Du haut de son plus beau mont, le Malgré Tout, ou les Ardennais résistèrent à l’occupation espagnole au XVIIIe siècle, puis à l’occupation allemande, enfin depuis toujours à la rudesse de l’hiver et maintenant aux traîtres d’« en avant bandes d’idiots », coulent les eaux tumultueuses et rebelles de la Semoy pour se jeter dans les bras de la Meuse qui, de la province de Namur jusqu’au Pays-Bas et à la mer du Nord, viennent chanter aux peuples nordiques que la citadelle de Godefroy de Bouillon reste imprenable.
« Non à l’Europe », c’est possible pour ce département peuplé de sangliers qui résiste à la loi mondialiste comme le célèbre village gaulois à la loi césarienne. Lançons cet appel du 18 juin 2017 des Ardennes libres, « Non à la soumission », « Non au diktat oligarchique » et pour le sud, bravo Gilbert, je n’aime pas la tauromachie ! Et toc.