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mercredi 30 novembre 2011

Le réseau d'entraide communautaire



VIA TERRE ET PEUPLE

Réseau de solidarité et d’entraide Communautaire
Dans un monde où le communautarisme est un phénomène omniprésent, Terre et Peuple se doit de constituer une communauté basée sur la même conception du monde qui anime et unit ses membres.
Cette communauté doit s’affirmer sur différents terrains, dont celui de la solidarité. En effet parler de communauté n’aurait pas beaucoup de sens si cette communauté ne manifestait pas de manière très concrète ce qu’elle attend de ses membres et aussi, bien sûr, ce qu’elle leur apporte.
La solidarité est, pour les membres de notre communauté, un droit et un devoir.
Un droit, car il est normal qu’un clan apporte à ceux qui le constituent tout l’appui, multiforme, qu’il est en état de fournir.
Un devoir, car aider ses camarades – disons même ses frères (et ses sœurs) parce que c’est le mot qui convient à notre fraternité (voir éditorial de Terre et Peuple Magazine n° 49)  - est le premier impératif d’un homme ou d’une femme de notre sang, animé(e) par la foi qui nous habite.
En conséquence, nous avons créé un Réseau de Solidarité Communautaire, qui doit permettre à chacune et chacun d’entre nous de fournir ou d’obtenir une aide, un service, en fonction de ses possibilités et de ses besoins. L’idée de base est de constituer, au sein du monde dans lequel nous essayons de survivre, une alternative, une contre-société, fonctionnant le plus possible en autonomie. Exemple concret : l’un de nous cherche une pièce pour réparer sa voiture ; au lieu de s’adresser au mécano du coin, il va demander qui peut la lui fournir, à un prix d’ami, au sein du réseau.
Pour cela il fallait constituer une banque de données, un fichier contenant toutes informations nécessaires. Nous avons donc demandé à tous les membres de TP qui voulaient bien le faire de nous signaler ce qu’ils pouvaient mettre à disposition de la communauté en matière de ressources humaines (capacités, talents, savoir-faire) et de ressources matérielles (en tous genres : exemple : mettre à disposition un terrain pour une fête communautaire).
Pierre Vial

Voici comment faire pour vous connecter au réseau et en tirer parti :

Les adhérents de TP ont été sollicités, et ont admis pouvoir rendre service à des camarades, membres de l’association. Grâce à cet engagement de chacun, au sein de ce réseau de solidarité et d’entraide, Terre et Peuple fera le lien entre vos demandes d’une part et les réponses que nos membres peuvent y apporter, d’autre part.
Principe de fonctionnement : tout membre adhérent, à jour de cotisation, pourra profiter du réseau de solidarité et d’entraide.
Il répondra aux questions ci-dessous et les renverra à l’adresse postale fournie plus bas ou sur l’email spécifique, indiqué ci dessous.
Terre et Peuple examinera la faisabilité de cette demande (pour les adhérents à jour de cotisation, nous tenons à le rappeler !); deux solutions sont alors possibles :
1 – Il n’y a pas de possibilité, vous en serez informés par retour
2 – S’il y a possibilité (dans un rayon géographique raisonnable), nous remplissons la fiche avec les coordonnées du camarade pouvant répondre à votre demande et nous les transmettons aux deux parties.
Nb : Terre et Peuple n’est là que pour vous mettre en contact, et ne s’immiscera pas dans la suite de l’opération.
Par contre il est indispensable de nous faire savoir, en fin d’opération, votre degré de satisfaction. D’avance merci.


Liste des services proposés :
Informatique : formation, dépannage…
Bureau : fourniture de papier, enveloppes, cartouches d’encre, mise à disposition de photocopieuse, offset, édition...
Langues étrangères : traduction de documents, interprétariat pour conférences…
Préciser la (les) langue(s) pratiquée(s).
Bâtiment : maçonnerie, plâtrerie, plaquiste, carrelage, charpente, couverture, électricité, plomberie, peinture, tapisserie, isolation, vitrages, menuiserie, ébénisterie…
Vente, dépannage ou installation électroménager : frigos,  lave-linge, sèche-linge, lave-vaisselle, téléviseurs, pose d’antennes, de paraboles…
Véhicules : mécanique automobile ou PL, carrosserie, soudure ; vous êtes titulaire d’un permis poids-lourds, permis transport en commun…
Seriez-vous prêt à pratiquer le covoiturage, à servir de chauffeur longue distance…
Travaux publics : conduite de tractopelle, de pelle mécanique, de chargeuse…
Pourriez-vous mettre à disposition l’un des engins ci-dessus, ainsi qu’un camion, un véhicule utilitaire, un minibus (pour nos activités)…
Prestation de services : main d’œuvre, aide au déménagement, disponibilité diverse…
Hébergement : résidences de vacances, hôtel, restaurant, chambres d’hôtes, accueil de personne(s) de passage…
Garde : d’enfants, d’animaux, de maisons, de meubles…
Alimentaire : cuisinier ; vente de produits de boucherie, de charcuterie, de fromagerie, légumes et fruits…
Environnement : élagage d’arbres, taille de haies, coupe et/ou fourniture de bois de chauffage…
Matériel pour fêtes, cérémonies ou réunions : terrain, locaux (capacité), tentes, barnums, barbecues…
Animation : avez-vous des compétences de formateur ou d’animateur dans une discipline sportive ? Laquelle ?
Conseils juridiques : pénal, social, bon plan…
Santé : médecins, dentistes, bon plan…
Sécurité :
Création artistique :

Si vous pensez qu’un de nos membres peut vous aider…n’hésitez pas !
A remplir (de façon lisible) et à renvoyer à ces adresses uniquement !!! :
Soit : TERRE ET PEUPLE, solidarité et entraide, 58 Cours Tolstoï, 69100 Villeurbanne
Soit : solidarite@terreetpeuple.com
Je suis le demandeur d’un service, mes coordonnées seront transmises à celui ou celle qui pourra me le rendre :
Nom ............................................................................................................................................
Prénom .........................................................................................................................................
Adresse .........................................................................................................................................
Code Postal ...........................................    Ville ..........................................................................
Pays :…………………………………………………………………………………………...
Téléphone/domicile……………………………………………………………………………...
Portable/gsm........................... …………………………………………………………………..
Courrier électronique ................ …………………………………………………......................
Profession .....................................................................................................................................
Date de Naissance .........................................................
Numéro de carte d’adhérent à Terre et Peuple : …………………………………………….

Décrire assez précisément votre besoin, votre demande, votre projet, afin que l’on puisse vous orienter au mieux :




  • Coordonnées du camarade pouvant répondre à votre demande :
Nom ............................................................................................................................................
Prénom .........................................................................................................................................
Adresse .........................................................................................................................................
Code Postal ...........................................    Ville ..........................................................................
Pays :…………………………………………………………………………………………...
Téléphone/domicile……………………………………………………………………………...
Portable/gsm........................... …………………………………………………………………..
Courrier électronique ................ …………………………………………………......................
Profession .....................................................................................................................................
Date de Naissance .........................................................

