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jeudi 8 septembre 2011

Insigne duinsigne du 132e bataillon cynophile de l'armée de Terre (132e BCAT) de Suippes

Réponse à un intervenant ...

« Rejeter toute idée de construction européenne au profit d'un nationalisme autarcique est en revanche plutôt irresponsable face aux défis à venir. »


Le problème que vous soulevez m’apparaît majeur et la réponse que vous y apportez, fondée. Nous appartenons tous au Vieux continent, dénommé ainsi parce que c’est de lui dont tout est parti à commencer bien sur par nos origines greco-latines qui constituent le fondement de notre civilisation. N’oublions pas non plus que naguère l’Europe fut en partie réalisée aussi bien via les romains que par Charlemagne. Quant aux Etats, au sens moderne du terme, ils n’apparurent véritablement qu’après.

Le vieux continent, c'est-à-dire ce qui nous caractérise en tant que civilisation, dispose donc de sa propre histoire à laquelle il est urgent de se référer dans les temps de détresse que nous connaissons aujourd’hui. Il n’existe d’ailleurs pas de problème qui soit spécifiquement franco-français : elles sont désormais nombreuses les suédoises à être noire de peau ou à avoir les yeux bridés. Ce qui est vrai de la Suède l’est tout autant des grands pays européens qui sont depuis quelques décennies victimes d’une dislocation de leur support ethnique qui est une des caractéristiques essentielles des différents peuples.

Les menaces auxquelles le Vieux continent est confronté viennent de l’Ouest (l’idée immigrationniste du melting pot américain), du Sud (les migrations de population issues d’Afrique sapant la spécificité ethnique des nations européennes), ainsi que de l’Est (je songe ici à la concurrence économique déloyale provenant d’Asie auquel il faudra mettre fin via un protectionnisme intelligent).

Croire que l’on pourra mettre fin à ces périls en apportant uniquement une réponse nationale m’apparaît erronée. C’est une civilisation qui est aujourd’hui gravement menacée dans son essence et qui doit donc être secourue par delà les simples clivages nationaux. De plus, si l’Europe technocratique que nous n’aimons pas, est aujourd’hui aussi puissante par rapport à ce que nous sommes, c’est avant tout parce que ce qui y est pensé s’effectue justement de manière directe à l’échelle européenne.

Nous ne devons pas, à titre d’exemple, boycotter les élections européennes au motif qu’elles ne sont pas nationales : c’est pour nous un faire valoir pour nos idées et la possibilité de voir réaliser – pardonnez l’expression – l’internationale nationaliste. Si d’aventure, la mouvance atteignait à ce type d’élection un score de 25%, avec le nombre de députés que cela représqenterait, cela ouvrirait bien des perspectives au sommet.

Nous nous devons donc, à mon avis, de jouer de manière pragmatique tout en restant bien sur fidèle à nos principes initiaux, tantôt le combat civilisationnel européen, tantôt la défense du pré carré national. C’est ainsi que nous ne devons pas laisser des allemands ou italiens nationalistes confrontés à un problème national au simple motif qu’ils ne sont pas Français.

Existe également aujourd’hui le problème des interdépendances économiques qui doit solidariser les militants de chacun des pays constituant l’ensemble afin justement de contrarier des mises au pas issues de Bruxelles.

Si l’on veut inverser les flux migratoires, il faudra d’ailleurs l’effectuer de manière européenne. Il va également de soi que la réimplantation du tissu industriel en Europe passe par un protectionnisme pratiqué par tous les pays memebres (sous peine de faire chuter l’ensemble). Dans une telle prespective, l’harmonisation des politiques fiscales et sociales se doit d’être pratiquée afin justement que la réimplantation des entreprises ne se fassent justement pas dans certains pays et non dans d’autres.

