Dr Bernard Plouvier, auteur, essayiste ♦
Les matières organiques, rejetées par le monde animal, sont pour l’essentiel décomposées par les lits bactériens des stations d’épuration ou le seront lorsque l’on aura appris l’hygiène publique à certains pays.
Les hydrocarbures devraient être brûlés (ce qui dégage des « gaz à effet de serre » !) et les métaux lourds (plomb, mercure, cadmium, chrome, titane, etc.) recyclés. Le chlore est biologiquement recyclable, quant au calcium il est indispensable aux végétaux et aux animaux.
Les phosphates des détergents, les phosphates et les dérivés nitrés provenant de l’utilisation des engrais, indispensables à la productivité agricole, stimulent la production d’algues qui pompent l’O2 (l’oxygène) aquatique, ce qui diminue indéniablement la faune des lacs et des cours d’eau. Divers procédés sont envisageables pour pallier cette production d’agents polluants, qui tous sont onéreux, mais ce traitement des eaux entre dans le cadre de l’entretien des infrastructures par l’État. Plutôt que de financer des parasites sociaux, les États ont le devoir de restaurer la qualité de ce qui est détérioré par l’activité humaine.
De même, le soi-disant drame écologique induit par l’accumulation des résidus de matières plastiques – il en existe plusieurs dizaines de variétés – est inexistant. L’expérience du devenir des objets en matière plastique déversés dans les océans par les riverains et les marins rend très optimiste : la nature s’adapte, tandis que l’homme, accablé par sa bêtise, geint et ne propose que de créer de nouvelles taxes. En l’occurrence, de très nombreuses espèces de bactéries aérobies (dont les vibrions, soit des agents de même famille que ceux du choléra) dégradent les particules, les utilisant comme sources de carbone et d’hydrogène.
Les oxydes d’azote (NO et NO2) et de soufre (SO2), constituants des célèbres « pluies acides », sont nocifs pour la santé des insuffisants respiratoires et des asthmatiques, autant que pour les arbres feuillus. On peut en réduire la production en limitant la production d’électricité par les centrales au fuel et au charbon, mais il est en pratique impossible de limiter le trafic routier ou aérien qui en génère d’énormes quantités… on peut bien sûr en revenir à la bicyclette ou aux diligences, mais cela pose un problème d’efficacité.
Le problème est bien plus complexe pour ce qui est des « gaz à effet » de serre et de leur retentissement sur le climat : la nature en produit infiniment plus que l’activité humaine et animale, ce qui introduit un autre chapitre.
Quelles sont les causes réelles des perturbations majeures du climat : d’abord et avant tout le fonctionnement de l’étoile Soleil et la mécanique des fluides sur la planète Terre .
L’émission des rayons solaires est variable. Par périodes de 11 à 12 années, surviennent des éruptions qui déclenchent un petit réchauffement dont les conséquences ne sont pas identiques en tout point de la Terre (et des autres planètes) : elles dépendent de l’inclinaison de l’axe planétaire. L’épaisseur de la couche d’ozone (O3) et celle de la couche de nuages ou de poussières modifie énormément le retentissement des rayons solaires sur la planète : leur accroissement (par exemple après une série d’éruptions volcaniques) explique les courts épisodes de refroidissement d’un hémisphère.
Pour les groupements humains vivant en zones exposées, les cycles éruptifs solaires sont corrélés à une augmentation des cancers de la peau et des accidents vasculaires thrombotiques, cérébraux et coronariens – sur des artères aux parois trop riches en dépôts lipidiques, ce qui est lié à une suralimentation et à un défaut d’exercice physique : l’homme se fait bien plus de mal qu’il n’en fait à Dame Nature.
Sur Terre, le climat est surtout influencé par l’activité volcanique, le déplacement de l’axe géomagnétique et les éléments atmosphériques : eau, O3, gaz dits à effet de serre (CO2 – gaz carbonique ou dioxyde de carbone – et méthane) qui diminuent le refroidissement planétaire nocturne. Ces gaz à effet de serre furent étudiés, à la fin du XIXe siècle, par Svante Arrhenius, qui avait effrayé ses contemporains en émettant l’hypothèse catastrophique d’un réchauffement lié à l’excès de CO2 dans l’atmosphère… en se trompant totalement dans ses calculs !
C’est dès 1956 que l’on a constaté l’existence d’un trou de la couche d’ozone au niveau du vortex antarctique, soit en une époque où l’industrialisation de l’hémisphère Sud était minime et, bien sûr, ce trou n’avait aucun rapport avec d’éventuels rejets d’éléments chlorés industriels ou animaux, inexistants en Antarctique… il fallait en accuser le très faible afflux annuel d’ultra-violets, d’origine solaire, au niveau des pôles, car le problème est identique au Pôle Nord.
