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mardi 28 août 2018

En criminalisant le vin, ils avouent : ils ne veulent plus que nous vivions comme des Français !

En criminalisant le vin, ils avouent : ils ne veulent plus que nous vivions comme des Français !

Ils ne veulent plus que nous vivions comme des Français ! Vendredi dernier, aux journaux télévisés de 13h et de 19h, Rance-2 nous a bassinés avec une savante étude scientifique publiée par la célèbre revue médicale « The Lancet », laquelle prétend que la consommation d’un seul verre de boisson alcoolisée serait néfaste à la santé.

Pire encore, elle prétend aussi que 100.000 personnes mourraient chaque année dans le monde à cause de cela. Comparé à une population mondiale estimée à presque 8 milliards d’individus, cela relativise plutôt bien le nombre annoncé, si tant est qu’il soit vrai et vérifiable.

À l’heure où l’Union Européenne nous impose le glyphosate pour encore trois ans, en plus de toutes les saloperies diffusées par les multinationales de la chimie agricole, médicale ou autre, on en reste songeur…
On se demande comment nos Ancêtres ont pu survivre à des boissons traditionnelles millénaires telles que  le vin, le cidre et la bière !
Au même titre, on se demande comment ils ont pu survivre aux épidémies de peste et de choléra sans les indispensables vaccins avec lesquels on empoisonne l’Humanité depuis Pasteur, et à propos desquels la sinistre Buzyn vient de condamner tous les nouveaux bébés à onze injections obligatoires, avec rappels mais sans appel, mais assurément avec effets secondaires dont on ne connaît pas encore toute l’envergure, la gravité et la longévité.
Mais revenons à nos boissons traditionnelles et emblématiques : que pensent les auteurs de cet édifiant article du célèbre Régime crétois ? En plus que se nourrissant de fruits et légumes exempts de produits chimiques -non utilisés en Crête- les Crétois boivent un verre de vin par repas. Et leur régime est recommandé dans le monde entier, y compris dans des articles médicaux. Les Crétois seraient-ils en grave danger de mort subite ? Il faudrait au plus vite effectuer une traduction en grec de « The Lancet » et la diffuser gratuitement dans toute l’île avec la plus grande publicité !
Nous, Français, sommes descendants de peuples ayant toujours consommé le vin, le cidre et la bière. Nous en avons une production nationale, en plus que de divers alcools de qualité tels que le Cognac, l’Armagnac, les Eaux-de-Vie, le Pastis et quelques autres. Ces produits sont connus et appréciés dans le vaste monde, notamment dans les pays civilisés et raffinés. Nous sommes amateurs de boissons typiques provenant d’autres pays tels que le Whisky, la Vodka, la Tequila et aussi d’autres, et nous ne voyons pas notre mortalité alcoolique dissoudre notre peuple, ou en tout cas beaucoup moins que l’islamisation. Nous n’avons donc pas besoin des leçons de savants qui n’écoutent qu’eux-mêmes pour préserver notre santé et savoir ce que nous pouvons savourer ou non.



Mais ce battage médiatique a sans doute au moins un but, sinon plusieurs. Rien ne se fait par hasard, et surtout pas à la télévision soviétique.