En tant que Français, nous bénéficions d’ailleurs d’une législation sociale ainsi que d’un passé de type colbertiste que nous avons, d’une part à préserver mais aussi d’autre part à étendre à l’ensemble de l’échelle européenne : le nivellement doit donc majoritairement être pratiqué vers le haut avec pour modèle la « french touch ».

Pour des raisons d’ordre tactique évidentes, nous pouvons toujours tenir un discours franco-français à destination d’un corps électoral qui n’a pas très bien compris les enjeux et ne raisonne pas en terme de géopolitique, même si nous devons par la suite faire auprès des Français un effort pédagogique afin d’éclairer les tenants et aboutissants de la problématique.

L’Europe bien comprise sera d’inspiration française.

mercredi 7 septembre 2011

Insigne du 13 ème Bca de Saint Alban

Commentaire d'une citation d'Edouard BERTH

« Les ouvriers n’ont pas de patrie » dit le Manifeste communiste de Marx et d’Engels. Au contraire, les ouvriers ont une patrie plus encore que les bourgeois qu’on pourrait considérer eux, comme les vrais « sans patrie » ; car le riche est le vrai « déraciné », qui, partout dans le monde, où qu’il se trouve, se trouve bien, précisément grâce à sa richesse ; tandis que l’homme du peuple, le pauvre, le dépaysé, déraciné, transplanté, livré à la double domination capitaliste et étrangère, est doublement esclave et malheureux. En fait dans l’histoire, ce sont les classes riches qui, le plus souvent pour un ignoble intérêt de classe ont vendu la patrie à prix d’or, […] alors que les classes populaires la défendaient avec l’acharnement le plus magnifique.

J. Darville pseudonyme d’Edouard BERTH, « Satellites de la ploutocratie » in Cahiers du Cercle Proudhon, volume V-VI, Paris, 1912.



Je partage le point de vue de la citation qui conserve encore, de nos jours, toute son actualité. C’est ainsi que les gens simples continuent d’avoir des réactions saines face à certains aspects de la postmodernité : ainsi en est-il par exemple de la gay pride ou de l’apologie de l’allogène qui sont contestées au sein du monde ouvrier qui n’a pas la langue dans la poche lorsqu’il s’agit de s’exprimer sur ce type de sujet. S’il faut se méfier de ce que l’on a coutume d’appeler le bon sens populaire dès lors où la problématique est ardue – les réactions sont auquel cas par trop simplistes - il faut bien admettre qu’en matière de vérités d’évidence, le jugement du Français lambda s’avère le plus souvent juste.

Pour autant, même si la France fut, avant tout, dans son histoire - regrets - un pays rural « labourage et paturage… » avant de voir se constituer les grandes concentrations ouvrières, nous ne devons pas nous voiler la face quant à ce qu’elle est, sociologiquement, devenue depuis. La France de ce début de siècle ne peut plus être qualifiée de pays industriel et par voie de conséquence, le monde ouvrier s’est effacé au profit du secteur tertiaire. Plus grave, la mentalité ouvrière n’est désormais plus homogène et le réflexe de classe – il y aurait là matière à se réjouir – ne fonctionne plus. Bien des ouvriers sont aujourd’hui des bourgeois qui s’ignorent, eux aussi adeptes de la consommation, n’ayant pour principal objectif que d’atteindre le train de vie des classes moyennes : la pensée de chaque ouvrier se doit donc, à l’heure de l’individualisme, d’être étudiée spécifiquement puisque l’opinion de classe n’est plus. On ne doit cependant pas être expéditif sachant que cette strate sociale constitue, numériquement, le meilleur électorat de la mouvance et très certainement le plus fidèle. Nuançons donc.

