En revenant sur les résultats du 23 avril, on constate que Macron
obtenait 8,65 millions de voix, Le Pen 7,68 Fillon 7,21 et Mélenchon
7,06.
Marine Le Pen arrivait en tête dans plus de 16.000 communes.
Au second tour le 7 mai, largement battue par Macron –avec 20,75 millions de voix- Marine Le Pen progressait encore de 3 millions, pour arriver à 10,64 millions d’électeurs (soit 40% de mieux).
Dès lors, que ceux qui parlent de « défaite » balayent devant leur porte et cessent de donner des conseils, alors même qu’ils n’ont pas pu ou pas su, depuis 25 ans, dépasser le seuil des 3% au nom de leurs groupuscules respectifs.
Doubler, en nombre de voix, les scores du FN entre 2002 et 2017, alors que la TOTALITE de l’oligarchie médiatico-politico-financière lui est opposée, reste tout de même un exploit formidable. L’on n’est pas obligé d’en aimer pour autant la blonde de Montretout.
Allons plus loin : en ayant dépassé les 45% dans 115 circonscriptions le 7 mai, le FN aurait donc de sérieuses chances d’envoyer plus que les 2 députés actuels, siéger à l’Assemblée Nationale le 18 juin (date symbolique).
Contrairement à 2005, 2007 et 2012, l’électorat se divise maintenant en 4 forces plus ou moins équivalentes, dont les courants peuvent s’imbriquer ou se superposer en partie. Les macroneux avec 25%, les patriotes lepénistes avec 22%, les républicains historiques -Fillonaires- et les Insoumis avec chacun 20%. Ce qui permettra des triangulaires et des quadrangulaires.
Rien n’est joué, rien n’est perdu, tout est possible.
Les médias nous abreuvent d’insanités concernant une majorité gouvernementale absolue autour du chantre de l’euro mondialisme en Marche !
Mais sur le terrain, le sentiment et les aspirations du peuple sont très différents.
Il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles pour entendre « ceux d’en bas », confrontés aux problèmes quotidiens qui s’aggravent année après année.
Jamais l’incompréhension n’a été aussi manifeste entre le pays réel et le pays légal.
Depuis le début de l’année et durant cette calamiteuse campagne présidentielle, les thèmes du chômage endémique, de la pression fiscale, de l’insécurité galopante (viols et agressions physiques), de la dette publique abyssale, de la propagation des drogues à la sortie des écoles et de l’immigration, réelle invasion, n’ont jamais été vraiment abordés ni discutés sur le fond.
POURQUOI ? Parce que seul le Front National ose en parler depuis 30 ans, alors que les partis traditionnels et aussi en Marche ! préfèrent en ignorer les conséquences et passer ces maux sous silence. Calamiteux et lâche…alors que les électeurs sont exaspérés et se radicalisent.
Les 11 et 18 juin prochains, la majorité silencieuse, les « sans-dents », ceux « d’en bas » et tous les exaspérés, devront apporter leur soutien au Front National, pour enfin « Rendre la France aux Français », en envoyant non plus 2, mais plutôt 16 députés à l’Assemblée Nationale, ou sans doute 40 ou même plus, si l’élan est suffisant. Ceci, de manière à ce que nos enfants et nos petits-enfants puissent à nouveau affirmer : « Ici, c’est chez nous ! »
Pieter KERSTENS
Marine Le Pen arrivait en tête dans plus de 16.000 communes.
Au second tour le 7 mai, largement battue par Macron –avec 20,75 millions de voix- Marine Le Pen progressait encore de 3 millions, pour arriver à 10,64 millions d’électeurs (soit 40% de mieux).
Dès lors, que ceux qui parlent de « défaite » balayent devant leur porte et cessent de donner des conseils, alors même qu’ils n’ont pas pu ou pas su, depuis 25 ans, dépasser le seuil des 3% au nom de leurs groupuscules respectifs.
Doubler, en nombre de voix, les scores du FN entre 2002 et 2017, alors que la TOTALITE de l’oligarchie médiatico-politico-financière lui est opposée, reste tout de même un exploit formidable. L’on n’est pas obligé d’en aimer pour autant la blonde de Montretout.
Allons plus loin : en ayant dépassé les 45% dans 115 circonscriptions le 7 mai, le FN aurait donc de sérieuses chances d’envoyer plus que les 2 députés actuels, siéger à l’Assemblée Nationale le 18 juin (date symbolique).
Contrairement à 2005, 2007 et 2012, l’électorat se divise maintenant en 4 forces plus ou moins équivalentes, dont les courants peuvent s’imbriquer ou se superposer en partie. Les macroneux avec 25%, les patriotes lepénistes avec 22%, les républicains historiques -Fillonaires- et les Insoumis avec chacun 20%. Ce qui permettra des triangulaires et des quadrangulaires.
Rien n’est joué, rien n’est perdu, tout est possible.
Les médias nous abreuvent d’insanités concernant une majorité gouvernementale absolue autour du chantre de l’euro mondialisme en Marche !
Mais sur le terrain, le sentiment et les aspirations du peuple sont très différents.
Il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles pour entendre « ceux d’en bas », confrontés aux problèmes quotidiens qui s’aggravent année après année.
Jamais l’incompréhension n’a été aussi manifeste entre le pays réel et le pays légal.
Depuis le début de l’année et durant cette calamiteuse campagne présidentielle, les thèmes du chômage endémique, de la pression fiscale, de l’insécurité galopante (viols et agressions physiques), de la dette publique abyssale, de la propagation des drogues à la sortie des écoles et de l’immigration, réelle invasion, n’ont jamais été vraiment abordés ni discutés sur le fond.
POURQUOI ? Parce que seul le Front National ose en parler depuis 30 ans, alors que les partis traditionnels et aussi en Marche ! préfèrent en ignorer les conséquences et passer ces maux sous silence. Calamiteux et lâche…alors que les électeurs sont exaspérés et se radicalisent.
Les 11 et 18 juin prochains, la majorité silencieuse, les « sans-dents », ceux « d’en bas » et tous les exaspérés, devront apporter leur soutien au Front National, pour enfin « Rendre la France aux Français », en envoyant non plus 2, mais plutôt 16 députés à l’Assemblée Nationale, ou sans doute 40 ou même plus, si l’élan est suffisant. Ceci, de manière à ce que nos enfants et nos petits-enfants puissent à nouveau affirmer : « Ici, c’est chez nous ! »
Pieter KERSTENS