Nature exacte du service proposé :

Droit de vote des étrangers : à front renversé…


VIA LE BLOG DE BRUNO GOLLNISCH

Après la Tunisie et selon toute probabilité avant l’Egypte,  dont les élections débutent aujourd’hui, la « vague verte » a déferlé sur les urnes au Maroc  où le mouvement « islamiste modéré » et « monarchiste »,   le  Parti justice et développement (PJD), a  remporté une large victoire aux législatives de ce vendredi  avec 107 sièges sur 395.  Le PJD comptait 9 députés en 1997,  47 en 2007 dans la précédente chambre de 325 membres. L’appel du Mouvement de contestation du 20 février, né dans le sillage du printemps arabe, qui avait prôné le boycott du scrutin  a été un échec  puisque cette élection a justement été marquée par un taux de participation  assez fort pour le royaume chérifien  de  45,4%, contre 37% il ya quatre ans. Le PJD, qui  a largement  fait campagne contre le fléau de la corruption et pour  la défense des valeurs traditionnelles mahométanes,  va donc  désormais pour la première fois être en mesure de diriger le gouvernement du Royaume. Dés l’annonce des résultats officiels dimanche soir, son  secrétaire général,  Abdelilah Benkirane, 57 ans, a  immédiatement réitéré son allégeance au roi Mohammed VI et  tenu à rassurer les occidentaux sur ses intentions pacifiques. C’est dans ce contexte de forte poussée électorale en faveur de mouvements  nationaux-conservateurs islamiques qu’un sondage vient d’être publié sur la perception  par nos compatriotes d’un éventuel droit de vote des immigrés non européens dans notre pays…
 Selon cette enquête  BVA parue aujourd’hui dans Le Parisien, 61% des Français sondés  seraient favorables   aux élections locales,  au droit de vote des étrangers non européens, « en situation régulière et résidant en France depuis plus de 5 ans ». Le  Sénat examinera le 8 décembre une proposition de loi en ce sens -voir notre article en date du 24 novembre.
Une  étude plus approfondie des résultats montre que les « 25-34 ans »  y sont nettement plus favorables à 75%) que les « séniors » (51%), les « cadres » sensiblement plus disposés à cette mesure (72%) que les « ouvriers » (60%).
 Ce  désir  de dissocier le droit de vote de la nationalité française, à laquelle s’est toujours opposé Bruno Gollnisch et les instances du FN,  aurait progressé de  6 points depuis janvier 2010 et même de 15 points auprès des   « sympathisants de droite » ! Cependant,  « seuls » 43% des électeurs de droite y sont favorables contre 75% des électeurs de gauche.
Si les centristes se prononcent assez largement en faveur  au droit de vote des étrangers  (58% chez les sympathisants du NC, 63% chez ceux du MoDem) ; 56% des sympathisants UMP y sont  hostiles et 61% de ceux du FN… ce qui tendrait à prouver que quatre électeurs frontistes sur dix n’y sont pas opposés ?
 Nous noterons pour notre part que le résultat de cette enquête est assez curieux et même à « front  renversé ». En effet ce sont les électeurs les plus progressistes sur l’échiquier politique qui sont  les plus favorables  au droit de vote des non européens. Pourtant,  les immigrés campent majoritairement  sur des positions sociétales autrement plus rigides, voire « réactionnaires » que l’électeur moyen Français ou Européen  de souche…
 Il est donc  toujours  assez piquant de voir , comme  cette semaine à Tourcoing (Nord), ville déjà officiellement majoritairement peuplée d’immigrés, les  emblématiques représentants de la gauche humaniste, la  Ligue des droits de l’homme (LDH),  appeler  les Tourquennois à se prononcer « pour ou contre le droit de vote des étrangers  aux élections locales ». Sans surprise les 579 personnes rameutées pour l’occasion ont voté « pour » à  90%… Nous l’évoquions pareillement  le 26 octobre, près d’un électeur tunisien sur trois vivant en France a voté en faveur du  parti nationaliste islamiste Ennahda aux législatives. Nous pouvons légitimement douter que ces électeurs là   goûtent les lubies des grandes âmes  immigrationnistes de la LDH et consorts….
 Alors certes, les Français issus de l’immigration extra-européenne,  notamment africains  et arabo-musulmans, quand ils votent aux municipales, le font assez  volontiers  en faveur des listes et des candidats des  partis de gauche qui ont un sens aiguë  du clientélisme et de la « redistribution »… Mais cela jusqu’au jour ou ce passage obligé par les partis institutionnels sera devenu obsolète.  Nous citions  le maire de Montfermeil (Seine-Saint-Denis) , Xavier Lemoine, qui  rapportait dans France Soir  cette anecdote qui en dit long : « Récemment, un imam est venu me voir et il m’a dit : Monsieur le maire, en 2014 vous serez peut-être encore réélu, mais en 2020 ce sera nous. C’est mathématique, car nous serons majoritaires (…). » Que la majorité de la  gauche et qu’une partie de la droite souhaitent accélérer ce phénomène n’est plus pour nous surprendre,  Jupiter rend fou ceux qu’il veut perdre 

"Nos Fidélités sont des citadelles"


"Nos Fidélités sont des citadelles"


Terre et Peuple

Résistance Identitaire Européenne 

Le 29 Novembre 2011

Rappel.  Regroupez-vous, venez nombreux !


Nous avons le plaisir de vous convier à la


XVIe TABLE RONDE
de TERRE ET PEUPLE
DIMANCHE 4 DECEMBRE 2011
A partir de 10 heures
Entrée : 8 euros
LOBBIES

ET

GROUPES DE PRESSION

EN FRANCE

Avec Anne KLING

Emmanuel RATIER

Eric DELCROIX

Robert SPIELER

Eugène KRAMPON

Pierre VIAL

Nombreux stands (livres, revues, disques, insignes, artisanat identitaire)   Restauration sur place à petits prix


Espace Jean Monnet à RUNGIS rue du Sagittaire Porte rouge

Liaison par RER ligne C station Rungis, La Fraternelle Parking sur place : 800 places
Parking à proximité : 800 places
Station RER à proximité : Rungis-La Fraternelle
Gare SNCF la plus proche : Massy
Depuis la Porte d'Orléans, à 5 minutes par l'autoroute A6.
Accessible par la A86, la A10. TGV à la gare de Massy.





Le plan d'accès est téléchargeable ici :
 http://www.archen-associes.com/documents/Esp-jmonnet.pdf

mardi 29 novembre 2011

MERIDIEN ZERO RECOIT PIERRE VIAL




Le dimanche 27 Novembre

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A écouter sur Radia Bandiera Nera de 23 h à 00 h 30 : http://www.radiobandieranera.org/

ou à télécharger ensuite sur le site de Méridien Zéro (le podcast est disponible quelques jours après l'émission) :

http://meridienzero.hautetfort.com/archive/2011/11/27/emission-n-72-meridien-zero-recoit-pierre-vial.html

L'euro : la fausse bonne idée


VIA ATLANTICO


Barrière des langues, manque de confiance entre les partenaires, différence de culture économique : le Time donne 10 raisons pour lesquelles la création de la monnaie unique était "une idée stupide".

 
Dans un article intitulé "Les dix raisons pour lesquelles la création de l'euro était une idée stupide", le journaliste Olaf Gersemann explique sur le site du Time pourquoi nous avons été "trop crédules" au moment de créer la monnaie unique.

1- Aucun mécanisme de résolution des conflits
Les dix premières années, l'intégration économique de l'Europe a été un succès. Au cours des différents sommets, les dirigeants se sont répartis les profits. Avec la crise de l'euro, cette dynamique a changé : maintenant il faut partager le fardeau, organiser des tours de garde pour s'occuper du bébé malade - un scénario auquel personne ne s'était préparé institutionnellement ou moralement. Résultat : les chamailleries et les prises de becs ont repris entre les partenaires européens à un niveau qui n'avait pas été vu depuis 1957, date de la signature du traité de Rome.