Servirait-il à nous inciter à supprimer l’alcool pour nous conformer à la charia ? On a déjà lancé la mode des barbus mal rasés, et la suite des autres comportements ou pratiques allant dans le sens de la charia, mis en place au fil du temps depuis les années 90, serait longue et fastidieuse… Les Français aiment festoyer, se régaler, apprécier les produits de leur terroir, et cela ne plaît pas aux mondialistes coupeurs de racines, ni aux islamistes pour qui la seule fête légitime est l’égorgement sans étourdissement de pauvres bêtes sans défense. On a bien entendu l’un de leurs imams prétendre devant des enfants qu’ils seraient transformés en singes et en porcs s’ils écoutaient de la musique ! Les festivités traditionnelles à la française, où l’on déguste des produits français dans une convivialité civilisée et joyeuse ne vont pas dans le sens de la mondialisation et de son bras armé l’islamisation. Alors, comme les Français sont légitimement attachés à leurs traditions, on essaie de leur fourguer de prétendus arguments médicaux, scientifiques, pour les convaincre d’abandonner ce qui fait partie de leur art de vivre.
Notons que si nos dirigeants se souciaient de notre santé, ils arrêteraient de nous laisser envahir par des barbares qui nous égorgent au nombre maintenant d’un par jour au moins… Et il y a bien longtemps aussi qu’ils auraient trouvé la solution pour nous débarrasser du trafic des drogues, dont les produits font tant de ravages parmi les jeunes et les moins jeunes ; et aussi des poisons déversés par centaines de tonnes dans notre alimentation, notre eau potable, notre air, notre terre, pour le plus grand profit des multinationales…
Serait-il un signe précurseur d’un nouvel abaissement du taux légal d’alcoolémie pour conduire ? Il a déjà été divisé par deux pour les jeunes conducteurs. Notons qu’étendue à trois ans, cette appellation ne veut rapidement plus rien dire pour qui conduit journellement après le passage du permis. Il est vrai aussi que les grands penseurs de la sécurité routière ne savent qu’aggraver en les abaissant encore les limites déjà basses qu’ils imposent à tous : vitesse, alcoolémie, interdictions diverses, en plus du discrédit très à la mode lancé contre l’automobile, autour de laquelle notre société industrielle s’est pourtant développée depuis plus de cent ans. Relevons aussi qu’il s’est trouvé un imbécile pour prétendre qu’il ne faudrait pas trop réparer les routes abîmées, afin que les conducteurs ne soient pas tentés d’y rouler vite. En matière de sécurité routière, on a déjà vu mieux ! Alors que la Cour des Comptes vient de savamment découvrir et déclarer que les CRS qui surveillent les plages coûtent trop cher -mais moins sans doute que les subventions à l’anti-France et aux envahisseurs- on peut imaginer qu’ils vont en être retirés alors qu’ils y font œuvre salutaire depuis plus de soixante ans, sans doute pour être affectés aux contrôles de vitesse routière qui rapportent tant à l’État pour dilapider dans le gouffre sans fin de l’endettement.
Serait-il une nouvelle atteinte à notre agriculture et à nos industries de transformation, la première ayant déjà tant souffert de la malveillance de l’Union Européenne et des multinationales, les secondes, encore trop souvent familiales, enracinées, ou fonctionnant en coopératives, titulaires d’une AOC, étant programmées dans les ordinateurs de la mondialisation comme devant être discréditées afin de les conduire à la faillite ? Notre agriculture et ses industries connexes sont pour partie garantes de ce qui nous reste d’indépendance nourricière et économique. Serait-ce encore trop pour la mondialisation promue par le petit maCrON ? Imaginons que des Français inquiétés par ces propos « de docteurs » se privent désormais de ces subtilités du palais que sont nos vins, cidres, bières et alcools divers… Quelles conséquences dommageables pour nos producteurs français, alors encore plus dépendants des exportations, donc de la mondialisation ! Heureusement, ceci reste peu probable. Mais à force de manipuler les esprits, on sait à quoi l’on peut arriver, les trois fléaux de l’Humanité que sont l’islam, le communisme et le nazisme en sont témoignages. Même sans remonter loin, qui aurait cru, au début des années 70, que la France serait ce qu’elle est aujourd’hui ?
Alors on peut imaginer que d’ici quelques décennies, ou même années, la France pourrait devenir un pays sans boissons nationales, tout comme il a déjà perdu sa monnaie, ses frontières, sa fierté, son indépendance, son armée de conscription entretenant le lien Jeunesse-Nation… Un pays où des consommateurs sans identité se gaveraient de sodas et mélanges d’importation, tandis que vignes et vergers resteraient désormais en friches interdites d’exploitation et peut-être même d’accès.

Serait-il tout simplement, ou en sus d’un ou de plusieurs questionnements ci-dessus, destiné à nous interdire, petit à petit, de vivre comme des Français, avec leurs us et coutumes, leurs traditions, leur art de vivre, leur identité, leur subtilité, leur intelligence, leur civilisation ? On peut tout supposer, j’en oublie peut-être. Mais ce qui est sûr, c’est que ce sujet n’a pas été abordé par hasard, qu’il a un but, même à terme inconnu des non-initiés, un objectif bien précis. À nous de l’identifier pour ne pas laisser encore un morceau de notre brillante civilisation disparaître sous les coups violents ou subtils, mais toujours perfides, de la mondialisation.