Ce qui m’a chagriné dans ce que j’ai appelé ouvrierisme ainsi que son apologie, c’est le fait qu’il s’agit d’un appel à un vote de classe et nullement un recours, qui me semble nécessaire, à l’intégralité des nationaux. En effet, la mouvance est censée s’adresser aux Français et éventuellement aux Européens mais certainement pas à une strate constitutive qui, dès lors où est est mise en exergue, devient facteur de séparatisme, exclue qu’elle est de fait via le message spécifique qui lui est adressé. Faut-il aussi rappeler tout le travail de nos aînés en vue justement d’intégrer, et ce à l’encontre des desiderata de la bourgeoisie, ce prolétariat qui fut volontairement exclu de la communauté nationale ? « classes laborieuses, classes dangereuses ».

Le fait est que dans nos entreprises, les emplois furent progressivement supprimés en partant du bas vers le haut, chaque strate supérieure restant indifférente au sort réservé à celle située au dessous ; c’est ainsi que le monde ouvrier, parce qu’il s’estime qualifié, ne s’est pas mobilisé au profit des femmes de ménage qui furent victimes du processus d’externalisation. On peut d’ailleurs remarquer, même si considéré du niveau doctoral, le corps ouvrier semble homogène, qu’il n’en est rien dans la réalité : il existe toute une hierarchie au sein de cette strate et chacun tient à son intititulé. Bien évidemment, ceux qui, sociologiquement, se situaient au dessus du monde ouvrier furent, à leur tour, indifférents, lorsque les grandes charettes des années soixante dix et quatre vingt qui emmenaient les ouvriers vers un chômage qui s’avérait bien souvent définitif.

Ce sont aujourd’hui les petits cadres (techniciens) qui sont touchés en attendant la catastrophe qui s’annonce et fera que les cadres qui méritent leur appellation (bac+4, bac+5) seront, à leur tour, touchés: la démocratisation de l’Afrique du Nord ainsi que la francophonie qui y règne dans un cadre de fort chômage risquent fort de pousser les jeunes diplômés arabes vers le vieux continent en quête d’un travail qu’ils trouveront ici alors qu’il en sont dépourvus là bas. Cela permettra de réviser les salaires des cadres à la baisse même si ces migrants y trouveront leur compte. En ce sens, les cadres, en raison du fait qu’ils étaient les mieux instruits et donc les plus aptes à comprendre le monde contemporain, risquent fort - et ce n’est que justice sachant qu’ils ont abandonné leurs compatriotes plus démunis -de payer très cher l’addition qui va leur être imposée.

Pour toutes ces raisons, il me semble urgent d’en finir avec tous les corporatismes et de rassembler, aussi bien ceux qui sont exclus que ceux qui sont en passe de l’être, sous la bannière nationale.

mardi 6 septembre 2011

Insigne du 126 ème régiment d'infanterie

Au sujet de l'Europe.

Le problème européen est d’importance puisqu’il concerne les rapports entre la France et ses voisins. Je ne pense plus qu’il soit désormais possible de vivre sa francéité comme naguère, période durant laquelle nos frontières naturelles faisaient barrage. Puisque les défis auxquels nous sommes confrontés sont maintenant mondiaux (islamisme, panarabisme, finance, émergence asiatique, etc…), je suis intimement convaincu qu’il nous faut donner une réponse européenne à ces problématiques. Via l’alliance privilégiée avec la Russie, nous pourrions accéder à l’indépendance énergétique dont nous avons besoin. Il me semble aussi impératif de faire prendre conscience aux jeunes Européennes de la matrice gréco-latine dont ils sont issus et à laquelle il est plus qu’urgent de retourner. Cette quête des origines ne doit en aucun cas nous faire oublier l’histoire qui a permis aux différents pays de se distinguer au cours du temps. En ce sens, l’Europe ne doit pas signifier la fin des nationalités respectives. Au demeurant, les disparités linguistiques vont perdurer avec pour conséquence la pérennité des nations. En revanche, je crois que doivent être harmonisés au sein de l’Europe, après avoir été pensés, certains dispositifs comme ceux ayant trait aussi bien à la fiscalité qu’à la santé ou à l’éducation. Certains de nos voisins réussissent mieux que nous dans certains domaines (à titre d’exemple, un ouvrier allemand est rémunéré davantage qu’un ouvrier français tout en coûtant moins à son employeur) et nous nous devons d’apporter en comparant ce qui se fait sur l’ensemble du sol européen une réponse qui sera proposée à tous. Avantage, dès lors où il y aura homogénéité, les déplacements de populations au sein de l’Europe mais aussi les délocalisations ou les transferts de capitaux n’auront plus de raison d’être. En conséquence, l’uniformisation à l’échelle européenne dans les domaines techniques mais non essentiels – qui ont donc trait à l’essence - (j’insiste), se traduira dans les faits par un enracinement plus prégnant.

