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samedi 8 septembre 2018

Pour une politique réellement humanitaire, soyons réfractaires à l’arrivée des migrants de l’Aquarius dans nos régions

Tel un mauvais feuilleton interminable, les péripéties du navire « humanitaire » Aquarius ont animé la période estivale et indigné légitimement une majorité de Français qui ne souhaitait pas le voir accoster dans un port national.
Tel un mauvais feuilleton interminable, les péripéties du navire « humanitaire » Aquarius ont animé la période estivale et indigné légitimement une majorité de Français qui ne souhaitait pas le voir accoster dans un port national. 

Le dernier épisode vient de confirmer la soumission totale du gouvernement Macron au chantage des ONG immigrationnistes qui collaborent en conscience à une nouvelle forme d’esclavage en effectuant la navette en Méditerranée au profit des trafiquants d’êtres humains.

En effet, ce jeudi 30 août, 59 migrants de l’Aquarius et d’un autre bateau sont arrivés en France depuis Malte par un vol charter spécialement affrété par le gouvernement français. Ils seront prochainement installés dans des centres d’accueil en Région Bourgogne Franche-Comté et en Région Grand Est.


Affaibli par l’alliance Salvini-Orban et la constitution d’une alternative européenne garante du droit des peuples à rester eux-mêmes, perturbé par la montée des oppositions populaires à l’immigration sauvage, Emmanuel Macron fait le choix de doper le processus de peuplement et de sponsoriser la submersion migratoire. Ainsi, selon les vœux du meilleur élève de Bruxelles, la France prendra toute sa part à l’accueil des centaines de milliers de clandestins qui débarqueront dans les ports du sud de l’Europe. Les Gaulois réfractaires, eux, devront faire de la place et subiront encore les conséquences dramatiques et inhérentes du « vivre-ensemble » : dégradations, agressions, vols, viols, meurtres. Ils seront également les tristes spectateurs du détournement de la solidarité nationale qui privilégie l’étranger à nos 9 millions de pauvres.

Fidèle à la stratégie de la dissémination théorisée en 2015 par Manuel Valls, Jean-Pierre Raffarin, Yves Jégo et d’autres, l’Etat macroniste choisit de répartir les migrants dans les territoires ruraux de Bourgogne Franche-Comté et du Grand Est.


Virginie Joron et Julien Odoul condamnent avec force cette politique de répartition inique et irresponsable qui vient mettre en danger les habitants, bouleverser leur cadre de vie et accroître les difficultés de populations déjà frappées par le chômage de masse, la précarité et les fractures territoriales multiples. Ils rappellent en outre que leurs régions accueillent déjà des milliers de migrants avec à la clef une multiplication de tristes faits divers dans la presse quotidienne régionale.

En Bourgogne Franche-Comté et dans le Grand Est, comme partout en France, la seule politique réellement humanitaire doit être la protection des nôtres par la lutte contre cette invasion migratoire.