Bernard Plouvier
Dans le monde animal, il existe une espèce qui s’enfouit la tête dans
le sable pour ne pas considérer le danger. En Europe, certains
gouvernements acquis à la globalo-mondialisation diabolisent certaines
formes de statistiques. On peut comprendre cette attitude : les rares
pays où la population est très démocratiquement informée boudent
l’immigration de masse africaine, turque et antillaise !
Deux enseignements peuvent être retirés des rares pays publiant leurs statistiques ethniques : la vitesse d’accroissement du pourcentage d’Extra-Européens dans la réalité démographique du pays et le rôle des immigrés de certaines origines dans l’explosion de la criminalité et de la délinquance.
Il est amusant de constater que, miraculeusement, ces deux derniers items baissent – du moins officiellement – dans les pays où l’on refuse de publier des statistiques ethniques, jugées « racistes » (plus exactement « supposées racistes » ou « prétendument racistes », puisque au moins en France, la loi a supprimé la notion de race), dégradantes, insultantes etc. Il faut reconnaître que sans l’électorat de souche extra-européenne, certains partis politiques et les syndicats les plus démagogues s’effondreraient, voire s’évanouiraient : c’est une évidence pour le cas français.
En Suisse, les statistiques des condamnations pénales des 26 cantons, pour l’année 2012, ont démontré que 35 % d’entre elles avaient été administrées à des naturalisés ou des étrangers d’origine turque ou africaine. En 2014, sur 8,24 millions de personnes résidant de façon permanente en Suisse, seuls 135 000 étaient d’origine turque ou africaine (même pas 2 % de la population). Tout commentaire sur les deux pourcentages ne peut être que pure ignominie (prétendument) raciste, c’est évident.
Des échos identiques (mais pas de statistique, puisque leur publication y est démocratiquement interdite) sont venus d’Allemagne et de Suède… viles calomnies (supposées) racistes, bien entendu. En l’An de grâce 2014, une (courte) majorité de Suisses a démocratiquement voté contre une extension de l’immigration tous azimuts.
La vitesse d’accroissement de l’immigration extra-européenne peut être étudiée grâce à l’exemple britannique. Certes les recensements du Royaume Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord sont biaisés par le fait qu’un nombre non négligeable de sujets de Sa Gracieuse Majesté et de résidents étrangers a refusé de répondre au questionnaire des agents recenseurs… et seuls d’immondes (supposés) racistes osent prétendre qu’il s’agit en quasi-exclusivité des « coloured men » (or women, or imprecise gender).
Comme en France (où le même refus a été enregistré dans certaines métropoles riches en éléments extra-européens), les recensements n’apportent aucune indication sur les immigrants clandestins. Mais, tels qu’ils sont, les chiffres britanniques ne sont pas dépourvus d’intérêt.
En 2001, le Royaume Uni était peuplé de 59 millions de résidents permanents, dont 4,6 millions d’Extra-Européens (8 %) de la population, non compris 0,7 million de métis (a-t-on encore le droit d’user de ce mot, en France, « Terre des arts et des lois »… pour les armes, c’est fini depuis belle lurette).
En 2011, sur un total de 64 millions, l’on a la surprise de constater la stabilité quasi parfaite des Européens (55 millions) ; les Asiatiques ont presque doublé, passant de 2,5 à 4,4 millions (les 4/5e étant originaires de l’ex-Empire des Indes) ; les Noirs (Africains et Antillais) sont passés d’1,1 à 2 millions ; les « Arabes » (d’origine multiple), très faiblement représentés en 2001 sont 0,6 million et les métis sont passés à 1,3 million.
Au total, en une décennie (que les Britishs, peu au fait de l’étymologie, nomment decade), le nombre des Extra-Européens a doublé (9 millions), représentant 13 % de la population, mais ils forment 40 % des populations de Londres et de Lester et 35 % de celle de Birmingham. Tous les Britanniques voyageant en France reconnaissent que l’immigration fut la cause essentielle du récent Brexit.
