Ils
ne veulent plus que nous vivions comme des Français ! Vendredi dernier,
aux journaux télévisés de 13h et de 19h, Rance-2 nous a bassinés avec
une savante étude scientifique publiée par la célèbre revue médicale
« The Lancet », laquelle prétend que la consommation d’un seul verre de
boisson alcoolisée serait néfaste à la santé.
Pire encore, elle prétend aussi que
100.000 personnes mourraient chaque année dans le monde à cause de cela.
Comparé à une population mondiale estimée à presque 8 milliards
d’individus, cela relativise plutôt bien le nombre annoncé, si tant est
qu’il soit vrai et vérifiable.
À l’heure où l’Union Européenne nous
impose le glyphosate pour encore trois ans, en plus de toutes les
saloperies diffusées par les multinationales de la chimie agricole,
médicale ou autre, on en reste songeur…
On se demande comment nos Ancêtres ont
pu survivre à des boissons traditionnelles millénaires telles que le
vin, le cidre et la bière !
Au même titre, on se demande comment ils
ont pu survivre aux épidémies de peste et de choléra sans les
indispensables vaccins avec lesquels on empoisonne l’Humanité depuis
Pasteur, et à propos desquels la sinistre Buzyn vient de condamner tous
les nouveaux bébés à onze injections obligatoires, avec rappels mais
sans appel, mais assurément avec effets secondaires dont on ne connaît
pas encore toute l’envergure, la gravité et la longévité.
Mais revenons à nos boissons
traditionnelles et emblématiques : que pensent les auteurs de cet
édifiant article du célèbre Régime crétois ? En plus que se nourrissant
de fruits et légumes exempts de produits chimiques -non utilisés en
Crête- les Crétois boivent un verre de vin par repas. Et leur régime est
recommandé dans le monde entier, y compris dans des articles médicaux.
Les Crétois seraient-ils en grave danger de mort subite ? Il faudrait au
plus vite effectuer une traduction en grec de « The Lancet » et la
diffuser gratuitement dans toute l’île avec la plus grande publicité !
Nous, Français, sommes descendants de
peuples ayant toujours consommé le vin, le cidre et la bière. Nous en
avons une production nationale, en plus que de divers alcools de qualité
tels que le Cognac, l’Armagnac, les Eaux-de-Vie, le Pastis et quelques
autres. Ces produits sont connus et appréciés dans le vaste monde,
notamment dans les pays civilisés et raffinés. Nous sommes amateurs de
boissons typiques provenant d’autres pays tels que le Whisky, la Vodka,
la Tequila et aussi d’autres, et nous ne voyons pas notre mortalité
alcoolique dissoudre notre peuple, ou en tout cas beaucoup moins que
l’islamisation. Nous n’avons donc pas besoin des leçons de savants qui
n’écoutent qu’eux-mêmes pour préserver notre santé et savoir ce que nous
pouvons savourer ou non.
Mais
ce battage médiatique a sans doute au moins un but, sinon plusieurs.
Rien ne se fait par hasard, et surtout pas à la télévision soviétique.
Servirait-il à nous inciter à supprimer l’alcool pour nous conformer à la charia ? On
a déjà lancé la mode des barbus mal rasés, et la suite des autres
comportements ou pratiques allant dans le sens de la charia, mis en
place au fil du temps depuis les années 90, serait longue et
fastidieuse… Les Français aiment
festoyer, se régaler, apprécier les produits de leur terroir, et cela ne
plaît pas aux mondialistes coupeurs de racines, ni aux islamistes pour
qui la seule fête légitime est l’égorgement sans étourdissement de
pauvres bêtes sans défense. On a bien entendu l’un de
leurs imams prétendre devant des enfants qu’ils seraient transformés en
singes et en porcs s’ils écoutaient de la musique ! Les festivités
traditionnelles à la française, où l’on déguste des produits français
dans une convivialité civilisée et joyeuse ne vont pas dans le sens de
la mondialisation et de son bras armé l’islamisation. Alors, comme les
Français sont légitimement attachés à leurs traditions, on essaie de
leur fourguer de prétendus arguments médicaux, scientifiques, pour les
convaincre d’abandonner ce qui fait partie de leur art de vivre.