2- Pas de points de ralliement 
À l'exception du football et du concours de l'Eurovision, il n'y a absolument rien autour de quoi les européens puissent se rallier.   Pas de chaîne de télévision régionale, pas de journaux, et encore moins une langue commune. En période de "gagnant-gagnant", ce n'était pas vraiment un problème. Mais dès que la crise de l'euro a éclaté, l'attitude du "nous contre eux" a rapidement refait surface. Même si la crise n'a pas réduit l'UE en lambeaux, le problème de base - celui du ralliement - demeure.

3- La barrière des langue
Pourquoi la Banque centrale allemande et la Commission n'ont pas été mises au courant ces dix dernières années de l'ampleur des problèmes de la Grèce et du Portugal? Tout simplement parce que les experts dépendaient des gouvernements grec et portugais pour obtenir le moindre petit bout d'information à ce sujet. Ne pas parler les langues de ces pays signifiaient tout simplement ne pas lire les journaux locaux, ce qui aurait contribué à rendre la situation plus claire beaucoup plus rapidement.

4- La confiance
Les expériences menées jusqu'à présent donnent à réfléchir. Un exemple éloquent : les chiffres truqués qui ont servi de base pour décider de l'entrée de la Grèce dans la zone euro. Pire : actuellement il n'y a aucun comportement qui puisse justifier de faire davantage confiance à ses partenaires.

5- Contrôle
L’Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne - qui représentent les trois quarts de l'économie de la zone euro - ne sont pas les seuls fautifs. La crise actuelle a parfaitement démontré que même un pays comme la Grèce, qui ne représente que 2% du PIB de la zone euro, peut entrainer l'ensemble de l'Union dans sa chute. A l'exception de minuscules pays comme Malte, tous les pays de la zone euro peuvent potentiellement faire sauter le système entier. On parle souvent de la domination allemande, mais les maillons faibles du système peuvent eux aussi prendre leurs partenaires en otage.

6- La culture du déficit
L'Europe n'aurait pas nécessairement besoin partager beaucoup de valeurs pour fonctionner comme une zone de libre-échange. Mais pour survivre, une union monétaire a besoin, au minimum, de partager des valeurs économiques et politiques. Certains gouvernements d'Europe du Nord ont sérieusement pensé que la naissance de l'euro allait apporter aux pays du sud de l'UE une culture de la stabilité à l'allemande. Mais il apparaît clair que la France, l'Italie, l'Espagne et la Grèce continuent de voir la BCE comme une opportunité. Pas forcément à tort, mais cela contredit la profonde conviction allemande, selon laquelle une banque centrale indépendante est la seule garantie contre les gouvernements qui accumulent leur dette et font marcher la planche à billets.  

7- A la recherche d'un esprit européen
 Les différences de mentalité entre les nations ne poseraient aucun problème s'il existait au sein des gouvernements et des institutions des personnes pour s'asseoir sur leur "pensée nationale". Or, il n'existe pas d'homme européen parmi les politiciens et les technocrates. Tous sont Belges, Hongrois, Espagnols, avant d'être Européen.

8- L'absence de nivellement
Lorsque la monnaie unique a été introduite, même les plus sceptiques pensaient que les différences de niveaux entre les membres de la zone euro allaient s'estomper. Le nivellement escompté n'a pas eu lieu. Et c'est d'autant plus problématique qu'il n'existe qu'un seul taux directeur pour les 17 pays qui utilisent la monnaie unique. Pour certains pays, il est trop élevé, pour d'autres, trop faible. Résultat : hausse du chômage, inflation galopante dans certains cas, bulles immobilière (en particulier en Espagne et en Irlande).

9-  Manque de mobilité 
 Dans une union monétaire, les gens doivent être mobiles, prêts à passer la frontière pour aller là où se trouvent les emplois. Avec le temps, les Européens sont de plus en plus mobiles, comme le montre l'augmentation du nombre de migrants espagnols vers l'Allemagne.  Mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

10- Pas de réelle volonté d'appliquer les règles
Malgré toutes les difficultés, l'union monétaire pourrait fonctionner si les gouvernements exerçaient une pression les uns sur les autres. Mais les pères de l'union monétaire ont surestimé leur propre caste politique. Grèce, Italie, Allemagne : tous ont signé   le traité de Maastricht. Aucun des contrevenants aux règles édictées n'a été punis.

Fillon rejette la demande de Le Pen sur les parrainages


PARIS (Reuters) - François Fillon a rejeté lundi la demande de Marine Le Pen de supprimer le texte de loi qui prévoit l'obligation de rendre publics les noms des 500 élus qui doivent apporter leur parrainage aux candidats à la présidentielle.
Le Premier ministre estime que le renforcement de la démocratie locale ces dernières années "conforte le choix du Parlement" que "les élus auxquels il confie la responsabilité de présenter un candidat à la présidence de la République assument pleinement leur responsabilité en rendant leur décision publique".
"Ce caractère public répond à l'exigence de transparence manifestée par nos concitoyens à l'égard de nos élus", écrit-il dans sa réponse écrite à la président du Front national.
Marine Le Pen a engagé la semaine dernière une bataille sur la question des parrainages nécessaires pour se présenter à la présidentielle, qui risque, selon elle, de l'éliminer de la course à l'Elysée en 2012.
Niant toute "stratégie électoraliste", la présidente du FN affirme rencontrer les mêmes difficultés que son père Jean-Marie Le Pen, qualifié in extremis en 2002 et 2007 et écarté en 1981, faute d'un nombre suffisant de signatures.
Elle avait écrit au Premier ministre François Fillon pour lui demander de supprimer le texte de loi qui prévoit l'obligation de rendre publics les noms des 500 élus qui doivent apporter leur signature aux candidats.
Ce dispositif instauré en 1962 vise à empêcher les candidatures fantaisistes. Le nombre de signataires potentiels est de 45.000, dont 36.000 maires. La décision de rendre l'identité des parrains publique a été prise en 1976.
Gérard Bon

lundi 28 novembre 2011

Démondialisation égale survie des peuples européens par Marc ROUSSET



VIA EUROPE MAXIMA

Un mot nouveau, le plus souvent critiqué dans les médias, a fait son apparition : la démondialisation. Selon Pascal Lamy, socialiste carriériste à l’O.M.C. baignant dans le libre échangiste anglo-saxon, style Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde,  la démondialisation  est un concept réactionnaire (1). Les droits de douane nourriraient la xénophobie et le nationalisme, bref, la démondialisation ne serait rien d’autre que « l’horreur national-protectionniste ».
Quant à Patrick Artus, suite aux fonctions rémunérées qu’il exerce chez dans le Système, il n’est pas à une contradiction près ! Après avoir écrit Globalisation, le pire est à prévoir (2), il pense désormais  qu’il serait fou de « refuser la mondialisation » (3).
Frédéric  Lordon (4), lui, se demande, à juste titre, si la Chine dont le salaire mensuel moyen est de 150 euros, ne deviendra pas à son tour victime de délocalisation au Vietnam, au salaire moitié moindre de 75 euros !… à moins que la mondialisation ne connaisse un rebond en direction du continent africain « encore entièrement à enrôler et qui  cassera  tous les prix ». Il s’interroge aussi pour savoir si les rapports entre les nations doivent se concevoir sous l’exclusive perspective de la marchandise et constate que les libéraux lessivent les entendements au point de faire oublier qu’entraver un peu la circulation des conteneurs et des capitaux n’interdit nullement de « promouvoir la plus grande circulation des œuvres, des étudiants, des artistes, des chercheurs, des touristes, comme si la circulation marchande était devenue la jauge exclusive du degré  d’ouverture des nations (5) ».
Avec la même approche que le Prix Nobel Maurice Allais, je suis intervenu plusieurs fois dans tous mes ouvrages (6) et de multiples  chroniques pour montrer que le libre échange mondialiste était en fait un véritable suicide économique de l’Occident orchestré par les sociétés multinationales. Ce qui est bon pour les entreprises multinationales est de plus en plus nuisible aujourd’hui pour les États-Unis (taux de chômage réel de 17,2 %) et les salariés européens qui perdent leurs emplois industriels ! Un protectionnisme européen salvateur, afin de garder les économies d’échelle compétitives que ne peut offrir un espace national, s’imposera donc lors des révolutions nationales à venir ! L’Union européenne n’est aujourd’hui qu’un agent de la décadence industrielle et de la mondialisation, « un sas de décompression » selon Régis Debray, au service des entreprises multinationales avec des conséquences gravissimes pour les peuples européens : désindustrialisation, précarisation, perte de « savoir faire » industriel, paupérisation, déqualification des emplois, développement des services à la personne sans aucun intérêt technologique, perte d’identité et immigration extra-européenne.
Au-delà du dogme libre échangiste mondialiste, il est possible de concevoir une économie mondiale avec plusieurs espaces autarciques autocentrés et des flux d’échanges maîtrisés entre ces espaces. La démondialisation correspond au simple bon sens de nos pères et à la nécessité de défense urgente, de survie identitaire et économique des peuples européens !
Marc Rousset
Notes
1 : Éditorial, dans Le Monde, 1er Juillet 2011.
2 : Patrick Artus et Marie-Paule Virard, Globalisation, le pire est à prévoir, La Découverte, 2008, 166 p.
3 : Patrick Artus, « Ce n’est pas le moment de refuser la mondialisation », dans Flash Économie – Natixis, n° 472, 21 juin 2011.
4 : Frédéric Lordon, dans Le Monde Diplomatique, août 2011, p. 8.
5 : Ibid., p 9
6 : dont Marc Rousset, La Nouvelle  Europe Paris – Berlin – Moscou, Éditions Godefroy de Bouillon, 2009, pp. 47 et 65.

dimanche 27 novembre 2011

Mise au point salutaire de Robert Spieler


Jean Robin, un vilain cafard
 
Je m’abstiens par principe de pratiquer des attaques ad hominem. Je respecte mes adversaires lorsqu’ils méritent le respect. Il m’arrive de préférer un adversaire courageux à un ami pleutre, ce qui désole parfois mes propres amis…
Je ferai néanmoins une exception aujourd’hui pour mettre en garde le camp national, nationaliste et identitaire, au sujet de Jean Robin.
Car cela fait à présent plusieurs fois qu’il se comporte sournoisement en agent de déstabilisation. Ses agissements doivent être clairement connus et dénoncés.
Jean Robin est l’auteur de quelques livres, dont la Judéophobie, et anime un blog où plusieurs interviews de responsables nationalistes ont paru.
Il est juif. Personne ne le lui reprochera. Son engagement sioniste l’amène cependant à pratiquer pour le compte de nos adversaires les méthodes bien connues de délation et de pressions dont notre camp a l’habitude.
Il a ainsi fait pression sur un intervenant au colloque de Synthèse nationale, arguant de la présence de personnes « infréquentables » à ce colloque.
Il y a un an, j’avais demandé à Oskar Freysinger, un des leaders de l’UDC suisse,  de signer notre pétition contre l’Europe des nains de Bruxelles. Il avait accepté. Avant de se rétracter après l’intervention du cafard Robin. Qui  lui fit remarquer que parmi les deux cents signataires de la pétition figurait Hervé Ryssen. Or j’ai toujours refusé, et je continuerai à refuser toute censure et toute exclusion à l’encontre de personnes de notre camp, quelles que soient les divergences.
En conséquence, je demande à mes amis, et même à ceux qui ne le sont pas, de rompre toutes relations avec cet individu, qui est un ennemi de notre camp. Ni interviews, ni invitations, ni rencontres, ni diffusion de ses livres.
Il devient urgent d’établir un véritable cordon sanitaire entre nous et lui.
 
L’affaire n’est pas terminée :
 
voici la réaction de Jean Robin…
 
Après Marine le Pen qui refuse toute interview de notre part, après les insultes de Soral, Blanrue, Franck Abed, LLP ( ? - NDLR) et bien d’autres, c’est au tour de Robert Spieler de cracher son venin sur Jean Robin, dans un article de Rivarol dont nous avons été alerté cette fin de semaine et que nous reproduisons intégralement ci-après. A titre personnel je suis plutôt fier de recevoir les crachats de personnes aussi intolérantes, appartenant à l’ancienne extrême-droite (la nouvelle étant au pouvoir), j’en reçois aussi parfois de l’extrême-gauche. Mais au lieu d’attaquer en diffamation comme m’y invitent certains, je vais proposer un droit de réponse à Rivarol, ainsi qu’un débat à M. Spieler, dans les conditions neutres d’Enquête & Débat. On est démocrate ou on ne l’est pas, pour ma part je le suis.
M. Spieler me fait l’honneur de son mépris et de son intolérance dans le dernier numéro de Rivarol, voici mon droit de réponse.
 M. Spieler ne supporte apparemment pas la contradiction, ni que certains de ses contacts puissent me demander conseil.
A ma connaissance, ni l’un ni l’autre n’est interdit, que ce soit par la loi ou par la morale, et pourtant il m’en fait le grief.
Libre à lui, même si j’aurais préféré qu’il le fit en d’autres termes qu’en m’insultant copieusement, ce qui regarde son éthique avant tout.
Au lieu de lui répondre dans les mêmes termes, et m’abaisser ainsi à son niveau, j’aimerais l’élever au mien, et lui proposer un débat.
J’ai créé un site internet, Enquête et Débat, entre autres pour permettre à deux personnes aux conceptions opposées d’en découdre librement.
Contrairement aux procédés télévisuels, le cadre est totalement neutre, il n’y a pas d’animateur, pas de public, pas de montage, et seulement deux intervenants et une pendule d’échec pour répartir de façon égalitaire la parole.
M. Spieler aura ainsi tout le loisir de s’expliquer publiquement face à moi dans un débat que nous diffuserons sur le site.
Je lui transmets copie de ce droit de réponse, qu’il soit publié dans Rivarol ou non.
 
…et la réponse de Robert Spieler :
 
"Désolé, Jean Robin, mais je ne débattrai pas avec vous".
 
J'ai pour principe de ne jamais refuser de débattre, fût-ce avec mes pires adversaires. A une seule condition: que je puisse avoir, un tant soit peu, de l'estime pour eux.
Vous avez fait pression sur un intervenant de la journée du 11 novembre, de Synthèse nationale, afin qu'il s'en retirât.
Vous aviez fait pression sur l'un des leaders suisses de l'UDC, Oskar Freysinger, afin que celui-ci retirât sa signature au bas de la pétition contre l'Europe de Bruxelles, initiée par Synthèse nationale en septembre 2010. En prétextant qu'un signataire compromettant l'avait signée. Soit. Assumez.
Je suis désolé de vous le dire. Je respecte les adversaires, et même les ennemis que je puis combattre de face. Je n'ai aucun respect pour les êtres chafouins et sournois. Non, je n'ai aucune estime pour vous. Oui, je refuse de débattre avec vous. Oui, je maintiens mon appel à  constituer un cordon sanitaire autour de vous, car nous n'avons rien de commun. Il serait temps que vous cessiez définitivement de tenter de semer la discorde dans le camp national, nationaliste et identitaire. 

samedi 26 novembre 2011

Le parti des bobos et le parti du peuple



Christian Bouchet





Le parti des bobos et le parti du peuple
La croyance populaire comme quoi « Le diable porte pierre » s’est vérifiée ces dernières semaines avec la parution de deux livres écrits par des militants de gauche affirmés. Si Alain Mergier et Jérôme Jourquet, chercheurs à la Fondation Jean Jaurès ont ouvert le feu avec Le Point de rupture, enquête sur les ressorts du vote FN en milieux populaire, ils ont été rapidement rejoints, et complétés, par un journaliste du Nouvel Observateur, Hervé Algalarrondo, avec son livre La Gauche et la préférence immigrée. À la lecture de ces deux opus, une conclusion s’impose : si le Parti socialiste est de plus en plus le parti des bobos, le Front national est, quant à lui, devenu le seul parti du peuple.

Dans son ouvrage, Hervé Algalarrondo dénonce le fait que la gauche ait abandonné la classe ouvrière au profit des immigrés. Une stratégie politique qui symbolise, selon lui, la boboïsation d'une gauche en rupture avec les ouvriers - qu’elle voit comme des réactionnaires séduits par le Front national - au profit des immigrés devenus à ses yeux les nouveaux prolétaires. Et Algalarrondo d’illustrer son propos en montrant comment, au Parti socialiste, à la représentation des ouvriers dans les instances de direction du parti, on préfère celle des « personnes issues de la diversité » et comment SOS Racisme ou Ni putes ni soumises sont devenus les association de référence au détriment et en remplacement des syndicats.

De même, le journaliste du Nouvel Obs nous relate comment la figure du « beauf » s’est développée, au sein de la gauche, comme symbole du prolétaire, forcément réactionnaire, raciste et blanc parallèlement à la mise en avant de l’image positive de l’immigré, y compris du sans-papier, vu comme une incarnation parfaite du « citoyen du monde ». Puis, Hervé Algalarrondo explique comment réclamer la régularisation de tous les sans-papiers est en réalité un « mot d'ordre anti-ouvriers » et comment la défense de « l'ouverture des frontières » se fait en mettant en péril l'emploi des classes populaires autochtones, car «si les nouveaux arrivants trouvent un travail, parfois très pénible, (...) c'est au détriment de postulants hexagonaux sans formation particulière ».

Hervé Algalarrondo remarque aussi que les plus chauds partisans de l’ouverture des frontières sont ceux qui ont les postes les plus à l’abri de la concurrence des immigrés : « Ceux qui militent dans des associations de défense des droits de l’Homme exercent souvent des métiers – fonctionnaires, médecins, avocats – qui sont loin d’être complètement ouverts. Ils sont protégés de la concurrence étrangère. Les conseillers ne sont pas les payeurs ! ». Et il enfonce le clou en soulignant que l’on oublie trop souvent qu’un des meilleurs supporters de l’ouverture des frontières n’est autre que le Medef ravi d’avoir à sa disposition une main d’œuvre moins chère et non syndiquée. Algalarrondo le souligne, et insiste lourdement, et avec ironie, sur le fait qu’aujourd’hui une partie notable de la gauche partage les même idées et objectifs que le grand patronat, et a tiré un trait sur la lutte des classes à laquelle elle préfère la « diversité » et « l’ouverture aux autres ».

Cela a comme conséquence que les classes populaires ont en grande partie désertées le Parti socialiste et plus généralement les partis de gauche et que certains s’inquiètent des conséquences à terme de ce manque à gagner électoral. Ainsi, dans leur essai Le Point de rupture, Alain Mergier et Jérôme Fourquet analysent-ils la montée du vote Front national « en milieux populaires ».

Avec leurs termes de sociologues politiques ils constatent ainsi que à la demande politique des classes populaires, qui est un triple souhait de protection (protection des personnes physiques, protection économique des salariés et protection nationale face à la mondialisation), « ne répond qu’une seule offre qui est celle de Marine Le Pen, il ne faut pas s’étonner du succès de cette dernière. Elle se trouve dans une sorte de monopole de fait. »

Et, bien qu’ils s’en désolent, Alain Mergier et Jérôme Fourquet illustrent leur livre d’analyses chiffrées récentes (elles datent d’avril dernier) qui ne peuvent laisser indifférentes. Parmi les 30 % de la population française qui regroupent les catégories sociales populaires, c’est-à-dire les employés et les ouvriers, où, dit en d’autre termes, l’ensemble des personnes dont le salaire mensuel maximum est inférieur à 1250 euros nets, Marine Le Pen arrive très largement en tête des intentions de vote recueillant 42 % des votes potentiels des ouvriers et 28 % de ceux des employés.

Nos auteurs relèvent que ces catégories sociales sont, à l’encontre de celles qui votent pour l’UMPS, celles qui sont les plus victimes de la délinquance quotidienne, de la concurrence des immigrés, de la désindustrialisation et des délocalisation. Et ils expliquent : « Quand ils sont présents dans l’environnement régional ou de proximité, ces éléments déstabilisants et anxiogènes viennent donner corps aux discours et analyses du Front national. (…) Et quand tous ces ingrédients sont rassemblés, la puissance et la prégnance du vote frontiste peuvent devenir spectaculaire. »

Sur des problèmes économiques plus abstraits, Alain Mergier et Jérôme Fourquet font aussi ressortir que les positions du Front national et de Marine Le Pen, si elles s’éloignent diamétralement de celles des décideurs et des classes favorisées, recoupent par contre étroitement celle des couches populaires de notre nation. Ainsi, l’idée d’un retour au franc et d’un abandon de l’euro, qui apparaît comme une hérésie et une ineptie pour les « décideurs », est assez partagée dans les milieux populaires et plus encore parmi les ouvriers qui sont 50 % à souhaiter que l’on sorte de l’euro contre 11 % des cadres supérieurs et des professions libérales. Dans le même ordre d’idée, si la question d’une remise en cause du libre-échange et de l’augmentation des droits de douane, sur les produits en provenance des pays à bas coûts de main d’œuvre est hors de propos pour la grande majorité des décideurs et des favorisés, environ 75 % des français d’extraction populaire y sont favorable.

Ces livres, ces sondages, et le ressenti des actions militantes de terrain prouvent une chose : il y a bien une France d’en haut et une France d’en bas et si la première vote UMPS, la seconde elle entend, de plus en plus, voter Marine Le Pen.
notes
La gauche bobo et le peuple

« L’immigration à gogo, c’est un credo de bobos »

« En privilégiant les immigrés sur les autres catégories populaires, la gauche bobo suggère que les petits Blancs constituent la lie de la société française. Comment se dire de gauche et cautionner pareil racisme social ? »

« La prolophobie a un pendant : la xénophilie. Elle est le signe d’une discrimination, c’est le mot qui convient, dans l’attitude de la gauche à l’égard des classes populaires ».

Hervé Algalarrondo, La Gauche et la préférence immigrée, Plon, 2011.

vendredi 25 novembre 2011

Dominique Strauss-Kahn envisagerait-il de s’intaller en Israël ?



