Le 13 juin dernier le parlement hongrois a adopté la nouvelle
loi, souvent qualifiée de loi « anti-Soros », qui obligera les
Organisations Non Gouvernementales, qui se prétendent à but culturel,
humanitaire ou de bienfaisance et qui bénéficient de financements
étrangers (hors fonds européens) annuels supérieurs à 7,2 millions de
forints (24 000 euros) à déclarer ce fait et à l’indiquer sur leurs
sites Internet et documents imprimés. Elle a été votée à une très large
majorité (130 voix pour, 44 contre et 24 abstentions).
Cette nouvelle contrainte ne s’appliquera toutefois pas aux organisations sportives ou religieuses ni à celles représentant des minorités nationales…
On peut regretter aussi un recul des députés du Fidesz de Viktor Orban et de son allié démocrate-chrétien qui ont pris en compte certaines remarques formulées par la Commission de Venise, un organe consultatif du Conseil de l’Europe. Ainsi, les données personnelles du donateur ne devront être divulguées par les ONG que pour les dons supérieurs à 500 000 forints (1 630 euros) et les peines encourues par les ONG qui désobéiront à la nouvelle loi seront conformes au Code civil hongrois.
Dans la version initiale de la loi, le parquet pouvait faire dissoudre les ONG qui refuseraient d’appliquer la nouvelle exigence de transparence, ce qui avait été critiqué par la Commission de Venise. Néanmoins, cette dernière avait cependant reconnu le caractère légitime des objectifs de transparence visés par la loi, s’attaquant uniquement aux sanctions « disproportionnées » prévues par le texte.
Malgré tout, c’est bien le milliardaire Georges Soros et ses organisations, tentacules de la pieuvre du judaïsme politique qui sont dans le viseur du gouvernement hongrois. Viktor Orbán dévoile en effet au grand jour l’implication de Soros en vue de favoriser « l’invasion de l’Europe avec les migrants musulmans » et de financer des ONG qui agissent comme « des ennemis de la nation. »
Et les principaux intéressés ne s’y sont pas trompés. Les ONG « TASZ » (Union pour les libertés civiques) et « Comité Helsinki », toutes deux financées le milliardaire juif à papiers américains né en Hongrie, George Soros, ont déjà annoncé qu’elles ne s’y plieraient pas, parlant de désobéissance civique. La loi dont le but est de contraindre les ONG à une plus grande transparence a même été critiquée par « Transparency International », une organisation dont la mission est pourtant de favoriser la transparence de la vie publique mais qui bénéficie elle aussi de financements de Soros.
Le 18 juin, les opposants à la loi ont tenté de se réunir pour manifester et attirer l’attention de l’opinion publique internationale. Mais les ONG n’ont réussi à réunir qu’environ 300 personnes, alors que la gauche, les Verts et les libéraux parlent tous d’atteinte aux libertés et comparent la nouvelle loi hongroise à la loi adoptée en Russie contre les ONG financées de l’étranger.
Dans les cercles de pouvoir européen, en revanche, on s’insurge contre cette loi. Parmi les opposants, le président allemand Frank-Walter Steinmeier, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, ou même l’ambassade américaine à Budapest. Des eurodéputés appartenant aux groupes Socialistes et Démocrates, ALDE, Gauche unitaire et Verts, y compris quelques représentants du PPE, réclament violemment des sanctions contre le gouvernement hongrois pour non-respect de l’État de droit et des principes fondamentaux de l’Union Européenne.
Les Hongrois, eux, ne sont pas tombés dans le piège et ne s’étaient pas déplacés pour manifester. Ils n’apportent pas leurs soutiens aux mondialistes qui veulent subvertir les mœurs avec la promotion de toutes les pratiques sexuelles dégénérés et submerger le pays d’envahisseurs extra-européens pour établir la société multiraciale et multiculturelle.
