Bernard Plouvier
Passé
du rituel celtique au Nouveau Monde anglo-saxon, revenu en Europe
occidentale pour familiariser les enfants, grands et petits, avec le
parfum de l’horreur, Halloween pourrait bien devenir une occasion
d’émeutes pour la racaille autochtone et immigrée.
Vous
la connaissez – même si le pouvoir et les media font semblant de la
minimiser voire de l’ignorer -, cette racaille qui règne en France sur
deux mille cités de non-droit et vomit régulièrement ses hordes sur les
quartiers adjacents et les centres-villes (un mot composé que chacun
peut conjuguer à son aise, car les chenus académiciens ne sont point
parvenus à s’accorder sur son pluriel... encore un symbole du
laisser-aller post-soixante-huitard).
La
violence sous toutes ses formes a envahi jusqu’aux églises (mais pas
les mosquées, allez savoir pourquoi), les hôpitaux et les écoles. Nos
excellences jouent aux matamores, mais aucune n’ose présenter la cause
véritable de ce déchaînement de bestialité, qui depuis les années 1950
avait disparu d’Occident.
Les
mahométans, soutenus par les roitelets des terrains pétrolifères, des
champs de haschisch et de pavot, sont intouchables. Oser parler des
Africains et des Moyen-Orientaux comme cause essentielle de la violence,
c’est faire du « wouacisme ». Prétendre qu’il existe en France, en
Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne un racisme anti-Blancs
effarant, c’est délirer !
Certes,
il existe une minime source autochtone de violence : celle des
gauchistes, trotskistes et autres fils à papa friqués jouant avec le
feu, comme un honteux procès récent l’a démontré. Mais ces tristes sires
– encouragés par quelques politiciens que nul n’inquiète pour leur
machiavélisme de débiles – ne représentent que quelques dizaines
d’attardés, qu’un unique affrontement avec une horde de « jeunes chances
pour la France » anéantirait.
Il
n’est pas étonnant qu’en tout pays envahi, les populistes gagnent en
crédibilité. À dire vrai, ils remporteraient toutes les élections si, au
lieu de parler lors des périodes pré-électorales, ils montraient
simplement les images exactes des quartiers de cités européennes saturés
d’individus exotiques, des émeutes raciales, des actes de violence
menés individuellement ou plus souvent en bande par nos « chers
immigrés »... et c’est vrai qu’ils sont « chers » : les impôts et taxes à
la consommation grimpent à chaque nouvelle arrivée massive de ces
« invités ».
Si
halloween est – comme l’a été la finale de la coupe du monde de
football – l’occasion de débordements haineux des indésirables, il faut
qu’un maximum de citoyens filment ces émeutes et en fassent circuler les
images sur le Net, qui reste encore – mais plus pour très longtemps –
un espace de liberté d’expression, alors que les media consensuels
jouent le jeu de la désinformation, donc du pourrissement de la
situation.
Il
faudra bien un jour que nos princes reconnaissent qu’en terre
civilisée, seule la Nation est souveraine. Seule, elle a le pouvoir de
statuer sur l’arrêt ou la continuation de l’invasion de sous-doués
violents qui nous submerge et sur l’opportunité de renvoyer
impitoyablement les inutiles : chômeurs, délinquants et criminels.
À
trop laisser monter la colère du bon peuple, il arrive qu’il se fâche.
Les guignols qui se sont succédés aux apparences du pouvoir depuis le
milieu des années 1970 n’ont fait qu’accroître les risques pour la
Nation. Il ne lui restera bientôt plus qu’une alternative simple :
l’expérience populiste ou la révolution, qui toujours et partout fut
aussi bête que violente.