VIA OUMMA.COM

publié le jeudi 24 novembre 2011


Selon le site JSSNews qui est le premier média israélien francophone en terme d’audience "Depuis plusieurs jours les rumeurs de l’installation de Dominique Strauss Kahn et d’Anne Sinclair en Israël se propagent. Certain le voyaient déjà à la tête de la Banque d’Israël.
JSSNews affirme avoir obtenu et recoupé des informations fiables selon lesquelles : " Dominique Strauss Kahn aurait décidé de s’installer en Israël avec son épouse et aurait eu une proposition de poste important dans le secteur privé.
Leur séjour en Israël chez leur ami Jean Frydmann, présenté comme un voyage de détente, aurait eu pour but de préparer l’installation du couple pour une période indéterminée dans l’État Juif. D’ailleurs aucune date n’avait été annoncée pour leur retour en France.
L’article de JSSNews conclue néanmoins que : "DSK n’entendrait pas se soustraire à la justice française et se rendrait dans 15 jours en France pour être auditionné en tant que « témoin assisté » par les juges d’instruction en charge du dossier du Carlton de Lille."

« La télévision, un poison sui generis »




VIA CONTRE-INFO


Ci-dessous un article de François-Xavier Rochette paru dans Rivarol, à propos de l’ouvrage de Michel Desmurget : TV lobotomie, la vérité scientifique sur les effets de la télévision.
Un livre que l’on peut commander en ligne ici.
« L’avènement de l’ère internautique démocratisée laisse à penser que la domination télévisuelle dans le champ médiatique ne cesserait dès lors de décroître.
Or, paradoxalement, c’est l’inverse qui est observé par les scientifiques ayant eu le courage de se pencher sur cette question fondamentale.
Du courage, il en faut en effet pour nos chercheurs qui ne connaîtront aucune gloire en analysant l’expansion de la gangrène télévisuelle puisque le principal relais informatique reste la télévision qui n’a jamais cultivé un goût prononcé pour la remise en cause salvatrice. Pourtant les études sur la nocivité intrinsèque de la télévision sont fort nombreuses mais restent cloisonnées au sein des bibliothèques universitaires (américaines en particulier), ou bien au chaud dans de prestigieux laboratoires qui ne peuvent faire leur beurre à partir de ces travaux.
 Heureusement les journaux alternatifs et quelques internautes diffusent les découvertes étonnantes sur la malfaisance dévastatrice de la petite lucarne (les études et les chiffres dépassent les préjugés que l’on peut avoir à propos du phénomène abrutissant télévisuel).
Mais ces avertissements parcimonieux ne touchent malheureusement pas la masse et l’immense majorité des familles qui se font décérébrées d’une manière indolore au quotidien. Le neuroscientifique Michel Desmurget vient de publier un livre complet sur cette drogue dure que constitue la télévision.
C’est aussi l’occasion pour nous de faire un point sur la dangerosité et la progression de ce poison dans le corps social.
D’abord, remarquons que le temps moyen passé devant la télévision (des Français et des hexagonaux) est de 3H40 par jour pour un adulte et de 2H40 pour un enfant scolarisé : Cette durée de soft lobotomie a encore augmenté ces cinq dernières années malgré Internet et la prolifération des DVD. Ce temps passé devant la téloche correspond à 25% du temps de veille des gens et à 75% de leur temps libre ; l’équivalent de 56 jours par an. Les conséquences de cette surexposition médiatique sont (bien sûr) très graves. Chaque heure quotidienne consommée augmente le risque de décès de 10%, augmente le nombre d’obèses de 2% : Plus de deux heures par jour augmente le risque de surpoids de 55%. Chaque heure de TV consommée avant 3 ans augmente de 10% la quantité de « junk food » consommée à 10 ans. Si la télé prend de plus en plus de place dans les foyers, elle est devenue par ailleurs plus venimeuse encore. La phrase de Patrick Le Lay sur le « temps de cerveau disponible », écrit à propos Michel Desmurget qui a bien désarticulé pour mieux le comprendre le processus cognitif imposé à tous les téléspectateurs, est en effet d’une terrible honnêteté. Aujourd’hui la fonction principale de la télévision (ses films, ses émissions, ses programmes d’une manière générale) est de stresser le consommateur ; de le stresser continûment, avec force et détermination. Car il s’avère selon Desmurget que « si vous stressez une personne avant de lui passer une publicité, elle va beaucoup mieux retenir le message. L’évolution fait que nous sommes beaucoup plus prompts à retenir les choses qui nous menacent, nous ont fait peur, que les choses qui nous ont fait plaisir ou aucun effet. Ce n’est donc pas un hasard que l’on montre autant de violence. » (Notons que les programmateurs bourrent de plus en plus de pubs les séries diffusées, mais évitent également, de plus en plus, de passer de la réclame immédiatement après un épisode, le happy end typiquement américain n’étant pas propice à l’aggravation du stress publiphile). Alors les scénaristes se sont adaptés aux nouvelles exigences psycho-publicitaires : violences tous azimuts, souffrances perpétuelles, angoisse communicative, perversions sexuelles fantastiques… Et le péquin tombe sur Les Experts de TF1, Esprits criminels, Le Mentaliste et John Le Rouge (rouge comme le sang…) en devant se mettre à la place d’un sériôl quilleur pour le comprendre. Les gamins de 10 ans deviennent les premiers fans, ils sont shootés à l’adrénaline et aux odeurs de cadavres en état de décomposition : Le stress est leur came, la pub leur héroïne. Déflorés à 5, 7 ou 8 ans avec quelques sitcoms, empalés par Plus belle la vie à ces âges, les gamins plongent dans le grand bain à neuf ou 10 ans avec Les Experts – le top du top ! La téléphonie mobile, le gel pour les cheveux, les capotes, les chewing-gums dégueulasses et leurs acolytes se portent bien. Mais les méfaits du Moloch ne s’arrêtent pas là. Donnons la parole à Desmurget : « Les études montrent que les gens qui regardent (trop) la TV finissent par voir la réalité telle qu’elle y est montrée. Si l’on amène des télévisions sur une île Fidji, on voit que les dossiers médicaux montrent qu’avant la TV le nombre de filles au régime est quasi nul et le nombre d’anorexiques est nul. Trois ans après, vous avez 70% de gamines qui se sont mises au régime, et 12% qui se font vomir, parce que la TV a insufflé cet idéal de minceur. » Les scientifiques ont observé le même phénomène pour la consommation de tabac et d’alcool… Non contente de pourrir les esprits, la télévision putréfie également les corps et exténue les organismes : Si l’on enlève la télévision à un adolescent, il gagne ainsi une heure de sommeil par nuit. Une étude canadienne a d’autre part montré que l’introduction de la TV dans une zone enclavée qui n’y avait pas accès a diminué de 30 à 40% la fréquentation des installations sportives et culturelles, dont les bibliothèques.
La télévision agit donc comme une drogue dure et particulièrement nocive. Elle ronge les âmes et les corps mais elle entraîne également une addiction sévère chez ses consommateurs (l’immense majorité d’entre eux). Pour Desmurget, il n’existe qu’une seule solution pour s’en sortir : Se débarrasser de sa télévision, la fracasser sur l’autel de la consommation et de la manipulation ! A vos masses !
François-Xavier Rochette. »

Tous ces délits jugés moins graves que le partage de la culture


Guillaume Champeau - publié le Samedi 27 Août 2011 à 17h00 - posté dans Société 2.0


Numerama a fait la liste (non exhaustive) des délits dont le législateur estime qu'ils doivent être moins sévèrement condamnés, ou pas condamnés davantage que l'échange de films et de musique sur Internet. Saviez-vous qu'il est plus risqué de télécharger une chanson sur BitTorrent que de profaner un cimetière ?

