Après des décennies d’affrontements et de guerres au Proche-Orient, on
ne peut que constater l’échec de toutes les actions diplomatiques et des
soi-disant plans de paix.
Il parait donc clair qu’aucune solution de stabilité et de paix ne sera possible sans reconnaitre le droit à l’existence politique du peuple palestinien et donc le droit légitime à l’existence d’un Etat palestinien.
La négation permanente par Israël des droits historiques du peuple palestinien n’a servi que le camp de tous les fanatiques en exacerbant les frustrations et les haines, en favorisant le terrorisme et en servant l’action des stratèges irresponsables de la tension.
Aucune discussion bilatérale n’a jamais pu aboutir car elles se sont résumées à un rapport de force permanent ou à un dialogue de sourds. Il est temps de créer les conditions de la paix.
Au moment où Mahmoud Abbas, dirigeant de l’autorité palestinienne, souhaite voir reconnaitre par l’ONU un Etat palestinien, l’Assemblée générale des Nations Unies qui se tient cette semaine à New York a le choix entre un refus entrainant la certitude de la guerre perpétuelle et un accord ouvrant la voie de la paix.
La démonstration semble faite que malgré ses promesses de début de mandat, le président américain Obama n’est plus que la marionnette des puissances financières qui ont fait son élection en 2008 et qui pourraient la défaire en 2012.
En conséquence, il appartient aux autres nations du monde de mettre enfin un terme à la persécution historique dont est victime, depuis trop longtemps et de manière insupportable, le peuple palestinien.
Il est temps, au même titre que l’ONU a reconnu l’existence de l’Etat d’Israël, qu’elle reconnaisse enfin l’existence d’un Etat palestinien créé sur les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale.
Il parait donc clair qu’aucune solution de stabilité et de paix ne sera possible sans reconnaitre le droit à l’existence politique du peuple palestinien et donc le droit légitime à l’existence d’un Etat palestinien.
La négation permanente par Israël des droits historiques du peuple palestinien n’a servi que le camp de tous les fanatiques en exacerbant les frustrations et les haines, en favorisant le terrorisme et en servant l’action des stratèges irresponsables de la tension.
Aucune discussion bilatérale n’a jamais pu aboutir car elles se sont résumées à un rapport de force permanent ou à un dialogue de sourds. Il est temps de créer les conditions de la paix.
Au moment où Mahmoud Abbas, dirigeant de l’autorité palestinienne, souhaite voir reconnaitre par l’ONU un Etat palestinien, l’Assemblée générale des Nations Unies qui se tient cette semaine à New York a le choix entre un refus entrainant la certitude de la guerre perpétuelle et un accord ouvrant la voie de la paix.
La démonstration semble faite que malgré ses promesses de début de mandat, le président américain Obama n’est plus que la marionnette des puissances financières qui ont fait son élection en 2008 et qui pourraient la défaire en 2012.
En conséquence, il appartient aux autres nations du monde de mettre enfin un terme à la persécution historique dont est victime, depuis trop longtemps et de manière insupportable, le peuple palestinien.
Il est temps, au même titre que l’ONU a reconnu l’existence de l’Etat d’Israël, qu’elle reconnaisse enfin l’existence d’un Etat palestinien créé sur les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale.