Un arrêté ministériel publié fin
février relatif à cette loi trace une ligne rouge entre le bénévolat et
le salariat dans la participation à des spectacles à but « lucratif », c’est-à-dire faisant des bénéfices.
Une lettre adressée au Puy du Fou
et signée par trois directeurs d’administrations centrales (sécurité
sociale, travail et création artistique) atteste que la Cinéscénie
n’entre pas dans la catégorie « à but lucratif ».
« Le spectacle de la Cinéscénie, organisée par une association loi 1901, à but non lucratif, est en conformité avec les principes de la loi en matière de pratique amateur dans un cadre non lucratif ».
Philippe de Villiers fait part de son « grand soulagement » alors que « dans la loi, il est question de toutes sortes de contraintes qui pouvait décourager le bénévolat et le rendre suspect ». Le créateur du Puy du Fou se réjouit aussi de l’application de la mesure à « toutes les associations de bénévoles ».