2 nouvelles affaires de viols sur mineures contre le cinéaste juif Polanski
Mardi 15 août dernier une femme, identifiée seulement par le prénom « Robin », la troisième jusqu’à ce jour, a déclaré lors d’une conférence de presse à Los Angeles qu’elle avait été « abusée sexuellement » par le célèbre cinéaste juif détenant des papiers français et polonais. Le viol se serait produit alors qu’elle avait tout juste 16 ans, en 1973. « Le lendemain, j’ai dit à une amie ce que Roman Polanski m’avait fait », a-t-elle expliqué en lisant une déclaration. « Mais, à cette seule exception près, la raison pour laquelle j’ai gardé cela pour moi, c’est que je ne voulais pas que mon père fasse quelque chose qui aurait pu l’envoyer en prison pour le reste de sa vie », a-t-elle ajouté.Cette troisième victime du pervers pédomane Rajmund Thierry Liebling, dit « Roman Polanski » a affirmé qu’elle avait décidé de sortir de son silence après que Samantha Geimer, la première victime au centre des affaires de viol sur mineure qui hantent Polanski, eut enjoint les autorités de clore le dossier…
En effet, Rajmund Polanski est actuellement toujours recherché par les États-Unis où, en 1977, il a drogué et violé la jeune fille de 13 ans – alors qu’il en avait déjà 43. Arrêté, après avoir plaidé coupable il avait été incarcéré. Mais au bout de 42 jours d’incarcération, il avait payé sa caution et profité de sa libération pour fuir les États-Unis craignant de devoir purger une lourde peine.
Et aujourd’hui encore les médiats, intellectuels et politiciens complices, taisent volontairement les détails horribles de ce viol pour protéger le pédomane :
« J’ai rencontré Roman Polanski en 1977, quand j’avais 13 ans. J’étais en quatrième cette année-là, quand il a dit à ma mère qu’il voulait prendre des photos de moi pour une revue française. C’est ce qu’il a dit, mais en fait, après avoir pris des photos de moi dans la maison de Jack Nicholson à Mulholland Drive (Los Angeles, Californie), il a fait quelque chose d’un peu différent. Il m’a donné du champagne et du Quaalude (un puissant sédatif). Et il a abusé de moi. Ce n’était pas du sexe consenti, en aucune façon. J’ai dit non, de manière répétée, mais il ne voulait rien entendre… J’étais seule, et je ne savais pas quoi faire. J’avais peur et, avec le recul, j’avais la chair de poule (…) C’est dur de se souvenir exactement de tout ce qui s’est passé (…). Quand je repense à tout ça, il ne fait aucun doute que ce qu’il a fait était horrible.... » (Los Angeles Times, 23 février 2003).Mais mardi 3 octobre dernier, la police suisse a annoncé enquêter sur des accusations d’agression sexuelle lancées contre Rajmund Polanski par une femme qui affirme que le réalisateur juif l’a agressée à Gstaad en 1972. Le chef de la communication de la police du canton de St. Gallen, Krusni Hanspeter, confirme ainsi l’existence d’une enquête au cours de laquelle Renate Langer, interrogée le 26 septembre par la police suisse, dit avoir été violée à Gstaad par le pervers pédomane quand elle avait 15 ans.
Aujourd’hui âgée de 61 ans, Renate Langer est une ancienne actrice née à Munich. Elle aurait rencontré Rajmund Polanski quand elle était mannequin à Munich. Attirée par la possibilité d’un casting, elle aurait rendu visite au metteur en scène dans sa maison de Gstaad, où il l’aurait violée. Elle a affirmé être sortie de son silence à la suite des déclarations de « Robin » en août dernier, et parce que ses parents n’étaient plus en vie.
Voilà donc la quatrième femme à sortir de l’ombre pour accuser le cinéaste juif aujourd’hui âgé de 84 ans de viol sur mineure. La troisième affaire date de 2010 lorsque l’actrice britannique Charlotte Lewis avait déclaré que le réalisateur l’avait forcée à avoir une relation sexuelle lorsqu’elle avait 16 ans…
Quoi qu’il en soit, à l’heure actuelle, Rajmund Polanski continue de vivre sereinement en France avec son épouse, l’actrice Emmanuelle Seigner. Jusqu’à aujourd’hui, le pervers pédomane n’aura donc finalement purgé que 42 jours de prison pour avoir drogué et violé une mineure, aucune procédure n’ayant pu être menée à son terme non sans doute sans le secours de tous ceux de sa caste.
Harvey Weinstein, le nabab pédomane juif aux abois
L’affaire Weinstein n’en finit plus de rebondir. Le scandale lié au « parrain » de Hollywood, accusé par de nombreuses actrices de les avoir agressées sexuellement, connaît des rebondissements concernant non seulement l’intéressé et son entourage, mais aussi tout le milieu du cinéma américain et international, ainsi que les cercles politiques qu’il fréquentait. Les accusations d’agression sexuelle se multiplient tandis que les langues se délient et que de nouveaux témoignages accablants sortent.Alors que sa femme vient de le quitter (par communiqué !) et que sa propre entreprise vient de le licencier, les témoignages de comédiennes s’accumulent contre lui, la Britannique Cara Delevingne et la Française Léa Seydoux étant les dernières en date.
Les rumeurs qui ont longtemps circulé sur son compte se sont transformées en accusations. Le New York Times a été le premier à publier les témoignages d’actrices, comme Ashley Judd ou Rose McGowan, ou de collaboratrices dénonçant le harcèlement sexuel voire le viol dont elles auraient été victimes. Depuis, la liste n’a cessé de s’allonger avec Angelina Jolie, Asia Argento, Gwyneth Paltrow ou Emma de Caunes.