Le cycle du CO2 est strictement corrélé à celui de l’eau. 90% du CO2 rejeté le sont par évaporation continue des eaux océaniques, lacustres et maritimes ou par une émission locale, mais massive, lors des éruptions volcaniques. Seuls 10% du CO2 rejeté proviennent du monde animal, dont l’activité humaine représente une partie. Il va être difficile de taxer les eaux et les volcans, ni Hadès ni Poséidon ne sont des contribuables dociles. En outre, le CO2, qui fait retour sur Terre grâce aux pluies, est indispensable à la vie des végétaux, des minéraux et même des animaux : c’est le cycle des carbonates, absolument indispensables aux animaux à coquille.
La « taxe carbone » n’est pas foncièrement mauvaise, ayant pour but de pénaliser les activités à fort dégagement de gaz à effet de serre, mais elle n’aurait de motivation éthique que si elle était appliquée à tous les pays. Les gouvernants des USA s’y refusent, comme ceux des plus gros producteurs de CO2 (ce qui reste de toute façon infime au regard de la production de CO2 induite par l’évaporation de l’eau). Pour l’essentiel cette taxe pénalise les entreprises européennes (elle existe depuis 1990 en Finlande, depuis 2014 en France). Au sens strict, c’est une arnaque, visant à surtaxer des concurrents, idéalistes au point d’en être niais.
Quant aux « crédits carbone », c’est une entourloupe qui revient à vendre le droit de polluer. En revanche, si l’on veut réduire un peu l’émission du CO2 (comme celle du NO, du NO2 et du SO2), il faut supprimer la production d’électricité par les centrales à fuel et à charbon, donc favoriser la fission nucléaire ou la désintégration du lithium, puisque les énergies éolienne et photovoltaïque sont notoirement très peu rentables (coût très élevé pour une faible production d’électricité ; le coût est moindre pour l’énergie géothermique, mais le rendement reste faible). Les écolo-ignares feraient bien de revoir leurs fondamentaux.
Pour ce qui est de la santé publique, l’usage du tabac et du haschich (si utile à la balance commerciale de certains pays arabo-musulmans, dont le Maroc) est infiniment plus dangereux que l’augmentation de la teneur en CO2 de l’atmosphère ou en ces « particules fines », dont raffolent les journalistes.
Reste un élément essentiel, négligé par les pantins des media et les financiers qui agitent leurs ficelles : l’axe géomagnétique. Depuis l’An 2000, l’on a observé le déplacement d’ouest en est du Nord magnétique. Entre 2001 et 2011, l’axe s’est modifié d’environ 4° de latitude et de 22° de longitude et le mouvement se poursuit à la vitesse moyenne de 40 km/an.
De ce fait, le climat radoucit au Nord du Canada (et dans la partie occidentale du Groenland) et refroidit au Nord de la Sibérie, la glace arctique se disloque au Nord-Ouest (au sens strict, elle ne « fond » pas, mais se fissure), mais elle s’accroît en Antarctique, d’où une infime augmentation du niveau des océans, sans commune mesure avec ce qu’elle serait si « les glaces polaires fondaient ».
La balade d’icebergs dans l’Atlantique Nord perturbe le Gulf Stream, occasionnant d’énormes tempêtes de neige hivernales sur la côte Est des USA et, bien sûr, le refoulement de l’air chaud provoque des tornades et des cyclones en zones tropicales & équatoriales, où effectivement les étés sont globalement plus chauds depuis une vingtaine d’années… chaleur et pluies y permettraient l’obtention de 2 à 3 récoltes annuelles, si les cadences de travail étaient aussi « occidentales » que l’origine des subventions qui ancrent une partie des populations locales dans le parasitisme.
Chacun sait la vénalité extrême des potentats des pays du Tiers-Monde. Pour avoir l’autorisation d’exploiter les richesses du sol et du sous-sol de ces pays, les multinationales paient annuellement d’énormes sommes aux voraces « élus du peuple ». Il est tentant, pour les nouveaux maîtres du monde, de reporter sur les contribuables, via une taxe de « réchauffement climatique », la charge financière liée à ce qu’en langage d’initiés on nomme les exigences des « rois nègres » (ou équivalents exotiques). D’une fiscalité inégalitaire, l’on passe aisément à l’escroquerie pure et simple.
