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vendredi 23 juin 2017

La Russie condamnée pour avoir protégé les enfants de la propagande des dégénérés


Le 29 juin 2013 la Russie avait adopté une loi fédérale qui règlemente la propagande en faveur des relations sexuelles devant les mineurs. Cette loi n’interdit pas les relations sodomites mais en interdit la propagande et encore seulement lorsqu’elle est susceptible d’être vue par des mineurs. Elle impose des amendes pour violation de cette interdiction par les médias, interdit l’organisation de « gay pride » et la diffusion à l’attention des mineurs d’informations présentant les relations homosexuelles comme attractives.



La loi a créé une infraction administrative qui entraîne une amende pour les actes de « propagande en faveur des relations sexuelles non traditionnelles parmi les mineurs, sous forme de diffusion d’informations en vue de la formation chez les mineurs d’une orientation sexuelle non traditionnelle, de l’intérêt pour les relations sexuelles non traditionnelles, d’une représentation déformée de l’équivalence sociale des relations sexuelles traditionnelles et non traditionnelles, qui provoquent un intérêt pour ces relations ».

Le but affiché est clairement de protéger les mineurs, catégorie sociale fragile et souvent ciblé par les dégénérés. Il n’est que voir en Europe de l’Ouest et en France le nombre d’associations propagandistes homosexuelles, candidates à une habilitation du ministère de l’Éducation nationale, pour aller dispenser leur sale propagande dans les lycées et si possible les collèges, voire même les écoles élémentaires !

Dès l’adoption de cette législation, le tam-tam politico-médiatique international « anti-discrimination » s’était mis en branle. En Russie les lobbies LGBT avaient organisé des manifestations, certains voulant même de façon provocatrice défiler à proximité des écoles !



C’est dans ce cadre que trois provocateurs sodomites qui avaient notamment déployé devant un lycée une banderole proclamant que l’homosexualité est « normale » et non « une perversion », avaient été condamné à des amendes. Ils ont perdu tous leurs recours en Russie jusque devant la Cour constitutionnelle russe qui a jugé que l’interdiction était justifiée par le risque « de créer une impression déformée d’équivalence sociale entre les relations maritales traditionnelles et non traditionnelles » et d’orienter les enfants sur la voie des relations sexuelles non traditionnelles.

Ils se sont alors adressés à la Cour européenne des droits de « l’homo », et cette dernière leur a évidemment donné raison.
Les droits des minorités avant toute autre considérations
La Cour européenne a estimé qu’ils avaient été victimes d’une violation de leur liberté d’expression, ainsi que de discrimination, et a ordonné aux autorités russes de réparer leur préjudice moyennant argent sonnant et trébuchant :
« La Cour juge en particulier que, bien que les lois en question visent principalement à protéger les mineurs, les limites de leur portée n’ont pas été clairement définies et leur application a été arbitraire. De plus, le but même des lois et la manière dont elles ont été formulées et appliquées dans le cas des requérants ont été discriminatoires et, globalement, n’ont servi aucun intérêt public légitime. En effet, en adoptant ces lois, les autorités ont renforcé la stigmatisation et les préjugés et encouragé l’homophobie, qui est incompatible avec les valeurs d’une société démocratique ».

Superbe illustration du charabia « anti-discrimination » (« l’arbitraire », « la stigmatisation », « les préjugés ») faisant appel à tous les « grands principes », dont le contenu n’est bien sûr jamais défini (« intérêt public légitime », « l’homophobie », « les valeurs d’une société démocratique »), qui justifient la condamnation de tout mesure qui va à l’encontre du projet mondialiste libertaire glorifiant les mœurs dégénérés et toute les pratiques sexuelles minoritaires !



Et la Cour explique qu’elle a rejeté « l’argument du gouvernement russe selon lequel la réglementation du débat public sur les questions LGBT était justifiée par la nécessité de protéger la morale. La Cour a toujours refusé d’approuver les politiques et les décisions qui traduisaient les préjugés d’une majorité hétérosexuelle envers une minorité homosexuelle ».

Des 7 juges, le représentant russe a malgré tout été autorisé à faire connaître son opinion minoritaire dans laquelle il affirme que la Cour « n’a pas pris sérieusement en compte le fait que la vie privée des enfants est plus importante que la liberté d’expression des homosexuels ». C’est le moins qu’on puisse dire.
La Russie est donc condamnée à verser 43 000 euros aux trois provocateurs, au titre du… dédommagement moral.

La CEDH « branche de la machine de propagande néolibérale »

En Russie les réactions ne se sont pas fait attendre face au scandaleux jugement qui tente d’imposer à la vue des mineurs les mœurs et pratiques de tous les pervers et autres dégénérés sodomites.
Le ministère russe de la Justice a annoncé faire appel de la décision en saisissant la Grand chambre de la Cour européenne affirmant que « la loi russe interdisant la promotion à destination des mineurs des relations homosexuelles ne viole pas le droit international et que son seul objectif est de protéger la moralité et la santé des enfants ».



L’un des principaux promoteurs de la loi contestée, le député Vitali Milonov, a qualifié la décision de la CEDH « d’acte de propagande ». Il a fort bien démasqué le scandaleux parti-pris militant de la Cour européenne des droits de l’homme, qui au nom des droits des minorités et de leur liberté totale d’excrémentation promeut toutes les perversions :
« La CEDH n’est rien d’autre qu’une branche de la machine de propagande qui sert aux milieux européens néolibéraux. Elle a déjà cessé de protéger les droits de l’homme et les libertés, maintenant ils l’utilisent comme une matraque pour faire des menaces. »
À Moscou, le ministre russe des Affaires étrangères a réagi sans rien céder de la volonté de protéger les mineurs de la sale propagande sodomite : «Je voudrais rappeler, une fois encore, ce que nous avons dit à maintes reprises: on ne persécute d’aucune façon des individus pour telle ou telle orientation, et c’est valable pour la communauté LGBT. La seule chose que nous ne souhaitons pas voir sur notre territoire et ce que notre loi interdit est l’imposition de cette orientation aux citoyens russes mineurs. Rien d’autre ».

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