Alain de Bougrenet de La Tocnaye est né le 13 novembre 1926 à Neuilly-sur-Seine
Descendant d’un ancienne famille aristocrate bretonne, notamment du contre-révolutionnaire Jacques-Louis de Bougrenet de La Tocnaye, il fait ses études au collège Sainte-Croix de Neuilly et passe son baccalauréat en 1944, il est étudiant en droit avant d’intégrer l’École militaire de Cherchell, puis l’École d’application de l’artillerie d’Idar-Oberstein.
Lieutenant pendant la guerre d’Algérie, il est responsable pendant dix-huit mois d’une section administrative spécialisée. Il est parmi l’un des premiers à participer au Comité de salut public, puis il a rejoindre l’OAS.
Arrêté deux fois, Alain de La Tocnaye s’échappe de la prison de la Santé le 31 janvier 1962, rejoint Jean Bastien-Thiry et élabore un plan visant à assassiner le général de Gaulle.
Après l’échec de l’attentat du Petit-Clamart -opération Charlotte Corday, il est arrêté, jugé par la Cour militaire de Justice au fort de Vincennes, et condamné à mort le 4 mars 1963. Le 11 mars, sa peine est commuée en prison à perpétuité.
Il est gracié et libéré en 1968, en même temps que le général Salan et le colonel Argoud.
Après sa libération, Alain de La Tocnaye publie Comment je n’ai pas tué de Gaulle (éditions Nalis, 1969), et écrit dans diverses publications nationalistes, dont Militant et Rivarol.
Il réalise aussi en 1969, un microsillon 33T (Saint-Urbain – Paris) où il raconte son combat pour la défense de l’Algérie française : Pour l’Honneur et pour le plaisir.
Dans les années 1980-1990, il participe au Parti nationaliste français (PNF) et au Mouvement Travail Patrie (MTP), avant de rejoindre le Front national, au sein duquel il n’a pas de responsabilité particulière.
Il est le père de Thibaut de La Tocnaye, également militant et cadre du front national.
Alain de La Tocnaye s’éteint le 9 janvier 2009, à Cavaillon, dans le Vaucluse.
Source
Descendant d’un ancienne famille aristocrate bretonne, notamment du contre-révolutionnaire Jacques-Louis de Bougrenet de La Tocnaye, il fait ses études au collège Sainte-Croix de Neuilly et passe son baccalauréat en 1944, il est étudiant en droit avant d’intégrer l’École militaire de Cherchell, puis l’École d’application de l’artillerie d’Idar-Oberstein.
Lieutenant pendant la guerre d’Algérie, il est responsable pendant dix-huit mois d’une section administrative spécialisée. Il est parmi l’un des premiers à participer au Comité de salut public, puis il a rejoindre l’OAS.
Arrêté deux fois, Alain de La Tocnaye s’échappe de la prison de la Santé le 31 janvier 1962, rejoint Jean Bastien-Thiry et élabore un plan visant à assassiner le général de Gaulle.
Après l’échec de l’attentat du Petit-Clamart -opération Charlotte Corday, il est arrêté, jugé par la Cour militaire de Justice au fort de Vincennes, et condamné à mort le 4 mars 1963. Le 11 mars, sa peine est commuée en prison à perpétuité.
Il est gracié et libéré en 1968, en même temps que le général Salan et le colonel Argoud.
Après sa libération, Alain de La Tocnaye publie Comment je n’ai pas tué de Gaulle (éditions Nalis, 1969), et écrit dans diverses publications nationalistes, dont Militant et Rivarol.
Il réalise aussi en 1969, un microsillon 33T (Saint-Urbain – Paris) où il raconte son combat pour la défense de l’Algérie française : Pour l’Honneur et pour le plaisir.
Dans les années 1980-1990, il participe au Parti nationaliste français (PNF) et au Mouvement Travail Patrie (MTP), avant de rejoindre le Front national, au sein duquel il n’a pas de responsabilité particulière.
Il est le père de Thibaut de La Tocnaye, également militant et cadre du front national.
Alain de La Tocnaye s’éteint le 9 janvier 2009, à Cavaillon, dans le Vaucluse.
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