dimanche 4 septembre 2011

Insigne du 110 ème régiment d'infanterie



Au sujet d'un communiqué du parti de la France.


Communiqué du parti de la France en date du 28 août:



Mesures gouvernementales: du racket d’Etat à la répression fiscale




L’association politique de malfaiteurs budgétaires qui gouverne la France depuis 1974 vient de franchir une nouvelle étape dans la fuite en avant fiscaliste. Après des décennies de racket fiscal obligatoire imposé par l’Etat aux Français, nous entrons, avec ces nouvelles mesures gouvernementales d’impôts et de taxes dans l’ère de la répression fiscale.



La dictature fiscale d’un Etat omnipotent et dépensier, champion de la zone euro des dépenses publiques (56% du PIB en 2009), fait payer lourdement aux Français les conséquences de trente ans de gaspillages publics, d’étatisme triomphant, de collectivisme rampant, de démagogie socialisante, d’immigration ruineuse et d’idéologie mondialiste.

Le plus grave est que cette politique répressive ne fera qu’aggraver la situation économique de la France et affaiblir le niveau de vie des Français, sans rien résoudre du poids insupportable de la dette publique et des déficits, de l’absence de croissance et du chômage.

La pseudo règle d’or du retour à l’équilibre budgétaire n’est évidemment qu’une nouvelle mascarade médiatique. Le premier ministre annonce avec beaucoup de gravité, un plan de réduction d'1 milliard d’euros du déficit budgétaire en 2011 et de 11 milliards d’euros en 2012 : il se trouve que le 6 juillet 2011, le Parlement a adopté le projet de loi de finances rectificative pour 2011 en faisant passer le déficit budgétaire de 91,6 milliards d’euros à 92,3 milliards d’euros, soit une augmentation de 700 millions. Où était donc, il y a un mois, la volonté gouvernementale et parlementaire de retour à l’équilibre budgétaire ?

En vérité, la France qui se situe dans le top 5 mondial pour le taux de prélèvements obligatoires et en tête de la zone euro pour le taux des dépenses publiques, n’est jamais sortie du socialisme et de l’étatisme.

Puisque les Français sont contraints par l’Etat de se serrer la ceinture, exigeons que l’Etat et les collectivités locales commencent par montrer l’exemple.



Il semblerait que pour le Parti de la France, via ce communiqué, dont on trouve des variantes sur Npi, la lutte contre le socialo-communisme (période pourtant restreinte à 1981/1984) reste l'ennemi principal.

Comme si la gauche n'avait pas changé depuis et ne s'était pas convertie au libéralisme conforme au nouvel ordre mondial.

Outre que le texte présente des boursouflures (on dirait de la rhétorique communiste inversée), il apparaît davantage comme un tract simpliste et caricatural qui ne pose pas les problèmes de fond qui consisterait à
chiffrer le budget à venir.

Puisqu'il existe un décalage entre l'argent perçu par l'Etat et celui dépensé (200/300 milliards), il faudrait donc
penser un plan de retour à l'équilibre.

L'Etat ces dernières décennies s'est considérablement désinvesti de ses missions en s'inspirant bien des modèles d'outre-Manche et d'outre-Atlantique.