Qui est Georges Soros
Rappelons que né à Budapest en 1930, Georges Soros a échappé aux IIIe Reich et fui l’occupation soviétique avant de faire fortune aux États-Unis dans la finance spéculative, non sans s’attirer critiques et soupçons. En 1992, il est devenu « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre » en lançant une attaque spéculative d’ampleur contre la livre sterling. Dix ans plus tard, il écope en France d’une condamnation pour délit d’initié qu’il qualifie de « cadeau à (ses) ennemis ».
Classé 29e fortune mondiale par le magazine Forbes, Soros agit à travers sa très active fondation Open Society Foundations (OSF), créée en 1984 et mène des ingérences subversives en faveur d’une société libérale et multiculturelle.
Les pays de l’ancien bloc communiste sont depuis l’origine le champ d’action privilégié des organisations de la galaxie Sorossienne. Ces dernières y déversent les milliards de Georges Soros pour promouvoir les droit des minorités de toutes sortes, sexuelles, ethniques, religieuses, contre les droits et usages légitimes des peuples européens enracinés, sous couvert de réformes de la finance, de la santé, de la justice ou de l’éducation.
Opérations et dénonciations des menées Sorossiennes
Aujourd’hui, du Kremlin à Skopje, en passant même par les coulisses du pouvoir actuel à Washington, les projets du milliardaire juif, âgé de 86 ans, avec ses organisations destinées à promouvoir une « société ouverte » sont petit à petit mis à jour et contestés.
En Macédoine, l’ex-premier ministre de droite nationale Nikolas Gruevksi a tenté de « désorosiser » le pays ; en Pologne, le chef de la droite, Jaroslaw Kaczynski, a accusé Soros de vouloir créer des « sociétés sans identité » ; en Roumanie, la majorité sociale-démocrate a levé le voile sur les manœuvres du magnat qui avait téléguidé l’hiver dernier des centaines de milliers de manifestants contre un allègement de la législation anti-corruption.
Moscou a interdit la fondation « Open Society Fondation » en Russie en 2015 dans le cadre de sa politique de contrôle des ONG étrangères subversives, alors que Soros a soutenu les « révolutions de couleur » en Europe centrale et orientale, comme en Ukraine.
Enfin depuis le début de l’invasion migratoire de l’Europe en 2014, 2015 et 2016, dans tous les pays d’Europe, les mouvements nationalistes dénoncent les nombreuses organisations financées par Soros pour mener des activités de soutien aux envahisseurs qui confinent à la trahison et au trafic d’être humain.
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Cette nouvelle contrainte ne s’appliquera toutefois pas aux organisations sportives ou religieuses ni à celles représentant des minorités nationales…
On peut regretter aussi un recul des députés du Fidesz de Viktor Orban et de son allié démocrate-chrétien qui ont pris en compte certaines remarques formulées par la Commission de Venise, un organe consultatif du Conseil de l’Europe. Ainsi, les données personnelles du donateur ne devront être divulguées par les ONG que pour les dons supérieurs à 500 000 forints (1 630 euros) et les peines encourues par les ONG qui désobéiront à la nouvelle loi seront conformes au Code civil hongrois.
Dans la version initiale de la loi, le parquet pouvait faire dissoudre les ONG qui refuseraient d’appliquer la nouvelle exigence de transparence, ce qui avait été critiqué par la Commission de Venise. Néanmoins, cette dernière avait cependant reconnu le caractère légitime des objectifs de transparence visés par la loi, s’attaquant uniquement aux sanctions « disproportionnées » prévues par le texte.
Malgré tout, c’est bien le milliardaire Georges Soros et ses organisations, tentacules de la pieuvre du judaïsme politique qui sont dans le viseur du gouvernement hongrois. Viktor Orbán dévoile en effet au grand jour l’implication de Soros en vue de favoriser « l’invasion de l’Europe avec les migrants musulmans » et de financer des ONG qui agissent comme « des ennemis de la nation. »
Et les principaux intéressés ne s’y sont pas trompés. Les ONG « TASZ » (Union pour les libertés civiques) et « Comité Helsinki », toutes deux financées le milliardaire juif à papiers américains né en Hongrie, George Soros, ont déjà annoncé qu’elles ne s’y plieraient pas, parlant de désobéissance civique. La loi dont le but est de contraindre les ONG à une plus grande transparence a même été critiquée par « Transparency International », une organisation dont la mission est pourtant de favoriser la transparence de la vie publique mais qui bénéficie elle aussi de financements de Soros.
