INTRODUCTION
Le Fascisme, devant le péril imminent,
se lève en implacable ennemi du socialisme et de toutes ses
conséquences. Cependant, il ne faut pas croire que c’est le péril du
socialisme qui a causé et occasionné le fascisme. Il ne faut pas croire,
non plus, que c’est l’exaspération de la guerre, comme on l’a dit pour
l’Allemagne, qui a provoqué le fascisme, car l’Italie, qui étaient au
nombre des pays vainqueurs, embrassa le fascisme dès le lendemain de la
guerre.
Comme le socialisme, le fascisme est né
du désastre de la démocratie libérale, de son incapacité de régler les
problèmes nationaux et sociaux, du mécontentement des foules dont la
démocratie a délibérément méconnu les traditions et faussé les
aspirations.
Comme le socialisme, le fascisme est une
révolte ; mais, alors que le socialisme est une révolte contre ce qui
peut rester d’ordre moral et spirituel, contre les lois naturelles et
divines qui n’ont pas encore été répudiées, le fascisme est une révolte contre le désordre social et économique répandu par le libéralisme.
Comme le socialisme, le fascisme exige
une autorité ferme et stable, avec cette différence qu’il la veut
représentative de toutes les classes au lieu d’une seule, qu’il la veut
réelle, personnelle et responsable.
Si le socialisme, doctrine de gauche, est essentiellement négatif, le fascisme, doctrine de droite, est essentiellement positif.
Si le socialisme est destructif et veut
faire disparaître les derniers vestiges de la spiritualité, avant de
construire son athéisme et son matérialisme, le fascisme comporte aussi un travail de destruction, destruction de tout le désordre accumulé par la démocratie moribonde, avant de construire son régime spiritualiste, qui doit imposer le respect de la charité dans toutes les manifestations sociales de l’individu.
LE FASCISME ET LE POUVOIR
Le fascisme n’admet pas que le pouvoir
émane, dans l’État fasciste, d’une section du peuple ou d’une majorité
électorale accordée à un parti politique, puisque l’État comprend tout
le peuple. Il décrète que tout pouvoir vient de Dieu ;
que le pouvoir n’est pas un droit, mais un devoir qu’on ne peut
revendiquer au nom d’un groupe, de certains intérêts ou voire de
soi-même, mais seulement au nom de Dieu et de la vérité.
Le fascisme considère que la loi
humaine est un reflet de la loi divine, et que tout chef tire son
autorité de la loi divine qu’il est chargé de faire respecter et
d’appliquer. Mais, quelque haute place soit le chef, quelque
grand qu’il soit, il reste lui-même soumis à cette loi, qu’il ne saurait
enfreindre sans saper les bases de sa propre autorité. C’est pourquoi
la conception fasciste s’oppose à la tyrannie du pouvoir démocratique
issu de la majorité du nombre, comme à la tyrannie du pouvoir personnel
absolu, puisque personne dans l’État fasciste ne peut être au-dessus de
la loi. Un chef fasciste peut, en tout temps, être
destitué par le grand conseil politique de la nation s’il trahit la
charte qui a été confiée à sa direction, charte à laquelle il est le premier soumis et dont il doit être le serviteur modèle.
LE FASCISME ET L’ÉTAT
Il suffira de donner la définition que
Mussolini fait de l’État, définition identique à celle d’Hitler, pour
savoir quelle conception s’en fait le fascisme :
« L’État tel que le fascisme le conçoit
est une entité spirituelle et morale, parce qu’il incarne l’organisme
politique, juridique et économique de la nation, et cet organisme, tant
dans sa création que dans son développement, est une manifestation de
l’esprit de la nation. L’État n’est pas seulement le garant de la
sécurité intérieure, mais il est aussi le gardien et le transmetteur de
l’Esprit du Peuple, et cet esprit a été élaboré à travers les âges par
sa langue, par ses coutumes et par sa foi. L’État ne vit pas seulement
dans le présent, mais aussi dans le passé et, par-dessus tout, dans
l’avenir. C’est l’État qui, transcendant les brèves limites de vies
individuelles, représente la conscience immortelle de la nation. »
En un mot, le fascisme considère que nos
ancêtres ont été nos coopérateurs pour établir le pays dans lequel nous
vivons et que nous devons, à notre tour, coopérer avec nos descendants.
