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La France est un territoire occupé israélien : non à l’insupportable tyrannie du CRIF !
C’EST
UNE IMAGE mais elle en dit plus long qu’un discours, à la fin de son
allocution au dîner du CRIF le 20 février, un Emmanuel Macron blême et
au visage décomposé, se laisse prendre le poignet par Francis Kalifat,
le président du CRIF, poignet que Kalifat saisit fortement et élève
comme un trophée, le sourire aux lèvres et la mine satisfaite, montrant
par là de manière suffocante que le chef de l’Etat n’est qu’une
marionnette du Lobby, un esclave, un pantin, un vulgaire laquais, un
automate. Les personnes qui avaient inscrit sur un pont de l’autoroute
A6 la mention « Macron p… à juifs » n’auront sûrement pas changé de
diagnostic après avoir écouté le discours de 35 minutes du président de
la République devant 1000 commensaux de la communauté organisée tant le
chef de l’Etat a fait preuve d’une effrayante servilité à l’égard du
CRIF, lui cédant quasiment sur tout.
La veille au soir, déjà, Macron s’était rendu avec le
président du Sénat, Gérard Larcher, et celui de l’Assemblée nationale,
Richard Ferrand, au mémorial de la Shoah dans le Marais pour faire
allégeance solennellement à la contre-religion holocaustique qui est la
clé de voûte du système mondial et le culte suprême de leur République
judéo-maçonnique. Les trois plus importants personnages de l’Etat
indiquaient par là que la République et la synagogue, c’est la même
chose, c’est du pareil au même.
DEUX JOURS avant le dîner du CRIF (« au-dessus, c’est
le soleil » dirait Dieudonné !), il y eut comme par hasard une
profanation dans un cimetière juif alsacien. Les croix gammées réalisées
à la perfection laissent à penser, comme l’a indiqué Jean-Marie Le Pen
dans son journal de bord hebdomadaire, qu’il s’agit de professionnels et
on ne peut s’empêcher d’établir la comparaison entre cette affaire et
la profanation du cimetière juif de Carpentras dans la nuit du 8 au 9
mai 1990. A cette époque, l’hystérie qui avait suivi cette profanation
très suspecte avait permis de diaboliser le Front national, son
président, ses dirigeants, ses cadres, ses militants et sympathisants,
ses électeurs et au-delà toute la droite nationale et radicale, de créer
artificiellement un climat de guerre civile, de mettre en œuvre ce que
le socialiste Jean-Christophe Cambadélis avait théorisé sous le nom de
« harcèlement démocratique » et qui consistait à faire pression sur les
loueurs de salles pour qu’ils refusent de mettre à la disposition du FN
et d’autres groupes nationalistes un lieu pourtant déjà réservé et payé,
à organiser des contre-manifestations violentes et vociférantes pour
empêcher les mouvements de droite nationale de défiler ou d’organiser
des réunions publiques. Le président de l’Assemblée nationale de
l’époque, Laurent Fabius, la gorge nouée, les yeux mouillés et la mine
déconfite, comme il se doit en pareille circonstance, avait ainsi
déclaré que le cadavre de l’israélite Félix Germon avait été non
seulement déterré mais empalé. Ce qui était un pur mensonge. Le seul
empalé de l’affaire, c’était Le Pen en effigie (« Carpentras, c’était
moi » pouvait-on lire en toutes lettres sous son portrait brandi au bout
d’une pique) dans une manifestation de masse où avait participé, ce qui
était une première, le président de la République d’alors, François
Mitterrand. Cette allégation mensongère de l’homme du sang contaminé
avait fait dire à Le Pen dont on connaît le sens de la formule :
« Lorsque Monsieur Fabius parle d’anus, cela sonne dans sa bouche comme
une rime ». Une pure merveille qu’il faudrait introduire dans les pages
roses du Larousse et faire apprendre par cœur aux enfants des écoles
plutôt que de leur inculquer l’horrible catéchisme holocaustique !
L’HYSTÉRIE qui a suivi la profanation du cimetière
juif de Carpentras, et c’était bien sûr son véritable objectif, a permis
le vote de la loi Rocard-Fabius-Gayssot qui pénalise le révisionnisme
historique, tout comme aujourd’hui l’hystérie qui a suivi l’apostrophe
purement verbale de Finkielkraut et la découverte d’un arbre scié et de
deux tags veut conduire à la pénalisation de l’antisionisme. Ce sont les
mêmes réseaux, les mêmes méthodes abjectes, le même lobby qui sont à
l’œuvre. Et c’est à la même odieuse manipulation des esprits et des
masses que l’on assiste, à la même opération de sidération visant à
tétaniser tous ceux qui s’opposent à ce nouveau recul effrayant des
libertés, à cette volonté satanique d’empêcher que l’on puisse débusquer
le mensonge et clamer la vérité.
