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vendredi 23 juin 2017

L’Union Européenne contre les peuples : sanctions prévues contre les récalcitrants à la tsunamigration




Toujours plus totalitaire dans ses pratiques, la Commission Européenne ne tolère pas que des Etats membres de l’Union osent défendre leurs frontières et leurs populations contre la déferlante migratoire sans précédent en provenance d’Afrique, du Proche et du Moyen Orient. Bien au contraire, elle et les autres institutions de cette « Union contre les peuples d’Europe » collaborent activement à cette tsunamigration : Bernard Antony, Yves Daoudal et les autres contributeurs de ce blog et de la revue Reconquête l’on dit et redit, ces afflux de migrants, clandestins et « réfugiés » (très souvent musulmans et presque jamais pris en charge par leurs coreligionnaires des pays voisins…) sont un désastre, gros de menaces pires encore, tant pour l’Europe que pour les patries de ces hommes. 
Il y a moralement un lien évident entre la politique d’appel d’air pratiquée par l’Union Européenne et par les gouvernements de certains pays, la mort de milliers de personnes noyées en Méditerranées, qu’on laisse partir des côtes africaines, aveuglées par un illusoire rêve d’Europe, enfin les conséquences en terme des violences et de criminalité, de contribution à l’islamisation et de poids démographique que les pays récepteurs subissent. Quiconque, parmi les dirigeants européens, refuse de porter cette responsabilité, à la fois criminelle et suicidaire, se voit sanctionné par la Commission : c’est ce que cette dernière vient d’annoncer pour la Hongrie de Victor Orban, la République tchèque et la Pologne qui ne veulent pas appliquer la politique de répartition des migrants par quotas, « obligation juridique », martèlent les commissaires. Une « procédure d’infraction » est donc en cours contre eux, ce qui pourrait se traduire par des sanctions financières et réductions de dotations, pouvant aller jusqu’à plusieurs centaines de millions d’euros au total, tout cela pour être « juste », dit encore la Commission, par rapport aux autres pays qui, comme la Grèce et l’Italie, sont saturés de réfugiés et clandestins. 
Pas d’échappatoire à la tsunamigration, submersion pour tous ! Les instances de l’Union, caparaçonnées dans leurs certitudes et leur idéologie, y veillent scrupuleusement, en dehors de toute légitimité démocratique, mais c’est malheureusement une évidence bien connue. Il faut donc, plus que jamais, pour la survie de nos peuples autant d’ailleurs que pour l’avenir des peuples africains et orientaux concernés, « sortir de cette Europe-là », comme Bernard Antony en avait lancé le slogan dans les années 1980, alors que la situation était loin d’être aussi critique qu’aujourd’hui. 
Mais les exemples de réaction forte venus des pays d’Europe centrale, ayant déjà survécu à 50 ans de totalitarisme communiste, peuvent nous donner courage et motivation : tenter de persévérer dans son être est une volonté éminemment légitime, et le rôle des pouvoirs politiques est, par la protection et la sauvegarde des cadres et des structures sociales, de garantir cette pérennité. Rien en cela n’est incompatible avec les exigences de la charité chrétienne, comme le journaliste et essayiste Laurent Dandrieu l’a fort bien rappelé dans Eglise et immigration : le grand malaise (La Table ronde). C’est donc du courage, là encore, qu’il faut souhaiter à ces pays et à leurs dirigeants pour résister aux invraisemblables diktats de la Commission de Bruxelles.
Pierre Henri
Les dirigeants du Groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie).

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