L’État fasciste est donc un État avant tout traditionaliste,
qui fait de la tradition son guide vers la réalisation des aspirations
nationales. C’est pour cela que, sans prescrire aucune forme
particulière de gouvernement, le fascisme cherche à éviter les défauts
de la démocratie, en préférant les intérêts permanents de la nation et l’incorporation de ses traditions et de ses aspirations ethnologiques à n’importe quelle sorte d’agitation politique temporaire.
En somme le fascisme préfère
l’ethnocratie à la démocratie. Le gouvernement de l’État fasciste
cherche constamment à réaliser les intérêts suprêmes de la nation, tels
que confirmés par une large consultation des opinions expertes,
à déterminer le peuple a toujours étudier et défendre l’intérêt
national primordial et, s’il est nécessaire, à lui faire faire des
sacrifices temporaires en vue d’obtenir des avantages plus durables.
LE FASCISME ET LA RELIGION
Le fascisme est une formule de
redressement politique, social et économique, et il ne croit pas que
l’on puisse opérer ce redressement sans tenir compte des racines
profondes de la civilisation occidentale. Cette civilisation millénaire est la civilisation chrétienne. Elle a pour inspiratrice et pour guide la religion chrétienne,
formatrice des individus. Comme les individus qui composent la nation
doivent vivre suivant les principes de leur formation religieuse, il est indispensable que l’État coopère étroitement avec la religion.
Hitler est le gouvernant qui est allé le
plus loin, à ce sujet. Dans sa première déclaration officielle comme
chancelier, à Postdam, il posait le principe politique suivant :
« Le gouvernement de la Nouvelle Allemagne est persuadé que la religion est la seule base de toute morale, de l’instinct de famille, du peuple et de l’État et il la défendra. »
C’est pourquoi, dans son programme déclaré intangible pour toujours, Hitler a fait insérer le principe que l’État doit être positivement chrétien,
qu’il n’a pas le droit d’être neutre ou même indifférent et que, sans
toutes ses législations, il doit non seulement éviter de venir en
conflit avec la religion mais doit donner aux lois une attitude positive
pour faciliter l’accomplissement des enseignements de la religion.
Le fascisme exige que
l’instruction et l’éducation soient confessionnelles, à tous les stages.
Le fascisme reconnaît que la religion est la dépositaire, la gardienne
et l’interprète de la morale.
Le fascisme, et la constitution de Postdam le définit clairement, est le premier défenseur et soutien de la religion.
Le fascisme répudie entièrement le rêve
de l’homme divinisé et du paradis sur terre, rêve issu de la Révolution
de 1789, et il veut imposer un retour aux principes de la pure tradition
chrétienne.
LE FASCISME ET L’INDIVIDU
Le fascisme décrète, contrairement au socialisme libéral, que les individus sont naturellement inégaux. En vertu de ce principe, l’organisation sociale ne peut plus être individualiste : elle est entièrement sociale.
L’individualisme est un crime qui est puni suivant les maux qu’il occasionne.
L’individu, dans l’État fasciste,
appartient à la classe à laquelle il est normalement dévolu par
naissance, atavisme, éducation, aptitude et avancement personnel.
Cependant, l’individu n’est pas abandonné à ses propres ressources, mais encadré et soutenu par des organisations corporatives.
Le travail est considéré par le fascisme
comme un devoir social obligatoire pour tous les individus. Il ne
tolère pas plus les paresseux riches que les paresseux pauvres.
Et, dans tout ce qu’il fait, l’individu n’a pas le droit de s’occuper seulement de lui-même : il doit aussi s’occuper des autres.
L’individu doit subordonner ses intérêts personnels à ceux du bien
général et à ceux de l’État qui exerce l’autorité nécessaire.
Il n’est pas seulement une unité
indépendante, dans la nation, mais membre d’une communauté pour le
bonheur présent et futur de laquelle il porte de graves responsabilités.
Il peut, et même il doit avoir des
intérêts personnels, mais il ne doit pas chercher son avantage dans une
direction opposée à celle du bien commun.