Toute contestation du jugement du tribunal militaire
international de Nuremberg, on le sait, est passible depuis l’adoption
et la promulgation de la loi Gayssot, le 13 juillet 1990, d’un an de
prison ferme et de 45 000 euros d’amende alors même que ce tribunal des
vainqueurs jugeant les vaincus était d’une partialité totale et qu’y
sévit notamment un juge soviétique qui s’était déconsidéré quelques
années plus tôt dans les innommables procès de Moscou. En 1990, toute la
gauche avait voté pour cette proposition de loi émanant d’un député
communiste, Jean-Claude Gayssot, et ardemment soutenue par Fabius, alors
au Perchoir, la droite parlementaire avait en revanche voté contre au
nom de la liberté de recherche et d’expression mais n’avait pas osé,
tellement elle était tétanisée par l’accusation d’antisémitisme, saisir
le Conseil constitutionnel alors présidé par Robert Badinter (preuve que
déjà à cette époque la communauté organisée occupait la plupart des
postes aussi prestigieux que rémunérateurs au sein de la République !)
La couardise des hommes dits de droite n’est donc pas d’aujourd’hui mais
elle s’est considérablement accrue en trente ans puisque le président
des Républicains, Laurent Wauquiez, a appelé sur BFMTV devant Ruth
Elkrief à la dissolution de tous les groupements et associations jugés
antisémites, dont Egalité et Réconciliation d’Alain Soral. Nicolas
Sarkozy qui assistait à la manifestation contre l’antisémitisme place de
la République le 19 février, comme son successeur à la tête de l’Etat
François Hollande, et comme toute la classe politique d’une écœurante
judéoservilité, a lui aussi appelé à une fermeté implacable contre
l’antisémitisme. Va-t-on rouvrir des camps ou rétablir la peine de mort
pour tous ceux suspectés ou convaincus de haine antisémite ? Le Premier
Ministre Edouard Philippe, les yeux humides, avait déclaré lors de la
remise du Prix Ilan Halimi à des collégiens formatés qu’il était comme
un boxeur sonné (pour deux tags et un arbre coupé !) et dans Le Monde il
ose dire qu’il faut non seulement être mobilisé mais « presque enragé »
dans la lutte contre l’antisémitisme. Ce sont des bêtes enragées, ce
sont elles-mêmes qui le disent. Pauvre de nous !
LE DISCOURS de Macron au dîner annuel du CRIF faisait
froid dans le dos tellement il montrait à quel point nous vivons dans un
régime d’occupation israélienne en France. Arborant sur un médaillon
une immense étoile de David, ce qui est inouï, le chef de l’Etat pendant
trente-cinq minutes non seulement a fait dans la pleurniche (en bon
comédien, il avait dû répéter avec Brigitte Trogneux, son épouse
officielle, la partition qu’il semblait connaître sur le bout des
doigts), affirmant que la situation actuelle des juifs en France était
épouvantable (on aurait cru à l’entendre que des israélites étaient tués
chaque jour au détour des rues !) et qu’elle nécessitait des mesures
exceptionnelles, des actes forts. Puis vint l’interminable litanie
d’actes destinés à séduire la communauté juive et prouvant à quel point
ce président, comme d’ailleurs ses prédécesseurs immédiats, rampe devant
le Lobby puissant et nocif. Le chef de l’Etat a ainsi indiqué que la
France ferait sienne la définition de l’antisémitisme de l’Alliance
internationale pour la mémoire de l’Holocauste qui considère
l’antisionisme comme une des manifestations modernes de l’antisémitisme.
Autrement dit, sans qu’il soit besoin de créer une nouvelle loi, cette
définition juridique très extensive de l’antisémitisme permettra de
condamner à des peines d’amende et de prison tous ceux qui qualifieront
l’entité sioniste d’Etat criminel, voyou et terroriste, tous ceux qui
dénonceront les comportements meurtriers à l’égard des Palestiniens,
tous ceux qui diront leur écœurement devant la façon dont les
Palestiniens sont, chez eux, chassés de leur terre par une odieuse armée
d’occupation, humiliés, dépossédés, paupérisés, maltraités, mutilés,
massacrés, dont les maisons sont rasées par les chars israéliens, dont
les cadastres sont sans cesse changés à leur détriment, dont les
cimetières ont été dévastés et rayés de la carte, dont les humiliations
et le harcèlement sont quotidiens, dont les enfants sont broyés par les
roues des chars ou assassinés à bout portant et sans sommation par des
armes létales.
