Pieter Kerstens
La
communauté chinoise attribue un nom d’animal à chaque Nouvel An. Depuis
le 28 janvier 2017 ils sont dans l’année du Coq et à partir du 16
février 2018 ils entreront dans l’année du Chien pour l’ensemble des
natifs de l’Empire du Milieu.
En Europe, et tout particulièrement en France, nous sommes depuis le 1er
janvier entrés dans l’année du Mougeon. Cela ne vous inspire pas ? Le
Mougeon est un hybride entre le mouton et le pigeon. Un animal stupide
que l’on peut tondre régulièrement et tout aussi facile à plumer. La
grande majorité des individus répondent malheureusement maintenant à
cette comparaison, premier stade de l’asservissement.
Qui a planqué des millions ?
Le
14 février 2017, Paul Mumbach, Jean-Philippe Allenbach et Serge Grass
avaient demandé à la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie
Publique ce qu’il était advenu des 3.010.996€ qu’Emmanuel Macron n’avait
pas déclarés comme prévu à cette même HATVP. Pas de réponse encore à ce
jour …
Et
autant la mafia médiatico-politico-financière avait harcelé et
vilipendé d’autres ténors politiques comme François Fillon ou Marine Le
Pen, autant ces laquais du Régime ont imposé une omerta jusqu’au 19 juin
pour ce qui concerne les casseroles traînées par leurs chouchous
(Macron, Bayrou, Ferrand, De Sarnez & C°).
Ce sont des attentats-suicides et non des actes de Kami Kaze !
Tous ces actes terroristes sont l’œuvre de fanatiques, à l’exemple des « Assassins »
drogués, de l’arabe « hachchachin », qui était une secte chiite
ismaélienne organisée en société secrète. Fondée en 1090 par Hasan ibn
al-Sabbah. Le sultan du Caire, Baybars, mit fin à leur pouvoir en 1272.
Il est injurieux et diffamatoire pour la mémoire des Fils du Soleil
Levant qui firent don de leur vie à l’Empereur Hiro Hito pour défendre
le sol sacré de l’invasion des ennemis, d’être comparé à des racailles
handicapées des neurones et qui ont attaqué des enfants, des femmes et
des vieillards sans défense.
« Des citoyens (spectateurs parisiens et niçois) sont morts parce que nous nous sommes menti à nous-mêmes.
Ils
sont morts, parce que nous n’avons pas su faire face à cette guerre,
parce que nous n’avons pas su ni la vouloir, ni la refuser, parce que
nous n’avons su ni mesurer l’épreuve, ni en prévoir les conséquences, ni
la situer dès l’abord sur le plan mondial. Il y a eu au cours au cours
de ces 3 dernières années des occasions perdues pour intervenir, comme
il y a eu des occasions perdues pour marquer des victoires.
Elles l’ont été de la même façon. Elles l’ont été par faiblesse et lâcheté.
Cédant
au chantage communautariste, nous avons engagé cette guerre
honteusement. Les effectifs et les moyens engagés, les silences
officiels, les « padamalgam », les « vivr’ensemble », tout dans la conduite des opérations semblait s’envelopper d’excuses.
Quand le drame sera entré dans les consciences alors il ne faudra pas être étonner d’avoir été dupés par nos gouvernants.
Le
wahhabisme et le salafisme, dirigés par Ryad et Abou Dhabi ont pourri
notre société et instruit des fanatiques contre nous, chez nous, en
notre sein.
Aucune
hypocrisie n’est plus sinistre que ces condoléances adressées par des
pays arabes sur le sang européen répandus par les musulmans.
Les vrais vainqueurs aujourd’hui, ce sont ces rois du pétrole qui devraient hisser la bannière rouge à tête de mort.
Un espoir nous reste :
celui que la tragédie des attentats que nous vivons depuis de longs
mois en Europe, donne à la conscience de nos peuples que le front commun
de notre civilisation chrétienne et de notre culture gréco-romaine nous
arrache à cette folie et trouve par sa puissance même, les moyens
d’éradiquer ce fléau. » Inspiré d’un texte du Figaro de 1955.
Pas d’islamisation sans immigration. Pas de terrorisme sans islamisme.
Il
y a bientôt 10 ans, le Parlement Européen résumait ses positions
générales en matière de gestion des migrations. Concernant la lutte
contre l’immigration clandestine, le Parlement Européen avait adopté le
26 septembre 2007 une résolution dans laquelle :
-
Il demande une meilleure répartition de la charge pesant sur les États
membres en termes de coûts généraux de la lutte contre l'immigration
clandestine, en particulier par l'allocation de ressources suffisantes à
FRONTEX et la création d’équipes d’intervention rapide aux frontières;
-
Il insiste pour faire de la lutte contre les trafiquants une des
priorités de l'Union, en tenant compte de la nécessité de coopérer avec
les pays d'origine et avec les pays de transit (les migrants en
situation irrégulière ne doivent pas être traités comme des criminels);
-
Il souligne que des mesures de lutte contre le travail illégal ont
tendance à diminuer l’incitation à l’émigration vers l’Union et à
contribuer à réduire la place de l’économie souterraine, et se félicite
donc de la présentation par la Commission de la proposition de directive
prévoyant des sanctions à l'encontre des employeurs de ressortissants
de pays tiers en séjour irrégulier.
Concernant le lien entre l'immigration légale et clandestine et l'intégration des immigrants, le Parlement européen convient
avec la Commission que la régularisation en masse d'immigrants illégaux
n'est pas une solution au problème de l'immigration clandestine.
En l'absence d'un système commun en matière d'immigration et d'asile, elle devrait être un fait unique puisqu'une telle mesure ne résout pas les véritables problèmes à la racine de ce phénomène.
Il
demande à la Commission d'étudier les meilleures pratiques des États
membres à développer dans le cadre d'un système d'échange d'informations
et d'alerte rapide.
Depuis
cette date, et après plusieurs centaines de morts et des milliers de
blessés, victimes innocentes et cibles des attaques des djihadistes
wahhabites et takfiristes, les eurocrates de Bruxelles ont permis la
venue de plus de 8 millions d’immigrés clandestins. Ces hors-la-loi dans
80% des cas ne répondent à aucun des critères pour bénéficier du statut
de « réfugié » ; ces demandeurs d’asile ont tous reçus un « ordre de
quitter le territoire » mais au lieu de rentrer dans leur pays
d’origine, ils vagabondent à travers les pays d’Europe, bénéficiant
d’aides aussi diverses qu’inutiles, en vivant d’expédients et pour
certains de trafics illégaux.
En
consultant les résultats de la résolution des parlementaires européens
du 26/09/2007, on pourrait en conclure que FRONTEX ne lutte pas contre
l’immigration et que bien au contraire, il en serait le complice et le
collaborateur !