Bernard Plouvier
L’Association Française pour le Dépistage et la Prévention des
Handicaps de l’Enfant a publié son rapport d’activité pour l’année 2016
(en libre lecture sur le Net) et comme cet organisme comprend des
médecins remarquables, ce bilan est un outil statistique fort bien fait…
qui peut donner, toutefois, matière à réflexions politiquement
incorrectes.
La première de celles-ci est le regret qu’un esprit sain et dégagé de tout dogme peut éprouver en constatant que rien n’est fait pour préserver le capital génétique sain, du moins en apparence. L’eugénisme est même vigoureusement combattu en Occident, alors que, dans un double but social, les porteurs de tares génétiques détectées, qu’elles soient physiques, mentales ou métaboliques, devraient être interdits de reproduction.
D’abord pour éviter de lourdes dépenses de santé et les dépenses connexes à caractère social, ensuite – et surtout –, pour éviter d’infliger un calvaire à l’enfant à naître avec un ou plusieurs handicaps.
Mais, en nos jours de démagogie extrême, la minorité des porteurs de tare(s) héréditaire(s) revendique ses droits, y compris celui, très discutable, voire absurde, à la reproduction. Au moins certains mâles génétiquement atteints ne peuvent-ils se reproduire, tels ceux atteints de mucoviscidose ou de trisomie 21 (« Mongolisme »).
La seconde remarque porte sur le tabou des statistiques ethniques. Le dépistage de la drépanocytose démontre la criminelle hypocrisie des princes qui nous gouvernent ou font semblant.
La drépanocytose est une hémoglobinose, c’est-à-dire une maladie où la globine – protéine associée à l’hème chargé de véhiculer l’oxygène (O2), le gaz carbonique (CO2), voire l’oxyde de carbone (CO) en cas d’intoxication – est anormale, par mutation (il en existe plusieurs types) du gène codant, sur les chromosomes 11, sa synthèse.
Dans sa forme grave, elle entraîne des crises d’anémie par éclatement des globules rouges (hémolyse) et des obstructions des petites artères et des artérioles par les globules déformés (en forme d’arc de cercle ou de faucille, d’où le nom d’anémie falciforme), provoquant singulièrement des infarctus très douloureux des os et de la rate, ou d’autres organes moins souvent.
Exposer un enfant à être la victime de cette maladie invalidante et douloureuse est pure barbarie : les porteurs de la tare devraient être interdits de reproduction et le dépistage devrait être fait in utero afin de procéder à l’avortement en cas de forme grave de la maladie.
Seulement, il s’agit d’une mutation d’Afrique noire, initialement répandue entre les 15e parallèle Nord et 20e parallèle Sud, avec diffusion secondaire aux produits de métissage lors de la grande période d’expansion de l’esclavage, ou encore par les guerriers noirs, et, de nos jours, par l’invasion migratoire.
En France, le dépistage des enfants à risque a été instauré progressivement de 1995 à 2000, selon les régions. Les chiffres résultant de ce dépistage sont fort éloquents, fournissant en eux-mêmes une statistique ethnique, portant sur les Africains, sur les Moyen-Orientaux, issus des zones où étaient appréciés les esclaves noirs et sur les enfants métissés.
De 1995 (ou 2000, selon la région considérée) jusqu’à 2016 et, en ne tenant compte que des dépistages effectués dans la seule métropole, 4,45 millions d’enfants réputés à risque ont été dépistés. Étant nés sur le sol français, voilà plus de 4 millions de petits citoyens français non comptabilisés dans la rubrique des « étrangers », alors qu’ils sont issus d’au moins un parent de souche extra-européenne.
La répartition par région apporte des renseignements utiles, à défaut d’être agréables aux nationaux. Pour les naissances de l’année 2016, l’on apprend ainsi que 73,6 % des naissances en Île-de-France sont « à risque de drépanocytose ». En Paca-Corse, ce sont 56,4 % des naissances qui offrent ce risque.
Dans quatre régions (Languedoc-Roussillon, Alsace, Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées), le pourcentage est compris entre 34,1 et 40,1. Seules les régions Champagne-Ardenne, Auvergne, Aquitaine, Normandie et Pays-de-Loire sont en dessous des 20 % et la Bretagne des irréductibles Gaulois n’est touchée qu’à hauteur de 9 %. Les autres régions ont un pourcentage s’échelonnant de 21,4 % (Hauts-de-France, où l’immigration noire a toujours été minoritaire en regard de l’arabe et de la berbère) à 26,1 % (Centre).
À l’évidence, le remplacement de population dominante est pour bientôt aux alentours de Paris, Marseille, Nice, etc. L’ensemble du pays est menacé, à l’exception d’îlots de résistance au métissage et au brassage de populations… mais le lobby pro-immigrationniste jouit de puissants relais dans le milieu des médias et, bien sûr, des politiciens.