Il y a plus de lien qu’on ne pense entre la question
du révisionnisme historique et de l’antisionisme. Le regretté professeur
Faurisson y faisait explicitement allusion dans sa fameuse phrase de 60
mots, qui affirmait que le peuple palestinien tout entier était victime
du Dogme holocaustique. Et en effet, lorsqu’on y réfléchit, tout se
tient : la pénalisation du révisionnisme historique interdit de nier ou
de minorer le génocide juif tandis que la pénalisation de l’antisionisme
veut interdire de dire qu’il y a un génocide palestinien. La loi
Gayssot interdit de contester ou de minorer la destruction des juifs
d’Europe, les dispositions pénalisant l’antisionisme veulent interdire
qu’on dise qu’il y a destruction, persécution, maltraitance des
Palestiniens. Il y a dans tout cela une terrible logique à l’œuvre, un
jeu de bascule et de miroir. A l’arrivée il s’agit toujours du même
but : affermir et rendre définitive la domination communautaire en
Palestine comme en France occupées, en Europe, en Occident et dans le
monde entier. Il s’agit de faire en sorte par l’intimidation, la
tétanisation des esprits et l’application de lois liberticides et
totalitaires que l’on ne puisse plus contester en quoi que ce soit la
tyrannie chaque jour plus oppressante, chaque jour plus effrayante,
d’une communauté, d’une coterie.
EN ENTENDANT Macron annoncer le 20 février la
dissolution de trois groupements politiques sans aucune raison, appeler à
un renforcement de la répression (dans la loi qui va être votée avant
l’été, les hébergeurs sur Internet devront effacer les « contenus
haineux » sous 24 heures et sous peine de 50 millions d’euros d’amende,
une pure folie !), en écoutant ce qui se dit dans les media d’occupation
israélienne en France, nous comprenons mieux, et de manière palpable,
non seulement le martyre que vit au quotidien le peuple palestinien mais
au-delà la terreur qu’ont connue les peuples vivant sous le joug
communiste. Nous vivons aujourd’hui, et de plus en plus, sous le joug
d’un goulag mental, d’une oppression des esprits, d’un viol des
consciences, d’un assassinat des âmes. On ne peut plus rien dire, même
sous forme de plaisanterie, des juifs, des homosexuels, des Noirs, des
Arabes, des Chinois, des femmes, des handicapés. Tout est matière à
délit. L’air devient irrespirable. Il manque à nos poumons.
On saisit mieux aujourd’hui ce qu’ont souffert les
peuples vivant à l’Est qui craignaient toujours d’être surveillés,
traqués, emprisonnés, que leurs conversations soient espionnées,
rapportées à la police politique et aux dirigeants du régime où les
membres de la communauté étaient si nombreux. La peur au ventre qui les
habitait, la crainte dont ils ne pouvaient se départir, c’est
aujourd’hui quelque chose de palpable dans notre pays : il faut faire
attention à ce que l’on dit, même au café, au restaurant, dans la rue,
dans les transports en commun de crainte d’être dénoncés. Notre société
malade repose en effet sur un système de délation organisée et planifiée
par les pouvoirs publics sur ordre de la LICRA, du CRIF et
d’organisations assimilées. Dans quelques mois les prétendues victimes
de « contenu haineux » pourront porter plainte en ligne. Mais
qu’appelle-t-on « contenu haineux » ? C’est simple. C’est tout ce que le
Lobby n’aime pas, tous ceux qu’il veut faire taire. C’est-à-dire tout
ce qui est « racisme, antisémitisme, xénophobie, homophobie,
complotisme, sexisme », autant d’infractions qui peuvent conduire leurs
auteurs à un an de prison ferme, 45 000 euros d’amende, sans compter les
dommages et intérêts réclamés et obtenus par les associations dites
antiracistes (LICRA, Ligue des droits de l’homme, MRAP, Sos-Racisme,
Avocats sans frontière de Me Goldnadel si apprécié par les imbéciles ou
les traîtres de la “droite nationale-sioniste”). Dire par exemple qu’il y
a trop d’immigrés en France, c’est du racisme. Ecrire que certains
juifs en font quand même trop et que cela devient insupportable, c’est
de l’antisémitisme. Dire que le mariage unit un homme et une femme et
que les revendications du lobby LGBT passent toutes les bornes de la
décence, du bon sens et du bon goût, c’est être homophobe. S’opposer au
féminisme et à la loi sur la parité hommes-femmes, c’est être sexiste.
Autant de délits passibles des tribunaux. Autrement dit on ne peut plus
rien dire. Pis, on ne peut plus dire la vérité sauf à craindre de voir
son accès aux réseaux sociaux fermé et à risquer la ruine et la prison.
N’est-ce pas là des méthodes, un état d’esprit et une atmosphère
semblables à ceux des pays communistes ?
[…]
RIVAROL.
Editorial du numéro 3366 de RIVAROL daté du 27 février 2019.