Mardi, nous vous racontions l'histoire d'un adolescent suédois de 15 ans, dénoncé par sa directrice d'école convoqué au tribunal pour avoir partagé 24 films sur BitTorrent. Nous concluions notre article par cette interrogation et cette réflexion :

A quel moment de l'histoire le rapport de nos sociétés à la culture a-t-il dérapé au point qu'aujourd'hui, un jeune de 15 ans puisse se retrouver jugé par un tribunal pour avoir téléchargé et partagé une vingtaine de films ? Nous le disions récemment à propos du premier ministre britannique David Cameron, qui expliquait les émeutes par un "effondrement moral" de la société : il ne peut y avoir d'échelle morale respectable et donc respectée dans une société qui fait de l'échange d'oeuvres culturelles un délit pénal aussi grave que le vol ou l'agression physique.
Il est temps de remettre sur la table la hiérarchie des crimes et des délits, pour redonner de la légitimité aux pouvoirs policiers et judiciaires.
En France, le fait de partager de la musique ou des films sur Internet est puni, comme toute contrefaçon, d'une peine maximale de 3 ans d'emprisonnement et 300 000 euros d'amende (article L335-2 du code de la propriété intellectuelle). Certes, la loi Hadopi fait que cette disposition n'est plus utilisée en pratique par les ayants droit ; mais c'est uniquement parce qu'ils préfèrent désormais transmettre leurs adresses IP collectées à la Haute Autorité pour qu'elle sanctionne la négligence de l'abonné à internet, plutôt qu'au tribunal pour qu'il sanctionne le téléchargement illégal. Rien n'empêche un auteur ou un producteur de demander une peine de prison pour un "pirate".
Il nous paraît donc intéressant de voir quels sont les délits jugés aussi graves (ou pas plus graves) que le piratage par le législateur, et - ce qui est plus révélateur encore, quels délits sont jugés moins graves que l'échange d'oeuvres culturelles. Nous avons donc parcouru le code pénal pour lister dans un premier temps certains des délits punis de 3 ans d'emprisonnement d'amende (et généralement de moins de 300 000 euros d'amende), puis certains des délits punis de moins de 3 ans d'amende. Le résultat nous semble parler de lui-même...
Liste non exhaustive des délits sanctionnés par la même durée de trois ans d'emprisonnement que celle risquée pour la mise à disposition d'oeuvres protégées par le droit d'auteur :
  • L'homicide involontaire (art. 221-6 du code pénal) ;
  • Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail (art. 222-13) ;
  • La menace de mort lorsqu'elle est, soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet (art. 222-17) ;
  • L'atteinte involontaire à l'intégrité physique d'autrui en cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité (art. 222-19) ;
  • L'expérimentation biomédicale sur une personne sans avoir recueilli le consentement libre, éclairé et exprès de l'intéressé (art. 223-8) ;
  • Le fait de provoquer au suicide d'autrui lorsque la provocation a été suivie du suicide ou d'une tentative de suicide (art. 223-13) ;
  • L'abus de faiblesse (art. 223-15-2) ;
  • Certaines formes de discrimination (art. 225-2) ;
  • L'exploitation de la mendicité d'autrui (art. 225-12-5) ;
  • L'exploitation de la vente à la sauvette (art. 225-12-8) ;
  • Le vol (art. 311-3)
  • L'abus de confiance (art. 314-1) ;
  • L'organisation frauduleuse de l'insolvabilité (art. 314-7) ;
  • La diffusion sur Internet de plans de fabrication de bombes (art. 322-6-1) ;
  • Le fait de participer à une manifestation ou à une réunion publique en étant porteur d'une arme (art. 431-10) ;
  • Le fait de pénétrer dans un établissement scolaire muni d'une arme (art. 431-24) ;
  • L'évasion d'un détenu (art. 434-27) ;
  • Certaines formes d'entrave à la justice (art. 435-12) ;
  • Le faux et usage de faux (art. 441-1) ;
  • L'assistance, propagande ou publicité pour l'eugénisme ou le clonage reproductif (art. 511-1-2) ;
Liste non exhaustive des délits sanctionnés par une peine d'emprisonnement moins longue que pour la mise à disposition d'oeuvres protégées par le droit d'auteur :
  • L'exhibition sexuelle dans un lieu public (puni d'un an d'emprisonnement, art. 222-32) ;
  • Le harcèlement dans le but d'obtenir des faveurs sexuelles (1 an de prison, art. 222-33) ;
  • Le harcèlement moral au travail (1 an de prison, art. 222-33-2) ;
  • La violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité exposant autrui à un risque immédiat de mort (1 an de prison, art. 223-1) ;
  • L'atteinte à l'intégrité du cadavre, la profanation de cimetière (1 an de prison, art. 225-17) ;
  • L'introduction dans un domicile par violence (1 an de prison, art. 226-4) ;
  • L'usurpation d'identité d'un tiers (1 an de prison, art. 226-4-1) ;
  • La violation du secret professionnel (1 an de prison, art. 226-13) ;
  • La violation du secret des correspondances (1 an de prison, art. 226-15) ;
  • Le fait de détourner de leurs finalités médicales ou de recherche scientifique les informations recueillies sur une personne au moyen de l'examen de ses caractéristiques génétiques (1 an de prison, art. 226-26) ;
  • L'abandon de famille (2 ans de prison, art. 227-3) ;
  • Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer (1 an de prison, art. 227-5) ;
  • Le fait de provoquer les parents ou l'un d'entre eux à abandonner un enfant né ou à naître (6 mois de prison, art. 227-12) ;
  • Le fait de provoquer directement un mineur à la consommation habituelle et excessive de boissons alcooliques (2 ans de prison, art. 227-19) ;
  • Le fait pour un majeur de faire des propositions sexuelles à un mineur de quinze ans ou à une personne se présentant comme telle en utilisant un moyen de communication électronique (2 ans de prison, art. 227-22-1) ;
  • La demande de fonds sous contrainte (6 mois de prison, art. 312-12-1) ;
  • Le fait de ne volontairement pas payer son essence, son restaurant, son hôtel, ou son taxi (6 mois de prison, art. 313-5) ;
  • La destruction d'un bien appartenant à autrui (2 ans de prison, art. 322-1) ;
  • Les sévices graves et cruautés envers les animaux (2 ans de prison, art. 521-1).
A quand la révision de l'échelle pénale ?

jeudi 24 novembre 2011

Ikéa flique ses salariés


VIA LE BLOG DES RIVAROLIENS

 
                                      http://kobason.files.wordpress.com/2011/03/ikea-italie-1503.jpg
Le respect et la tolérance selon Ikéa. Qui a pris des leçons chez Eram.
 
On savait déjà qu'il fallait se méfier de Facebook: faux profils, prise de contrôle de sa page par un tiers qui s'ingénie à vous brouiller avec tout le monde, mine d'informations pour les avocats des conjoints dans les procès pour divorce, passage obligé de tous les employeurs... Bref, il existe mille raisons de ne pas renseigner à outrance son "mur".
 
Un employé allemand d'Ikéa a pourtant été assez imprudent pour se faire des amis néonazis sur Facebook... et a été viré! Eh oui, travailler chez Ikéa, c'est un véritable sacerdoce. 

"Ikea défend le respect et la tolérance vis-à-vis de ses salariés et de ses clients. La diversité culturelle et religieuse sont des valeurs qui forment la base du vivre ensemble"
"Nous n'acceptons aucunement que les valeurs d'Ikea soient ignorées dans la vie de tous les jours au travail (...) C'est pourquoi nous avons, dans le cas présent, tiré les conséquences en nous séparant du collaborateur visé"
 
Le respect et la tolérance, oui, mais toujours dans le cadre de la lberté d'expression bien sûr! Or comme un pseudo réseau de tueurs néonazis de vendeurs de kébab (ne riez pas) vient d'être démantelé, on est très chatouilleux en Allemagne sur les sympathies hitlériennes des rares Allemands qui n'ont pas encore compris qu'il leur faudrait baisser les yeux et le reste jusqu'à la fin de leurs jours à cause du crime de leurs aïeux. 
 