Source
Il est évident qu’il faut lutter efficacement contre la pollution des fleuves et des rivières et celle de l’atmosphère par les rejets domestiques, agricoles et industriels
Toutefois cette action, nécessaire voire indispensable, ne peut qu’avoir des effets limités : l’écosystème est bien plus perturbé par Dame nature que par l’humanité, ses animaux domestiques et ses usines.Les matières organiques, rejetées par le monde animal, sont pour l’essentiel décomposées par les lits bactériens des stations d’épuration ou le seront lorsque l’on aura appris l’hygiène publique à certains pays.
Les hydrocarbures devraient être brûlés (ce qui dégage des « gaz à effet de serre » !) et les métaux lourds (plomb, mercure, cadmium, chrome, titane, etc.) recyclés. Le chlore est biologiquement recyclable, quant au calcium il est indispensable aux végétaux et aux animaux.
Les phosphates des détergents, les phosphates et les dérivés nitrés provenant de l’utilisation des engrais, indispensables à la productivité agricole, stimulent la production d’algues qui pompent l’O2 (l’oxygène) aquatique, ce qui diminue indéniablement la faune des lacs et des cours d’eau. Divers procédés sont envisageables pour pallier cette production d’agents polluants, qui tous sont onéreux, mais ce traitement des eaux entre dans le cadre de l’entretien des infrastructures par l’État. Plutôt que de financer des parasites sociaux, les États ont le devoir de restaurer la qualité de ce qui est détérioré par l’activité humaine.
De même, le soi-disant drame écologique induit par l’accumulation des résidus de matières plastiques – il en existe plusieurs dizaines de variétés – est inexistant. L’expérience du devenir des objets en matière plastique déversés dans les océans par les riverains et les marins rend très optimiste : la nature s’adapte, tandis que l’homme, accablé par sa bêtise, geint et ne propose que de créer de nouvelles taxes. En l’occurrence, de très nombreuses espèces de bactéries aérobies (dont les vibrions, soit des agents de même famille que ceux du choléra) dégradent les particules, les utilisant comme sources de carbone et d’hydrogène.
Les oxydes d’azote (NO et NO2) et de soufre (SO2), constituants des célèbres « pluies acides », sont nocifs pour la santé des insuffisants respiratoires et des asthmatiques, autant que pour les arbres feuillus. On peut en réduire la production en limitant la production d’électricité par les centrales au fuel et au charbon, mais il est en pratique impossible de limiter le trafic routier ou aérien qui en génère d’énormes quantités… on peut bien sûr en revenir à la bicyclette ou aux diligences, mais cela pose un problème d’efficacité.
Le problème est bien plus complexe pour ce qui est des « gaz à effet » de serre et de leur retentissement sur le climat : la nature en produit infiniment plus que l’activité humaine et animale, ce qui introduit un autre chapitre.
Quelles sont les causes réelles des perturbations majeures du climat : d’abord et avant tout le fonctionnement de l’étoile Soleil et la mécanique des fluides sur la planète Terre .
L’émission des rayons solaires est variable. Par périodes de 11 à 12 années, surviennent des éruptions qui déclenchent un petit réchauffement dont les conséquences ne sont pas identiques en tout point de la Terre (et des autres planètes) : elles dépendent de l’inclinaison de l’axe planétaire. L’épaisseur de la couche d’ozone (O3) et celle de la couche de nuages ou de poussières modifie énormément le retentissement des rayons solaires sur la planète : leur accroissement (par exemple après une série d’éruptions volcaniques) explique les courts épisodes de refroidissement d’un hémisphère.
Pour les groupements humains vivant en zones exposées, les cycles éruptifs solaires sont corrélés à une augmentation des cancers de la peau et des accidents vasculaires thrombotiques, cérébraux et coronariens – sur des artères aux parois trop riches en dépôts lipidiques, ce qui est lié à une suralimentation et à un défaut d’exercice physique : l’homme se fait bien plus de mal qu’il n’en fait à Dame Nature.
Sur Terre, le climat est surtout influencé par l’activité volcanique, le déplacement de l’axe géomagnétique et les éléments atmosphériques : eau, O3, gaz dits à effet de serre (CO2 – gaz carbonique ou dioxyde de carbone – et méthane) qui diminuent le refroidissement planétaire nocturne. Ces gaz à effet de serre furent étudiés, à la fin du XIXe siècle, par Svante Arrhenius, qui avait effrayé ses contemporains en émettant l’hypothèse catastrophique d’un réchauffement lié à l’excès de CO2 dans l’atmosphère… en se trompant totalement dans ses calculs !
