Richard HARWOOD "En est-il vraiment mort six millions?", 2e édition, La Sfinge Rome, 2013
L'auteur de cet essai est un auteur avant tout humaniste pour ce sujet très sensible et crucial. Richard Harwood n'est autre que Richard Verrall (né en 1948), ancien militant du "National Front" britannique qui a écrit cette merveille en 1974. François Duprat, alors militant du Front National français avait fait la première traduction qui était distribuée par lui-même d'une manière confidentielle jusqu'à son exécution par la DGST (ou même le Mossad) en 1978. Cette deuxième traduction est revue et corrigée par les éditeurs eux-mêmes mais le nom du traducteur a été omis. La page 44 révèle un "secret" que nous avions appris d'abord par Gilad Atzmon qui habite à Londres donc qui avait sûrement lu cet ouvrage avant le sien : Tel Aviv égale à Paris au niveau du Centre de Documentation Juive de ces deux capitales. Avant de commencer l'écriture de cette critique brève nous avions écrit à plusieurs militants nationalistes, anglais ou français mais personne ne connaissait l'adresse électronique de Verrall (alias Harwood) et tout le monde nous disait qu'il s'est retiré complètement de la politique et du monde mais il est pourtant vivant. Peut-être il a eu peur après l'assassinat de son traducteur français. Nous avons vraiment adoré cet essai très osé et courageux et nous espérons que des nouveaux essayistes suivront la voie de Richard Verrall pour briser le mensonge très ancien diffusé avec une force infatigable par l'Amérique sioniste et criminelle. Parmi les premiers révisionnistes français était l'ex-communiste Paul Rassinier qui avait écrit l'ouvrage "Le mensonge d'Ulysse" en 1950 et dont l'internement au camp de Buchenwald ne l' a pas privé de vie ! Les éditeurs même vont plus loin en nous disant sur la page 115 qu'il n'avait jamais attrapé le typhus là-bas. Après la conclusion il y a une bibliographie révisionniste de 2013, année de cette édition, dont plusieurs ouvrages proviennent de la même maison. Il faut encore une fois souhaiter que les éditeurs français briseront le silence d'une manière forte.
Ecrit par Dionysos ANDRONIS
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L'auteur de cet essai est un auteur avant tout humaniste pour ce sujet très sensible et crucial. Richard Harwood n'est autre que Richard Verrall (né en 1948), ancien militant du "National Front" britannique qui a écrit cette merveille en 1974. François Duprat, alors militant du Front National français avait fait la première traduction qui était distribuée par lui-même d'une manière confidentielle jusqu'à son exécution par la DGST (ou même le Mossad) en 1978. Cette deuxième traduction est revue et corrigée par les éditeurs eux-mêmes mais le nom du traducteur a été omis. La page 44 révèle un "secret" que nous avions appris d'abord par Gilad Atzmon qui habite à Londres donc qui avait sûrement lu cet ouvrage avant le sien : Tel Aviv égale à Paris au niveau du Centre de Documentation Juive de ces deux capitales. Avant de commencer l'écriture de cette critique brève nous avions écrit à plusieurs militants nationalistes, anglais ou français mais personne ne connaissait l'adresse électronique de Verrall (alias Harwood) et tout le monde nous disait qu'il s'est retiré complètement de la politique et du monde mais il est pourtant vivant. Peut-être il a eu peur après l'assassinat de son traducteur français. Nous avons vraiment adoré cet essai très osé et courageux et nous espérons que des nouveaux essayistes suivront la voie de Richard Verrall pour briser le mensonge très ancien diffusé avec une force infatigable par l'Amérique sioniste et criminelle. Parmi les premiers révisionnistes français était l'ex-communiste Paul Rassinier qui avait écrit l'ouvrage "Le mensonge d'Ulysse" en 1950 et dont l'internement au camp de Buchenwald ne l' a pas privé de vie ! Les éditeurs même vont plus loin en nous disant sur la page 115 qu'il n'avait jamais attrapé le typhus là-bas. Après la conclusion il y a une bibliographie révisionniste de 2013, année de cette édition, dont plusieurs ouvrages proviennent de la même maison. Il faut encore une fois souhaiter que les éditeurs français briseront le silence d'une manière forte.
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