Il doit donc agir dans un esprit corporatif et patriotique.
Sa vie, dans la société, doit se modeler sur les devoirs de sa vie
individuelle dans sa famille, qui est naturellement corporative, guidée
par une autorité permanente et stable, et dont l’État se fait le plus
ferme soutien et défenseur.
L’État considère la nation comme la
grande famille nationale, extension de la petite famille et il se fait
le défenseur naturel de la grande et de la petite famille.
LE FASCISME ET LES CLASSES SOCIALES
Le fascisme combat avec acharnement la lutte des classes sociales,
suscitée par le libéralisme et avivée par le socialisme et il prend les
moyens législatifs et économiques voulus pour la faire cesser. Il
considère que toutes les classes sociales sont nécessaires et que, au
lieu d’être naturellement antagonistes, elles se complètent les unes les autres.
Il faut admettre l’inégalité des classes
comme des individus, conséquence de l’inégalité naturelle, loi
fondamentale de la nature.
Comme les roues d’un même rouage
d’horlogerie, les différentes classes doivent fonctionner suivant un
rythme coordonné, dans un mouvement d’ensemble, suivant un ordre et une
harmonie qui assurent l’avancement et le progrès de toute la nation.
Chaque classe accomplit sa fonction dans
l’organisme social ; chaque classe a ses devoirs et ses droits propres
qui forment sa tradition.
À la haine de classe socialiste, comme à
la tyrannie de classe du capitalisme, le fascisme oppose une solidarité
sociale basée sur une juste répartition des droits et des devoirs.
Dans chaque classe, le fascisme reconnaît des hiérarchies, des élites personnelles et responsables.
Le fascisme répudie le socialisme et accepte la doctrine sociale chrétienne. Il l’applique suivant un mode corporatif.
Tout, dans le fascisme, est basé sur
cette idée corporative mettant chaque aptitude et chaque compétence à sa
place normale, comme dans une corporation industrielle ordinaire, avec
cette différence que, plus un chef a d’influence et de puissance, plus
nombreux sont ses devoirs et plus rigoureux sont les comptes que l’État
exige de lui.
LE FASCISME ET LE DROIT DE PROPRIÉTÉ
Le droit de propriété est sacré, dans l’État fasciste. Cependant, puisqu’il est reconnu comme un droit, il comporte des devoirs.
Si le socialisme prêche que « la
propriété, c’est le vol », si le libéralisme proclame que « tout
individu peut indistinctement faire ce qu’il veut avec ce qu’il
possède », le fascisme proclame que la propriété privée est un
dépôt que l’individu peut posséder et transmettre à ses héritiers sans
taxe immodérée sur le capital, pourvu qu’il fasse un usage raisonnable
de son privilège et qu’il développe à sa capacité maximum, pour
l’intérêt commun en même temps que le sien, cette part du sol national
ou de capital ou d’industrie qui est laissée entre ses mains.
Si le fascisme se fait le défenseur du droit de propriété, dans toutes les sphères imaginables, il se permet d’intervenir lorsque le droit de propriété entre en conflit avec l’intérêt de l’État et le bien général.
Le fascisme est conscient de son devoir
primordial de diriger, et il accomplit ce devoir intelligemment, en
coordonnant toutes les forces de production de la nation. C’est ce qui
peut lui permettre de contrôler la production, suivant les besoins
naturels du pays et de ses marchés extérieurs, et restreindre toute
surproduction basée sur les besoins artificiels spéculatifs.
C’est donc opposer l’idéal de service au
mercantilisme industriel et à l’idéal de production pour le seul
avantage du profit, ainsi que protéger la propriété personnelle contre
le capitalisme agioteur.
LE FASCISME ET LE CAPITAL
Le fascisme établit une démarcation très
nette entre le capital et le capitalisme. Le capital est un élément
économique absolument indispensable pour la vie d’une nation. Le
capitalisme est une tyrannie économique et sociale exercée par certains
détenteurs de capitaux.
La démocratie libérale est directement
responsable de la tyrannie capitaliste qui a fini par rompre tout
équilibre en absorbant la majeure partie du capital des nations, en
exploitant cruellement les classes faibles pour augmenter sa puissance,
en corrompant les partis politiques en sa faveur, en échafaudant tout un
édifice de législations aux détriments des autres classes.
