême qui s’analyse sur le plan de la civilisation comme une stagnation, une sorte d’hibernation, une compression de l’agressivité guerrière, va, à intervalles réguliers, se libérer, rejaillir pour de nouveaux départs en vue de poursuivre le dar-al-islam, c’est-à-dire la domination du dar-al-harb. Nous sommes aujourd’hui dans cette phase que j’appelle le paradoxe de la stagnation-mobilisation.

Justement, que pensez-vous de la situation actuelle, et notamment en Europe ?
L’Occident appartient au dar-al-harb. Or, il est une notion fort importante en islam que j’évoque d’ailleurs dans mon livre, c’est la taqiyya. C’est là encore un élément de conquête et donc un élément de la stratégie militaire. La taqiyya, c’est de la part du musulman, se faire petit, hypocrite en terre ennemie tant qu’on ne se sent pas en force pour passer à l’attaque. Or l’Occident est en état de déliquescence avancée ou plutôt, faudrait-il dire, son élite politique par son imbécillité notoire, son aveuglement, son enfermement dans des poncifs masochistes suicidaires, font de lui un terreau propice à une reddition qui ne va pas tarder. Il y a désormais renversement du rapport des forces. Les cerveaux en Occident – encore une fois, je le précise, essentiellement ceux des élites politiques – sont malades. Alors que de nombreux peuples européens, par l’élection, ont manifesté leur désapprobation à une politique d’accueil des migrants, les dirigeants européens, avec cette suffisance hautaine qui les caractérise – Macron les assimile à la lèpre !!! – ne cherchent pas – cela devrait être pourtant logique – à s’opposer à l’invasion… non ! eux parlent de solidarité et de répartition entre les États. C’est proprement renversant.
Les peuples expriment leurs attentes et surtout leurs inquiétudes, mais on ne les écoute pas. Aussi, ne doit-on pas craindre d’affirmer que la pathologie profonde des élites politiques aujourd’hui induit la faillite manifeste de la démocratie. Je crains que cette ignorance de l’expression populaire aille très vite et inévitablement conduise à l’émergence de mouvements très violents, c’est-à-dire à l’émergence de contre-terrorismes pour le maintien des identités nationales. On va assister en effet en Europe à une sorte de constellation d’actes très violents contre les musulmans qui seront la manifestation logique de leur exaspération. Et les responsables en seront ces dirigeants idiots genre Macron, Merkel, Junker, et le nouveau chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez ; des responsables qu’on ne trouve qu’à l’Ouest car ceux de l’Est qui savent ce que veut dire le mot invasion, ont les pieds sur terre. Et j’espère qu’ils ne céderont pas jeudi aux injonctions des premiers.

L’islam, une stratégie militaire sous couvert de religion, Philippe Arnon, Tatamis, 365 pages, 20 euros. Pou commander ce livre, cliquez ici.

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