Merci à C. G pour le lien vers la source.

L'Organisation Juive de Défense contre la journée de Synthèse Nationale


http://synthesenationale.hautetfort.com/media/01/01/3699880772.jpg
 
Début de la chronique de Spieler du RIVAROL paru vendredi dernier (18/11):
 
La réunion de Synthèse nationale, dirigée par Roland Hélie, avec notamment la participation de Carl Lang, candidat à l’élection présidentielle, du MNR, de Pierre Vial, président de Terre et Peuple, de Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol et de moi-même a été une victoire importante de notre camp contre ses ennemis.
 
Victoire, Victoire, Victoire !
 
Pourquoi ? Je vais vous raconter ce qui s’est passé, depuis deux semaines. Nous avions, Roland Hélie et moi-même décidé d’exercer, avant le 11 novembre, un black-out complet sur ces évènements qui ont failli empêcher la tenue de cette réunion. D’une part, pour ne pas donner de visibilité à nos adversaires, qui attendaient sans doute que nous couinions d’importance, d’autre part pour ne pas effrayer certains de nos partisans.
 
Voilà les faits : Le Forum de Grenelle, où s’est tenue la réunion, et nous-mêmes, avons été l’objet de trois attaques et de menaces particulièrement violentes.
 
Ces attaques ont été revendiquées par l’« Organisation de Défense Juive», « commando Ben Gourion », avec tags, étoile de David. La première attaque a eu lieu dans la nuit de lundi 31 octobre. Les serrures du Forum avaient été colmatées par un mélange de ciment et de glu. Une deuxième attaque a lieu dans la nuit de jeudi à vendredi. Un courriel très menaçant est envoyé, samedi, au patron du Forum. Voilà son contenu :« Nous, Organisation de Défense Juive, revendiquons les sabotages de vos serrures ainsi que les tags. Le 11 novembre, vous avez accepté d’accueillir un congrès, celui de Synthèse nationale, regroupant la crème des négationnistes et antisémites français (sic…). Dites le vous, ce congrès n’aura pas lieu, quel qu’en soit le prix à payer. Fidèles à nos frères qui combattent et meurent pour défendre la nation juive d’Israël, nous combattrons tous les antisémites. Ces attaques ne sont qu’un début, annulez le congrès ».
 
Les attaques continuent…
 
Dans la nuit de dimanche 6 novembre, une nouvelle agression, beaucoup plus violente a lieu. C’est à coup de pioches que les agresseurs attaquent les vitres du Forum, signant encore leur forfait d’une étoile de David, et revendiquant leur acte par un nouveau courriel, d’une incroyable arrogance : « L'organisation de défense juive revendique l'attaque ayant eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi. Le refus manifeste du Forum de Grenelle de répondre à nos justes revendications, à savoir, l'annulation pure et simple du congrès des négationnistes nazis de Synthèse nationale, en est le seul responsable. Nous sommons le Forum de céder faisant preuve à la fois de réalisme et de sympathie pour notre cause, sous peine d'autres attaques dont il serait tenu pour seule responsable. » Signé : Juif sioniste et fier.  Organisation de Défense Juive.
 
Question que les lecteurs de Rivarol se poseront légitimement : Mais n’y avait-il pas de caméras se télésurveillance à l’entrée du Forum ? Bien sûr que si. Mais elles avaient été désactivées durant les agressions, bien que les agresseurs n’aient pu y avoir accès. Ce qui semble incompréhensible, et qui exige probablement des compétences sophistiquées car une explication logique, à savoir une coupure de l’alimentation électrique doit être écartée. Nous disposons cependant d’éléments d’explication  que nous ne révèlerons pas et que nous avons transmis à la police.
 
La résistance s’organise
 
Pour nous, évidemment, pas question de reculer. Mais le patron du Forum de Grenelle allait-il tenir ? Il fallait un courage formidable. Et bien, bien qu’il ne partage pas forcément nos idées, il a tenu… Je lui ai, lors de la réunion de Synthèse nationale, exprimé toute mon admiration.
 
J’ai contacté immédiatement Yvan Blot, qui devait intervenir vendredi sur le thème de la démocratie directe. Yvan Blot est énarque, haut fonctionnaire au Ministère de l’Intérieur, en charge de dossiers de terrorisme. Il est devenu un ami, bien que nous fussions adversaires, en Alsace. Après avoir été député du RPR (nous siégions ensemble, certes pas sur les mêmes bancs, à l’Assemblée nationale), il rejoignit le FN, alors que je présidais Alsace d’Abord, et fut mon adversaire au conseil régional d’Alsace. J’eus, grâce à lui, un contact avec le cabinet du Préfet de Paris auquel j’exposai la situation. Je lui ai demandé une protection policière permanente autour du Forum. Entre temps, le directeur du Forum, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, avaient déposé plainte au commissariat du 15ème arrondissement. Accueil tout à fait courtois. Réponse : nos moyens ne nous permettent pas d’assurer une présence permanente.
 
Nous avons donc fait appel à des vigiles qui ont assuré la sécurité de la salle, les nuits précédant la réunion, sachant que la journée de vendredi de Synthèse nationale serait sécurisée notamment par les militants de Serge Ayoub, de Troisième Voie, et  des nombreux jeunes militants de la Nouvelle Droite Populaire alsacienne, mais aussi de militants nationalistes parisiens, avec la garantie, le jour de la réunion, d’une présence policière significative.
 
Yvan Blot, entre temps, avait été envoyé à Londres, dans le cadre d’une mission concernant l’anti-terrorisme. Il devait revenir spécialement pour participer à la réunion de Synthèse nationale, mais le Ministère de l’Intérieur a prolongé sa mission, rendant sa présence impossible. Pas de lien de cause à effet, bien entendu…
 
Mais qui est cette Organisation Juive de Défense ?
 
Cette organisation, non déclarée, est-elle un faux nez de la Ligue de Défense Juive (LDJ), interdite aux Etats-Unis et en Israël, mais toujours tolérée en France, malgré ses multiples violences ? On pourrait le penser, mais rien de moins sûr. Son site n’évoque pas cette opération, et nous avons des informations pour penser qu’aucune organisation juive « officielle » n’est responsable de ces exactions. Alors qui ? La probabilité est qu’il faut s’orienter vers des dissidents ultra-minoritaires de ces organisations, qui ont vu là la possibilité de montrer leur capacité de nuisance.  Il y a, il est vrai, parmi ces dissidents des personnages très bizarres. L’un d’eux s’appelle Philippe Wagner. Il fut proche du mouvement skin head, avant de se convertir au bouddhisme et au macrobiotique (voir dictionnaire…) puis de se convertir… au judaïsme ! Bon, lui aussi, je vais le placer dans ma ménagerie personnelle (voirRivarol précédent) qui regroupe quelques personnages amusants ou bizarroïdes, dont Bernard-Henri Lévy, Christine Boutin et Arno Klarsfeld…
 
Appel aux lecteurs de Rivarol !
 
Cette opération de sécurisation de la journée de Synthèse nationale, qui fut un formidable succès, mais aussi des nuits précédentes, a évidemment coûté cher. Je fais appel aux lecteurs de Rivarol. Aidez Synthèse nationale en envoyant un chèque à l’ordre de Synthèse nationale, à : Synthèse nationale, 116 rue de Charenton 75012 Paris (correspondance seulement - NDLR). Un grand merci nationaliste !