Le fascisme est peut-être plus
fanatiquement anticapitaliste que le socialisme, parce qu’il perçoit
plus sainement les méfaits du capitalisme et les remèdes qu’il faut
apporter aux maux qu’il occasionne.
Le fascisme se propose d’abord, par des
lois préconisées dans ses programmes politiques, lois qui diffèrent
suivant les lieux et les genres d’abus, d’écraser définitivement le
despotisme et la tyrannie du capitalisme.
Dans le domaine positif, il décrète que les rôles jusqu’ici maintenus doivent être renversés, et que la
finance doit cesser d’être la maitresse, pour devenir la servante de
l’agriculture, de l’industrie et du commerce. La force inerte de
l’argent doit être assujettie à la force vive des activités humaines.
Le fascisme pose aussi en
principe que seuls le travail d’un individu ou une mise réelle de fonds
peuvent rapporter des profits. C’est dire que le capital ne pourra plus
être spéculatif, mais devra devenir purement productif. La
spéculation sur des titres dans valeur réelle, sur des stocks de valeur
fictive ou imaginaire, est ce qui cause la grande misère moderne et la
mauvaise distribution des richesses.
LE FASCISME ET LES PARTIS POLITIQUES
Le fascisme comporte l’abolition de tous
les partis politiques. En réalité, il n’a même pas de parti fasciste,
sauf pendant le temps que dure encore l’ère démocratique, car le
fascisme est un système gouvernemental et non un groupement partisan.
Le pouvoir, sous le régime démocratique
des partis politiques, est basé sur la souveraineté du nombre, sur la
majorité des voix, c’est-à-dire sur une masse anonyme, instable,
incohérente et totalement irresponsable. Ce mode électoral prête à
corruption et, de fait, n’est qu’une corruption. L’autorité qu’il
confère n’est que nominale, elle est toujours timide, toujours
insuffisante.
Le suffrage universel, tel qu’il est
pratiqué dans les pays démocratiques, est issu du faux principe de
l’égalité de tous les citoyens. Et, quelque parti qui soit au pouvoir
par le moyen du suffrage universel, il est incapable de gouverner. Le
suffrage universel ne produit que des politiciens professionnels,
susceptibles de corruption et capables de corrompre l’électorat de qui
ils détiennent le pouvoir ; il ne produit pas d’hommes d’État, sauf en
de très rares exceptions.
La qualité d’homme d’État exige des
mesures de prévoyance, de sagesse et de sacrifice que la masse
électorale ne consentira jamais. On n’obtient pas la sagesse en
multipliant à l’infini le nombre des ignorances ; et, sous le régime
démocratique, la sagesse se résume dans le « non » ou le « oui » exprimé
par l’ignorance générale, que l’on dénomme « suffrage universel ».
Le fascisme n’a dont aucune confiance
dans le système électoral démocratique, qui procède toujours par le
mensonge des fausses promesses, ou l’intimidation, ou la corruption, et
qui ne confère le pouvoir qu’à une classe ou un groupe d’intérêts de la
nation.
Les gouvernants qui doivent exercer des
talents d’hommes d’État et une grande vision ne doivent pas être forcés
de faire leur cour à la popularité, car ce n’est pas le nombre de voix
en faveur d’une loi qui doit compter, mais la sagesse et l’équité de
cette loi.
C’est pourquoi, sous le
fascisme, les majorités ne veulent rien dire, à moins qu’elles ne soient
des majorités d’hommes d’expérience et d’esprit patriotique.
LE FASCISME ET L’OPPOSITION PARLEMENTAIRE
L’opposition parlementaire est, aux yeux des fascistes, l’une des plus grandes futilités dont il convient de se débarrasser.
Toute opposition parlementaire semble
être un corps d’agitateurs salariés dont la tâche stupide est de
retarder et entraver l’action du gouvernement au pouvoir, de mal
représenter sa conduite et de critiquer les lois au point de créer dans
l’esprit public des doutes sur leur justice et de diminuer le respect
qu’elles devraient inspirer.