Ainsi en est-il du non remplacement d'une fonctionnaire sur deux à la retraite (c'est socialiste ?), ainsi en est-il de la dissolution de nombreux régiments de l'armée (même question), ainsi en est-il du moindre remboursement des médicaments, de la carence en magistrats, en personnel pénitentiaire, en structures d'incarcération, de policiers. Il en est de même pour la culture où l'Etat se garde bien de restaurer abbayes et châteaux qui font pourtant parti du patrimoine national.

Une politique présuppose une masse d'argent qu'il faut bien collecter si l'on veut faire vraiment bouger les choses: Ainsi en est-il de l'impôt direct, de l'împôt sur les sociétés, et bien évidemment de la Tva.

Promettre aux Français qu'ils gagneront plus (via une baisse des prélèvements), c'est d'une part reprendre une thématique libérale (les tenants du nouvel ordre mondial) et particulièrement celle de Nicolas Sarkozy.

Il manque 100 milliards et, bien entendu, personne ne chiffre la solution. On en reste aux formules floues comme "faire des économies", "éviter les gaspillages" sans pour autant les chiffrer: je doute d'une part que la suppression de ces excès, quelquefois bien réels, nous suppriment 100 milliards sur les 300 dépensés.

L'Etat, compte tenu des carences dans de nombreux services, doit au contraire voir ses recettes augmentées, propédeutique à une politique alternative à celle prônée par le nouvel ordre mondial.

Il faudra donc, ce qui n'empêche nullement la lutte contre le gaspillage, augmenter les prélèvements et avoir aussi le courage de l'annoncer à nos compatriotes: bien évidemment, il ne faut pas espérer de nos politiciens une telle démarche, soucieux qu'ils sont de ratisser large dans le cadre des élections.

jeudi 1 septembre 2011

Insigne du 1 er régiment d'infanterie de Sarrebourg



Le vrai visage de la Lybie de Khadafi



Une information qui nous vient du site d'information Altermedia France:

1-L’électricité à usage domestique est gratuite !

2 – L’eau à usage domestique est gratuite !

3- Le prix d’un litre d’essence est de 0,08 EUROS !

4- Les banques libyennes accordent des prêts sans intérêts !

5- Les citoyens n’ont pas d’impôts à payer, et la TVA n’existe pas !

6- La Libye est le dernier pays dans la liste des pays endetté ! La dette publique est à 3,3% du PIB ! En France, elle est à 84,5% ! Aux US, 88,9% ! Aux Japon à 225,8% !

7- Le prix pour l’achat d’une voiture (Chevrolet, Toyota, Nissan, Mitsubishi, Peugeot, Renault…) est au prix d’usine (voitures importées du Japon, Corée du sud, Chine, Etats-Unis…) !

8- Pour chaque étudiant voulant faire ses études à l’étranger, le « gouvernement » attribue une bourse de 1 627,11 Euros par mois !

9- Tout étudiant diplômé reçoit le salaire moyen de la profession du cursus choisi s’il ne trouve pas d’emploi !

10- Lorsqu’un couple se marie, l’ »Etat » paie le premier appartement ou maison (150 mètres carrés) !

11- Chaque famille libyenne, sur présentation du livret de famille, reçoit une aide de 300 EUROS par mois !

12- Pour tout employé dans la fonction publique, en cas de mobilité nécessaire à travers la Libye, l’Etat fournit une voiture et une maison gratuitement. Et quelque temps après, ces biens sont à lui.

Ma question est celle-ci qu’est ce que la "Communauté Internationale" appelle DICTATURE si la reine d’Angleterre, le roi de Belgique, l’empereur du Japon… doivent mourir au pouvoir avant d’être remplacé? Celui qui peut jeter un comprimé EFFERALGAN dans la mer et le retrouver après dix minutes, pourra me convaincre que KADHAFI est un dictateur. Vous pouvez toujours essayer. On ne tue pas une idée en coupant la tête de celui qui la porte. KADHAFI est un révolutionnaire.

La lutte ne fait que commencer.