Bernard Plouvier
Cela
fait plus de deux millénaires que magistrats et policiers appliquent –
même ceux qui ignorent la langue latine – ce proverbe, qui n’est qu’un
truisme. Lorsqu’on cherche un coupable, il est bon de réfléchir à cette
simple question : À qui profite le crime ?
En
fouillant bien, on peut toujours trouver et monter en épingle une
histoire d’abrutis amateurs de scandale et, cerise sur le gâteau, ça
permet de détourner le bon peuple des vrais problèmes (le chômage &
l’insécurité), des vrais fléaux (la corruption et l’effarante nullité
intellectuelle et physique de la jeunesse autochtone) et des vrais
dangers publics (les djihadistes ou les nervis gauchistes).
À
partir de 1990, il parut opportun de faire mousser durant des années
une enquête sur la profanation d’un cimetière juif – alors même que
l’organisateur avait été arrêté le lendemain, puis relâché, ce qui
permit de faire durer six années la campagne médiatique de diabolisation
d’un Front National en plein essor et sans la moindre relation avec
l’affaire.
On
accoucha d’une souris : 4 « néo-nazis », qui ignoraient probablement
que les cimetières juifs avaient fonctionné normalement durant le IIIe
Reich, même à Berlin jusqu’en avril 1945, et que seuls les bombardements
de terreur alliés avaient déterré des cadavres, confondant juifs et
goyim dans la même horreur. À force d’écrire des insanités historiques,
il arrive qu’on transforme des esprits faibles en satanistes de
pacotille et en violateurs de sépultures.
De
nos jours, après cinq années d’attentats terroristes mahométans, dont
certains furent très sanglants, et alors que partout en Europe
occidentale les populations autochtones, pourtant si molles et si
longues à émouvoir, commencent à grogner (oh ! très discrètement) contre
l’invasion du continent par des cohues de gens qui n’ont rien à y
faire (d’autant moins qu’il y règne un chômage structural énorme), on
lance un gram tam-tam médiatique sur un « vaste complot
anti-mahométan »…chacun sait l’amour de nos excellences pour le vacarme
africain.
Il
y aurait de quoi rire s’il ne fallait s’attendre à une nouvelle vague
d’attentats meurtriers des fous d’allah, par mesure de rétorsion. Car la
« pensée-poubelle », chère à nos preux chevaliers de l’antiracisme, est
plutôt une spécialité de nos merveilleux envahisseurs. Après tout, qui
viole et qui tue de parfaits innocents en énormes quantités en Europe
occidentale : les rarissimes excités de « l’ultra-droite » ou les fous
d’allah ? Qui saccage depuis des mois, en France, écoles et
universités : les nervis fils-à-papa de l’ultragauche trotskiste ou les
jeunes de la mouvance populiste ?
L’on
veut bien admettre qu’il existe des Européens n’ayant pas encore
compris qu’une Libération, ça se prépare et ça n’a de chance de
triompher qu’au bon moment. Mais l’unique réalité sanglante depuis 2014,
ce sont les tueries organisées par les mahométans djihadistes.
N’inversons
pas les rôles dans la comédie politico-médiatique. Il est évident que
la Nation française commence à trouver un peu trop cynique la politique
« jeune et dynamique » du Président, largement acquis aux charmes de
l’économie globale et de l’invasion migratoire. C’est en informant
constamment l’électorat que pour l’instant, l’on doit agir. Et la triste
réalité de notre Europe occidentale est telle que le simple exposé des
faits suffit à ébranler une partie de plus en plus grande des citoyens.
C’est
d’ailleurs ce qui effraie les hommes et les femmes implantés à la
direction des États européens pour y faire passer la pilule de
l’invasion et du brassage des races et des pensées. Si le slogan :
« Tous métis », métis culturels ou métis raciaux, pouvait devenir la
réalité de l’Europe occidentale et scandinave, cela enchanterait les
tireurs de ficelles des pantins qui font semblant de nous gouverner.
Ne
leur donnons pas la joie, à ces joueurs de flûte et à ces richards qui
veulent jouer aux démiurges, de gagner trop facilement leur partie de
Monopoly vicieux. Informer et préparer en toute légalité les conditions
de la Libération sont les seuls objectifs utiles pour le moment. Ce ne
sera pas facile et l’on peut faire confiance à nos ennemis pour
multiplier les coups bas.
L’essentiel
est d’obtenir en tout pays européen meurtri, avili, envahi, une
majorité d’électeurs qui se prononcent pour une solution politique
favorable à la Nation autochtone. D’abord s’unir contre la folle
arrogance des maîtres du fric, s’unir contre l’envahisseur non désiré.
Ensuite, quand la majorité de chaque Nation sera éveillée, on agira en
établissant de nouvelles lois, l’on organisera méthodiquement la
nécessaire re-migration des non-Européens vers leurs terres d’origine,
et l’on en reviendra, logiquement, aux valeurs fondamentales : Honneur,
Travail, Famille, Patrie.