Le 18 juin, les opposants à la loi ont tenté de se réunir pour manifester et attirer l’attention de l’opinion publique internationale. Mais les ONG n’ont réussi à réunir qu’environ 300 personnes, alors que la gauche, les Verts et les libéraux parlent tous d’atteinte aux libertés et comparent la nouvelle loi hongroise à la loi adoptée en Russie contre les ONG financées de l’étranger.
Dans les cercles de pouvoir européen, en revanche, on s’insurge contre cette loi. Parmi les opposants, le président allemand Frank-Walter Steinmeier, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, ou même l’ambassade américaine à Budapest. Des eurodéputés appartenant aux groupes Socialistes et Démocrates, ALDE, Gauche unitaire et Verts, y compris quelques représentants du PPE, réclament violemment des sanctions contre le gouvernement hongrois pour non-respect de l’État de droit et des principes fondamentaux de l’Union Européenne.
Les Hongrois, eux, ne sont pas tombés dans le piège et ne s’étaient pas déplacés pour manifester. Ils n’apportent pas leurs soutiens aux mondialistes qui veulent subvertir les mœurs avec la promotion de toutes les pratiques sexuelles dégénérés et submerger le pays d’envahisseurs extra-européens pour établir la société multiraciale et multiculturelle.
Qui est Georges Soros
Rappelons que né à Budapest en 1930, Georges Soros a échappé aux IIIe Reich et fui l’occupation soviétique avant de faire fortune aux États-Unis dans la finance spéculative, non sans s’attirer critiques et soupçons. En 1992, il est devenu « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre » en lançant une attaque spéculative d’ampleur contre la livre sterling. Dix ans plus tard, il écope en France d’une condamnation pour délit d’initié qu’il qualifie de « cadeau à (ses) ennemis ».
Classé 29e fortune mondiale par le magazine Forbes, Soros agit à travers sa très active fondation Open Society Foundations (OSF), créée en 1984 et mène des ingérences subversives en faveur d’une société libérale et multiculturelle.
Les pays de l’ancien bloc communiste sont depuis l’origine le champ d’action privilégié des organisations de la galaxie Sorossienne. Ces dernières y déversent les milliards de Georges Soros pour promouvoir les droit des minorités de toutes sortes, sexuelles, ethniques, religieuses, contre les droits et usages légitimes des peuples européens enracinés, sous couvert de réformes de la finance, de la santé, de la justice ou de l’éducation.
Opérations et dénonciations des menées Sorossiennes
Aujourd’hui, du Kremlin à Skopje, en passant même par les coulisses du pouvoir actuel à Washington, les projets du milliardaire juif, âgé de 86 ans, avec ses organisations destinées à promouvoir une « société ouverte » sont petit à petit mis à jour et contestés.
En Macédoine, l’ex-premier ministre de droite nationale Nikolas Gruevksi a tenté de « désorosiser » le pays ; en Pologne, le chef de la droite, Jaroslaw Kaczynski, a accusé Soros de vouloir créer des « sociétés sans identité » ; en Roumanie, la majorité sociale-démocrate a levé le voile sur les manœuvres du magnat qui avait téléguidé l’hiver dernier des centaines de milliers de manifestants contre un allègement de la législation anti-corruption.
Moscou a interdit la fondation « Open Society Fondation » en Russie en 2015 dans le cadre de sa politique de contrôle des ONG étrangères subversives, alors que Soros a soutenu les « révolutions de couleur » en Europe centrale et orientale, comme en Ukraine.
Enfin depuis le début de l’invasion migratoire de l’Europe en 2014, 2015 et 2016, dans tous les pays d’Europe, les mouvements nationalistes dénoncent les nombreuses organisations financées par Soros pour mener des activités de soutien aux envahisseurs qui confinent à la trahison et au trafic d’être humain.
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