Le fascisme répudie l’erreur démocratique des oppositions parlementaires et exige que tout soit avec et dans l’État, et qu’aucun groupe ne soit contre l’État.
LE FASCISME ET LA LIBERTÉ
Le fascisme a des données très précises
sur la liberté. Ces données sont, en résumé, l’opposé exact de
l’interprétation apportée par la Révolution française sur la liberté.
La liberté n’existe pas, par elle-même, car c’est simplement la conséquence de la jouissance d’un droit. On est libre d’user ou non d’un droit, mais la liberté n’engendre aucun droit.
Les socialistes et les libéraux en font
un principe premier, justement pour placer sur le même pied que les
nationaux d’un pays ceux qui sont totalement étrangers à ce pays et n’y
jouissent d’aucun droit.
Il n’existe aucun droit qui
permette de faire le mal, et par conséquent toute liberté à ce sujet est
inexistante. Quant au bien, il a tous les droits et il n’est aucunement
nécessaire de réclamer la liberté de le faire.
De plus, le droit de se libérer du bien n’existe pas. On ne peut se libérer que du mal, et toute autre signification donnée à la liberté est fausse.
Qu’est ce qui est mal alors ? Le
fascisme considère comme un mal tout ce qui peut attenter à l’unité
nationale, aux traditions, aux coutumes, aux mœurs, au patriotisme, à la
suprématie politique, économique et sociale des nationaux sur la terre
que leur ont légué leurs ancêtres ; tout ce qui peut affaiblir ou
amoindrir les institutions nationales et religieuses acceptées ; tout ce
qui peut entraver le progrès des nationaux dans toutes les sphères
économiques, sur la seule terre où ils peuvent donner libre cours à
leurs aspirations.
CONCLUSIONS
Voilà quels sont les principaux aspects,
les doctrines et le fonctionnement du fascisme, la grande formule
moderne de redressement, de régénération chrétienne, et de restauration
nationale, politique, sociale et économique.
C’est, en résumé, un retour énergique à
la tradition, à la justice et la charité chrétienne, en tenant compte
des conditions de notre époque, des ruines accumulées par le libéralisme
démocratique, et des besoins de l’heure ; c’est l’affirmation intense
des droits nationaux et religieux ; c’est la lutte contre un
matérialisme contraire à ce qui forme notre essence propre ; c’est la
destruction définitive de la fausse démocratie qui a construit l’édifice
social suivant des données qui ne correspondent pas avec les fondations
du même édifice ; c’est la libération de l’emprise juive sur le monde,
du contrôle de notre héritage par les étrangers, de notre vie économique
étranglée par des dictatures tyranniques.
Il faut, en précurseurs de sa venue
certaine, porter partout l’évangile fasciste, le seul qui pourra nous
sauver et nous restaurer.
Alors que le socialisme essaie de tuer
le peu de foi nationale et chrétienne qui nous reste, le fascisme vient
la réveiller. Car, le fascisme est essentiellement un mouvement de foi,
foi dans la vérité et la justesse de nos traditions, foi dans notre
mission nationale, foi dans notre race, foi dans notre caractère
chrétien.
Le fascisme, c’est le dégagement
individuel et collectif du matérialisme, en même temps qu’une plongée
dans les sources spirituelles de la nation.
Le fascisme, c’est le refoulement de
l’appel aux sentiments égoïstes et aux instincts inférieurs de l’homme,
en même temps qu’un contre-appel à l’esprit de sacrifice et aux
instincts les plus nobles, nous rappelant que la vie nationale, pas plus
que la vie individuelle, n’est une partie de plaisir, mais une
soumission constante au sens du devoir, de l’honneur et du travail ;
que, dans la vie nationale comme dans la vie individuelle, rien de beau
ni de grand ne s’obtient sans effort et sans sacrifice.
Le fascisme, c’est le cri de guerre
contre les forces malsaines, contre les injustices sociales, contre les
doctrines destructrices, contre les principes démoralisateurs, en même
temps que c’est le cri de résurrection et de renaissance, un cri franc,
clair et pur qui pénètre jusque dans la grande conscience intérieure
collective et qui nous sauvera, si nous savons le répéter sans relâche
jusqu’au jour du grand réveil.
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