Floris de Bonneville
Cette année encore, deux millions de
Français revivront l’Histoire par la grâce d’un formidable spectacle,
unique au monde de par son ampleur. Rares sont ceux qui ne reviendront
jamais applaudir, à la nuit tombée, cette fabuleuse Cinéscénie qui
mobilise 3.500 acteurs, bénévoles pour la plupart, 28 soirs par été, et
24.000 costumes qui racontent la vie de la famille Maupilier, de Louis
XII à la Libération. La scène de… 23 hectares permet aux chevaux des
chevaliers de la parcourir au galop, étendards flottants dans une
apothéose de couleurs. Le final et ses 1.200 figurants offrent un
éblouissant feu d’artifice qui se mêle à une farandole de jeux d’eau
beaucoup plus impressionnants que ceux des bassins de Versailles.
Que de superlatifs mérités pour ce Puy du Fou, chef-d’œuvre de Philippe de Villiers, créé il y 37 ans et qui présente sur 55 hectares des spectacles vivants. Ce n’est pas un parc d’attractions, mais bien un parc d’instructions, sans manège. Des tableaux dans des décors que l’on croirait authentiques s’il était possible que les murailles d’un château disparaissent sous la terre devant nos yeux éblouis. À Valeurs actuelles, Philippe de Villiers expliquait :
"Nous sommes des donneurs d’âme ! Le Puy du Fou, c’est le Mallet et Isaac en lutte contre les déconstructions scolaires. C’est le parc de l’enracinement, car sans racines, il n’y a pas de sève, donc pas de vie et sans passé, il n’y a pas d’avenir. En venant ici, les Français viennent retrouver la grandeur perdue de la France."
Et cette grandeur est présente partout. Avec un supplément d’âme puisque les signes de chrétienté sont multiples, sous la forme de calvaires, de croix qui surgissent du lac pendant la Cinéscénie, de processions du Saint-Sacrement, de prêtres présents dans tous les tableaux jusqu’à la « Sainte Nuit » chantée dans les tranchées de Verdun, le dernier-né des spectacles ou encore le Signe du Triomphe dans les arènes du Colisée où ce signe n’est autre que le poisson des premiers chrétiens.
Le Grand Parc fait revivre l’Histoire dans six tableaux historiques grâce aux dernières technologies et au talent des scénaristes dignes du meilleur de Hollywood. L’attaque des Vikings avec un drakkar surgissant de la rivière. Les jeux du cirque avec une course effrénée de 4 quadrilles dignes de Ben Hur et à laquelle assistent jusqu’à 6.000 spectateurs dans un cirque copie du Colisée de Rome. L’incroyable bal des oiseaux fantômes dont le final permet à 200 oiseaux de toutes espèces, qui vont des aigles royaux aux cigognes, d’évoluer ensemble et en toute liberté dans un ballet stupéfiant. Les Chevaliers de la Table ronde et leur sirène. Les Mousquetaires de Richelieu qui présentent, sur la plus grande scène fermée du monde, un spectacle équestre qui s’achève dans l’eau.. Le Secret de la Lance dans laquelle Jeanne d’Arc vient délivrer le château du Puy du Fou.
Il y a aussi, presque tous les soirs, le fabuleux ballet aquatique et musical des Orgues de Feu. Un piano puis un orgue gigantesque émergent des eaux du lac, tel un sous-marin, dans une envolée de toccatas, de jets d’eau et de langues de feu.
Il y a surtout, depuis cette année, l’étonnante reconstitution de la vue d’une tranchée de nos braves poilus. 300 mètres d’émotion et de frissons. Les mitrailleuses, les obus, les hurlements, le sol qui tremble, la pénombre, quelques soldats réels qui se mêlent à ceux reconstitués en 3D, l’infirmerie et, pour finir, la paix de Noël, la neige qui tombe en épais flocons sur la tranchée devant une église détruite, alors que les soldats chantent en français et en allemand « Douce nuit ». Quelle émotion…
Merci à Philippe de Villiers de faire revivre pour nous l’âme de la France. Cette semaine encore, l’association du Puy du Fou a offert à la fondation Jérôme Lejeune un chèque de 50.000 euros. Un supplément d’âme, vous dis-je.
Que de superlatifs mérités pour ce Puy du Fou, chef-d’œuvre de Philippe de Villiers, créé il y 37 ans et qui présente sur 55 hectares des spectacles vivants. Ce n’est pas un parc d’attractions, mais bien un parc d’instructions, sans manège. Des tableaux dans des décors que l’on croirait authentiques s’il était possible que les murailles d’un château disparaissent sous la terre devant nos yeux éblouis. À Valeurs actuelles, Philippe de Villiers expliquait :
"Nous sommes des donneurs d’âme ! Le Puy du Fou, c’est le Mallet et Isaac en lutte contre les déconstructions scolaires. C’est le parc de l’enracinement, car sans racines, il n’y a pas de sève, donc pas de vie et sans passé, il n’y a pas d’avenir. En venant ici, les Français viennent retrouver la grandeur perdue de la France."
Et cette grandeur est présente partout. Avec un supplément d’âme puisque les signes de chrétienté sont multiples, sous la forme de calvaires, de croix qui surgissent du lac pendant la Cinéscénie, de processions du Saint-Sacrement, de prêtres présents dans tous les tableaux jusqu’à la « Sainte Nuit » chantée dans les tranchées de Verdun, le dernier-né des spectacles ou encore le Signe du Triomphe dans les arènes du Colisée où ce signe n’est autre que le poisson des premiers chrétiens.
Le Grand Parc fait revivre l’Histoire dans six tableaux historiques grâce aux dernières technologies et au talent des scénaristes dignes du meilleur de Hollywood. L’attaque des Vikings avec un drakkar surgissant de la rivière. Les jeux du cirque avec une course effrénée de 4 quadrilles dignes de Ben Hur et à laquelle assistent jusqu’à 6.000 spectateurs dans un cirque copie du Colisée de Rome. L’incroyable bal des oiseaux fantômes dont le final permet à 200 oiseaux de toutes espèces, qui vont des aigles royaux aux cigognes, d’évoluer ensemble et en toute liberté dans un ballet stupéfiant. Les Chevaliers de la Table ronde et leur sirène. Les Mousquetaires de Richelieu qui présentent, sur la plus grande scène fermée du monde, un spectacle équestre qui s’achève dans l’eau.. Le Secret de la Lance dans laquelle Jeanne d’Arc vient délivrer le château du Puy du Fou.
Il y a aussi, presque tous les soirs, le fabuleux ballet aquatique et musical des Orgues de Feu. Un piano puis un orgue gigantesque émergent des eaux du lac, tel un sous-marin, dans une envolée de toccatas, de jets d’eau et de langues de feu.
Il y a surtout, depuis cette année, l’étonnante reconstitution de la vue d’une tranchée de nos braves poilus. 300 mètres d’émotion et de frissons. Les mitrailleuses, les obus, les hurlements, le sol qui tremble, la pénombre, quelques soldats réels qui se mêlent à ceux reconstitués en 3D, l’infirmerie et, pour finir, la paix de Noël, la neige qui tombe en épais flocons sur la tranchée devant une église détruite, alors que les soldats chantent en français et en allemand « Douce nuit ». Quelle émotion…
Merci à Philippe de Villiers de faire revivre pour nous l’âme de la France. Cette semaine encore, l’association du Puy du Fou a offert à la fondation Jérôme Lejeune un chèque de 50.000 euros. Un supplément d’âme, vous dis-je.