THE BARLEY MALT BUMS
un film de Anders Ingvaldsen
un film de Anders Ingvaldsen
Pour les non-anglophones nous allons ajouter au début de notre
article une traduction facile et inexacte effectuée sur Internet :"Bals
de malt d'orge". Ce court-métrage visionné sur Youtube à première vue
brouillon et mal réalisé a une exception importante
: c'est un film agréable malgré ses imperfections de mise-en-scène. Le
juif Kaganof (malgré son beau pseudo) y incarne l'ivrogne, un rôle qui
correspond très bien à son
imperfection.
Il passe son temps à fréquenter un bar abandonné de la province
sud-africaine. Le réalisateur Ingvaldsen par contre est suédois et il a
été repéré par Kaganof quand ce dernier était pendant une brève période
assistant professeur à l'université de Malmo en
2008.
Cinq ans avant j'avais la mauvaise chance de visionner de près l'état alcoolique authentique (en vie réelle) de Kaganof à Utrecht (aux Pays Bas) au vernissage de l'exposition "SMS" au Central Museum local. Je me souviens très bien que après le vernissage nous nous sommes retrouvés quatre dans un restaurant de la même ville : Miljeana Babic (une plasticienne balkanique), Nicola Deane (l'épouse aujourd'hui de Kaganof), lui et moi. C'était la première fois que je suis devenu témoin de l'état alcoolique de mon ancien réalisateur préféré.
Cinq ans avant j'avais la mauvaise chance de visionner de près l'état alcoolique authentique (en vie réelle) de Kaganof à Utrecht (aux Pays Bas) au vernissage de l'exposition "SMS" au Central Museum local. Je me souviens très bien que après le vernissage nous nous sommes retrouvés quatre dans un restaurant de la même ville : Miljeana Babic (une plasticienne balkanique), Nicola Deane (l'épouse aujourd'hui de Kaganof), lui et moi. C'était la première fois que je suis devenu témoin de l'état alcoolique de mon ancien réalisateur préféré.
Le titre du
film parodie la célèbre firme de whiskey mais pourtant Kaganof a plongé
dans l'oubli après notre dernière et définitive dispute en 2012 à La
Haye du pays précédent. C'était lors d'un festival
local qui avait projeté de court-métrages sud-africains pas réussis
pour justifier le niveau bas de son dernier long-métrage, quatre ans
avant.
Puisque je connaissais l'état alcoolique de Kaganof depuis 2003 je
n'ai pas été surpris de voir les traductions en anglais du brulot
gauchiste de Guy Debord "La société du spectacle"
et de constater le spectacle affligeant de la transformation de son
ancien cinéma prometteur dans un champ de banalité "gauchiste" qui ne
correspond pas du tout à a réalité contemporaine,
hollandaise,sud-africaine ou même grecque. Mais
j'ai aimé le choix du dernier comme acteur au court-métrage
d'Ingvaldsen puisque Kaganof avait encore un charme physique. Il n'était
pas encore gros ni un chef de famille chevronné, la preuve de son
absence d'originalité aujourd'hui. Seulement quelques poèmes
à lui sont toujours importants mais pas ses nouveaux films politiques à
la sauce gauchiste périmée.
Et pour honorer notre site préféré "Soiled Sinema" (de Tye) je vais
faire un commentaire antisémite et je vais vous dire que si Kaganof
était en bonne santé psychologique, pas ivre ni
alcoolique il ne serait pas Juif. Mais vous pouvez aussi le dire à
l'envers.
écrit par Dionysos Andronys