Philippe Delbauvre |
La polémique actuelle concerne les propos,
jugés abominables par beaucoup, de Nadine Morano. On sait que cette
femme ne fait guère dans la dentelle habituellement. On ne peut que
constater que l'Ump, rebaptisée les Républicains, n'a pas changé. Croire
que le changement de dénomination implique une modification sur le fond
constitue une erreur. Ce n'est qu'une manœuvre visant à inspirer une
dynamique électoraliste ainsi qu'à faire oublier les multiples scandales
de l'Ump.
En entamant une procédure de destitution à l'encontre de Nadine Morano, l'Ump-républicains montre son vrai visage qui n'est autre que celui du Système. Et la droite et la gauche célèbrent le melting pot entamé via l'immigration incontrôlée, voici plusieurs décennies. De ce côté là donc, il n'y a rien à espérer depuis l'aile droite des Républicains, jusqu'au Front de gauche. La manœuvre de Nadine Morano n'est nullement désintéressée : elle vise à ratisser sur les saines terres du Front National. La ficelle est d'ailleurs des plus grosses.
Là où Nadine Morano se plante – son mensonge fait mal en terme d'information– c'est en affirmant que la France est un peuplée de blancs. En effet, si cela fut vrai pendant des siècles, plus exactement des millénaires, cela ne l'est plus. Il suffit d'observer dans nos rues le paysage ethnique pour constater, malheureusement, que la France ne peut plus être définie par un peuple de couleurs blanche.
C'est donc, comme aux Etats Unis, le melting pot qui prévaut. On ne peut donc à la fois évoquer les plus de 10 millions d'allogènes comme la mouvance le souligne à juste titre, et dans le même temps affirmer que la France est un pays de blancs. Ce fait majeur, l'immigration étant très récente à l'échelle de l'histoire de France, engendre les méfaits que nous connaissons tous. Bien entendu, chaque groupe humain tire la couverture à lui, ce qui se traduit par un vif communautarisme, de plus en plus dynamisé par les nouveaux « apports ». Si le racisme dans la France d'aujourd'hui est réel, il faut bien considérer qu'il est une conséquence de l'immigration récente. Encore une fois, sans cette importation d'allogènes, il n'y aurait point de racisme. La responsabilité des différents gouvernements depuis une quarantaine d'années est donc flagrante. On ne peut à la fois célébrer l'antiracisme et faire valoir une immigration de couleur, génératrice de racisme. Plus exactement, on tient un discours antiraciste, jugement pour éviter la propagation du racisme, conséquence logique de l'immigration de couleur.
Il y a malheureusement dans la mouvance une propension à célébrer notre histoire, glorieuse il est vrai, quitte à oublier ce que la France et l'Europe plus généralement, sont aujourd'hui devenues. Je suis moi même le premier à éprouver des difficultés à fustiger l'occident, justement en fonction de son passé remarquable. Les faits imposent cependant la rigueur intellectuelle qui doit nous pousser à la détestation de l'occident tel qu'il est devenu. L'occident, ce sont les Usa avec l'Europe simple wagon tirée par la locomotive américaine. On ne peut aujourd'hui aimer l'occident, justement parce qu'il est devenu ce qu'il est.
Le fait migratoire, qui prend tant d'importance aujourd'hui, aurait du faire l'objet d'un referendum. La source eut alors été tarie. N'écoutons pas les argumentaires des tenants du Système qui vantent le vivre ensemble sur le mode humanitaire. En fait, l'objet l'immigration a pour raison principale, l'économie capitaliste. On dope artificiellement la croissance en espérant que les nouveaux venus financeront les retraites de demain alors même que le chômage représente, toutes catégories confondues, 6 millions de personnes.
Il eut fallu construire un espace européen – la fin du communisme en Russie nous offrait une opportunité exceptionnelle – et vivre en vase clos, ne cédant pas aux mirages mondialistes. Il y a des dizaines de millions d'emplois à créer en Europe, si d'aventure on acceptait de relocaliser voire de recréer entreprises et agriculture.
Blanqui
D'un point de vue économique, l'étude de la philosophie, nous montre que la vérité se situe le plus souvent, éloignée des extrêmes. Il n'est donc nullement question de faire la part belle, aussi bien au plan quinquennal soviétique qu'au capitalisme libéral. Le terme de socialisme (1) (2) peut bien résumer la juste solution même si je l'associerais aussi bien racialisme et au mysticisme chrétien (3) afin de ne pas sombrer au matérialisme. Peguy constitue une piste comme il en d'autres, ainsi ceux que Loubet del Bayle a appelé les non conformistes des années 30.
Peguy
On ne peut non plus faire l'impasse sur la natalité. Puisque nous en sommes au melting pot, les Blancs ont vocation à créer de grandes familles, sauf à devenir une minorité. Aussi bien le catholicisme que le racialisme nous y invitent.
Ne nous faisons pas d'illusions. La remigration ne commencera à être effective que lorsque nous serons au pouvoir. Il faudra alors, dans un premier temps revenir sur des naturalisations par trop accordées, ce depuis des décennies. Dans un second temps, réserver toutes les allocations aux seuls Français.
