Tel un mauvais feuilleton interminable, les péripéties du navire «
humanitaire » Aquarius ont animé la période estivale et indigné
légitimement une majorité de Français qui ne souhaitait pas le voir
accoster dans un port national.
Le dernier épisode vient de confirmer la soumission totale du
gouvernement Macron au chantage des ONG immigrationnistes qui
collaborent en conscience à une nouvelle forme d’esclavage en effectuant
la navette en Méditerranée au profit des trafiquants d’êtres humains.
En effet, ce jeudi 30 août, 59 migrants de l’Aquarius et d’un autre
bateau sont arrivés en France depuis Malte par un vol charter
spécialement affrété par le gouvernement français. Ils seront
prochainement installés dans des centres d’accueil en Région Bourgogne
Franche-Comté et en Région Grand Est.
Affaibli par l’alliance Salvini-Orban et la constitution d’une
alternative européenne garante du droit des peuples à rester eux-mêmes,
perturbé par la montée des oppositions populaires à l’immigration
sauvage, Emmanuel Macron fait le choix de doper le processus de
peuplement et de sponsoriser la submersion migratoire. Ainsi, selon les
vœux du meilleur élève de Bruxelles, la France prendra toute sa part à
l’accueil des centaines de milliers de clandestins qui débarqueront dans
les ports du sud de l’Europe. Les Gaulois réfractaires, eux, devront
faire de la place et subiront encore les conséquences dramatiques et
inhérentes du « vivre-ensemble » : dégradations, agressions, vols,
viols, meurtres. Ils seront également les tristes spectateurs du
détournement de la solidarité nationale qui privilégie l’étranger à nos 9
millions de pauvres.
Fidèle à la stratégie de la dissémination théorisée en 2015 par Manuel
Valls, Jean-Pierre Raffarin, Yves Jégo et d’autres, l’Etat macroniste
choisit de répartir les migrants dans les territoires ruraux de
Bourgogne Franche-Comté et du Grand Est.
Virginie Joron et Julien Odoul condamnent avec force cette politique de
répartition inique et irresponsable qui vient mettre en danger les
habitants, bouleverser leur cadre de vie et accroître les difficultés de
populations déjà frappées par le chômage de masse, la précarité et les
fractures territoriales multiples. Ils rappellent en outre que leurs
régions accueillent déjà des milliers de migrants avec à la clef une
multiplication de tristes faits divers dans la presse quotidienne
régionale.
En Bourgogne Franche-Comté et dans le Grand Est, comme partout en
France, la seule politique réellement humanitaire doit être la
protection des nôtres par la lutte contre cette invasion migratoire.
Source: rassemblementnational.fr