C’est ainsi que l’on impose des quantités progressivement croissantes d’immigrés d’origine africaine et proche-orientale aux Normands, aux Bretons et aux Auvergnats qui n’en veulent pas. Lorsque la volonté populaire est bafouée, reste-t-il d’autre solution qu’une révolution populiste ? Voilà une bonne question.
Source
La première de celles-ci est le regret qu’un esprit sain et dégagé de tout dogme peut éprouver en constatant que rien n’est fait pour préserver le capital génétique sain, du moins en apparence. L’eugénisme est même vigoureusement combattu en Occident, alors que, dans un double but social, les porteurs de tares génétiques détectées, qu’elles soient physiques, mentales ou métaboliques, devraient être interdits de reproduction.
D’abord pour éviter de lourdes dépenses de santé et les dépenses connexes à caractère social, ensuite – et surtout –, pour éviter d’infliger un calvaire à l’enfant à naître avec un ou plusieurs handicaps.
Mais, en nos jours de démagogie extrême, la minorité des porteurs de tare(s) héréditaire(s) revendique ses droits, y compris celui, très discutable, voire absurde, à la reproduction. Au moins certains mâles génétiquement atteints ne peuvent-ils se reproduire, tels ceux atteints de mucoviscidose ou de trisomie 21 (« Mongolisme »).
La seconde remarque porte sur le tabou des statistiques ethniques. Le dépistage de la drépanocytose démontre la criminelle hypocrisie des princes qui nous gouvernent ou font semblant.
La drépanocytose est une hémoglobinose, c’est-à-dire une maladie où la globine – protéine associée à l’hème chargé de véhiculer l’oxygène (O2), le gaz carbonique (CO2), voire l’oxyde de carbone (CO) en cas d’intoxication – est anormale, par mutation (il en existe plusieurs types) du gène codant, sur les chromosomes 11, sa synthèse.
Dans sa forme grave, elle entraîne des crises d’anémie par éclatement des globules rouges (hémolyse) et des obstructions des petites artères et des artérioles par les globules déformés (en forme d’arc de cercle ou de faucille, d’où le nom d’anémie falciforme), provoquant singulièrement des infarctus très douloureux des os et de la rate, ou d’autres organes moins souvent.
Exposer un enfant à être la victime de cette maladie invalidante et douloureuse est pure barbarie : les porteurs de la tare devraient être interdits de reproduction et le dépistage devrait être fait in utero afin de procéder à l’avortement en cas de forme grave de la maladie.
Seulement, il s’agit d’une mutation d’Afrique noire, initialement répandue entre les 15e parallèle Nord et 20e parallèle Sud, avec diffusion secondaire aux produits de métissage lors de la grande période d’expansion de l’esclavage, ou encore par les guerriers noirs, et, de nos jours, par l’invasion migratoire.
En France, le dépistage des enfants à risque a été instauré progressivement de 1995 à 2000, selon les régions. Les chiffres résultant de ce dépistage sont fort éloquents, fournissant en eux-mêmes une statistique ethnique, portant sur les Africains, sur les Moyen-Orientaux, issus des zones où étaient appréciés les esclaves noirs et sur les enfants métissés.
De 1995 (ou 2000, selon la région considérée) jusqu’à 2016 et, en ne tenant compte que des dépistages effectués dans la seule métropole, 4,45 millions d’enfants réputés à risque ont été dépistés. Étant nés sur le sol français, voilà plus de 4 millions de petits citoyens français non comptabilisés dans la rubrique des « étrangers », alors qu’ils sont issus d’au moins un parent de souche extra-européenne.
La répartition par région apporte des renseignements utiles, à défaut d’être agréables aux nationaux. Pour les naissances de l’année 2016, l’on apprend ainsi que 73,6 % des naissances en Île-de-France sont « à risque de drépanocytose ». En Paca-Corse, ce sont 56,4 % des naissances qui offrent ce risque.
Dans quatre régions (Languedoc-Roussillon, Alsace, Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées), le pourcentage est compris entre 34,1 et 40,1. Seules les régions Champagne-Ardenne, Auvergne, Aquitaine, Normandie et Pays-de-Loire sont en dessous des 20 % et la Bretagne des irréductibles Gaulois n’est touchée qu’à hauteur de 9 %. Les autres régions ont un pourcentage s’échelonnant de 21,4 % (Hauts-de-France, où l’immigration noire a toujours été minoritaire en regard de l’arabe et de la berbère) à 26,1 % (Centre).
À l’évidence, le remplacement de population dominante est pour bientôt aux alentours de Paris, Marseille, Nice, etc. L’ensemble du pays est menacé, à l’exception d’îlots de résistance au métissage et au brassage de populations… mais le lobby pro-immigrationniste jouit de puissants relais dans le milieu des médias et, bien sûr, des politiciens.
C’est ainsi que l’on impose des quantités progressivement croissantes d’immigrés d’origine africaine et proche-orientale aux Normands, aux Bretons et aux Auvergnats qui n’en veulent pas. Lorsque la volonté populaire est bafouée, reste-t-il d’autre solution qu’une révolution populiste ? Voilà une bonne question.
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