En effet, une enquête pour une agression sexuelle remontant à 2004 a été ouverte par la police de New York, qui concerne probablement l’actrice Lucia Evans. Cette dernière, interrogée par un magazine américain, assure que Harvey Weinstein l’aurait forcée à lui faire une fellation à l’époque, à New York. Dans le même article, deux autres femmes avaient rapporté avoir été violées par le producteur. Interrogés, les enquêteurs n’ont pas donné d’autres détails. Il est en outre visé par une enquête de la police britannique concernant une agression sexuelle qui aurait été commise dans les années 1980.
Depuis plus de 25 ans, le pervers faisait partie de ceux qui faisaient la pluie et le beau temps à Hollywood. Et en une semaine, le producteur juif est tombé de son piédestal. L’Académie des Oscars a prévu une réunion spéciale au sujet du « cas Weinstein », et a précisé par communiqué qu’elle « juge la conduite décrite dans les accusations portées contre Harvey Weinstein répugnante, odieuse et contraire à l’éthique des hauts standards de l’Académie ». Idem pour l’académie des Oscars britanniques, les Bafta, qui « considère le comportement décrit dans les allégations rapportées totalement inacceptable et incompatible avec les valeurs des Bafta. Ceci a conduit à la suspension de M. Weinstein ». Ou le Festival de Cannes qui indique : « Notre pensée va aux victimes, à celles qui ont eu le courage de témoigner et à toutes les autres. Puisse cette affaire contribuer à dénoncer une nouvelle fois des pratiques graves et inacceptables. » Il n’y a pas loin du Capitole à la roche tarpéienne…
Avec le juif Woody Allen, l’inceste s’ajoute à la pédomanie criminelle
Avant le producteur Harvey Weinstein, accusé d’avoir harcelé ou agressé sexuellement de nombreuses femmes, l’industrie cinématographique hollywoodienne a été éclaboussée par plusieurs scandales. Si nous avons déjà parlé des scandaleuses affaires du violeur de mineures le juif Polanski, il ne faut pas oublier les accusations d’agressions sexuelles contre son coreligionnaire Woody Allen qui ont eu un écho mondial, en mai 2016, lors du Festival de Cannes. Le fils de l’acteur, Ronan Farrow, le même homme à l’origine de l’enquête du New Yorker sur Harvey Weinstein, a publié une tribune dans la bible des journaux hollywoodiens, le Hollywood Reporter. Dans cette tribune, il dénonçait « le silence » qui entourerait le passé de son père en raison de son statut de réalisateur star avec ses 46 films.En cause, des accusations portées par sa fille adoptive, Dylan Farrow, de l’avoir agressée sexuellement lorsqu’elle était enfant et dont peu de médias s’étaient fait l’écho. « Il y aura des conférences de presse, et un tapis rouge que mon père va fouler avec sa femme (ma sœur) Il va avoir ses stars à ses côtés – Kristen Stewart, Blake Lively, Steve Carell, Jesse Eisenberg. Ils peuvent faire confiance à la presse pour ne pas leur poser de questions dérangeantes. Ce n’est pas le moment, ce n’est pas l’endroit, ça ne se fait pas », dénonçait Ronan Farrow.
L’affaire concernant Dylan Farrow avait surgi une première fois, lorsque Woody Allen avait quitté Mia Farrow pour se mettre en couple avec une autre fille adoptive de cette dernière, Soon-Yi Previn, âgée de 21 ans à l’époque. Un juge new-yorkais avait été mandaté et une enquête des services sociaux de New York avaient conclu que les accusations d’agression sexuelle étaient « non concluantes ». Néanmoins Dylan Farrow avait réitéré ses accusations, publiquement, en pleine saison des Oscars 2014…
Quoi qu’il en soit le producteur juif a choisi de s’exprimer à propos de l’affaire touchant son coreligionnaire. Après avoir affirmé ne jamais avoir remarqué le moindre geste déplacé, ou entendu parler de tels agissements, il prend la défense du juif Weinstein:
« Cette histoire d’Harvey Weinstein est vraiment triste pour tout le monde. Tragique pour les femmes impliquées, et tragique pour Harvey, dont la vie est complètement gâchée. Il ne faudrait pas non plus que cela vire à la chasse aux sorcières »…
Une caste à la fois conquérante et exténuée, en proie à des langueurs malsaines
Dans ce milieu là, on ne se lâche jamais. Souvenons-nous de l’enthousiasme qu’avait manifesté Bernard-Henri Lévy à l’égard d’Harvey Weinstein pour sa réaction à l’affaire Polanski. Le philosophe français n’avait en effet pas tari d’éloges envers le producteur, qui avait soutenu le réalisateur franco-polonais menacé d’extradition vers les Etats-Unis.On pouvait lire dans un article publié en 2012 sur le site « La règle du jeu » du pseudo philosophe juif Bernard-Henri Levy :
« Bernard-Henri Lévy a souligné qu’Harvey Weinstein fit partie des rares Américains qui, au moment du lynchage de Roman Polanski, furent du bon côté de la barricade et s’opposèrent avec force aux modernes Sorcières de Salem ».Et pour finir, quant à ces étalages de mœurs puantes, on ne peut s’empêcher de penser à Edouard Drumont qui déjà, en 1865, avertissait contre la frivolité ostentatoire de cette caste, tenaillée par un insatiable appétit de jouissance et évoluant dans des « sphères interlopes », et concluant que « sous ce vernis d’élégance et de luxe, il y a la fange morale » !
En tout cas, au fils des affaires et des accusations répétées et étayées contre d’éminents membres de « la-petite-communauté-qui-a-beaucoup-souffert », une constante : l’impunité judiciaire des intéressés…
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