Notons que si nos dirigeants se
souciaient de notre santé, ils arrêteraient de nous laisser envahir par
des barbares qui nous égorgent au nombre maintenant d’un par jour au
moins… Et il y a bien longtemps aussi qu’ils auraient trouvé la solution
pour nous débarrasser du trafic des drogues, dont les produits font
tant de ravages parmi les jeunes et les moins jeunes ; et aussi des
poisons déversés par centaines de tonnes dans notre alimentation, notre
eau potable, notre air, notre terre, pour le plus grand profit des
multinationales…
Serait-il un signe précurseur d’un nouvel abaissement du taux légal d’alcoolémie pour conduire ?
Il a déjà été divisé par deux pour les jeunes conducteurs. Notons
qu’étendue à trois ans, cette appellation ne veut rapidement plus rien
dire pour qui conduit journellement après le passage du permis. Il est
vrai aussi que les grands penseurs de la sécurité routière ne savent
qu’aggraver en les abaissant encore les limites déjà basses qu’ils
imposent à tous : vitesse, alcoolémie, interdictions diverses, en plus
du discrédit très à la mode lancé contre l’automobile, autour de
laquelle notre société industrielle s’est pourtant développée depuis
plus de cent ans. Relevons aussi qu’il s’est trouvé un imbécile
pour prétendre qu’il ne faudrait pas trop réparer les routes abîmées,
afin que les conducteurs ne soient pas tentés d’y rouler vite. En
matière de sécurité routière, on a déjà vu mieux ! Alors que la Cour des
Comptes vient de savamment découvrir et déclarer que les CRS qui
surveillent les plages coûtent trop cher -mais moins sans doute que les
subventions à l’anti-France et aux envahisseurs- on peut imaginer qu’ils
vont en être retirés alors qu’ils y font œuvre salutaire depuis plus de
soixante ans, sans doute pour être affectés aux contrôles de vitesse
routière qui rapportent tant à l’État pour dilapider dans le gouffre
sans fin de l’endettement.
Serait-il une nouvelle atteinte à notre agriculture et à nos industries de transformation,
la première ayant déjà tant souffert de la malveillance de l’Union
Européenne et des multinationales, les secondes, encore trop souvent
familiales, enracinées, ou fonctionnant en coopératives, titulaires
d’une AOC, étant programmées dans les ordinateurs de la mondialisation
comme devant être discréditées afin de les conduire à la faillite ?
Notre agriculture et ses industries connexes sont pour partie garantes
de ce qui nous reste d’indépendance nourricière et économique. Serait-ce
encore trop pour la mondialisation promue par le petit maCrON ?
Imaginons que des Français inquiétés par ces propos « de docteurs » se
privent désormais de ces subtilités du palais que sont nos vins, cidres,
bières et alcools divers… Quelles conséquences dommageables pour nos
producteurs français, alors encore plus dépendants des exportations,
donc de la mondialisation ! Heureusement, ceci reste peu probable. Mais à
force de manipuler les esprits, on sait à quoi l’on peut arriver, les
trois fléaux de l’Humanité que sont l’islam, le communisme et le nazisme
en sont témoignages. Même sans remonter loin, qui aurait cru, au début
des années 70, que la France serait ce qu’elle est aujourd’hui ?
Alors on peut imaginer que d’ici quelques décennies, ou même années,
la France pourrait devenir un pays sans boissons nationales, tout comme
il a déjà perdu sa monnaie, ses frontières, sa fierté, son indépendance,
son armée de conscription entretenant le lien Jeunesse-Nation… Un pays
où des consommateurs sans identité se gaveraient de sodas et mélanges
d’importation, tandis que vignes et vergers resteraient désormais en
friches interdites d’exploitation et peut-être même d’accès.
Serait-il
tout simplement, ou en sus d’un ou de plusieurs questionnements
ci-dessus, destiné à nous interdire, petit à petit, de vivre comme des
Français, avec leurs us et coutumes, leurs traditions, leur art de
vivre, leur identité, leur subtilité, leur intelligence, leur
civilisation ? On peut tout supposer, j’en oublie peut-être. Mais ce qui
est sûr, c’est que ce sujet n’a pas été abordé par hasard, qu’il a un
but, même à terme inconnu des non-initiés, un objectif bien précis. À
nous de l’identifier pour ne pas laisser encore un morceau de notre
brillante civilisation disparaître sous les coups violents ou subtils,
mais toujours perfides, de la mondialisation.