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dimanche 9 septembre 2018

Bertolt Brecht : « puisque le peuple n’est pas de notre avis, changeons le »

Bertolt Brecht : « puisque le peuple n’est pas de notre avis, changeons le »
Illustration : chute du mur de Berlin

L’humour très documenté est et restera le meilleur moyen pour démolir la propagande islamique. Le lapin taquin a parfaitement trouvé l’angle d’attaque et beaucoup d’autres dans ce style.

La colère c’est ce qui nous saisit ce qui nous aidera en premier à résister , et nous dessert aussi parfois , mais l’humour et la fausse ingénuité est la meilleure façon de piéger les musulmans qui veulent nous tromper par les artifice de la taqiya, du kitman, de la moruna, des citations tronquées ou de versets abrogés et sans valeur.

Pour les gauchistes et journalistes complaisants aussi il faut utiliser le même système: ce sont de véritables perroquets qui répètent à l’envi toujours les mêmes mots » extrême droite extrême droite extrême droite « ; le lapin taquin se marre avec son partage vidéos sur l’extrême-droite.
Leur discours devient de plus en plus éculé, usé.
Et ce qui est formidable est de voir que des peuples se réveillent, espérons que ce soit la bonne, sans tomber dans le piège de la provocation à la violence, même s’il faudra bien un jour qu’ils s’organisent et se mettent en place comme des hoplites disciplinés pour repousser l’ennemi soit d’une manière symbolique soit d’une manière réelle par le vote ou bien par les armes.
Je repense toujours à cette phrase du dramaturge Bertolt Brecht « puisque le peuple n’est pas de notre avis, changeons le », les politiques et les médias on trouvé puis couvé un peuple de remplacement un nouveau prolétariat qui est devenue une menace pour la sécurité de tous les autres.
Alors les médias descendent dans la rue pour bien montrer des fascistes mais pas d’urluberlu levant le bras en uniforme d’opérette ou le crâne rasé et tatoué , ni éventuellement des croix gammées plus souvent utilisé aujourd’hui d’ailleurs par leur protégés pour un salir d’autres et, finalement il tombent sur des gens qui leur ressemblent, porte les mêmes vêtements sont absolument normaux ou du moins tâchent de le rester le plus longtemps possible puis, n’en pouvant plus, finissent par se rassembler pour ne pas voir disparaître le pays dans lequel ils ont vécu.
Noter que cela se passe en Allemagne de l’Est dans une partie de l’Allemagne qui est habituée à la soumission, au bourrage de crâne et au fermage de gueule, et dont les anciens ont gardé des souvenirs.
Pas que des mauvais d’ailleurs, dans la mesure où la dictature dont ils sont sortis il y a trente ans ne rabaissait pas la femme au statut de la bête de somme.
Incroyables medias alors que les seuls morts ne sont pas ceux qu’ils protègent et auxquels ils passent tout, mais des autochtones, et non pas des immigrés ou des descendants d’immigrés, ou des migrants ou des réfugiés clandestins et économiques, parés de toutes les innocences et de toutes les vertus, qu’ils auraient piétinés ou ratonnés.

Le mensonge ne tient plus la route et des Européens se lèveront non par milliers mais par millions pour demander la fin d’une politique suicidaire.

Ils ne réagiront pas en sauvage, il faut l’espérer, mais simplement  en citoyens déterminés à en finir avec le mensonge d’État.