En démocratie, chacun est encore libre de méditer sur ces chiffres, à défaut de jouir d’une pleine liberté d’expression et d’information.
Source
Deux enseignements peuvent être retirés des rares pays publiant leurs statistiques ethniques : la vitesse d’accroissement du pourcentage d’Extra-Européens dans la réalité démographique du pays et le rôle des immigrés de certaines origines dans l’explosion de la criminalité et de la délinquance.
Il est amusant de constater que, miraculeusement, ces deux derniers items baissent – du moins officiellement – dans les pays où l’on refuse de publier des statistiques ethniques, jugées « racistes » (plus exactement « supposées racistes » ou « prétendument racistes », puisque au moins en France, la loi a supprimé la notion de race), dégradantes, insultantes etc. Il faut reconnaître que sans l’électorat de souche extra-européenne, certains partis politiques et les syndicats les plus démagogues s’effondreraient, voire s’évanouiraient : c’est une évidence pour le cas français.
En Suisse, les statistiques des condamnations pénales des 26 cantons, pour l’année 2012, ont démontré que 35 % d’entre elles avaient été administrées à des naturalisés ou des étrangers d’origine turque ou africaine. En 2014, sur 8,24 millions de personnes résidant de façon permanente en Suisse, seuls 135 000 étaient d’origine turque ou africaine (même pas 2 % de la population). Tout commentaire sur les deux pourcentages ne peut être que pure ignominie (prétendument) raciste, c’est évident.
Des échos identiques (mais pas de statistique, puisque leur publication y est démocratiquement interdite) sont venus d’Allemagne et de Suède… viles calomnies (supposées) racistes, bien entendu. En l’An de grâce 2014, une (courte) majorité de Suisses a démocratiquement voté contre une extension de l’immigration tous azimuts.
La vitesse d’accroissement de l’immigration extra-européenne peut être étudiée grâce à l’exemple britannique. Certes les recensements du Royaume Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord sont biaisés par le fait qu’un nombre non négligeable de sujets de Sa Gracieuse Majesté et de résidents étrangers a refusé de répondre au questionnaire des agents recenseurs… et seuls d’immondes (supposés) racistes osent prétendre qu’il s’agit en quasi-exclusivité des « coloured men » (or women, or imprecise gender).
Comme en France (où le même refus a été enregistré dans certaines métropoles riches en éléments extra-européens), les recensements n’apportent aucune indication sur les immigrants clandestins. Mais, tels qu’ils sont, les chiffres britanniques ne sont pas dépourvus d’intérêt.
En 2001, le Royaume Uni était peuplé de 59 millions de résidents permanents, dont 4,6 millions d’Extra-Européens (8 %) de la population, non compris 0,7 million de métis (a-t-on encore le droit d’user de ce mot, en France, « Terre des arts et des lois »… pour les armes, c’est fini depuis belle lurette).
En 2011, sur un total de 64 millions, l’on a la surprise de constater la stabilité quasi parfaite des Européens (55 millions) ; les Asiatiques ont presque doublé, passant de 2,5 à 4,4 millions (les 4/5e étant originaires de l’ex-Empire des Indes) ; les Noirs (Africains et Antillais) sont passés d’1,1 à 2 millions ; les « Arabes » (d’origine multiple), très faiblement représentés en 2001 sont 0,6 million et les métis sont passés à 1,3 million.
Au total, en une décennie (que les Britishs, peu au fait de l’étymologie, nomment decade), le nombre des Extra-Européens a doublé (9 millions), représentant 13 % de la population, mais ils forment 40 % des populations de Londres et de Lester et 35 % de celle de Birmingham. Tous les Britanniques voyageant en France reconnaissent que l’immigration fut la cause essentielle du récent Brexit.
En démocratie, chacun est encore libre de méditer sur ces chiffres, à défaut de jouir d’une pleine liberté d’expression et d’information.
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