Tout commence par
un tweet révoltant de Barotte, journaleux au Figaro, mettant clairement
en doute le fait que les clandestins soient responsables de morts
d’Allemands, les guillemets autour du mot victime sont une insulte à
leur mémoire.
Tweet ayant rapidement disparu… et pour cause, il a dû quelques heures après convenir que la jeune Mia ( dont le portrait était en tête de la manifestation ) avait effectivement été tuée par un Migrant :
Il faut être complètement dégénéré pour penser à violer à 11 ans. Dégénéré car élevé dans l’islam et sa violence, l’islam et ses obsessions sexuelles.
Résultat : un enfant traumatisé à vie. Et 3 salopards qui demeurent en Allemagne et se préparent à effectuer d’autres viols, dans d’autres classes, d’autres établissements…
J’ai envie de hurler. J’ai envie de tuer.
Tweet ayant rapidement disparu… et pour cause, il a dû quelques heures après convenir que la jeune Mia ( dont le portrait était en tête de la manifestation ) avait effectivement été tuée par un Migrant :
Pendant ce temps, l’Allemagne découvre avec horreur qu’un enfant de 10 ans a été violé, lors d’une sortie de classe, par un Afghan de 11 ans, dans sa classe… Deux autres petits salopards ont tenu le violé… La presse ne dit pas leur origine.
Il faut être complètement dégénéré pour penser à violer à 11 ans. Dégénéré car élevé dans l’islam et sa violence, l’islam et ses obsessions sexuelles.
Résultat : un enfant traumatisé à vie. Et 3 salopards qui demeurent en Allemagne et se préparent à effectuer d’autres viols, dans d’autres classes, d’autres établissements…
J’ai envie de hurler. J’ai envie de tuer.
Choc en Allemagne: un élève de 10 ans
d’une école primaire de Berlin a été abusé par un camarade de classe,
avec l’aide de deux autres écoliers.!
Le viol d’un garçon de 10 ans se serait produit avant les vacances
d’été. Il aurait eu pour cadre un camp organisé dans un centre de
loisirs de l’Uckermark par une école primaire de Berlin, comme l’ont
rapporté «Bild», «BZ» et «Morgenpost» samedi. La sénatrice Sandra
Scheeres (SPD) a déclaré au journal «Bild» qu’elle était «consternée par
cette affaire particulièrement choquante. Tout doit être fait pour
soutenir l’enfant blessé et sa famille.»
Déjà repéré pour son comportement violent
Deux enfants de 11 ans auraient tenu la victime pendant qu’un autre de 10 ans le violait, ceci sous les yeux de deux autres camarades de classe. Les trois enseignants et l’éducateur qui encadraient le camp n’auraient rien remarqué.
C’est un ami de la victime qui aurait rapporté les faits, une dizaine de jours après le drame, à un travailleur social de son école.
Le principal auteur présumé serait un garçon afghan. Il avait déjà attiré l’attention en classe par son comportement violent et irrespectueux. Trop jeune pour être passible de poursuites, il sera probablement placé dans un établissement spécialisé, selon «Bild».
«Les auteurs ne fréquentent plus l’école»
Les deux enfants de 11 ans qui ont participé à la scène ont été placés dans des écoles d’autres districts pour la rentrée des classes.
«Aucun des auteurs ne fréquente plus l’école», a déclaré Sandra Scheeres au «Bild». Elle explique avoir utilisé tous les moyens légaux pour les exclure.
Quant à la victime, elle refuse de retourner à l’école.
https://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/Un-gar-on-de-10-ans-viole-par-ses-camarades-d-ecole-20387024Déjà repéré pour son comportement violent
Deux enfants de 11 ans auraient tenu la victime pendant qu’un autre de 10 ans le violait, ceci sous les yeux de deux autres camarades de classe. Les trois enseignants et l’éducateur qui encadraient le camp n’auraient rien remarqué.
C’est un ami de la victime qui aurait rapporté les faits, une dizaine de jours après le drame, à un travailleur social de son école.
Le principal auteur présumé serait un garçon afghan. Il avait déjà attiré l’attention en classe par son comportement violent et irrespectueux. Trop jeune pour être passible de poursuites, il sera probablement placé dans un établissement spécialisé, selon «Bild».
«Les auteurs ne fréquentent plus l’école»
Les deux enfants de 11 ans qui ont participé à la scène ont été placés dans des écoles d’autres districts pour la rentrée des classes.
«Aucun des auteurs ne fréquente plus l’école», a déclaré Sandra Scheeres au «Bild». Elle explique avoir utilisé tous les moyens légaux pour les exclure.
Quant à la victime, elle refuse de retourner à l’école.
Mais pendant ce temps, les salopards
comme le journaleux Barotte tweetent et retweetent pour dénoncer les
prétendues attaques contre les réfugiés et pour demander toujours plus
de censure des anti-migrants sur facebook.