Et bien entendu se préparer à des émeutes ….
Les amoureux de l'histoire de France et de la grande Europe de naguère y sont déjà prêts.
En entamant une procédure de destitution à l'encontre de Nadine Morano, l'Ump-républicains montre son vrai visage qui n'est autre que celui du Système. Et la droite et la gauche célèbrent le melting pot entamé via l'immigration incontrôlée, voici plusieurs décennies. De ce côté là donc, il n'y a rien à espérer depuis l'aile droite des Républicains, jusqu'au Front de gauche. La manœuvre de Nadine Morano n'est nullement désintéressée : elle vise à ratisser sur les saines terres du Front National. La ficelle est d'ailleurs des plus grosses.
Là où Nadine Morano se plante – son mensonge fait mal en terme d'information– c'est en affirmant que la France est un peuplée de blancs. En effet, si cela fut vrai pendant des siècles, plus exactement des millénaires, cela ne l'est plus. Il suffit d'observer dans nos rues le paysage ethnique pour constater, malheureusement, que la France ne peut plus être définie par un peuple de couleurs blanche.
C'est donc, comme aux Etats Unis, le melting pot qui prévaut. On ne peut donc à la fois évoquer les plus de 10 millions d'allogènes comme la mouvance le souligne à juste titre, et dans le même temps affirmer que la France est un pays de blancs. Ce fait majeur, l'immigration étant très récente à l'échelle de l'histoire de France, engendre les méfaits que nous connaissons tous. Bien entendu, chaque groupe humain tire la couverture à lui, ce qui se traduit par un vif communautarisme, de plus en plus dynamisé par les nouveaux « apports ». Si le racisme dans la France d'aujourd'hui est réel, il faut bien considérer qu'il est une conséquence de l'immigration récente. Encore une fois, sans cette importation d'allogènes, il n'y aurait point de racisme. La responsabilité des différents gouvernements depuis une quarantaine d'années est donc flagrante. On ne peut à la fois célébrer l'antiracisme et faire valoir une immigration de couleur, génératrice de racisme. Plus exactement, on tient un discours antiraciste, jugement pour éviter la propagation du racisme, conséquence logique de l'immigration de couleur.
Il y a malheureusement dans la mouvance une propension à célébrer notre histoire, glorieuse il est vrai, quitte à oublier ce que la France et l'Europe plus généralement, sont aujourd'hui devenues. Je suis moi même le premier à éprouver des difficultés à fustiger l'occident, justement en fonction de son passé remarquable. Les faits imposent cependant la rigueur intellectuelle qui doit nous pousser à la détestation de l'occident tel qu'il est devenu. L'occident, ce sont les Usa avec l'Europe simple wagon tirée par la locomotive américaine. On ne peut aujourd'hui aimer l'occident, justement parce qu'il est devenu ce qu'il est.
Le fait migratoire, qui prend tant d'importance aujourd'hui, aurait du faire l'objet d'un referendum. La source eut alors été tarie. N'écoutons pas les argumentaires des tenants du Système qui vantent le vivre ensemble sur le mode humanitaire. En fait, l'objet l'immigration a pour raison principale, l'économie capitaliste. On dope artificiellement la croissance en espérant que les nouveaux venus financeront les retraites de demain alors même que le chômage représente, toutes catégories confondues, 6 millions de personnes.
Il eut fallu construire un espace européen – la fin du communisme en Russie nous offrait une opportunité exceptionnelle – et vivre en vase clos, ne cédant pas aux mirages mondialistes. Il y a des dizaines de millions d'emplois à créer en Europe, si d'aventure on acceptait de relocaliser voire de recréer entreprises et agriculture.
Blanqui
D'un point de vue économique, l'étude de la philosophie, nous montre que la vérité se situe le plus souvent, éloignée des extrêmes. Il n'est donc nullement question de faire la part belle, aussi bien au plan quinquennal soviétique qu'au capitalisme libéral. Le terme de socialisme (1) (2) peut bien résumer la juste solution même si je l'associerais aussi bien racialisme et au mysticisme chrétien (3) afin de ne pas sombrer au matérialisme. Peguy constitue une piste comme il en d'autres, ainsi ceux que Loubet del Bayle a appelé les non conformistes des années 30.
Peguy
On ne peut non plus faire l'impasse sur la natalité. Puisque nous en sommes au melting pot, les Blancs ont vocation à créer de grandes familles, sauf à devenir une minorité. Aussi bien le catholicisme que le racialisme nous y invitent.
Ne nous faisons pas d'illusions. La remigration ne commencera à être effective que lorsque nous serons au pouvoir. Il faudra alors, dans un premier temps revenir sur des naturalisations par trop accordées, ce depuis des décennies. Dans un second temps, réserver toutes les allocations aux seuls Français.
Et bien entendu se préparer à des émeutes ….
Les amoureux de l'histoire de France et de la grande Europe de naguère y sont déjà prêts.
Notes |
(2) émission consacrée à notre socialisme: http://www.meridien-zero.com/archive/2013/10/24/emission-n-162-le-socialisme-identitaire-5203926.html
(3) http://www.civitas-institut.com/content/view/276/104/