BREIZATAO – ETREBROADEL
Le clergé
catholique , s’inscrivant dans une dérive de plus en plus marquée, a
encore renforcé son alignement sur les organisations immigrationnistes
d’extrême-gauche mais aussi sur l’agenda arrêté par la finance
internationale en matière d’immigration.
La
Conférence des Evêques de France a appelé à faire des mosquées des lieux
où l’état ne pourrait plus intervenir pour expulser des migrants
clandestins, transformant de facto ces dernières en zone où ne
s’exercerait plus la souveraineté française.
L’Eglise catholique a demandé mercredi, lors d’une conférence de presse, la «sanctuarisation des centres d’hébergement» marquant ainsi son désaccord avec la circulaire du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, diffusée aux préfets début décembre. Cette circulaire, qui permet d’identifier les sans-papiers présents dans les structures d’accueil, avait provoqué la colère des associations. «Les personnes doivent pouvoir s’y rendre en confiance», a soutenu Carlos Caetano, directeur de la Pastorale des migrants, le service de l’épiscopat dédié à ce dossier. Le prêtre a aussi inclus dans cette «sanctuarisation» les écoles, les hôpitaux et les lieux de cultes.
Si
cette mesure était adoptée comme l’exige le clergé catholique – qui
rompt là son devoir de neutralité politique en s’ingérant dans un
domaine strictement régalien – elle serait une véritable aubaine pour
les organisations djihadistes.
Comme
l’ont démontré les attaques du Bataclan et de Nice, des migrants
clandestins musulmans s’infiltrent en Europe et en France pour y
commettre des attentats. Si les mosquées échappaient au contrôle du
gouvernement, comme le prône à présent le clergé catholique conciliaire,
elles deviendraient de facto des forteresses idéales pour les
djihadistes, ces derniers étant certains de ne pas y être recherchés.
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