C’est dès 1956 que l’on a constaté l’existence d’un trou de la couche d’ozone au niveau du vortex antarctique, soit en une époque où l’industrialisation de l’hémisphère Sud était minime et, bien sûr, ce trou n’avait aucun rapport avec d’éventuels rejets d’éléments chlorés industriels ou animaux, inexistants en Antarctique… il fallait en accuser le très faible afflux annuel d’ultra-violets, d’origine solaire, au niveau des pôles, car le problème est identique au Pôle Nord.
Le cycle du CO2 est strictement corrélé à celui de l’eau. 90% du CO2 rejeté le sont par évaporation continue des eaux océaniques, lacustres et maritimes ou par une émission locale, mais massive, lors des éruptions volcaniques. Seuls 10% du CO2 rejeté proviennent du monde animal, dont l’activité humaine représente une partie. Il va être difficile de taxer les eaux et les volcans, ni Hadès ni Poséidon ne sont des contribuables dociles. En outre, le CO2, qui fait retour sur Terre grâce aux pluies, est indispensable à la vie des végétaux, des minéraux et même des animaux : c’est le cycle des carbonates, absolument indispensables aux animaux à coquille.
La « taxe carbone » n’est pas foncièrement mauvaise, ayant pour but de pénaliser les activités à fort dégagement de gaz à effet de serre, mais elle n’aurait de motivation éthique que si elle était appliquée à tous les pays. Les gouvernants des USA s’y refusent, comme ceux des plus gros producteurs de CO2 (ce qui reste de toute façon infime au regard de la production de CO2 induite par l’évaporation de l’eau). Pour l’essentiel cette taxe pénalise les entreprises européennes (elle existe depuis 1990 en Finlande, depuis 2014 en France). Au sens strict, c’est une arnaque, visant à surtaxer des concurrents, idéalistes au point d’en être niais.
Quant aux « crédits carbone », c’est une entourloupe qui revient à vendre le droit de polluer. En revanche, si l’on veut réduire un peu l’émission du CO2 (comme celle du NO, du NO2 et du SO2), il faut supprimer la production d’électricité par les centrales à fuel et à charbon, donc favoriser la fission nucléaire ou la désintégration du lithium, puisque les énergies éolienne et photovoltaïque sont notoirement très peu rentables (coût très élevé pour une faible production d’électricité ; le coût est moindre pour l’énergie géothermique, mais le rendement reste faible). Les écolo-ignares feraient bien de revoir leurs fondamentaux.
Pour ce qui est de la santé publique, l’usage du tabac et du haschich (si utile à la balance commerciale de certains pays arabo-musulmans, dont le Maroc) est infiniment plus dangereux que l’augmentation de la teneur en CO2 de l’atmosphère ou en ces « particules fines », dont raffolent les journalistes.
Reste un élément essentiel, négligé par les pantins des media et les financiers qui agitent leurs ficelles : l’axe géomagnétique. Depuis l’An 2000, l’on a observé le déplacement d’ouest en est du Nord magnétique. Entre 2001 et 2011, l’axe s’est modifié d’environ 4° de latitude et de 22° de longitude et le mouvement se poursuit à la vitesse moyenne de 40 km/an.
De ce fait, le climat radoucit au Nord du Canada (et dans la partie occidentale du Groenland) et refroidit au Nord de la Sibérie, la glace arctique se disloque au Nord-Ouest (au sens strict, elle ne « fond » pas, mais se fissure), mais elle s’accroît en Antarctique, d’où une infime augmentation du niveau des océans, sans commune mesure avec ce qu’elle serait si « les glaces polaires fondaient ».
La balade d’icebergs dans l’Atlantique Nord perturbe le Gulf Stream, occasionnant d’énormes tempêtes de neige hivernales sur la côte Est des USA et, bien sûr, le refoulement de l’air chaud provoque des tornades et des cyclones en zones tropicales & équatoriales, où effectivement les étés sont globalement plus chauds depuis une vingtaine d’années… chaleur et pluies y permettraient l’obtention de 2 à 3 récoltes annuelles, si les cadences de travail étaient aussi « occidentales » que l’origine des subventions qui ancrent une partie des populations locales dans le parasitisme.
Chacun sait la vénalité extrême des potentats des pays du Tiers-Monde. Pour avoir l’autorisation d’exploiter les richesses du sol et du sous-sol de ces pays, les multinationales paient annuellement d’énormes sommes aux voraces « élus du peuple ». Il est tentant, pour les nouveaux maîtres du monde, de reporter sur les contribuables, via une taxe de « réchauffement climatique », la charge financière liée à ce qu’en langage d’initiés on nomme les exigences des « rois nègres » (ou équivalents exotiques). D’une fiscalité inégalitaire, l’on passe aisément à l’escroquerie pure et simple.
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