- Macron et Facebook veulent nous censurer, nous attaquons Facebook ! -
Lundi 12 novembre, dans un discours au Forum sur la gouvernance de l'Internet, Emmanuel
Macron a annoncé la mise en place d’un groupe de travail commun avec
Facebook pour renforcer la lutte contre les discours "haineux".
Dans le cadre de cette expérience de six mois, les représentants des
autorités françaises devraient pouvoir accéder aux outils, aux méthodes
et au personnel de Facebook chargé de faire la chasse aux contenus "racistes, antisémites, homophobes ou sexistes"
(bien entendu, il n’est pas question du racisme anti-blanc…). Pour
l’Élysée, l’expérience sera un moyen d’« attester ou non si l’entreprise
est de bonne foi et fait les efforts nécessaires » en la matière.
Le 3 mai dernier, Facebook
avait déjà supprimé, sans préavis ni débat contradictoire, la totalité
des pages du mouvement identitaire dont celle de Génération Identitaire qui ne comptait pas moins de 120 000 "fans". Or,
dix jours plus tôt, une centaine de nos militants avait bloqué le Col
de l’Échelle dans les Alpes en rétablissant une frontière symbolique
pour empêcher les clandestins d’entrer en France. Il est clair
que cette censure, revendiquée par la Dilcrah (Délégation
Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la
Haine anti-LGBT), constituait une riposte au succès médiatique et
politique de notre opération. Davantage que notre "radicalité" idéologique supposée, c’est notre efficacité qui a été punie.
Les réseaux sociaux ont représenté ces dernières années une alternative aux médias propageant la doxa du politiquement correct. Mais aujourd'hui, les géants d'Internet affichent leur volonté de collaborer avec l'État pour museler ces espaces de liberté.
Face à cette censure inacceptable, nous avons décidé de porter l'affaire devant la justice.
Génération Identitaire a d'ores et déjà été autorisée à assigner
Facebook à l'audience du 21 novembre 2018 devant la 17ème chambre du
tribunal de grande instance de Paris pour demander la réactivation de
ses pages supprimées abusivement et d'importants dommages et intérêts. À ce jour, le groupe de Mark Zuckerberg n'a présenté aucune défense.
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